Une série de crimes à Casablanca

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Casablanca d'antan
VIB
Les rues des chleuhs, de Marrakech, de Sidi Mbarek et de Dar El Miloudi, à Casablanca, ont été, la nuit du jeudi 22 octobre, les scènes de crimes, d’attaques d’un policier et de tirs de coups de feu.


La nuit du mercredi 21 octobre, des trafiquants de drogue demeurant à la rue Dar El Miloudi connue communément par Derb El Gabbas, en ancienne médina, ont attaqué d’autres trafiquants de drogue demeurant à la rue d’El Jadida.
C’était une attaque où les couteaux, les épées, les gourdins et chiens de race pit-bull étaient les maîtres de la scène. Le lendemain, jeudi, vers 19 h, les trafiquants de drogue demeurant à la rue d’El Jadida ont décidé de se venger de leurs protagonistes à Derb El Gabbas.
Après avoir passé à l’acte, ils ont emprunté le chemin, à bord de deux motos, à destination de la rue Sidi Mbarek pour se diriger vers le domicile d’un policier, élément de la brigade touristique à la sûreté de Casablanca-Anfa, situé à la rue Hadj Mbarek. Pourquoi ? Pour l’attaquer chez lui afin de le dissuader de participer aux descentes effectuées par les policiers de la brigade touristique contre les trafiquants de drogue en ancienne médina. Le policier n’y était pas.
Les trafiquants de drogue n’y ont trouvé que sa femme, sa mère et ses deux enfants jumeaux. Ils ont tout cassé à la maison avant l’arrivée du policier qui a été maltraité au point que sa main droite a été fracturée. C’est ainsi que ses collègues de la brigade touristique ont été alertés.
Aussitôt, ils se sont dépêchés sur les lieux pour le soutenir. Malheureusement, les assaillants se sont abstenus de baisser les mains. Ils ont résisté au point qu’ils ont permis à leur chien, un pit-bull, d’attaquer les policiers. C’est pourquoi, un flic a dégainé son revolver et il a tiré trois balles. Une au niveau de sa tête, une deuxième à son dos et une troisième au niveau du cou. Et pourtant, le chien n’est pas tombé. Mais sa force a commencé à s’affaiblir. Et il a fait un demi-tour pour aller directement vers le domicile de son propriétaire, le trafiquant de drogue, Mounir, situé dans une impasse de la rue Marrakech donnant sur le café Tarzan. Ce chien n’est mort que le lendemain, vers 2 h du matin. Et Mounir et trois de ses complices ont été arrêtés avec cinq cents comprimés psychotropes. Au moment où les policiers cherchaient les éléments de la bande qui ont agressé le policier et leur chien, ils ont été informés qu’un trafiquant de drogue venait d’être tué par un clochard, près de la première scène de crime, mais à quelques centaines de mètres, juste à la rue des Chleuhs. Il s’agit de Youssef, fils d’un certain Ouled Îssa, connu en ancienne médina par le trafic, depuis plus d’une trentaine d’années, de boissons alcoolisées, du maâjoune et de la colle à dissolution aux clochards. La rixe entre les deux remonte à deux jours plus tôt, quand le clochard est arrivé pour acheter un tube de colle. En fait, personne ne savait ce qui est arrivé entre les deux. Mais, le mercredi 21 octobre, vers 23 h, le clochard est arrivé une deuxième fois chez Youssef qui servait aux clochards des tubes de colle contre une pièce de dix dirhams, non pas pour se procurer sa dose, mais pour se venger. Avec un couteau, il lui a donné un coup au niveau de ses côtes. Youssef n’a pas alerté la police et n’est même pas allé à l’hôpital pour se soigner. Le lendemain, quand son protagoniste a appris qu’il était encore en vie, il est retourné chez lui. Il lui a demandé de le pardonner. Youssef qui a cru à ses paroles est sorti du commerce, qui a été aménagé en laiterie, alors qu’il s’agissait en fait d’un lieu pour le commerce de la drogue. Lorsqu’il est arrivé à le saluer, le clochard lui a donné deux coups mortels de couteau avant de s’enfuir. Mais, il a fini par être arrêté juste en face de la Sqalla, sur l’avenue des Almohades.



