Vaccin dt-polio : un scandale d'etat en france

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Stop stop, pas de panique SVP.
Il y a une solution de remplacement mise en place par l'ANSM;
http://ansm.sante.fr/var/ansm_site/storage/original/application/deaca9a2de8c38333afe463469fbbfa6.pdf
Je ne sais pas de quand date cette vidéo, par contre je connais celui qui parle, il a été un de mes professeurs en 6è année...je préfère ne pas dire ce que je pense de lui.
Salut

Je peux pas ouvrir ton pdf.. Ca parle de quoi?

Que penses tu de cette vidéo? Est elle fausse?

Et ce bonhomme que tu prétend connaitre est-ce quelqu'un de fiable?

Pourquoi mentirait-il?

Ou étiez vous le 18 mai dernier aux alentours de 22h?

Non répond pas à la dernière.
 
désolée auprès de toutes et tous, mais ce n'est qu'une info....viable

(d''un professeur reconnu qui a lancé le 1er le scandale des traitements de la SEP et le cancer
aussi)

vous avez remarqué le prix de vente ?

mam

En pharmacie jai pas fait attention
Oui jai entendu dans la video, je sais plus cimbien mais ya une grosse différence, cest que le chiffre l'argent qui les interessent
 
En pharmacie jai pas fait attention
Oui jai entendu dans la video, je sais plus cimbien mais ya une grosse différence, cest que le chiffre l'argent qui les interessent

bien sûr ! mes babouches volantes :

40 euros maintenant ou bientôt contre à peine 6 euros auparavant

vive les labo médicaux et cette politique d'amis

mam
 
désolée auprès de toutes et tous, mais ce n'est qu'une info....viable

(d''un professeur reconnu qui a lancé le 1er le scandale des traitements de la SEP et le cancer
aussi)

vous avez remarqué le prix de vente ?

mam
Salut toi :mignon:
Perso j'ai rien vu niveau prix vu que je fais faire les vaccins en pmi ( les introuvable comme le bcg ou le dtp eux en ont toujours ) :)
 
Scandale ou problème industriel : ce que l'on sait de la pénurie des vaccins DTP

Une pétition circule sur les réseaux sociaux, depuis le 13 mai, contre un nouveau vaccin imposé pour les enfants de moins de 6 ans


Par Carole Bélingard
Mis à jour le 22/05/2015 | 14:20 , publié le 21/05/2015 | 17:04


Un vrai parcours du combattant. Emilie, une jeune maman habitante des Deux-Sèvres se heurte depuis des semaines à la même situation : les vaccins prescrits par son médecin pour son bébé de deux mois sont introuvables, rapporte la Nouvelle République, le 9 mai. La situation n'est pas propre à ce département. Depuis des mois, tout le territoire français est concerné par une pénurie de vaccins pédiatriques, notamment le DTP contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite - obligatoire -, qui prémunit aussi de la coqueluche.

Face à cette situation, les autorités recommandent aux parents d'avoir recours à un autre vaccin, plus coûteux et qui protège en plus contre l'hépatite B. Mais des voix crient au scandale, voire au complot. A l'initiative du professeur Henri Joyeux, une pétition a été lancée, le 13 mai, à l'attention du ministère de la Santé. Cette pétition circule sur les réseaux sociaux et avait récolté plus de 200 000 signatures, jeudi 21 mai. Francetv info revient sur ce que nous savons de cette pénurie et de ce vaccin proposé aux parents.

Pourquoi y a-t-il pénurie ?
Deux grands laboratoires se partagent le marché de ces vaccins : GlaxoSmithKline (GSK) et Sanofi Pasteur MSD. Les deux multinationales partagent les mêmes explications. "Nous sommes désormais face à un fort accroissement de la demande mondiale concernant la vaccination contre la coqueluche, une augmentation de l'ordre de 50% en un an", affirme Philippe Juvin, pharmacien responsable de Sanofi Pasteur, interrogé par Slate.

Mais comment justifier le manque d'anticipation ? "Certains pays, émergents ou non, ont fait évoluer leur calendrier vaccinal en ajoutant des doses de rappel de vaccins coquelucheux à différents âges de la vie", répond Philippe Juvin. Conséquence : "Les capacités actuelles de production mondiale des différents industriels ne permettent pas de répondre complètement à l'évolution rapide de cette demande", affirme la direction médicale de GSK France à Slate. S'ajoutent à cette pression croissante, "des problèmes d'ajustement de contrôle de qualité", précise Sanofi. Quant à un retour sur le marché de ce vaccin, aucun laboratoire n'est en mesure de donner une date précise. Seule certitude, la pénurie est à prévoir sur toute l'année 2015.

