Youssef Aït Ali n’en est pas à son premier coup de maître. En 2005, il avait mis au point une montre destinée aux malvoyants.
Il s’appelle Youssef Aït Ali et il vient de mettre au point un feu de circulation ingénieux doté d’un radar qui se déclenche en cas de passage au rouge. Explications.
Il est souvent compliqué de déterminer le fautif lors d’un accident si deux conducteurs nient avoir grillé un feu. Désormais, cela pourrait changer grâce à ce nouveau procédé développé par Youssef Aït Ali, chercheur et président de l’association « Jeunes et sensibilisation ».
Ainsi, si d’aventure un conducteur « grille » un feu rouge, un sémaphore doté d’une sorte de radar émet une alarme qui dure 7 secondes, accompagnée d’un signal lumineux. Mais ce n’est pas tout, car un système intégré enregistre les données du conducteur pour finalement les transmettre aux autorités compétentes.
L’objectif est d’alerter les conducteurs et les usagers vulnérables aux carrefours, en les invitant à plus de vigilance, et par conséquent, de réduire les accidents de la route.
D’aucuns diront que ce concept n’a rien d’original, puisqu’en France, le radar feu rouge est déjà en vigueur depuis quelques années. Néanmoins, le système est différent, en l’occurrence pour ce qui est du mécanisme sonore.
Youssef Aït Ali n’en est pas à son premier coup de maître. En 2005, il avait mis au point une montre destinée aux malvoyants qui produit des vibrations à chaque signal du stop (feu rouge), pour leur permettre de traverser la route sans danger.
Une année auparavant, son premier brevet d’invention auprès de l’OMPIC concernait le domaine desaccessibilités des sourds-muets. Cette invention, qui consiste en un appareil baptisé «écho», avait été spécialement conçue pour faciliter la communication chez les sourds-muets.
A l’approche des élections législatives de 2011, M. Aït Ali avait même inventé une urne dotée de mécanismes permettant de neutraliser les fraudeurs lors des élections.
« La plupart de mes inventions brevetées ont pour finalité d’améliorer les conditions de vie des gens qui souffrent de déficiences, car ces personnes sont marginalisées par la société », déclarait en 2008 Youssef Aït Ali à la chaîne Al Jazeera.
medias24
Il s’appelle Youssef Aït Ali et il vient de mettre au point un feu de circulation ingénieux doté d’un radar qui se déclenche en cas de passage au rouge. Explications.
Il est souvent compliqué de déterminer le fautif lors d’un accident si deux conducteurs nient avoir grillé un feu. Désormais, cela pourrait changer grâce à ce nouveau procédé développé par Youssef Aït Ali, chercheur et président de l’association « Jeunes et sensibilisation ».
Ainsi, si d’aventure un conducteur « grille » un feu rouge, un sémaphore doté d’une sorte de radar émet une alarme qui dure 7 secondes, accompagnée d’un signal lumineux. Mais ce n’est pas tout, car un système intégré enregistre les données du conducteur pour finalement les transmettre aux autorités compétentes.
L’objectif est d’alerter les conducteurs et les usagers vulnérables aux carrefours, en les invitant à plus de vigilance, et par conséquent, de réduire les accidents de la route.
D’aucuns diront que ce concept n’a rien d’original, puisqu’en France, le radar feu rouge est déjà en vigueur depuis quelques années. Néanmoins, le système est différent, en l’occurrence pour ce qui est du mécanisme sonore.
Youssef Aït Ali n’en est pas à son premier coup de maître. En 2005, il avait mis au point une montre destinée aux malvoyants qui produit des vibrations à chaque signal du stop (feu rouge), pour leur permettre de traverser la route sans danger.
Une année auparavant, son premier brevet d’invention auprès de l’OMPIC concernait le domaine desaccessibilités des sourds-muets. Cette invention, qui consiste en un appareil baptisé «écho», avait été spécialement conçue pour faciliter la communication chez les sourds-muets.
A l’approche des élections législatives de 2011, M. Aït Ali avait même inventé une urne dotée de mécanismes permettant de neutraliser les fraudeurs lors des élections.
« La plupart de mes inventions brevetées ont pour finalité d’améliorer les conditions de vie des gens qui souffrent de déficiences, car ces personnes sont marginalisées par la société », déclarait en 2008 Youssef Aït Ali à la chaîne Al Jazeera.
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