j 'ai lu les articles du journal al massae sur les marocaines qui se prostituent aux pays du golfe, et je crois que la solution est dans le mariage temporaire ou zawaj al mutaa.
un saudien ou emirati qui desire une marocaine, n'a qu' à accomplir un mariage temporaire avec elle et les deux sont dans la legitimité .bien sur il faut prendre toutes les precautions necessaires pour que cette fille ne lui donne pas un enfant si il ne le desire, car ce serait injuste.
d'ailleurs tous les marocains devraient etre informés sur ce mariage , car beaucoup en ont besoin: l'etudiant de 18 ans qui aime sa copine de 16 ans et ne peuvent ce marier a cause de leur jeune age, l'homme de 45 ans qui est deja marié et a des gosses et qui tombe amoureux d'une jeune fille mais ne peut avoir 2 epouses; la veuve qui a des gosses et ne peut se remarier .etc...
en fait c'est une revolution sexuelle islamique que constitue ce mariage temporaire.
quelque elements sur ce mariage temporaire lus sur wikipedia:
Le mariage temporaire (persan zawaj mouakat ???? ??????), ou mariage de plaisir (zawaj al-moutaa ???? ??????) est un des mariages de la tradition musulmane. Cette institution pré-islamique est toujours reconnue par certains chiites (il n'est pas reconnu par les ismaéliens). Il est aussi connu sous le nom de sigheh en Iran. Et rejeté comme étant prohibé par les sunnites. Il consiste à contracter un mariage musulman pour une durée déterminée convenue entre les époux.
Point de vue sunnite [modifier]
Au Mut`a, certains savants sunnites préfèrent le Nikâh al Misyar qui est un mariage principalement permanent (mais avec l'intention de divorcer après un délai) qui n'implique pas tous les devoirs qu'un époux doit à sa femme. Bien qu'ayant été temporairement institué par le Prophète, ils considèrent le Mut'a comme aboli jusqu'au jour de la résurrection, cela étant appuyé par certains hadiths.
Selon les quatre écoles sunnites, le mariage mut'a est considéré comme étant interdit par Mahomet à Khaybar. (voir l'intro, supra.)
Point de vue chiite [modifier]
Selon les imams chiites, accepter que le mut'a est permis est une obligation.
ibn Bâbawayh al Qummî, surommé as-Sadûq; ainsi qu'al Kâshânî rapportent de l'imam Ja'fa al-Sâdiq que ce dernier a dit : "Le mariage mut'a est ma religion et la religion de mes ascendants. Celui qui le pratique, pratique ma religion, et celui qui le renie, renie notre religion et croit en une autre religion." Cela pour les hommes comme les femmes, célibataires comme marié(s) ou/et mariée(s).
un saudien ou emirati qui desire une marocaine, n'a qu' à accomplir un mariage temporaire avec elle et les deux sont dans la legitimité .bien sur il faut prendre toutes les precautions necessaires pour que cette fille ne lui donne pas un enfant si il ne le desire, car ce serait injuste.
d'ailleurs tous les marocains devraient etre informés sur ce mariage , car beaucoup en ont besoin: l'etudiant de 18 ans qui aime sa copine de 16 ans et ne peuvent ce marier a cause de leur jeune age, l'homme de 45 ans qui est deja marié et a des gosses et qui tombe amoureux d'une jeune fille mais ne peut avoir 2 epouses; la veuve qui a des gosses et ne peut se remarier .etc...
en fait c'est une revolution sexuelle islamique que constitue ce mariage temporaire.
quelque elements sur ce mariage temporaire lus sur wikipedia:
Le mariage temporaire (persan zawaj mouakat ???? ??????), ou mariage de plaisir (zawaj al-moutaa ???? ??????) est un des mariages de la tradition musulmane. Cette institution pré-islamique est toujours reconnue par certains chiites (il n'est pas reconnu par les ismaéliens). Il est aussi connu sous le nom de sigheh en Iran. Et rejeté comme étant prohibé par les sunnites. Il consiste à contracter un mariage musulman pour une durée déterminée convenue entre les époux.
Point de vue sunnite [modifier]
Au Mut`a, certains savants sunnites préfèrent le Nikâh al Misyar qui est un mariage principalement permanent (mais avec l'intention de divorcer après un délai) qui n'implique pas tous les devoirs qu'un époux doit à sa femme. Bien qu'ayant été temporairement institué par le Prophète, ils considèrent le Mut'a comme aboli jusqu'au jour de la résurrection, cela étant appuyé par certains hadiths.
Selon les quatre écoles sunnites, le mariage mut'a est considéré comme étant interdit par Mahomet à Khaybar. (voir l'intro, supra.)
Point de vue chiite [modifier]
Selon les imams chiites, accepter que le mut'a est permis est une obligation.
ibn Bâbawayh al Qummî, surommé as-Sadûq; ainsi qu'al Kâshânî rapportent de l'imam Ja'fa al-Sâdiq que ce dernier a dit : "Le mariage mut'a est ma religion et la religion de mes ascendants. Celui qui le pratique, pratique ma religion, et celui qui le renie, renie notre religion et croit en une autre religion." Cela pour les hommes comme les femmes, célibataires comme marié(s) ou/et mariée(s).