Qu'est-ce qui est proposé aux parents ?
Face à cette situation, un vaccin hexavalent, c'est-à-dire qui protège contre six maladies, est proposé aux parents. Il protège contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, la poliomyélite mais aussi certaines formes de méningite et l'hépatite B.

Ce vaccin "est actuellement disponible et peut être utilisé sans risque pour les enfants. Il répond aux recommandations des autorités françaises", assure le docteur Odile Launay, vice-présidente du Comité technique des vaccinations (CTV) à RTL. Ce vaccin hexavalent est présent dans toutes les pharmacies.

Pourquoi est-il contesté ?
Le vaccin contre l'hépatite B a longtemps été accusé de provoquer des scléroses en plaques, même si l'Organisation mondiale de la santé n'a établi aucun lien entre la vaccination et cette maladie, rappelle Science et avenir. Résultat : 10% des parents rejettent ce vaccin.

Par ailleurs, certains, dont la députée européenne Europe Ecologie-Les Verts Michèle Rivasi, accusent les laboratoires pharmaceutiques de pénurie organisée, le vaccin hexavalent coûtant plus cher. "Les laboratoires s'organisent pour que les parents n'aient plus le choix. (...) Pour la Sécurité sociale, ça coûte beaucoup plus cher car on passe de 6,50 euros le vaccin DTP à plus de 40 euros. Donc à qui profite le crime ? Aux laboratoires pharmaceutiques", s'insurge l'élue.

Que recommandent les autorités ?
Le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) prend acte d'une pénurie des vaccins à prévoir sur l'ensemble de l'année 2015. Or, le HCSP rappelle que le maintien de la vaccination des nourrissons, notamment contre la coqueluche, est "une priorité absolue", car la maladie peut s'avérer mortelle pour les moins de six mois. Par conséquent, le HCSP recommande le recours au vaccin hexavalent, actuellement en stock.

Pour les parents qui ne souhaitent pas que leurs enfants reçoivent le vaccin contre l'hépatite B, le HCSP les réoriente vers les centres de Protection maternelle et infantile (PMI). Certains possèdent encore le vaccin tant convoité. "Un nombre limité de doses de vaccins pentavalents restera disponible. Afin de contrôler l’utilisation de ces doses qui doivent être réservées à des populations prioritaires (dont celles qui refusent le vaccin hépatite B), le HCSP recommande que les vaccins pentavalents ne soient plus disponibles en officine et qu’un circuit soit mis en place (par exemple via les grossistes répartiteurs) pour permettre l’accès au vaccin des populations prioritaires", détaille le Haut conseil de la santé publique.

Scandale ou problème industriel : ce que l'on sait de la pénurie des vaccins DTP

mam
 
<<Les dessous de l'affaire du vaccin DT-Polio gratuit Il existe en effet un kit de deux vaccins, l'un contre la diphtérie et le tétanos (DT-Vax), l'autre contre la polio (Imovax Polio). Ce kit permet théoriquement aux parents qui le souhaitent d'échapper au vaccin hexavalent.

Mais voici les dessous de l'affaire.

Dans les « super-vaccins » comme l'Infanrix Hexa se trouve un vaccin contre la coqueluche.

Ce vaccin n'est absolument pas obligatoire. Surtout, il est totalement contre-indiqué en cas d'antécédents d'allergie, de réactions intenses à d'autres vaccins, d'encéphalopathie évolutive, de fièvre (égale ou supérieur à 40 °C), d'affection chronique et d'affections graves de l'appareil pulmonaire.

Le nourrisson qui serait alors vacciné malgré tout serait exposé à des dangers de mort.

Les labos le savent et, pour éviter les ennuis, ils mettent à disposition un kit combiné DT-Vax + Imovax Polio gratuit pour les nourrissons présentant une contre-indication au vaccin contre la coqueluche.

Gratuit car, évidemment, cette contre-indication, et donc l'accès au kit, ne concerne qu'un nombre très réduit de nourrissons.

Contrairement à ce qui a été raconté un peut partout, ce kit n'est nullement mis à la disposition des parents qui
"ne souhaitent pas vacciner avec des valences non obligatoires pour des raisons de convenance personnelle"
, ainsi qu'il a été faussement rapporté. Vous pouvez consulter ici le document publié à ce sujet par Sanofi-Pasteur MSD, qui précise bien qu'il ne s'agit que des enfants présentant une contre-indication au vaccin anti-coquelucheux.[1]

En outre, la première partie du kit (le DT-Vax) était de toutes façons en rupture de stock depuis janvier 2015.[2] Un vaccin de remplacement a été mis sur le marché depuis le mois de mai 2015, très tardivement.

