Son nom est Cathy Jory Marie Jeanne Torres, 35 ans. Elle est française, mais délaissée par les siens, pour ne pas citer le Consulat général de France, malgré ce quelle endure depuis le 30 juillet 2004.
Arrivée cette année au Maroc, elle pensait au pays accueillant et généreux, à la gentillesse de ses gens et à la beauté de ses sites. Mais elle na pas tardé à déchanter, non pour ces qualités marocaines, plutôt pour ce qui lui est arrivé ce sombre juillet 2004, à cause dindividus dont un fils de député.
Elle a raconté son histoire à qui voulait lécouter. Et la justice marocaine lui a donné raison en condamnant trois individus à des peines de prison allant de 42 à 56 mois de prison ferme.
Quant au fils du député, affirme Cathy, il na pas été inquiété jusquà ce jour et se trouve actuellement au Canada grâce à son père. Alors quelle faisait des courses à Derb Soltane (Casablanca), certains individus lui ont proposé de la conduire à son lieu de résidence. Rassurée, elle a accepté. Seulement, au lieu dêtre ramenée chez elle, elle a été conduite de force dans un endroit abandonné, sur la route de Bouskoura. Là, violentée puis sauvagement violée par ses ravisseurs, elle sest vu confisquer le peu dargent quelle avait et sa carte bancaire. Sous la contrainte, elle a livré son code bancaire.
Informé, la police a réussi à identifier les deux violeurs. Mais le fils du député était introuvable et lest jusquà ce jour. A cause du tort physique et moral inqualifiable, Cathy Torres refuse dabandonner et continue de réclamer justice. Epuisée physiquement, sans argent et nétant pas en condition de travailler (elle est hébergée gratuitement chez une Marocaine), le barreau de Casablanca lui a désigné un défenseur, geste quelle a hautement apprécié. Mais cest à son Consulat quelle en veut le plus. Elle nous confie: «Jai beaucoup souffert. Cest au cauchemar terrible. Et pourtant le consulat refuse de maider en tant que citoyenne française.
Il connaît laffaire depuis 2004. Que de promesses! Et jattends toujours». Affaire à suivre
A. Bidaoui http://www.albayane.ma/def.asp?codelangue=23&id_info=153473&date_ar=2009-7-7 8:31:00
Arrivée cette année au Maroc, elle pensait au pays accueillant et généreux, à la gentillesse de ses gens et à la beauté de ses sites. Mais elle na pas tardé à déchanter, non pour ces qualités marocaines, plutôt pour ce qui lui est arrivé ce sombre juillet 2004, à cause dindividus dont un fils de député.
Elle a raconté son histoire à qui voulait lécouter. Et la justice marocaine lui a donné raison en condamnant trois individus à des peines de prison allant de 42 à 56 mois de prison ferme.
Quant au fils du député, affirme Cathy, il na pas été inquiété jusquà ce jour et se trouve actuellement au Canada grâce à son père. Alors quelle faisait des courses à Derb Soltane (Casablanca), certains individus lui ont proposé de la conduire à son lieu de résidence. Rassurée, elle a accepté. Seulement, au lieu dêtre ramenée chez elle, elle a été conduite de force dans un endroit abandonné, sur la route de Bouskoura. Là, violentée puis sauvagement violée par ses ravisseurs, elle sest vu confisquer le peu dargent quelle avait et sa carte bancaire. Sous la contrainte, elle a livré son code bancaire.
Informé, la police a réussi à identifier les deux violeurs. Mais le fils du député était introuvable et lest jusquà ce jour. A cause du tort physique et moral inqualifiable, Cathy Torres refuse dabandonner et continue de réclamer justice. Epuisée physiquement, sans argent et nétant pas en condition de travailler (elle est hébergée gratuitement chez une Marocaine), le barreau de Casablanca lui a désigné un défenseur, geste quelle a hautement apprécié. Mais cest à son Consulat quelle en veut le plus. Elle nous confie: «Jai beaucoup souffert. Cest au cauchemar terrible. Et pourtant le consulat refuse de maider en tant que citoyenne française.
Il connaît laffaire depuis 2004. Que de promesses! Et jattends toujours». Affaire à suivre
A. Bidaoui http://www.albayane.ma/def.asp?codelangue=23&id_info=153473&date_ar=2009-7-7 8:31:00