« Ya Rasululah »
Je ne pouvais vivre sans te connaître.
Maintenant, je ne peux pas vivre sans taimer.
Tu es la lumière de toutes mes pensé,
La lumière que jai tant espéré.
Je me souvient dun songe que javais fais,
Où ton aura, mavait tant éclairé,
Mais le moment qui mavait le plus touché,
Cétait lorsque je tavais embrassé,
La main gauche ou la main droite, je ne sait guère,
Mais a mon réveille cétait la guerre.
La haine des gens à ton égard,
A remplis mon cur de désespoir.
Ya Nur, pourquoi ont-il autant de mépris?
Alors que ta lumière na pas de prix.
Ya Nur, Leur visage est tant assombris,
Alors que ta lumière aurait largement sufis.
Mais moi,
Je taime, Ya Rasululah,
Je taime, Ya Rasululah,
Je taime, Ya Rasululah,
Et je ne désire qu'une chose,
« Que mon coeur t'aime Ya Rasululah »
(Amira)
Je ne pouvais vivre sans te connaître.
Maintenant, je ne peux pas vivre sans taimer.
Tu es la lumière de toutes mes pensé,
La lumière que jai tant espéré.
Je me souvient dun songe que javais fais,
Où ton aura, mavait tant éclairé,
Mais le moment qui mavait le plus touché,
Cétait lorsque je tavais embrassé,
La main gauche ou la main droite, je ne sait guère,
Mais a mon réveille cétait la guerre.
La haine des gens à ton égard,
A remplis mon cur de désespoir.
Ya Nur, pourquoi ont-il autant de mépris?
Alors que ta lumière na pas de prix.
Ya Nur, Leur visage est tant assombris,
Alors que ta lumière aurait largement sufis.
Mais moi,
Je taime, Ya Rasululah,
Je taime, Ya Rasululah,
Je taime, Ya Rasululah,
Et je ne désire qu'une chose,
« Que mon coeur t'aime Ya Rasululah »
(Amira)