Enfin, quoi qu'il en soit, l'existence même de ce vaccin de substitution est évidemment ignorée par 99,99 % des parents. Si vous avez eu vous-même un bébé récemment, vous savez comment l'Infanrix Hexa est présenté comme la seule possibilité par le système médical. Et pour l'obtenir, un très lourd dossier doit être rempli, ce que la plupart des médecins, même avec la meilleure volonté du monde, ne peuvent tout simplement pas faire.

Toutefois, cette campagne de dénigrement est évidemment un bon signe. Elle indique que le pouvoir tremble devant cette mobilisation.

« D'abord ils vous ignorent, ensuite ils vous raillent, ensuite ils vous combattent et enfin, vous gagnez », disait Gandhi.

Mais encore faut-il ne pas abandonner le combat en chemin.

Ne laissez pas mourir l'espoir.

Continuez à vous mobiliser.

Pour le retour au plus vite du vaccin DT-Polio sans aluminium, >>


mam
 
Le débat sur les vaccins relancé

Une pétition contre le vaccin DTPolio du Pr Joyeux a enflammé la toile. Selon lui, le vaccin obligatoire serait dangereux à cause de la présence d'aluminium

http://www.francetvinfo.fr/societe/debats/le-debat-sur-les-vaccins-relance_928259.html

La pétition du Pr Joyeux a recueilli près de 500 000 signatures en une semaine sur internet. Il dénonce le retrait du marché en 2008 du vaccin obligatoire, le DTP (diphtérie, tétanos, poliomyélite).

Aujourd'hui, le seul produit disponible regroupe six vaccins. "Il y a des risques incontestables qui ne sont pas liés au DTP, mais qui sont liés en particulier à celui contre l'hépatite B.

Pourquoi voulons-nous vacciner des enfants contre ces trois maladies supplémentaires ?
Tout simplement parce que l'on a créé ce vaccin qui vaut sept fois plus cher en faisant croire aux familles que les enfants en ont besoin", explique au micro de France 3, le professeur Henri Joyeux.

La ministre de la Santé monte au créneau
Des accusations que la ministre de la Santé rejette en bloc. "La vaccination, ça ne se discute pas. Il ne faut pas avoir de doutes par rapport aux vaccins, ce qui n'exclut pas la transparence, la recherche, pour toujours améliorer la qualité de nos vaccins", a justifié Marisol Touraine.

Hasard du calendrier, des malades ont déposé ce vendredi 29 mai des demandes d'indemnisations à l'État.

Ils souffrent de myofasciite à macrophages, une maladie neuromusculaire invalidante, liée à l'aluminium des vaccins.


mam
 
j'ai pas tt compris ....
:desole:

la fabrication du vaccin anti polio a été supprimée
à la place, ils proposent :

UN vaccin qui REGROUPE 6 vaccins
(dont la rougeole, l'hépatite B)

(que tu sois d'accord ou pas)
qui vaut 7 fois + cher

de plus, il y a toujours présence d'aluminium dans les vaccins
(qui peuvent provoquer une sclérose en plaque, ou autre maladie neuromusculaire invalidante)

alors, à ce stade, la question est :
faut il encore vacciner les enfants les ados, (les adultes pour les rappels) ou pas ?

mam
 
la fabrication du vaccin anti polio a été supprimée
à la place, ils proposent :

UN vaccin qui REGROUPE 6 vaccins
(dont la rougeole, l'hépatite B)

(que tu sois d'accord ou pas)
qui vaut 7 fois + cher

de plus, il y a toujours présence d'aluminium dans les vaccins
(qui peuvent provoquer une sclérose en plaque, ou autre maladie neuromusculaire invalidante)

alors, à ce stade, la question est :
faut il encore vacciner les enfants les ados, (les adultes pour les rappels) ou pas ?

mam
Merci pour le résumé ;)
on en reviens tjrs au mm constat
la santé est passé au second plan après l'argent...
le rappel ne peut être fait avec le nouveau vaccin ce serait du surdosage...
pour les nourrissons on doit avoir le choix!!!!
Je dirais non si jetais concerné directement pour mon bb
mais jimagine que 90% des gens ignorent ce qu'on leur impose...
 
la fabrication du vaccin anti polio a été supprimée
à la place, ils proposent :

UN vaccin qui REGROUPE 6 vaccins
(dont la rougeole, l'hépatite B)

(que tu sois d'accord ou pas)
qui vaut 7 fois + cher

de plus, il y a toujours présence d'aluminium dans les vaccins
(qui peuvent provoquer une sclérose en plaque, ou autre maladie neuromusculaire invalidante)

alors, à ce stade, la question est :
faut il encore vacciner les enfants les ados, (les adultes pour les rappels) ou pas ?

mam

Le vaccin étant obligatoire la question est, y a t'il un plan b?
 
de plus, je vous envoie un extrait de la réponse du Professeur Joyeux à ses détracteurs :

<Le DT-Polio obligatoire n’est plus commercialisé en France depuis 2008
Depuis septembre 2014, la situation s’est aggravée avec une pénurie généralisée de vaccins tétravalents (DT-polio-coqueluche) et pentavalents (DT-polio-Haemophilus Influenzae B-coqueluche).

