Une femme de 26 ans soupçonnée d'avoir tué son bébé en mars 2007 a été mise en examen le 13 février pour "meurtre sur enfant de moins de 15 ans" et placée sous contrôle judiciaire, a-t-on appris vendredi auprès du parquet de La Rochelle.
Son concubin, aujourd'hui âgé de 19 ans et mineur au moment des faits, a été mis en examen pour "recel de cadavre" et placé aussi sous contrôle judiciaire, selon le vice-procureur de la République à La Rochelle, Philippe Darphin.
Les faits, dénoncés en 2008 par l'entourage familial, se seraient déroulés à Saint-Genis-de-Saintonge (Charente-Maritime) en mars 2007, date de naissance de l'enfant, "qu'ils ne voulaient pas garder", a expliqué M. Darphin.
La femme, qui avait caché sa grossesse dès le début, aurait accouché seule d'un bébé né viable, selon les premiers éléments de l'enquête. Il a ensuite été mis dans un sac plastique sans que l'on sache encore s'il était alors vivant ou pas.
Quelques jours plus tard, le père aurait "décidé (seul ou pas, cela n'a pas été déterminé) de s'en débarrasser dans une décharge sauvage située à une dizaine de kilomètres sur le territoire de la commune d'Avy", selon le quotidien Sud Ouest qui a révélé l'affaire dans son édition de vendredi.
"On a retrouvé à l'endroit indiqué par le jeune homme des éléments de sacs en plastique et des ossements", a indiqué à l'AFP le parquet qui a fait appel du refus d'incarcérer la mère.
Des analyses ADN sont en cours afin de déterminer s'il s'agit ou non de l'enfant du couple.
Son concubin, aujourd'hui âgé de 19 ans et mineur au moment des faits, a été mis en examen pour "recel de cadavre" et placé aussi sous contrôle judiciaire, selon le vice-procureur de la République à La Rochelle, Philippe Darphin.
Les faits, dénoncés en 2008 par l'entourage familial, se seraient déroulés à Saint-Genis-de-Saintonge (Charente-Maritime) en mars 2007, date de naissance de l'enfant, "qu'ils ne voulaient pas garder", a expliqué M. Darphin.
La femme, qui avait caché sa grossesse dès le début, aurait accouché seule d'un bébé né viable, selon les premiers éléments de l'enquête. Il a ensuite été mis dans un sac plastique sans que l'on sache encore s'il était alors vivant ou pas.
Quelques jours plus tard, le père aurait "décidé (seul ou pas, cela n'a pas été déterminé) de s'en débarrasser dans une décharge sauvage située à une dizaine de kilomètres sur le territoire de la commune d'Avy", selon le quotidien Sud Ouest qui a révélé l'affaire dans son édition de vendredi.
"On a retrouvé à l'endroit indiqué par le jeune homme des éléments de sacs en plastique et des ossements", a indiqué à l'AFP le parquet qui a fait appel du refus d'incarcérer la mère.
Des analyses ADN sont en cours afin de déterminer s'il s'agit ou non de l'enfant du couple.