C'est justement le principe légitimé un viol de droit que la justice défend.
attention ne mélange pas la justice et le droit du travail ... le code du travail est souvent contredis par la justice ...
ou plutôt réinterprétée ...
un exemple :
Un travailleur de jours a qui on demande de travailler de nuit doit donner son accord , sauf si il est indiquer dans son contrat que les horaires de travail peuvent le conduire a travailler de nuit .
ça c'est le code du travail ou les conventions collective qui font loi .
sauf que la cour de cassation a déclarer :
« La clause contractuelle, qui se borne à rappeler la règle de droit commun selon laquelle l'employeur peut changer l'horaire de travail selon les nécessités du service est inopérante. L'employeur ne peut s'en prévaloir pour imposer au salarié un nouvel aménagement des horaires de travail, constitutif d'une modification du contrat. »
les juges ont juger que les primes inhérente au travail de nuit font parties intégrante du contrat de travail .
en complétant avec cet arret :
« L'employeur qui entend substituer un travail de nuit à un travail de jour, doit obtenir l'accord du salarié pour cette modification du contrat de travail, nonobstant la clause de variabilité des horaires prévue au contrat. Est sans cause réelle et sérieuse le licenciement fondé sur le seul refus de cette modification par le salarié. »
il devient impossible d'imposer a un travailleur de jour , des horaires de nuit meme si cette clause est prévue au contrat ...
tu vois la justice réctifie des fois les "injustice" du droit du travail .