Par : Abderrafii ALOUMLIKI
 
Les rues des chleuhs, de Marrakech, de Sidi Mbarek et de Dar El Miloudi, à Casablanca, ont été, la nuit du jeudi 22 octobre, les scènes de crimes, d’attaques d’un policier et de tirs de coups de feu.


La nuit du mercredi 21 octobre, des trafiquants de drogue demeurant à la rue Dar El Miloudi connue communément par Derb El Gabbas, en ancienne médina, ont attaqué d’autres trafiquants de drogue demeurant à la rue d’El Jadida.
C’était une attaque où les couteaux, les épées, les gourdins et chiens de race pit-bull étaient les maîtres de la scène. Le lendemain, jeudi, vers 19 h, les trafiquants de drogue demeurant à la rue d’El Jadida ont décidé de se venger de leurs protagonistes à Derb El Gabbas.
Après avoir passé à l’acte, ils ont emprunté le chemin, à bord de deux motos, à destination de la rue Sidi Mbarek pour se diriger vers le domicile d’un policier, élément de la brigade touristique à la sûreté de Casablanca-Anfa, situé à la rue Hadj Mbarek. Pourquoi ? Pour l’attaquer chez lui afin de le dissuader de participer aux descentes effectuées par les policiers de la brigade touristique contre les trafiquants de drogue en ancienne médina. Le policier n’y était pas.
Les trafiquants de drogue n’y ont trouvé que sa femme, sa mère et ses deux enfants jumeaux. Ils ont tout cassé à la maison avant l’arrivée du policier qui a été maltraité au point que sa main droite a été fracturée. C’est ainsi que ses collègues de la brigade touristique ont été alertés.
Aussitôt, ils se sont dépêchés sur les lieux pour le soutenir. Malheureusement, les assaillants se sont abstenus de baisser les mains. Ils ont résisté au point qu’ils ont permis à leur chien, un pit-bull, d’attaquer les policiers. C’est pourquoi, un flic a dégainé son revolver et il a tiré trois balles. Une au niveau de sa tête, une deuxième à son dos et une troisième au niveau du cou. Et pourtant, le chien n’est pas tombé. Mais sa force a commencé à s’affaiblir. Et il a fait un demi-tour pour aller directement vers le domicile de son propriétaire, le trafiquant de drogue, Mounir, situé dans une impasse de la rue Marrakech donnant sur le café Tarzan. Ce chien n’est mort que le lendemain, vers 2 h du matin. Et Mounir et trois de ses complices ont été arrêtés avec cinq cents comprimés psychotropes. Au moment où les policiers cherchaient les éléments de la bande qui ont agressé le policier et leur chien, ils ont été informés qu’un trafiquant de drogue venait d’être tué par un clochard, près de la première scène de crime, mais à quelques centaines de mètres, juste à la rue des Chleuhs. Il s’agit de Youssef, fils d’un certain Ouled Îssa, connu en ancienne médina par le trafic, depuis plus d’une trentaine d’années, de boissons alcoolisées, du maâjoune et de la colle à dissolution aux clochards. La rixe entre les deux remonte à deux jours plus tôt, quand le clochard est arrivé pour acheter un tube de colle. En fait, personne ne savait ce qui est arrivé entre les deux. Mais, le mercredi 21 octobre, vers 23 h, le clochard est arrivé une deuxième fois chez Youssef qui servait aux clochards des tubes de colle contre une pièce de dix dirhams, non pas pour se procurer sa dose, mais pour se venger. Avec un couteau, il lui a donné un coup au niveau de ses côtes. Youssef n’a pas alerté la police et n’est même pas allé à l’hôpital pour se soigner. Le lendemain, quand son protagoniste a appris qu’il était encore en vie, il est retourné chez lui. Il lui a demandé de le pardonner. Youssef qui a cru à ses paroles est sorti du commerce, qui a été aménagé en laiterie, alors qu’il s’agissait en fait d’un lieu pour le commerce de la drogue. Lorsqu’il est arrivé à le saluer, le clochard lui a donné deux coups mortels de couteau avant de s’enfuir. Mais, il a fini par être arrêté juste en face de la Sqalla, sur l’avenue des Almohades.



