02 Février 2010.
VERS UN NOUVEL 11 SEPTEMBRE ?
Voici le communiqué du Parti Anti Sioniste daté du 1er Février 2010 qui revient sur les dessous du 11 septembre. On trompe lopinion publique en cachant les vrais commanditaires de cet attentat qui a mystérieusement abouti à linvasion de pays stratégiquement importants pour lempire USraël ! Et la politique dObama ne va hélas pas dans le sens dun renouveau de politique internationale.
Je vous envoie le premier vollet de cet article. Le second suit (le texte est trop long!).
Grande-Synthe,
Le 1er février 2010.
Allons-nous vers un nouvel 11 septembre ? (1ère partie)
Quelle que soit lopinion que lon se fait sur les attentats du 11 septembre 2001 (version officielle ou attentat organisé par la CIA ou le Mossad israélien), des faits incontestables découlent de ce fameux 11 septembre.
La seule grande puissance dominante après la désintégration de lUnion Soviétique (USA) sest donnée à elle-même un chèque en blanc, un quitus moral et politique lui permettant dintervenir partout, quand elle le souhaite et par tous les moyens, au nom de la lutte contre le terrorisme.
Ce concept « le terrorisme » dit international est assez flou pour pouvoir être appliqué à nimporte qui. Il a été défini au départ par laxe américano-sioniste pour désigner à lépoque « lislamisme » par opposition à lIslam « modéré », cest-à-dire, lIslam des pays déjà sous la coupe américano-sioniste (pays du Golf, Égypte, Maghreb, Pakistan, etc..). Ces pays ont eu pour fonction de servir de bases et dalliés aux États-Unis et de jouer également le rôle des «bons musulmans de service ». Cet appel à la croisade contre le terrorisme a été adressé également aux anciens ennemis des USA (Russie et Chine) afin de les embrigader sous la bannière américano-sioniste.
Le premier objectif nommément désigné a été lAfghanistan refuge des Talibans et de linsaisissable Ben Laden. Linvasion et loccupation de ce pays ont donc été décidées et menées à terme avec la complicité du gouvernement pakistanais, entraînant ce pays à son tour dans une guerre tantôt ouverte tantôt larvée.
A cet ennemi fantomatique et insaisissable quest Al Qaida, les États-Unis et Israël en ont ajouté un autre lIrak, un État souverain, un État sous embargo, totalement affaibli depuis la guerre du Golf. Lagression contre lIrak a voulu être présentée comme une croisade du bien contre le mal afin dobtenir la caution des Nations-Unies (cette « respectabilité » que les puissants appellent le « droit international »). Cette fois-ci le montage mis en place par tout lappareil propagandiste américano-sioniste sest heurté à lincrédulité dune partie importante de lopinion (les fameuses armes de destructions massives de Saddam Hussein narrivaient pas à convaincre) et surtout au refus de la Russie, de la Chine et de la France : membres du Conseil de Sécurité avec droit de veto.
La Russie et la Chine ne pouvant pas ou ne souhaitant pas apparaître au premier plan, ce fut à la France de Jacques Chirac et de De Villepin, dans la meilleure tradition gaulliste, que revint la mission d« accrocher » le veto. Les États-Unis et leurs alliés ont été ainsi obligés dagresser lIrak sans la caution de lONU (ce « machin » comme disait le Général De Gaulle).
Le Président, M. Yahia Gouasmi
1, impasse Jean-Baptiste Lebas 59760 Grande-Synthe Tel : 03 28 64 54 02 Fax : 03 28 25 26 78 Courriel : contact@partiantisioniste.com Site Web : www.partiantisioniste.com
VERS UN NOUVEL 11 SEPTEMBRE ?
Voici le communiqué du Parti Anti Sioniste daté du 1er Février 2010 qui revient sur les dessous du 11 septembre. On trompe lopinion publique en cachant les vrais commanditaires de cet attentat qui a mystérieusement abouti à linvasion de pays stratégiquement importants pour lempire USraël ! Et la politique dObama ne va hélas pas dans le sens dun renouveau de politique internationale.
Je vous envoie le premier vollet de cet article. Le second suit (le texte est trop long!).
Grande-Synthe,
Le 1er février 2010.
Allons-nous vers un nouvel 11 septembre ? (1ère partie)
Quelle que soit lopinion que lon se fait sur les attentats du 11 septembre 2001 (version officielle ou attentat organisé par la CIA ou le Mossad israélien), des faits incontestables découlent de ce fameux 11 septembre.
La seule grande puissance dominante après la désintégration de lUnion Soviétique (USA) sest donnée à elle-même un chèque en blanc, un quitus moral et politique lui permettant dintervenir partout, quand elle le souhaite et par tous les moyens, au nom de la lutte contre le terrorisme.
Ce concept « le terrorisme » dit international est assez flou pour pouvoir être appliqué à nimporte qui. Il a été défini au départ par laxe américano-sioniste pour désigner à lépoque « lislamisme » par opposition à lIslam « modéré », cest-à-dire, lIslam des pays déjà sous la coupe américano-sioniste (pays du Golf, Égypte, Maghreb, Pakistan, etc..). Ces pays ont eu pour fonction de servir de bases et dalliés aux États-Unis et de jouer également le rôle des «bons musulmans de service ». Cet appel à la croisade contre le terrorisme a été adressé également aux anciens ennemis des USA (Russie et Chine) afin de les embrigader sous la bannière américano-sioniste.
Le premier objectif nommément désigné a été lAfghanistan refuge des Talibans et de linsaisissable Ben Laden. Linvasion et loccupation de ce pays ont donc été décidées et menées à terme avec la complicité du gouvernement pakistanais, entraînant ce pays à son tour dans une guerre tantôt ouverte tantôt larvée.
A cet ennemi fantomatique et insaisissable quest Al Qaida, les États-Unis et Israël en ont ajouté un autre lIrak, un État souverain, un État sous embargo, totalement affaibli depuis la guerre du Golf. Lagression contre lIrak a voulu être présentée comme une croisade du bien contre le mal afin dobtenir la caution des Nations-Unies (cette « respectabilité » que les puissants appellent le « droit international »). Cette fois-ci le montage mis en place par tout lappareil propagandiste américano-sioniste sest heurté à lincrédulité dune partie importante de lopinion (les fameuses armes de destructions massives de Saddam Hussein narrivaient pas à convaincre) et surtout au refus de la Russie, de la Chine et de la France : membres du Conseil de Sécurité avec droit de veto.
La Russie et la Chine ne pouvant pas ou ne souhaitant pas apparaître au premier plan, ce fut à la France de Jacques Chirac et de De Villepin, dans la meilleure tradition gaulliste, que revint la mission d« accrocher » le veto. Les États-Unis et leurs alliés ont été ainsi obligés dagresser lIrak sans la caution de lONU (ce « machin » comme disait le Général De Gaulle).
Le Président, M. Yahia Gouasmi
1, impasse Jean-Baptiste Lebas 59760 Grande-Synthe Tel : 03 28 64 54 02 Fax : 03 28 25 26 78 Courriel : contact@partiantisioniste.com Site Web : www.partiantisioniste.com