mis en ligne le lundi 2 février 2009
par Uri Blau
Pour une fois, des informations « explosives » némanent pas dun rapport de Shalom Arshav, mais du ministère israélien de la défense lui-même. Létendue des infractions à la loi et du caractère far-westien de lEtat de droit en Cisjordanie y est pour la première fois révélée de source officielle. Ces informations confirment celles recueillies par lObservatoire de la colonisation de Shalom Arshav depuis des années
Haaretz, 30 janvier 2009
http://www.haaretz.com/hasen/spages...
Traduction : Gérard Eizenberg pour La Paix Maintenant
Pour une fois, des informations « explosives » némanent pas dun rapport de Shalom Arshav, mais du ministère israélien de la défense lui-même. Létendue des infractions à la loi, du vol de terres et du caractère far-westien de lEtat de droit en Cisjordanie y est pour la première fois révélée de source officielle. Ces informations confirment celles recueillies par lObservatoire de la colonisation de Shalom Arshav depuis des années
Haaretz, 30 janvier 2009
http://www.haaretz.com/hasen/spages/1060043.html
Une base de données israélienne secrète révèle lampleur de la colonisation illégale Uri Blau
Traduction : Gérard Eizenberg pour La Paix Maintenant
Il y a tout juste quatre ans, le ministère de la défense décidait dentreprendre ce qui paraissait une tâche élémentaire : établir une base de données exhaustive sur les colonies. Le général (réserve) Baroukh Spiegel, collaborateur de Shaul Mofaz, alors ministre de la défense, fut chargé du projet. Pendant plus de deux ans, Spiegel et son équipe, qui avaient tous signé un accord de confidentialité, récoltèrent systématiquement les chiffres, essentiellement auprès de lAdministration civile.
Lun des principaux moteurs qui expliquaient cet effort était la nécessité de disposer dinformations crédibles et accessibles pour contrer les procédures juridiques entamées par des habitants palestiniens, des organisations pour les droits de lhomme et des mouvements de gauche qui contestaient la légalité de la construction dans les colonies et lutilisation de terres privées sur lesquelles elles étaient bâties ou sétendaient. Ces chiffres, réunis à grand peine, furent considérés comme de la dynamite politique.
par Uri Blau
Pour une fois, des informations « explosives » némanent pas dun rapport de Shalom Arshav, mais du ministère israélien de la défense lui-même. Létendue des infractions à la loi et du caractère far-westien de lEtat de droit en Cisjordanie y est pour la première fois révélée de source officielle. Ces informations confirment celles recueillies par lObservatoire de la colonisation de Shalom Arshav depuis des années
Haaretz, 30 janvier 2009
http://www.haaretz.com/hasen/spages...
Traduction : Gérard Eizenberg pour La Paix Maintenant
Pour une fois, des informations « explosives » némanent pas dun rapport de Shalom Arshav, mais du ministère israélien de la défense lui-même. Létendue des infractions à la loi, du vol de terres et du caractère far-westien de lEtat de droit en Cisjordanie y est pour la première fois révélée de source officielle. Ces informations confirment celles recueillies par lObservatoire de la colonisation de Shalom Arshav depuis des années
Haaretz, 30 janvier 2009
http://www.haaretz.com/hasen/spages/1060043.html
Une base de données israélienne secrète révèle lampleur de la colonisation illégale Uri Blau
Traduction : Gérard Eizenberg pour La Paix Maintenant
Il y a tout juste quatre ans, le ministère de la défense décidait dentreprendre ce qui paraissait une tâche élémentaire : établir une base de données exhaustive sur les colonies. Le général (réserve) Baroukh Spiegel, collaborateur de Shaul Mofaz, alors ministre de la défense, fut chargé du projet. Pendant plus de deux ans, Spiegel et son équipe, qui avaient tous signé un accord de confidentialité, récoltèrent systématiquement les chiffres, essentiellement auprès de lAdministration civile.
Lun des principaux moteurs qui expliquaient cet effort était la nécessité de disposer dinformations crédibles et accessibles pour contrer les procédures juridiques entamées par des habitants palestiniens, des organisations pour les droits de lhomme et des mouvements de gauche qui contestaient la légalité de la construction dans les colonies et lutilisation de terres privées sur lesquelles elles étaient bâties ou sétendaient. Ces chiffres, réunis à grand peine, furent considérés comme de la dynamite politique.