Par : Abderrafii ALOUMLIKI


c'est ecrit en arabe puis traduit par google ou quoi? c'est super mal ecrit impressionnant en meme tps pour du fait divers il ne faut pas non plus un journaliste de haute voltige mais c'est tres difficile à lire qd meme:(
 
Les rues des chleuhs, de Marrakech, de Sidi Mbarek et de Dar El Miloudi, à Casablanca, ont été, la nuit du jeudi 22 octobre, les scènes de crimes, d’attaques d’un policier et de tirs de coups de feu.


La nuit du mercredi 21 octobre, des trafiquants de drogue demeurant à la rue Dar El Miloudi connue communément par Derb El Gabbas, en ancienne médina, ont attaqué d’autres trafiquants de drogue demeurant à la rue d’El Jadida.
C’était une attaque où les couteaux, les épées, les gourdins et chiens de race pit-bull étaient les maîtres de la scène. Le lendemain, jeudi, vers 19 h, les trafiquants de drogue demeurant à la rue d’El Jadida ont décidé de se venger de leurs protagonistes à Derb El Gabbas.
Après avoir passé à l’acte, ils ont emprunté le chemin, à bord de deux motos, à destination de la rue Sidi Mbarek pour se diriger vers le domicile d’un policier, élément de la brigade touristique à la sûreté de Casablanca-Anfa, situé à la rue Hadj Mbarek. Pourquoi ? Pour l’attaquer chez lui afin de le dissuader de participer aux descentes effectuées par les policiers de la brigade touristique contre les trafiquants de drogue en ancienne médina. Le policier n’y était pas.
Les trafiquants de drogue n’y ont trouvé que sa femme, sa mère et ses deux enfants jumeaux. Ils ont tout cassé à la maison avant l’arrivée du policier qui a été maltraité au point que sa main droite a été fracturée. C’est ainsi que ses collègues de la brigade touristique ont été alertés.
Aussitôt, ils se sont dépêchés sur les lieux pour le soutenir. Malheureusement, les assaillants se sont abstenus de baisser les mains. Ils ont résisté au point qu’ils ont permis à leur chien, un pit-bull, d’attaquer les policiers. C’est pourquoi, un flic a dégainé son revolver et il a tiré trois balles. Une au niveau de sa tête, une deuxième à son dos et une troisième au niveau du cou. Et pourtant, le chien n’est pas tombé. Mais sa force a commencé à s’affaiblir. Et il a fait un demi-tour pour aller directement vers le domicile de son propriétaire, le trafiquant de drogue, Mounir, situé dans une impasse de la rue Marrakech donnant sur le café Tarzan. Ce chien n’est mort que le lendemain, vers 2 h du matin. Et Mounir et trois de ses complices ont été arrêtés avec cinq cents comprimés psychotropes. Au moment où les policiers cherchaient les éléments de la bande qui ont agressé le policier et leur chien, ils ont été informés qu’un trafiquant de drogue venait d’être tué par un clochard, près de la première scène de crime, mais à quelques centaines de mètres, juste à la rue des Chleuhs. Il s’agit de Youssef, fils d’un certain Ouled Îssa, connu en ancienne médina par le trafic, depuis plus d’une trentaine d’années, de boissons alcoolisées, du maâjoune et de la colle à dissolution aux clochards. La rixe entre les deux remonte à deux jours plus tôt, quand le clochard est arrivé pour acheter un tube de colle. En fait, personne ne savait ce qui est arrivé entre les deux. Mais, le mercredi 21 octobre, vers 23 h, le clochard est arrivé une deuxième fois chez Youssef qui servait aux clochards des tubes de colle contre une pièce de dix dirhams, non pas pour se procurer sa dose, mais pour se venger. Avec un couteau, il lui a donné un coup au niveau de ses côtes. Youssef n’a pas alerté la police et n’est même pas allé à l’hôpital pour se soigner. Le lendemain, quand son protagoniste a appris qu’il était encore en vie, il est retourné chez lui. Il lui a demandé de le pardonner. Youssef qui a cru à ses paroles est sorti du commerce, qui a été aménagé en laiterie, alors qu’il s’agissait en fait d’un lieu pour le commerce de la drogue. Lorsqu’il est arrivé à le saluer, le clochard lui a donné deux coups mortels de couteau avant de s’enfuir. Mais, il a fini par être arrêté juste en face de la Sqalla, sur l’avenue des Almohades.