Le seul vaccin contenant le DT-Polio qui ne souffre d’aucune pénurie est le vaccin hexavalent DT-polio-Hib-coqueluche-hépatite B, Infanrix Hexa des laboratoires Glaxosmithkline.

Sur ces points, « le Pr Joyeux a raison », a reconnu le journaliste de Libération. Merci à lui pour cela, au moins

(...) les parents sont donc actuellement
obligés de recourir à l'Infanrix Hexa s'ils veulent protéger leurs enfants contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite, éviter les poursuites pénales prévues par la loi en cas de non-respect de l'obligation vaccinale,
et garantir l'accès de leurs enfants aux collectivités (crèches, garderies, écoles, cantines… dont les enfants n'ayant pas reçu les vaccins obligatoires sont en général exclus).

Logiquement, nous demandons que, puisque le vaccin DT-Polio est obligatoire, il y ait une obligation pour les laboratoires pharmaceutiques de le fournir aux parents.

En cas de défaillance, il serait logique que les autorités de santé interviennent pour empêcher les laboratoires de jouer sur l'obligation vaccinale pour vendre du même coup d'autres vaccins facultatifs,
éventuellement inutiles pour certains, car un vaccin n'est jamais anodin.
Il existe toujours un risque, même s'il est faible, et il peut ne pas être raisonnable de vacciner si le patient n'a pas, ou peu de risques d'être en contact avec la maladie. C'est en particulier le cas de la valence hépatite B, présente dans l'Infanrix Hexa.

Désinformation et sape systématique par tous les médias

Ce à quoi nous n'étions pas préparés, en revanche, c'est que tous les aspects de notre pétition allaient être contestés, y compris en y opposant de pures inventions (je vais y revenir), comme s'il existait une sorte d'urgence de convaincre le public que nous n'aurions écrit que des âneries voire des mensonges.

Ces accusations, initialement formulées sur un simple blog anonyme, ont été reprises telles quelles par nombre de grands sites d'information, de Rue89 jusqu'au site du journal Le Monde, en passant par BFMTV, L’Obs ou encore France TV Info et le Journal de la santé sur France5.

L'écho qui leur a été donné, à notre grande surprise vu leur absence de sérieux, fut si grand, et l'objectivité scientifique tellement absente du propos, que je suis obligé d'y répondre de façon systématique.

Je commencerai par les arguments les plus ahurissants.

1/ Un kit DT-Polio gratuit mais réservé à des cas très rares Le premier argument le plus utilisé pour discréditer notre initiative est que les laboratoires mettraient un kit DT-Polio gratuitement à disposition des personnes qui souhaitent éviter l'Infanrix Hexa. Cela écarterait donc toute possibilité que les laboratoires aient un intérêt quelconque à l'actuelle pénurie. Mieux, cela démontrerait que ces entreprises sont engagées dans une démarche purement désintéressée et philanthropique.

C'est une invention. Ce kit gratuit existe. Mais il est réservé aux rares cas de nourrissons présentant une contre-indication au vaccin anticoquelucheux, présent dans l'Infanrix Hexa, ainsi que l'indique le communiqué de Sanofi-Pasteur MSD indiqué en note [2].

Les contre-indications au vaccin anticoquelucheux sont les antécédents d'allergie, rares chez les bébés nourris au sein, les réactions intenses à d'autres vaccins, impossibles chez les nourrissons n'ayant jamais été vaccinés, l'encéphalopathie évolutive, la fièvre (égale ou supérieur à 40°C), une affection chronique et les affections graves de l'appareil pulmonaire.

En outre, la première partie du kit gratuit, celle qui contient les valences diphtérie et tétanos, a été en rupture de stock depuis le 1er janvier 2015, rupture à laquelle il n'a été remédié qu'au mois de mai, ainsi que l'indique l'Agence du médicament sur son site Internet consultable ici [3].

Prétendre que ce vaccin gratuit ait été librement et largement accessible aux parents ayant une méfiance à l'égard de l'Infanrix Hexa est donc absolument faux.

2/ Oui le vaccin hexavalent peut être dangereux Le second argument le plus repris contre notre initiative pour le retour du vaccin DT-Polio est que les autorités sanitaires affirment que le vaccin hexavalent est sûr, et qu'il n'y a donc aucun danger particulier à le recevoir. Au contraire, les familles et les patients devraient être reconnaissants, puisqu'ils seraient ainsi protégés contre six maladies d’un coup, en une seule piqûre. Et six précautions valent mieux que trois !

