Les annonces de Pôle emploi réservent parfois quelques surprises. Une jeune femme de 29 ans, à la recherche d'un emploi dans la catégorie webmaster, a découvert lundi une annonce pour des "animations de chats pour adultes", relate Le Parisien. Surprise, elle décide tout de même de postuler, attirée par la rémunération (de 1 400 à 2 000 euros, hors primes) et la promesse d'un CDI.
Mais lors d'un entretien téléphonique, "mon interlocuteur ma immédiatement expliqué que je nutiliserai pas de clavier, mais un téléphone ou une webcam pour des rapports coquins", raconte la jeune femme. "Il ma indiqué quil faudrait que je porte une nuisette et que je fasse le genre de truc quon fait pour son petit copain", ajoute-t-elle. Avant, si le client le souhaite, de "seffeuiller".
Interrogée, Pôle emploi juge que cette annonce légale. Or, "juridiquement, nous ne pouvons pas refuser une annonce si elle est légale et non discriminatoire", justifie une porte-parole. La session de webcam ne doit simplement pas déboucher sur une rencontre, précise un policier de la brigade de répression du proxénétisme. "Les syndicats, eux, nhésitent pas à convoquer la morale", ajoute Le Parisien.
Mais lors d'un entretien téléphonique, "mon interlocuteur ma immédiatement expliqué que je nutiliserai pas de clavier, mais un téléphone ou une webcam pour des rapports coquins", raconte la jeune femme. "Il ma indiqué quil faudrait que je porte une nuisette et que je fasse le genre de truc quon fait pour son petit copain", ajoute-t-elle. Avant, si le client le souhaite, de "seffeuiller".
Interrogée, Pôle emploi juge que cette annonce légale. Or, "juridiquement, nous ne pouvons pas refuser une annonce si elle est légale et non discriminatoire", justifie une porte-parole. La session de webcam ne doit simplement pas déboucher sur une rencontre, précise un policier de la brigade de répression du proxénétisme. "Les syndicats, eux, nhésitent pas à convoquer la morale", ajoute Le Parisien.