Les faits se seraient déroulés chez l'enseignant, chez la victime, dans des vestiaires et même dans la salle des professeurs.
La cour d'assises des Yvelines a condamné un enseignant du collège de Villepreux à dix ans de prison pour avoir violé à plusieurs reprises l'une de ses élèves, rapporte le quotidien régional L'Indépendant. La jeune fille était âgée de 14 ans au début des faits, qui remontent à 2001 et ont continué pendant les trois années suivantes.D'après la victime, aujourd'hui âgée de 30 ans, "les faits se seraient déroulés une première fois au domicile de l'enseignant, à l'issue d'un entraînement de rugby, puis à plusieurs autres reprises dans les vestiaires du collège [...], dans la salle des professeurs et chez la jeune fille, en l'absence de ses parents," explique L'Indépendant.
La collégienne qu'elle était idolâtrait l'enseignant et était "sous son emprise", affirme la victime. Lui reconnaît les rapports sexuels, mais assure qu'ils étaient le fruit d'un consentement mutuel et qu'ils ont commencé lorsque la victime avait 15 ans, l'âge de la majorité sexuelle en France. Sauf que d'après le planning familial, ce principe, qui autorise un adulte à avoir des relations sexuelles avec un mineur consentant de 15 ans et plus, ne s'applique pas "s'il est amené à s'occuper de lui/elle (beau parent, professeur, moniteur sportif, animateur....)". 10/11/2016
La cour d'assises des Yvelines a condamné un enseignant du collège de Villepreux à dix ans de prison pour avoir violé à plusieurs reprises l'une de ses élèves, rapporte le quotidien régional L'Indépendant. La jeune fille était âgée de 14 ans au début des faits, qui remontent à 2001 et ont continué pendant les trois années suivantes.D'après la victime, aujourd'hui âgée de 30 ans, "les faits se seraient déroulés une première fois au domicile de l'enseignant, à l'issue d'un entraînement de rugby, puis à plusieurs autres reprises dans les vestiaires du collège [...], dans la salle des professeurs et chez la jeune fille, en l'absence de ses parents," explique L'Indépendant.
La collégienne qu'elle était idolâtrait l'enseignant et était "sous son emprise", affirme la victime. Lui reconnaît les rapports sexuels, mais assure qu'ils étaient le fruit d'un consentement mutuel et qu'ils ont commencé lorsque la victime avait 15 ans, l'âge de la majorité sexuelle en France. Sauf que d'après le planning familial, ce principe, qui autorise un adulte à avoir des relations sexuelles avec un mineur consentant de 15 ans et plus, ne s'applique pas "s'il est amené à s'occuper de lui/elle (beau parent, professeur, moniteur sportif, animateur....)". 10/11/2016