Là encore, il s'agit d'une vision simpliste et trompeuse du choix qui s'offre aux patients. Sait-on ce que recouvre, dans le domaine médical, la notion de « sûreté » d'un médicament ou d'un traitement ?

Toute intervention sur le corps humain, et a fortiori toute injection de corps étrangers, comporte un risque. En tant que médecin, c'est la première chose que nous apprenons. Notre serment d'Hippocrate commence par ces mots : « D'abord ne pas nuire » (« Primum non nocere »). Les vaccins sont des médicaments actifs comme les autres. Affirmer qu'ils sont sûrs signifie seulement que, globalement, les risques qu'ils font courir aux patients sont inférieurs aux bienfaits qu'ils peuvent en attendre. Cela ne signifie absolument pas qu'il n'y ait aucun risque.

Les autorités, et c'est leur rôle, se bornent à estimer que, collectivement, la balance bénéfice/risque est en faveur de la vaccination.

Mais on ne peut en déduire qu'en toutes circonstances il soit sûr, d'un point de vue individuel, de se faire vacciner. Chez un individu donné qui n'est pas exposé à une infection et chez qui la vaccination présente un risque, la gestion individuelle du risque doit recommander de ne pas vacciner. C'est pourquoi il peut être logique de vacciner tout le personnel soignant contre l'hépatite B, une maladie qui se transmet par le sang et les fluides corporels – et je le suis moi-même bien sûr, en tant que chirurgien.

En revanche, pour un bébé de deux mois, qui ne pratique pas d'interventions médicales, qui n'est pas toxicomane et qui n'a pas de rapports sexuels ni de contact étroit avec des malades potentiels de l'hépatite B, il n'est pas du tout sûr que les bénéfices de la protection contre une maladie très peu probable justifie de courir les risques du vaccin.

Discuter le risque d’un vaccin, ce n’est pas être anti-vaccin, c’est dire la vérité Affirmer qu'un vaccin est risqué, informer les patients que tout vaccin comporte un risque, ce n'est pas être « antivaccin ». C'est dire la vérité, et les familles et patients ont droit de savoir la vérité sur les médicaments qu'on leur administre.

Vouloir la leur cacher, même partiellement, au nom d'objectifs généraux de santé publique, comme la maximisation de la couverture vaccinale, n'est pas respectueux des Droits de l'Homme, et c'est pourquoi nous nous y opposons.

3/ Les vaccins multivalent sont plus dangereux que les autres Vient le troisième argument, selon lequel les vaccins multivalents, c'est-à-dire qui vaccinent contre plusieurs maladies en une seule injection, ne posent pas plus de problèmes que les autres.

En réalité, le principe de la vaccination consiste à solliciter le système immunitaire avec un agent infectieux affaibli pour provoquer une réponse, afin d'accélérer cette réponse la prochaine fois qu'il sera confronté avec cet agent infectieux. Notre système immunitaire est configuré pour faire face à plusieurs infections mineures, et une ou deux attaques majeures.

Le vaccin hexavalent consiste à demander à l’organisme d’un bébé de 2 mois de faire face à 6 infections majeures simultanées, et donc chez un nourrisson dont le système immunitaire est encore immature (il dépend fortement de celui de la mère, via l'allaitement qui reste idéal pour l’enfant).

Le système immunitaire est une mécanique très délicate. Son emballement est au moins aussi dangereux que son insuffisance. La surréaction du système immunitaire peut produire une « tempête de cytokines » créant des maladies auto-immunes graves.

Que sait-on de la réponse immune lorsqu'il y a 6 valences d'antigènes dans un vaccin ? Pas grand chose à long terme, tout simplement parce que cette pratique de multiplier les valences n'est pas assez ancienne pour que l'on ait aujourd'hui le recul suffisant. Et dans la mesure où l’on ne prend pas en compte le groupe HLA des personnes avant de les vacciner, il est impossible de prédire les risques sanitaires à long terme.

De la même façon, il a été dit et répété dans les attaques contre notre pétition que les adjuvants présents dans le vaccin hexavalent ne sont pas dangereux. Pourtant, pour mémoire, les adjuvants servent à créer une réponse inflammatoire, afin de mieux « marquer » le système immunitaire. Ils fonctionnent forcément en agressant le corps, sans quoi celui-ci ne chercherait pas à se défendre. Ce sont par définition des produits agressifs.

On nous dit, pour nous tranquilliser, que les adjuvants à base de mercure et d'aluminium, des neurotoxiques, ou de formaldéhyde, un cancérogène certain, ne sont pas dangereux parce que les doses sont trop faibles, jusqu'à 10 000 fois inférieures à la dose létale pour l'adulte.

