WellahCvrais
A tout jamais
RCK-NAHD : Cétait la guerre !
l nétait pas bon de saventurer hier matin du côté du Champ de Manuvre (actuel 1er-Mai) où une véritable bataille rangée avait éclaté entre supporters husseindéens et koubéens. La violence était à la mesure des machettes et autres objets contendants dont les émeutiers -cest le mot qui y sied- se sont servis pour en découdre dans cette bataille rangée. Imaginez un peu la scène. Deux groupes chauffés à bloc, armés de barres de fer, de machettes et autres couteaux grands et petits qui sentre-tuent sans rémission juste pour une histoire dantécédent fait sur la base du simple fait que le NAHD avait, par le passé, trop respecté léthique en entérinant la descente du RCK au cours dun match capital. Rien que ça ! Il faudrait vraiment être fêlé au-delà du sens compris du mot pour quen on vienne aux machettes pour un match qui navait pas encore eu lieu. A 10h, hier, la rue attenante à la Maison de la presse Tahar Djaout a été mise sens dessus dessous. Séparés par les forces anti-émeutes, la foule sen est prise aux voitures de particuliers qui ont eu la malchance de les stationner par là. Pathétique !
On compterait au moins un mort
La bêtise humaine a pris donc le pas sur la conscience hier. Les heurts qui ont éclaté entre supporters husseindéens et koubéens étaient dune rare violence. Bilan : on compterait au moins un mort, assurent des témoins oculaires. A lheure où nous mettons sous presse, les forces de lordre nont ni confirmé ni infirmé linformation, mais au regard de la violence des heurts et la nature des armes utilisés, il y a de quoi sen convaincre.
Fallait-il annuler le match ?
Une question sest posée dans la foulée de ce qui sétait passé : Fallait-il annuler le match ? Il y a de quoi se demander sil était opportun que les autorités procèdent au report du match et ou à défaut, décréter le huis clos lorsquon sait que la situation pouvait dégénérer à tout moment. Sil fallait arracher le président de la LNF à son sommeil et le confronter à la réalité, si besoin est, pourquoi ne la-t-on pas fait, étant donné que des vies humaines étaient en jeu. On a, à défaut, pris la responsabilité de faire jouer le match. Le dispositif sécuritaire dépêché au stade Benhaddad était impressionnant. Ça a fait rappeler à certains un triste RCK-USMH dil y a trois ans. Cinglant !
http://www.lebuteur.com/foot-en-vrac/actualites/rck-nahd-cetait-la-guerre
YouTube - ‪RCK - NAHD 20-05-2011 Ø£Ùصار اÙÙصرÙØ© ÙعÙØ«ÙÙ Ùسادا ÙÙ Ø´Ùارع اÙÙبة‬‏
l nétait pas bon de saventurer hier matin du côté du Champ de Manuvre (actuel 1er-Mai) où une véritable bataille rangée avait éclaté entre supporters husseindéens et koubéens. La violence était à la mesure des machettes et autres objets contendants dont les émeutiers -cest le mot qui y sied- se sont servis pour en découdre dans cette bataille rangée. Imaginez un peu la scène. Deux groupes chauffés à bloc, armés de barres de fer, de machettes et autres couteaux grands et petits qui sentre-tuent sans rémission juste pour une histoire dantécédent fait sur la base du simple fait que le NAHD avait, par le passé, trop respecté léthique en entérinant la descente du RCK au cours dun match capital. Rien que ça ! Il faudrait vraiment être fêlé au-delà du sens compris du mot pour quen on vienne aux machettes pour un match qui navait pas encore eu lieu. A 10h, hier, la rue attenante à la Maison de la presse Tahar Djaout a été mise sens dessus dessous. Séparés par les forces anti-émeutes, la foule sen est prise aux voitures de particuliers qui ont eu la malchance de les stationner par là. Pathétique !
On compterait au moins un mort
La bêtise humaine a pris donc le pas sur la conscience hier. Les heurts qui ont éclaté entre supporters husseindéens et koubéens étaient dune rare violence. Bilan : on compterait au moins un mort, assurent des témoins oculaires. A lheure où nous mettons sous presse, les forces de lordre nont ni confirmé ni infirmé linformation, mais au regard de la violence des heurts et la nature des armes utilisés, il y a de quoi sen convaincre.
Fallait-il annuler le match ?
Une question sest posée dans la foulée de ce qui sétait passé : Fallait-il annuler le match ? Il y a de quoi se demander sil était opportun que les autorités procèdent au report du match et ou à défaut, décréter le huis clos lorsquon sait que la situation pouvait dégénérer à tout moment. Sil fallait arracher le président de la LNF à son sommeil et le confronter à la réalité, si besoin est, pourquoi ne la-t-on pas fait, étant donné que des vies humaines étaient en jeu. On a, à défaut, pris la responsabilité de faire jouer le match. Le dispositif sécuritaire dépêché au stade Benhaddad était impressionnant. Ça a fait rappeler à certains un triste RCK-USMH dil y a trois ans. Cinglant !
http://www.lebuteur.com/foot-en-vrac/actualites/rck-nahd-cetait-la-guerre
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