En regardant les infos j'ai decouvert cette therapie waouh .
Vous est-il deja arrivé d'utiliser ce type de therapie?
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Urinothérapie : une panacée difficile à avaler
5 millions d’Allemands boiraient leur urine pour se soigner ! Stress, diabète, boulimie, allergies… rien ne résisterait au traitement. Délire new age ou médecine de demain ? Notre journaliste a enquêté et, donc, porté la coupe à ses lèvres.
Cendrine Barruyer
Ils seraient deux millions au Japon, un million aux Pays-Bas et cinq millions en Allemagne à boire leur urine ou à s’en oindre pour guérir. Autrement dit, à pratiquer l’urinothérapie. L’engouement pour cette technique gagnerait l’Italie et l’Espagne, et bientôt la France…
« J’ai beaucoup hésité avant de le faire. » Comme Maria-Eugenia, la plupart des dégustateurs d’urine l’avouent : le premier pas coûte. Eduqués dans l’idée que nos déjections sont sales, nous répugnons à les consommer. Et, pourtant, nous sommes aussi attirés par elles : boire son urine, c’est briser un tabou. D’où les curieuses appellations qu’on lui donne : eau de vie, nectar divin, tisane délicieuse, eau dorée, don de Dieu, sang blanc, shivambu (nom indien de l’urine) ? Ce divin nectar, donc, serait une panacée. Pour s’en convaincre, il suffit de les quelques ouvrages qui lui sont consacrés, où se succèdent des témoignages de guérison auprès desquels les archives de Lourdes font pâle figure. Dès la première gorgée d’urine, tous auraient senti une force vitale les pénétrer. Sida, cancer, blennorragie, boulimie, sclérose en plaques, diabète, parasitose, etc. : rien ne résisterait au traitement. Pas plus que les maladies dites de société – stress, allergies, infections à répétition…
Comment s’y prendre ? Avec un verre tout simplement. On le remplit d’urine à la source et l’on boit encore tout chaud. En usage externe, toute liberté est donnée : en démaquillant ou en après-rasage sur le visage, en shampooing sur les cheveux…
Pourquoi en arrive-t-on là ? « Je souffrais d’endométriose (une atteinte de la muqueuse utérine), explique Maria-Eugenia, et les traitements hormonaux que je subissais produisaient de nombreux effets secondaires. J’ai tout arrêté. Les symptômes sont revenus, plus violents. Je n’avais plus rien à perdre, alors j’ai suivi les conseils de ma mère et j’ai bu mon urine. » Le résultat a été catastrophique : coliques, acné, chute de cheveux, otites… Maria-Eugenia persiste : « Au bout de deux mois, ça s’est calmé. Maintenant, je vais beaucoup mieux. » Convaincue, elle soigne désormais sa peau avec et encourage ses proches à en faire autant. Avec succès.
L‘urine : pis-aller ou remède miracle ?
http://www.psychologies.com/Bien-et.../Urinotherapie-une-panacee-difficile-a-avaler
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Urinothérapie : une panacée difficile à avaler
5 millions d’Allemands boiraient leur urine pour se soigner ! Stress, diabète, boulimie, allergies… rien ne résisterait au traitement. Délire new age ou médecine de demain ? Notre journaliste a enquêté et, donc, porté la coupe à ses lèvres.
Cendrine Barruyer
Ils seraient deux millions au Japon, un million aux Pays-Bas et cinq millions en Allemagne à boire leur urine ou à s’en oindre pour guérir. Autrement dit, à pratiquer l’urinothérapie. L’engouement pour cette technique gagnerait l’Italie et l’Espagne, et bientôt la France…
« J’ai beaucoup hésité avant de le faire. » Comme Maria-Eugenia, la plupart des dégustateurs d’urine l’avouent : le premier pas coûte. Eduqués dans l’idée que nos déjections sont sales, nous répugnons à les consommer. Et, pourtant, nous sommes aussi attirés par elles : boire son urine, c’est briser un tabou. D’où les curieuses appellations qu’on lui donne : eau de vie, nectar divin, tisane délicieuse, eau dorée, don de Dieu, sang blanc, shivambu (nom indien de l’urine) ? Ce divin nectar, donc, serait une panacée. Pour s’en convaincre, il suffit de les quelques ouvrages qui lui sont consacrés, où se succèdent des témoignages de guérison auprès desquels les archives de Lourdes font pâle figure. Dès la première gorgée d’urine, tous auraient senti une force vitale les pénétrer. Sida, cancer, blennorragie, boulimie, sclérose en plaques, diabète, parasitose, etc. : rien ne résisterait au traitement. Pas plus que les maladies dites de société – stress, allergies, infections à répétition…
Comment s’y prendre ? Avec un verre tout simplement. On le remplit d’urine à la source et l’on boit encore tout chaud. En usage externe, toute liberté est donnée : en démaquillant ou en après-rasage sur le visage, en shampooing sur les cheveux…
Pourquoi en arrive-t-on là ? « Je souffrais d’endométriose (une atteinte de la muqueuse utérine), explique Maria-Eugenia, et les traitements hormonaux que je subissais produisaient de nombreux effets secondaires. J’ai tout arrêté. Les symptômes sont revenus, plus violents. Je n’avais plus rien à perdre, alors j’ai suivi les conseils de ma mère et j’ai bu mon urine. » Le résultat a été catastrophique : coliques, acné, chute de cheveux, otites… Maria-Eugenia persiste : « Au bout de deux mois, ça s’est calmé. Maintenant, je vais beaucoup mieux. » Convaincue, elle soigne désormais sa peau avec et encourage ses proches à en faire autant. Avec succès.
L‘urine : pis-aller ou remède miracle ?
http://www.psychologies.com/Bien-et.../Urinotherapie-une-panacee-difficile-a-avaler