Des poisons injectés, non pas à des adultes, mais à des nourrissons, directement dans le sang Mais il faut considérer le fait que les adjuvants sont administrés non à des adultes mais à des nourrissons. Qu'ils ne passent pas par le système digestif, et donc pas par le filtre du foie, mais qu'ils sont injectés directement dans le sang. Que ce que l'on redoute n'est pas l'empoisonnement immédiat du bébé, mais les conséquences à long terme, la myofasciite à macrophages ou, nettement plus tard, telle ou telle maladie neurodégénérative, telle la sclérose en plaque (SEC), comme cela a été prouvé après la campagne de vaccination contre l’hépatite B au collège à la fin des années 90.

Pour toutes ces raisons, nous réfutons toute accusation d'approximation, de « dérapage verbal », et plus encore de « complotisme » et de « charlatanisme ». Notre appel à pétition est justifié, pour ne pas dire urgent, par un impératif de santé publique. L'opposition bête et méchante, parfois même de mauvaise foi, que nous rencontrons nous conforte dans l'impression que, si nous ne bougions pas, personne ne le ferait.

Continuons notre mobilisation C'est chose faite aujourd'hui. Le débat est enfin lancé. Puissent les autorités de santé entendre la voix des 500 000 citoyens et professionnels de santé qui ont déjà signé notre pétition, et de tous ceux qui se joindront à eux prochainement.

Et n’hésitez pas à diffuser largement autour de vous cet argumentaire qui répond à des attaques infondées

mam
 
réponse à Marisol Touraine, Ministre de la SANTE

<<
Madame la Ministre, pourquoi tant de violence ? »

Chers amis,

Jusqu'ici, nous avions décidé de ne pas diffuser le document ci-dessous, que nous jugions trop compromettant pour Marisol Touraine, actuelle Ministre de la Santé.

Dans cette lettre, elle s'engageait par écrit à mettre des vaccins sans aluminium à disposition des familles, en cas de victoire électorale, ce qu'elle refuse aujourd'hui de faire.

Voici donc ce qu'elle écrivait pendant sa campagne (voir ci-dessous le scan de la lettre originale signée de sa main) :

"De nombreuses études ont ainsi alerté sur le possible potentiel cancérigène et perturbateur endocrinien des sels d'aluminium (...). Il faut donner les meilleures assurances de sécurité pour effectuer les vaccinations obligatoires dans l'intérêt de la santé de notre population. La nature des adjuvants utilisés dans leur fabrication doit faire l'objet d'une attention particulière et doit être communiquée aux familles afin qu'elles soient pleinement informées. Elles doivent également avoir le choix de faire procéder aux vaccinations obligatoires par des vaccins sans sel d'aluminium, d'autant plus que cela était le cas jusqu'en 2008." (c'est nous qui soulignons)



Cela partait donc d'une bonne intention. Mais une fois gagnées les élections, Marisol Touraine a manifestement « oublié » sa promesse.

Bien sûr, nous ne pouvions pas le lui reprocher.

En effet, cette lettre date de 2012. Marisol Touraine n'était encore que simple députée. Elle faisait la campagne électorale du candidat François Hollande. Et comme dit le célèbre dicton : « les promesses des politiques n'engagent que ceux qui les croient ».

Toutefois, autant nous sommes obligés d'admettre le cynisme d'une personne qui cherche à gagner des élections, autant il ne nous paraît pas acceptable que, devenue Ministre de la Santé, Marisol Touraine attaque le Pr Henri Joyeux dans des termes d'une rare violence, l'accusant de manquer à ses obligations de médecin, d'être « rétrograde » et dangereux, alors qu'elle a elle-même écrit il y a si peu de temps que, oui, les vaccins à l'aluminium posent problème.

Rappelons que :


le vaccin DT-Polio est obligatoire mais il n'est plus disponible en France depuis 2008 ; est-ce normal ?
les bébés sont vaccinés avec l'Infanrix hexa, qui vaccine en plus contre 3 autres maladies non-obligatoires, parmi lesquelles l'hépatite B ; très controversée
l'Infanrix Hexa contient de l'aluminium, ce qui n'était pas le cas du vaccin DT-Polio Meirieux ; est-ce raisonnable ?
l'Infanrix Hexa coûte 39,10 euros, contre 6,10 euros pour le DT-Polio sans aluminium, soit près de 7 fois plus cher ; n'y a-t-il pas là comme un abus, sachant que le vaccin est obligatoire et donc l'achat, lui aussi, obligatoire ?

jusqu'au lancement de notre campagne, les laboratoires pharmaceutiques annonçaient que la pénurie était durable, peut-être même définitive !!