Par : Abderrafii ALOUMLIKI

mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr c'est la que tu vois que les marocains sont pas comme les autres :D

le mec il se fait poignardé il va ni a l'hosto ni a la police c'est un coriace il meurt pas et en plus il faut terminer le taff le lendemain lol
le chien se prend 3 balles dans la tete le cou et le dos et ne meurt que le lendemain

awww sont bizarres ces marocains ***** :D
 
loool :D J'adore l'histoire du clodo qui plante le mec qui n'est pas allé se faire soigner, qui le recroise ds un magasin de stup déguisé en laiterie s'excuse le laisse partir puis le tue au moment de le quitter :D

Et le chien c'est un mutant comme dans resident evil :o
 
il ne manque plus que les guérillas au Maroc, c'est ce qu'on a pas encore importé! Il faut que les policiers y mettent la main avant que ça ne se transforme en guerre de quartiers.
 
mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr c'est la que tu vois que les marocains sont pas comme les autres

le mec il se fait poignardé il va ni a l'hosto ni a la police c'est un coriace il meurt pas et en plus il faut terminer le taff le lendemain lol
le chien se prend 3 balles dans la tete le cou et le dos et ne meurt que le lendemain

awww sont bizarres ces marocains *****

MDR
ouais c'est vrai trop louches c'est d'un comique cette histoire
et le chien je suis pliée de rire c'est le chien de robocop je crois :D

ms il y a eu un mort Allah y rahmou
 
il ne manque plus que les guérillas au Maroc, c'est ce qu'on a pas encore importé! Il faut que les policiers y mettent la main avant que ça ne se transforme en guerre de quartiers.
avec les futurs ghettos qui se construisent ça ne m étonnerait pas que l on voit cela un jour, si comme tu dis les autorités ne fassent pas le necessaire et anticipent
 
je vois pas ce qu il y a de drole .

Les trafiquants s arment et commencent à attaquer les représentants de l ordre comme en colombie , c est très dangereux . Par contre le role du policier agressé me semble assez trouble .
 
Les rues des chleuhs, de Marrakech, de Sidi Mbarek et de Dar El Miloudi, à Casablanca, ont été, la nuit du jeudi 22 octobre, les scènes de crimes, d’attaques d’un policier et de tirs de coups de feu.


