insatis
insatise
de gardienne de la paix à commissaire française
Hanane Bakioui fait partie de ces femmes et de ces hommes issus de l’immigration dont le parcours et la persévérance forcent l’admiration et imposent le respect.
Nommée récemment à la direction du commissariat de Saintes, une ville du sud-ouest de la France, située dans le département de Charente-Maritime
Mère de jumelles, âgées de 8 ans, Hanane Bakioui est originaire du Maroc, pays où elle a vu le jour il y a 37 ans.
« Je suis née au Maroc où je suis restée jusqu'à mes sept ans.
Après une maîtrise de droit public obtenue à Aix-en-Provence, la jeune Bakioui rejoint le corps de la police en tant qu’adjointe de sécurité, à Arles.
« Il fallait que je travaille. C'était un emploi jeune. Et puis en découvrant ce métier, je me suis dit que je ne pouvais pas faire autre chose. Ça m'a vraiment plu », se souvient-elle.
Se sentant bien armée pour cette profession, Hanane Bakioui décide alors de s’y engager à fond. C’est ainsi qu’elle décide de passer le concours de gardien de la paix qu’elle obtient haut la main.
« Après l'Ecole nationale de la police à Nîmes, je suis rentrée aux Renseignements généraux. Je parle plusieurs dialectes arabes et ça les intéressait. J'y suis restée quatre ans », explique-t-elle au journal français.
De 2007 à 2012, elle officie dans la sécurité publique à Nice avant de tenter, cette fois-ci, le concours en interne ........
http://www.libe.ma/Hanane-Bakioui-de-gardienne-de-la-paix-a-commissaire-francaise_a54396.html
Hanane Bakioui fait partie de ces femmes et de ces hommes issus de l’immigration dont le parcours et la persévérance forcent l’admiration et imposent le respect.
Nommée récemment à la direction du commissariat de Saintes, une ville du sud-ouest de la France, située dans le département de Charente-Maritime
Mère de jumelles, âgées de 8 ans, Hanane Bakioui est originaire du Maroc, pays où elle a vu le jour il y a 37 ans.
« Je suis née au Maroc où je suis restée jusqu'à mes sept ans.
Après une maîtrise de droit public obtenue à Aix-en-Provence, la jeune Bakioui rejoint le corps de la police en tant qu’adjointe de sécurité, à Arles.
« Il fallait que je travaille. C'était un emploi jeune. Et puis en découvrant ce métier, je me suis dit que je ne pouvais pas faire autre chose. Ça m'a vraiment plu », se souvient-elle.
Se sentant bien armée pour cette profession, Hanane Bakioui décide alors de s’y engager à fond. C’est ainsi qu’elle décide de passer le concours de gardien de la paix qu’elle obtient haut la main.
« Après l'Ecole nationale de la police à Nîmes, je suis rentrée aux Renseignements généraux. Je parle plusieurs dialectes arabes et ça les intéressait. J'y suis restée quatre ans », explique-t-elle au journal français.
De 2007 à 2012, elle officie dans la sécurité publique à Nice avant de tenter, cette fois-ci, le concours en interne ........
http://www.libe.ma/Hanane-Bakioui-de-gardienne-de-la-paix-a-commissaire-francaise_a54396.html