Dans ces conditions, comment une ministre qui s'est elle même engagée par écrit à rendre disponibles les vaccins sans aluminium peut-elle attaquer avec tant de violence une initiative qui demande précisément cela ??

Comment peut-elle déclarer sur TF1 que « la vaccination, ça ne se discute pas », alors qu'elle en connaît parfaitement les limites et les dangers dans les conditions actuelles ?

Et enfin, puisque seul le DT-Polio est obligatoire,

pourquoi tient-elle absolument à ce que les enfants continuent à tous se faire vacciner à l'Infanrix Hexa, sans laisser le choix aux parents ???

Sommes-nous en dictature ?

Institut Pour la Protection de la Santé Naturelle

mam
 
Dernière édition:
Du Docteur Jacques Michel Lacroix :

Avertir des risques (sans nier le rapport bénéfice/risque qui, dans la grande majorité des cas, est favorable au vaccin), ce n’est pas, Madame le Ministre, inquiéter ou faire peur, c’est simplement assumer les obligations de sa fonction.

En France seuls trois vaccins sont obligatoires : ceux contre le tétanos, la diphtérie, et la poliomyélite. Depuis quelques années il n’est plus possible de trouver un vaccin répondant uniquement à cette obligation. Ils sont tous associés à d’autres vaccins tels que ceux contre la coqueluche, ou l’Haemophilus influenzae.

Ce « mélange » permet d’éviter de multiplier les injections et d’avoir en une seule piqûre une protection étendue à plusieurs maladies.

Tout serait pour le mieux dans le meilleur des mondes s’il ne contenait pas des sels d’aluminium responsables, selon certains, de divers effets pathogènes, dont la myofasciite à macrophages liée à la persistance de sels d’aluminium au point d’injection, entraînant des douleurs et parfois des troubles plus généraux neurodégénératifs.

Le lien entre ces adjuvants vaccinaux aluminiques et ces troubles pathologiques n’a pas encore été établi de manière formelle, mais est l’objet d’une étude conduite par une équipe de l’INSERM et l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), dont les résultats sont attendus pour 2016.

Il était donc normal que les médecins s’en émeuvent et, dans l’attente des résultats de l’enquête, réclament la mise sur le marché de vaccins ne contenant pas de sels d’aluminium (ce qui est parfaitement possible, mais sans doute moins rentable), au moins pour les trois vaccins obligatoires, afin de pouvoir, sans risque connu, satisfaire aux obligations légales en matière de vaccination.

Lire aussi : Marisol Touraine et le vin de France, ou l’hygiénisme (in)sécuritaire

Cette demande a fait l’objet d’une pétition soutenue par le professeur Joyeux.

Pétition qui a recueilli à l’heure actuelle plus de 540.000 signatures et provoqué l’ire de notre ministre de la santé madame Touraine, qui s’est crue autorisée, à cette occasion, à affirmer que « la responsabilité d’un médecin, c’est de rassurer, d’expliquer et non pas d’inquiéter et de faire peur » (Le Quotidien du médecin du 01/06/2015).

Le ministre oublie simplement qu’avant d’avoir à obéir aux directives des technocrates ministériels, les médecins sont tenus, par respect de leur déontologie, d’informer en toute objectivité leur malade.

Avertir des risques (sans nier le rapport bénéfice/risque qui, dans la grande majorité des cas, est favorable au vaccin), ce n’est pas, Madame le Ministre, inquiéter ou faire peur, c’est simplement assumer les obligations de sa fonction.

Mais peut-être est-ce trop demander au membre d’un gouvernement qui n’a de cesse de nous apprendre à « bien » penser face à des situations qu’à défaut de résoudre il nous oblige à accepter.

Dans ces conditions, on peut comprendre qu’il y a quelques jours, le professeur Joyeux ait déclaré sur RTL : « Marisol Touraine ne connaît rien à la santé. »

Dr. Jacques Michel Lacroix

mam
 
Moi je suis complètement perdu
J ai demandé à mon pédiatre uniquement les vaccins obligatoire il M a prescrit pour mon fils il M a donc prescrit ces poison.....
Il a été vacciné à 4 mois et 7 mois il devait être vacciné à 11 mois pour le rappel mais je ne l ai toujours pas emmener. Je sais pas quoi faire
 
Du Docteur Jacques Michel Lacroix :

Avertir des risques (sans nier le rapport bénéfice/risque qui, dans la grande majorité des cas, est favorable au vaccin), ce n’est pas, Madame le Ministre, inquiéter ou faire peur, c’est simplement assumer les obligations de sa fonction.

