Peut-on être trop «hot» pour travailler pour une marque de lingerie? Cest en tout cas ce que clame Lauren Odes, une habitante du New Jersey de 29 ans. Lors dune conférence de presse, lundi 21 mai à New York, la jeune femme a annoncé quelle allait poursuivre en justice son ancien employeur, rapporte le New York Post.
Accompagnée de son avocate, Lauren Odes a expliqué avoir été embauchée en avril 2012 dans les locaux du fabricant de la marque Native Inmate. Mais au bout de deux jours, une supérieure est venue lui dire que les propriétaires de lentreprise, des juifs orthodoxes, nétaient pas contents et quelle devait changer d'accoutrement. LAméricaine développe:
«Dabord on ma dit que jétait trop hot et que mes seins étaient trop gros. Jétais choquée. J'estimais que je mhabillais chaque jour de façon appropriée pour le travail dassistante de production. Je portais une robe ce jour-là.»
Accompagnée de son avocate, Lauren Odes a expliqué avoir été embauchée en avril 2012 dans les locaux du fabricant de la marque Native Inmate. Mais au bout de deux jours, une supérieure est venue lui dire que les propriétaires de lentreprise, des juifs orthodoxes, nétaient pas contents et quelle devait changer d'accoutrement. LAméricaine développe:
«Dabord on ma dit que jétait trop hot et que mes seins étaient trop gros. Jétais choquée. J'estimais que je mhabillais chaque jour de façon appropriée pour le travail dassistante de production. Je portais une robe ce jour-là.»