La nuit du mercredi 21 octobre, des trafiquants de drogue demeurant à la rue Dar El Miloudi connue communément par Derb El Gabbas, en ancienne médina, ont attaqué d’autres trafiquants de drogue demeurant à la rue d’El Jadida.
C’était une attaque où les couteaux, les épées, les gourdins et chiens de race pit-bull étaient les maîtres de la scène. Le lendemain, jeudi, vers 19 h, les trafiquants de drogue demeurant à la rue d’El Jadida ont décidé de se venger de leurs protagonistes à Derb El Gabbas.
Après avoir passé à l’acte, ils ont emprunté le chemin, à bord de deux motos, à destination de la rue Sidi Mbarek pour se diriger vers le domicile d’un policier, élément de la brigade touristique à la sûreté de Casablanca-Anfa, situé à la rue Hadj Mbarek. Pourquoi ? Pour l’attaquer chez lui afin de le dissuader de participer aux descentes effectuées par les policiers de la brigade touristique contre les trafiquants de drogue en ancienne médina. Le policier n’y était pas.
Les trafiquants de drogue n’y ont trouvé que sa femme, sa mère et ses deux enfants jumeaux. Ils ont tout cassé à la maison avant l’arrivée du policier qui a été maltraité au point que sa main droite a été fracturée. C’est ainsi que ses collègues de la brigade touristique ont été alertés.
Aussitôt, ils se sont dépêchés sur les lieux pour le soutenir. Malheureusement, les assaillants se sont abstenus de baisser les mains. Ils ont résisté au point qu’ils ont permis à leur chien, un pit-bull, d’attaquer les policiers. C’est pourquoi, un flic a dégainé son revolver et il a tiré trois balles. Une au niveau de sa tête, une deuxième à son dos et une troisième au niveau du cou. Et pourtant, le chien n’est pas tombé. Mais sa force a commencé à s’affaiblir. Et il a fait un demi-tour pour aller directement vers le domicile de son propriétaire, le trafiquant de drogue, Mounir, situé dans une impasse de la rue Marrakech donnant sur le café Tarzan. Ce chien n’est mort que le lendemain, vers 2 h du matin. Et Mounir et trois de ses complices ont été arrêtés avec cinq cents comprimés psychotropes. Au moment où les policiers cherchaient les éléments de la bande qui ont agressé le policier et leur chien, ils ont été informés qu’un trafiquant de drogue venait d’être tué par un clochard, près de la première scène de crime, mais à quelques centaines de mètres, juste à la rue des Chleuhs. Il s’agit de Youssef, fils d’un certain Ouled Îssa, connu en ancienne médina par le trafic, depuis plus d’une trentaine d’années, de boissons alcoolisées, du maâjoune et de la colle à dissolution aux clochards. La rixe entre les deux remonte à deux jours plus tôt, quand le clochard est arrivé pour acheter un tube de colle. En fait, personne ne savait ce qui est arrivé entre les deux. Mais, le mercredi 21 octobre, vers 23 h, le clochard est arrivé une deuxième fois chez Youssef qui servait aux clochards des tubes de colle contre une pièce de dix dirhams, non pas pour se procurer sa dose, mais pour se venger. Avec un couteau, il lui a donné un coup au niveau de ses côtes. Youssef n’a pas alerté la police et n’est même pas allé à l’hôpital pour se soigner. Le lendemain, quand son protagoniste a appris qu’il était encore en vie, il est retourné chez lui. Il lui a demandé de le pardonner. Youssef qui a cru à ses paroles est sorti du commerce, qui a été aménagé en laiterie, alors qu’il s’agissait en fait d’un lieu pour le commerce de la drogue. Lorsqu’il est arrivé à le saluer, le clochard lui a donné deux coups mortels de couteau avant de s’enfuir. Mais, il a fini par être arrêté juste en face de la Sqalla, sur l’avenue des Almohades.



Par : Abderrafii ALOUMLIKI

la façon de relater ce faits divers est surréaliste , faut vérifier les pots de colles dans la rédaction de ce journal
 
mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr c'est la que tu vois que les marocains sont pas comme les autres : D

le mec il se fait poignardé il va ni a l'hosto ni a la police c'est un coriace il meurt pas et en plus il faut terminer le taff le lendemain lol
le chien se prend 3 balles dans la tete le cou et le dos et ne meurt que le lendemain

awww sont bizarres ces marocains ***** :D

C'est unique le Maroc pour ça :D
Société du spectacle.
 
C'est unique le Maroc pour ça :D
Société du spectacle.

lol j'ai lu ça déja je me suis dis est ce que le journaliste c'est un marseillais d'origine marocain, le chien qui se mange 3 balles et qui meure pas c'est chaud quand mm :D ou alors c'est vraiment que nous autres marocains sommes vraiment des etres exceptionnels et finalement je crois que j'opte pour la seconde proposition lol

en tout cas ça fait flipper tout ça
 
Les rues des chleuhs, de Marrakech, de Sidi Mbarek et de Dar El Miloudi, à Casablanca, ont été, la nuit du jeudi 22 octobre, les scènes de crimes, d’attaques d’un policier et de tirs de coups de feu.