En France seuls trois vaccins sont obligatoires : ceux contre le tétanos, la diphtérie, et la poliomyélite. Depuis quelques années il n’est plus possible de trouver un vaccin répondant uniquement à cette obligation. Ils sont tous associés à d’autres vaccins tels que ceux contre la coqueluche, ou l’Haemophilus influenzae.

Ce « mélange » permet d’éviter de multiplier les injections et d’avoir en une seule piqûre une protection étendue à plusieurs maladies.

Tout serait pour le mieux dans le meilleur des mondes s’il ne contenait pas des sels d’aluminium responsables, selon certains, de divers effets pathogènes, dont la myofasciite à macrophages liée à la persistance de sels d’aluminium au point d’injection, entraînant des douleurs et parfois des troubles plus généraux neurodégénératifs.

Le lien entre ces adjuvants vaccinaux aluminiques et ces troubles pathologiques n’a pas encore été établi de manière formelle, mais est l’objet d’une étude conduite par une équipe de l’INSERM et l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), dont les résultats sont attendus pour 2016.

Il était donc normal que les médecins s’en émeuvent et, dans l’attente des résultats de l’enquête, réclament la mise sur le marché de vaccins ne contenant pas de sels d’aluminium (ce qui est parfaitement possible, mais sans doute moins rentable), au moins pour les trois vaccins obligatoires, afin de pouvoir, sans risque connu, satisfaire aux obligations légales en matière de vaccination.

Lire aussi : Marisol Touraine et le vin de France, ou l’hygiénisme (in)sécuritaire

Cette demande a fait l’objet d’une pétition soutenue par le professeur Joyeux.

Pétition qui a recueilli à l’heure actuelle plus de 540.000 signatures et provoqué l’ire de notre ministre de la santé madame Touraine, qui s’est crue autorisée, à cette occasion, à affirmer que « la responsabilité d’un médecin, c’est de rassurer, d’expliquer et non pas d’inquiéter et de faire peur » (Le Quotidien du médecin du 01/06/2015).

Le ministre oublie simplement qu’avant d’avoir à obéir aux directives des technocrates ministériels, les médecins sont tenus, par respect de leur déontologie, d’informer en toute objectivité leur malade.

Avertir des risques (sans nier le rapport bénéfice/risque qui, dans la grande majorité des cas, est favorable au vaccin), ce n’est pas, Madame le Ministre, inquiéter ou faire peur, c’est simplement assumer les obligations de sa fonction.

Mais peut-être est-ce trop demander au membre d’un gouvernement qui n’a de cesse de nous apprendre à « bien » penser face à des situations qu’à défaut de résoudre il nous oblige à accepter.

Dans ces conditions, on peut comprendre qu’il y a quelques jours, le professeur Joyeux ait déclaré sur RTL : « Marisol Touraine ne connaît rien à la santé. »

Dr. Jacques Michel Lacroix

mam
Mon bibou a eu inaptes un vaccin (le bcbg si je me souviens bien) une plaie pas d'autre mot durant des mois des mois!!
C'était purement infecté malgré mes soins et il en garde une trace un creux ds le bras...
j'ai choisit de refuser le vaccin anti hepatite b
le papilloma
et ds la mesure du possible plus rien de non obligatoire
c'est un choix
et j'irai qd mm chez le médecin si besoin...
 
Moi je suis complètement perdu
J ai demandé à mon pédiatre uniquement les vaccins obligatoire il M a prescrit pour mon fils il M a donc prescrit ces poison.....
Il a été vacciné à 4 mois et 7 mois il devait être vacciné à 11 mois pour le rappel mais je ne l ai toujours pas emmener. Je sais pas quoi faire

attendre la réponse de Marisol TOURAINE
on est en plein dedans
un scandale

<<des troubles plus généraux neurodégénératifs.>>

ma fille de 30 ans a une sclérose en plaques diagnostiquée depuis 4 ans
probablement à cause d'un vaccin !!!!!

mam
 
Mon bibou a eu inaptes un vaccin (le bcbg si je me souviens bien) une plaie pas d'autre mot durant des mois des mois!!
C'était purement infecté malgré mes soins et il en garde une trace un creux ds le bras...
j'ai choisit de refuser le vaccin anti hepatite b
le papilloma
et ds la mesure du possible plus rien de non obligatoire
c'est un choix
et j'irai qd mm chez le médecin si besoin...

le vrai BCBG se fait au pied, par principe depuis longtemps

<'ai choisit de refuser le vaccin anti hepatite b>

tu as raison, c'est celui le + mis en cause dans la sclérose en plaques

mam
 
Ma niece vient de se faire vacciner hier infantix et prévenar il l a piqué 3 fois meskina elle a passé sa journée à pleurer le dos enflé (son médecin l a piqué dans le dos)
J ai vraiment pas envie de la faire à mon fils
 
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