Viols sur mineurs : les mensonges de Bayrou pour défendre une institution catholique

"Beaucoup d'attouchements sexuels sur des enfants de 8 à 13 ans", "Masturbés de force, violés par des surveillants ou des prêtres" : Alors qu'il affirmait n'être au courant de rien, François Bayrou aurait MENTI pour défendre un établissement privé catholique près de Pau où des prêtres et des surveillants sont accusés de violences physiques, d'agressions sexuelles, de viols et de pédocriminalité commises entre les années 1950 et 2010 (une centaine de plaintes).

Malgré le scandale, le Premier ministre, qui y a scolarisé ses enfants et où son épouse a aussi enseigné le catéchisme, affirme qu'il ignorait tout : "Je n'avais jamais entendu parler". Cependant plusieurs documents et témoignages recueillis par Mediapart semblent prouver le contraire... Il a même rencontré le juge saisi d'une affaire de violences sexuelles en 1998. Des parents d'élèves disent aussi l'avoir alerté à plusieurs reprises. En 1996, il s'était rendu, en tant que ministre de l'Éducation, dans les locaux de Betharram pour soutenir l'établissement à la suite de la plainte d'un parent d'élève. Une enseignante de mathématiques a révélé avoir directement alerté le Premier ministre à l'époque et "a minimisé en disant que j'exagérais sans doute un peu. Je sais que l'infirmière de l'école lui a aussi écrit des courriers."

En 1998, le père Carricart est mis en examen et accusé d'avoir violé un enfant de l'établissement. Le juge d'instruction que François Bayrou connaît bien, est saisi du dossier et décide de placer le père Carricart en détention, mais cela ne fut que de courte durée et il est finalement laissé libre et exfiltré au Vatican. Il se suicidera quelques semaines plus tard, alors que le juge venait de le convoquer à nouveau après avoir reçu une deuxième plainte pour des violences sexuelles sur mineurs. Elisabeth Bayrou, la femme du Premier ministre, s'était même rendue aux obsèques du père Carricart, accusé d'avoir violé un enfant. Un juge confirme même avoir parlé directement à Bayrou, qui est directement intervenu dans cette affaire pour le questionner sur ce dossier, pourtant couvert par le secret de l'instruction. "Il n'arrivait pas à croire que Carricart ait pu avoir un tel comportement déviant."

 
"Beaucoup d'attouchements sexuels sur des enfants de 8 à 13 ans", "Masturbés de force, violés par des surveillants ou des prêtres" : Alors qu'il affirmait n'être au courant de rien, François Bayrou aurait MENTI pour défendre un établissement privé catholique près de Pau où des prêtres et des surveillants sont accusés de violences physiques, d'agressions sexuelles, de viols et de pédocriminalité commises entre les années 1950 et 2010 (une centaine de plaintes).

Malgré le scandale, le Premier ministre, qui y a scolarisé ses enfants et où son épouse a aussi enseigné le catéchisme, affirme qu'il ignorait tout : "Je n'avais jamais entendu parler". Cependant plusieurs documents et témoignages recueillis par Mediapart semblent prouver le contraire... Il a même rencontré le juge saisi d'une affaire de violences sexuelles en 1998. Des parents d'élèves disent aussi l'avoir alerté à plusieurs reprises. En 1996, il s'était rendu, en tant que ministre de l'Éducation, dans les locaux de Betharram pour soutenir l'établissement à la suite de la plainte d'un parent d'élève. Une enseignante de mathématiques a révélé avoir directement alerté le Premier ministre à l'époque et "a minimisé en disant que j'exagérais sans doute un peu. Je sais que l'infirmière de l'école lui a aussi écrit des courriers."

En 1998, le père Carricart est mis en examen et accusé d'avoir violé un enfant de l'établissement. Le juge d'instruction que François Bayrou connaît bien, est saisi du dossier et décide de placer le père Carricart en détention, mais cela ne fut que de courte durée et il est finalement laissé libre et exfiltré au Vatican. Il se suicidera quelques semaines plus tard, alors que le juge venait de le convoquer à nouveau après avoir reçu une deuxième plainte pour des violences sexuelles sur mineurs. Elisabeth Bayrou, la femme du Premier ministre, s'était même rendue aux obsèques du père Carricart, accusé d'avoir violé un enfant. Un juge confirme même avoir parlé directement à Bayrou, qui est directement intervenu dans cette affaire pour le questionner sur ce dossier, pourtant couvert par le secret de l'instruction. "Il n'arrivait pas à croire que Carricart ait pu avoir un tel comportement déviant."



Le deux poids deux mesures se voit de plus en plus. S'agissant des uns de simples malveillances suffisent pour salir et les sanctionner.

Pour les autres malgré une avalanche de preuves...silence radio...donc selon qu'on décide d'envoyer devant la barre de la justice

un tel mais pas un autre nous nontre à suffisance qu'il y'a bien un double standard avec une justice non indépendante.


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