La nuit du mercredi 21 octobre, des trafiquants de drogue demeurant à la rue Dar El Miloudi connue communément par Derb El Gabbas, en ancienne médina, ont attaqué d’autres trafiquants de drogue demeurant à la rue d’El Jadida.
C’était une attaque où les couteaux, les épées, les gourdins et chiens de race pit-bull étaient les maîtres de la scène. Le lendemain, jeudi, vers 19 h, les trafiquants de drogue demeurant à la rue d’El Jadida ont décidé de se venger de leurs protagonistes à Derb El Gabbas.
Après avoir passé à l’acte, ils ont emprunté le chemin, à bord de deux motos, à destination de la rue Sidi Mbarek pour se diriger vers le domicile d’un policier, élément de la brigade touristique à la sûreté de Casablanca-Anfa, situé à la rue Hadj Mbarek. Pourquoi ? Pour l’attaquer chez lui afin de le dissuader de participer aux descentes effectuées par les policiers de la brigade touristique contre les trafiquants de drogue en ancienne médina. Le policier n’y était pas.
Les trafiquants de drogue n’y ont trouvé que sa femme, sa mère et ses deux enfants jumeaux. Ils ont tout cassé à la maison avant l’arrivée du policier qui a été maltraité au point que sa main droite a été fracturée. C’est ainsi que ses collègues de la brigade touristique ont été alertés.
Aussitôt, ils se sont dépêchés sur les lieux pour le soutenir. Malheureusement, les assaillants se sont abstenus de baisser les mains. Ils ont résisté au point qu’ils ont permis à leur chien, un pit-bull, d’attaquer les policiers. C’est pourquoi, un flic a dégainé son revolver et il a tiré trois balles. Une au niveau de sa tête, une deuxième à son dos et une troisième au niveau du cou. Et pourtant, le chien n’est pas tombé. Mais sa force a commencé à s’affaiblir. Et il a fait un demi-tour pour aller directement vers le domicile de son propriétaire, le trafiquant de drogue, Mounir, situé dans une impasse de la rue Marrakech donnant sur le café Tarzan. Ce chien n’est mort que le lendemain, vers 2 h du matin. Et Mounir et trois de ses complices ont été arrêtés avec cinq cents comprimés psychotropes. Au moment où les policiers cherchaient les éléments de la bande qui ont agressé le policier et leur chien, ils ont été informés qu’un trafiquant de drogue venait d’être tué par un clochard, près de la première scène de crime, mais à quelques centaines de mètres, juste à la rue des Chleuhs. Il s’agit de Youssef, fils d’un certain Ouled Îssa, connu en ancienne médina par le trafic, depuis plus d’une trentaine d’années, de boissons alcoolisées, du maâjoune et de la colle à dissolution aux clochards. La rixe entre les deux remonte à deux jours plus tôt, quand le clochard est arrivé pour acheter un tube de colle. En fait, personne ne savait ce qui est arrivé entre les deux. Mais, le mercredi 21 octobre, vers 23 h, le clochard est arrivé une deuxième fois chez Youssef qui servait aux clochards des tubes de colle contre une pièce de dix dirhams, non pas pour se procurer sa dose, mais pour se venger. Avec un couteau, il lui a donné un coup au niveau de ses côtes. Youssef n’a pas alerté la police et n’est même pas allé à l’hôpital pour se soigner. Le lendemain, quand son protagoniste a appris qu’il était encore en vie, il est retourné chez lui. Il lui a demandé de le pardonner. Youssef qui a cru à ses paroles est sorti du commerce, qui a été aménagé en laiterie, alors qu’il s’agissait en fait d’un lieu pour le commerce de la drogue. Lorsqu’il est arrivé à le saluer, le clochard lui a donné deux coups mortels de couteau avant de s’enfuir. Mais, il a fini par être arrêté juste en face de la Sqalla, sur l’avenue des Almohades.



Par : Abderrafii ALOUMLIKI

Il faut vraiment qu'ils repassent par les bancs de l'école ces journalistes :rolleyes: (pas l'école de journalisme, juste l'école primaire)
 
Ca me fout les boules ça!
Sérieux mais où va t-on ?



Les rues des chleuhs, de Marrakech, de Sidi Mbarek et de Dar El Miloudi, à Casablanca, ont été, la nuit du jeudi 22 octobre, les scènes de crimes, d’attaques d’un policier et de tirs de coups de feu.


