Une vision poétique d'Internet

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Inhumain
  • Date de début Date de début
Sous le clair isolé des lucarnes,
Des visages désincarnés,
Regards éteints, Lèvres effacées,
Invoquent sorts, invoquent charmes

Les doigts d'une frénésie continue
Pianotent fugues et hymnes;
Tandis qu'au travers des étendues,
Ames et coeurs clignent
Comme tant de lucioles orphelines
Leurrées par de pâles nuances d'amour
 
Tu devrais faire un blog sur Bladi où rassembler tous tes écris.

Bonsoir.

je n'en ai qu'un, allez : deux ;)
je ne me vois pas réunir ce que j'écris dans un blog : cela réduirait leur champ de diffusion
Je ne cherche pas à ce que l'on réponde ou même discute, je cherche à interpeller.
Ce sont juste des cris noyés dans le brouhaha de bladi, ne t'en fais pas
Merci du conseil LuneSoleil, toutefois ;)
 
je n'en ai qu'un, allez : deux ;)
je ne me vois pas réunir ce que j'écris dans un blog : cela réduirait leur champ de diffusion
Je ne cherche pas à ce que l'on réponde ou même discute, je cherche à interpeller.
Ce sont juste des cris noyés dans le brouhaha de bladi, ne t'en fais pas
Merci du conseil LuneSoleil, toutefois ;)

Non, pas pour discuter, mais pour les retrouver plus facilement à vrai dire.

C'est comme tu veux, tu as beaucoup de talent.

De rien, bonsoir.

EDIT : cela dit, les cris valent plus que le brouhaha...
 
Si je peux me permettre, ni le temps ni l'éloignement n'effacent les sentiments ou les longs moments passés à s'aimer et à avancer vers la même direction.
Notre sort ne nous appartient pas et pourtant, l'on se doit de ne jamais le subir.

Je me souviens d'une guitare et de ces quais de Seine réaménagés en plage l'été.
Je pourrais aussi me souvenir d'un mont et d'un panier..
Tout cela nous appartient,
Qu'importe la voie empruntée par chacun.

En somme, la vie peu nous mettre à rude épreuve et elle l'a fait, mais jamais elle ne nous a dépossédé d'un sentiment..
La preuve se tient sur ces quelques lignes, lues et relues, surement...


Sous le clair isolé des lucarnes,
Des visages désincarnés,
Regards éteints, Lèvres effacées,
Invoquent sorts, invoquent charmes

Les doigts d'une frénésie continue
Pianotent fugues et hymnes;
Tandis qu'au travers des étendues,
Ames et coeurs clignent
Comme tant de lucioles orphelines
Leurrées par de pâles nuances d'amour
 
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