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Pour sa 10e édition, Earth Hour ou Une heure pour la planète, invite les citoyens du monde entier à éteindre leurs lumières pendant soixante minutes samedi 10 mars. Cet événement symbolique, à l’initiative du Fonds mondial pour la nature (WWF), vise à mobiliser la planète contre le réchauffement climatique, en incitant chacun à son niveau, citoyens, entreprise ou collectivité, à réaliser des économies d’énergie. L’éclairage représente un cinquième de la consommation mondiale d’électricité.
À 20 h 30, heure locale, Sydney donnera le coup d’envoi en éteignant le pont Harbour Bridge. C’est dans cette ville qu’avait été organisée la première édition de l’événement en 2007, étendu à l’échelle mondiale à partir de 2009.
De l’Australie à la côte ouest des Etats-Unis, les monuments emblématiques plongeront dans le noir : pyramides d’Égypte, Tour Eiffel, Times Square. En 2015, 1 200 monuments et 170 pays avaient participé à l’opération.
Action symbolique Mais cette année, Earth Hour a une dimension particulière. « C’est la première mobilisation planétaire de l’après COP21, on doit garder l’élan de mobilisation », explique Pierre Cannet, responsable du programme Climat et énergie au WWF France.
Pour sa 10e édition, Earth Hour ou Une heure pour la planète, invite les citoyens du monde entier à éteindre leurs lumières pendant soixante minutes samedi 10 mars. Cet événement symbolique, à l’initiative du Fonds mondial pour la nature (WWF), vise à mobiliser la planète contre le réchauffement climatique, en incitant chacun à son niveau, citoyens, entreprise ou collectivité, à réaliser des économies d’énergie. L’éclairage représente un cinquième de la consommation mondiale d’électricité.
À 20 h 30, heure locale, Sydney donnera le coup d’envoi en éteignant le pont Harbour Bridge. C’est dans cette ville qu’avait été organisée la première édition de l’événement en 2007, étendu à l’échelle mondiale à partir de 2009.
De l’Australie à la côte ouest des Etats-Unis, les monuments emblématiques plongeront dans le noir : pyramides d’Égypte, Tour Eiffel, Times Square. En 2015, 1 200 monuments et 170 pays avaient participé à l’opération.
Action symbolique Mais cette année, Earth Hour a une dimension particulière. « C’est la première mobilisation planétaire de l’après COP21, on doit garder l’élan de mobilisation », explique Pierre Cannet, responsable du programme Climat et énergie au WWF France.