WaHechni wenta awssad 3ayni...
Je m'apprête à faire mes adieux à un pays qui m'a accueilli pendant deux ans. Des lieux, des êtres, des goûts, des émotions... c'est ce que je dois quitter dans peu de temps.
Entouré de tous ceux que j'aime ici, les derniers moments que je savoure ont ce parfum étrange des crépuscules d'été... Sans-doute la fin d'un beau jour.
Je ne les ai pas encore quittés, mais ils me manquent déjà. Certains sont devant moi, accessibles à mes yeux, encore presque palpables. Pour combien de temps? Dans quelques jours, ce monde va s'évanouir et se dérober à mon âme. Je les vois encore et ils me manquent déjà. Et ils en sont inconscients. Rien de ce qui se trame en moi ne les atteint. La parfaite indifférence des arbres et des coeurs, de la poussière et des âmes, de ces murs que je voudrais étreindre, de ce vent que je voudrais saisir, de ces chemins et de tout ce que j'ai aimé... me déchire.
J'aimerais tant le dire à ceux que cela concerne. Mais j'en suis incapable. Pudeur malheureuse... Il ne me reste donc que le monde virtuel pour soulager un peu mes côtes de ce trop plein de sentiments.
Je m'apprête à faire mes adieux à un pays qui m'a accueilli pendant deux ans. Des lieux, des êtres, des goûts, des émotions... c'est ce que je dois quitter dans peu de temps.
Entouré de tous ceux que j'aime ici, les derniers moments que je savoure ont ce parfum étrange des crépuscules d'été... Sans-doute la fin d'un beau jour.
Je ne les ai pas encore quittés, mais ils me manquent déjà. Certains sont devant moi, accessibles à mes yeux, encore presque palpables. Pour combien de temps? Dans quelques jours, ce monde va s'évanouir et se dérober à mon âme. Je les vois encore et ils me manquent déjà. Et ils en sont inconscients. Rien de ce qui se trame en moi ne les atteint. La parfaite indifférence des arbres et des coeurs, de la poussière et des âmes, de ces murs que je voudrais étreindre, de ce vent que je voudrais saisir, de ces chemins et de tout ce que j'ai aimé... me déchire.
J'aimerais tant le dire à ceux que cela concerne. Mais j'en suis incapable. Pudeur malheureuse... Il ne me reste donc que le monde virtuel pour soulager un peu mes côtes de ce trop plein de sentiments.