La nuit du mercredi 21 octobre, des trafiquants de drogue demeurant à la rue Dar El Miloudi connue communément par Derb El Gabbas, en ancienne médina, ont attaqué d’autres trafiquants de drogue demeurant à la rue d’El Jadida.
C’était une attaque où les couteaux, les épées, les gourdins et chiens de race pit-bull étaient les maîtres de la scène. Le lendemain, jeudi, vers 19 h, les trafiquants de drogue demeurant à la rue d’El Jadida ont décidé de se venger de leurs protagonistes à Derb El Gabbas.
Après avoir passé à l’acte, ils ont emprunté le chemin, à bord de deux motos, à destination de la rue Sidi Mbarek pour se diriger vers le domicile d’un policier, élément de la brigade touristique à la sûreté de Casablanca-Anfa, situé à la rue Hadj Mbarek. Pourquoi ? Pour l’attaquer chez lui afin de le dissuader de participer aux descentes effectuées par les policiers de la brigade touristique contre les trafiquants de drogue en ancienne médina. Le policier n’y était pas.
Les trafiquants de drogue n’y ont trouvé que sa femme, sa mère et ses deux enfants jumeaux. Ils ont tout cassé à la maison avant l’arrivée du policier qui a été maltraité au point que sa main droite a été fracturée. C’est ainsi que ses collègues de la brigade touristique ont été alertés.
Aussitôt, ils se sont dépêchés sur les lieux pour le soutenir. Malheureusement, les assaillants se sont abstenus de baisser les mains. Ils ont résisté au point qu’ils ont permis à leur chien, un pit-bull, d’attaquer les policiers. C’est pourquoi, un flic a dégainé son revolver et il a tiré trois balles. Une au niveau de sa tête, une deuxième à son dos et une troisième au niveau du cou. Et pourtant, le chien n’est pas tombé. Mais sa force a commencé à s’affaiblir. Et il a fait un demi-tour pour aller directement vers le domicile de son propriétaire, le trafiquant de drogue, Mounir, situé dans une impasse de la rue Marrakech donnant sur le café Tarzan. Ce chien n’est mort que le lendemain, vers 2 h du matin. Et Mounir et trois de ses complices ont été arrêtés avec cinq cents comprimés psychotropes. Au moment où les policiers cherchaient les éléments de la bande qui ont agressé le policier et leur chien, ils ont été informés qu’un trafiquant de drogue venait d’être tué par un clochard, près de la première scène de crime, mais à quelques centaines de mètres, juste à la rue des Chleuhs. Il s’agit de Youssef, fils d’un certain Ouled Îssa, connu en ancienne médina par le trafic, depuis plus d’une trentaine d’années, de boissons alcoolisées, du maâjoune et de la colle à dissolution aux clochards. La rixe entre les deux remonte à deux jours plus tôt, quand le clochard est arrivé pour acheter un tube de colle. En fait, personne ne savait ce qui est arrivé entre les deux. Mais, le mercredi 21 octobre, vers 23 h, le clochard est arrivé une deuxième fois chez Youssef qui servait aux clochards des tubes de colle contre une pièce de dix dirhams, non pas pour se procurer sa dose, mais pour se venger. Avec un couteau, il lui a donné un coup au niveau de ses côtes. Youssef n’a pas alerté la police et n’est même pas allé à l’hôpital pour se soigner. Le lendemain, quand son protagoniste a appris qu’il était encore en vie, il est retourné chez lui. Il lui a demandé de le pardonner. Youssef qui a cru à ses paroles est sorti du commerce, qui a été aménagé en laiterie, alors qu’il s’agissait en fait d’un lieu pour le commerce de la drogue. Lorsqu’il est arrivé à le saluer, le clochard lui a donné deux coups mortels de couteau avant de s’enfuir. Mais, il a fini par être arrêté juste en face de la Sqalla, sur l’avenue des Almohades.



Par : Abderrafii ALOUMLIKI
 
Avant les vendeurs ambulants des bidonvilles attachaient leur charette et leur âne à coté de la "beraka", la maintenant avec la potique de relogement dans des logements sociaux le vendeur attache son âne au poteau éléctrique avant de monter dans son appart.

et on entend plus 'le mec il s'est fait poignarder par un weld el kariane' mais plus 'il s'est fait poignarder par un weld doha...'
 
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