Afghanistan : 30 Talibans tués en fabriquant une bombe à l'intérieur d'une mosquée

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DaliSavi

Bladinaute averti

Trente insurgés talibans, dont six militants étrangers, ont été tués par une explosion à l'intérieur d'une mosquée où ils s'étaient rassemblés samedi pour un «entraînement à la fabrication de bombes» dans le nord de l'Afghanistan, ont indiqué des responsables.

«Suite à l'explosion d'une mine dans une mosquée, 30 talibans terroristes, dont six ressortissants étrangers qui étaient des fabricants de mines professionnels, ont été tués», selon un communiqué du ministère de la défense. «Cet incident s'est produit alors qu'un certain nombre de talibans s'étaient rassemblés pour s'entraîner à la fabrication de mines...», prévise le communiqué.

L'incident s'est produit à 9h15 dans le village de Qitla, dans le district de Dawlat Abad de la province de Balkh, qui se trouve à environ 450 km au nord de la capitale Kaboul et qui partage sa frontière avec l'Ouzbékistan, ont déclaré les responsables du ministère.

Fawad Aman, un porte-parole du ministère, a déclaré : «Il n'y a pas eu de survivants de l'explosion», qu'il a qualifiée comme étant «la plus meurtrière de ce genre» pour les insurgés.

«Dans le passé, les ennemis ont déja perdu six, huit ou dix personnes en posant une bombe ou en fabriquant une mine, mais c'est la première fois qu'ils ont subi des pertes aussi importantes», a-t-il déclaré à Arab News.
 
L'incident s'est produit à 9h15 dans le village de Qitla, dans le district de Dawlat Abad de la province de Balkh, qui se trouve à environ 450 km au nord de la capitale Kaboul.
J'ai eu l'occasion par le passé de visiter le village de Qitla qui se trouve dans la région de Dawlat Abad a 320 km de la capitale.
Belle et magnifique région montagneuse et verdoyante.
 
J'ai eu l'occasion par le passé de visiter le village de Qitla qui se trouve dans la région de Dawlat Abad a 320 km de la capitale.
Belle et magnifique région montagneuse et verdoyante.
Superbe !! de plus, j'adore la montagne. Je ne me souviens pas de Qitla mais Dawlat Abad, oui. Je venais de Mazari Charif, direction Herat. Ça fait trèèèèèèèès longtemps, en 69.
C'était plus calme qu'actuellement.
 
C'est l'hypothèse la moins préjudiciable pour les envahisseurs et leurs collabos ...
Pas étonnant que cnews retienne celle là parmi les 3 hypothèses...
Il fallait bien mettre en lumière sous les projecteurs une image hideuse des afghans ! ou pourrait presque penser qu'un petit coup de main habile était synchronisé avec l'agenda US... n'est-il pas vrai que les armées US apportent la démocratie et la paix dans le monde ?

La décision de maintenir la présence militaire américaine en Afghanistan en violation flagrante d’un Accord de retrait initié par l’administration Trump est liée au lobby des grosses compagnies du complexe militaro-industriel et du Pentagone.

Cette décision était attendue pour l’administration Biden même si les médias ont tenté de faire passer ce dernier comme un des critiques de la stratégie US dans ce pays enclavé d’Asie où se déroule la plus longue guerre de l’histoire des États-Unis.

 
Un autre complot ?
CQFD

Biden mène les USA droit dans le mur tant la haine et l’ appât du gain l’ aveugle et se tiennent comme axe politique ! Tout sa tribu est vent debout sans l’ ombre d’ une réflexion ! Il restera à nos baudruches de suivre l’ Âne après avoir « pi..er sur la Tombe de Trump » !

 
Il fallait bien mettre en lumière sous les projecteurs une image hideuse des afghans ! ou pourrait presque penser qu'un petit coup de main habile était synchronisé avec l'agenda US... n'est-il pas vrai que les armées US apportent la démocratie et la paix dans le monde ?

La décision de maintenir la présence militaire américaine en Afghanistan en violation flagrante d’un Accord de retrait initié par l’administration Trump est liée au lobby des grosses compagnies du complexe militaro-industriel et du Pentagone.

Cette décision était attendue pour l’administration Biden même si les médias ont tenté de faire passer ce dernier comme un des critiques de la stratégie US dans ce pays enclavé d’Asie où se déroule la plus longue guerre de l’histoire des États-Unis.

l'Afghanistan et son peuple ont toujours connu les guerres et ça n'a pas cessé jusqu'à aujourd'hui mais ils en sortent toujours victorieux, inchallah.

Les américains sous administration Bush ont attaqué ce pays, appelé le cimetière des empires, sous un faux prétexte, comme d'autres pour guerres. Rappelons que l'Emir Mohammed Omar avait accepté la demande de Bush Junior de livrer OIL à condition qu'il lui donne les preuves qu'il a été impliqué dans les attentats du 11/09/2001...

Y a plus qu'à espérer que la Zunie et ses complices se vautrent le plus tôt possible, une fois pour toute, inchallah pour le bien de l'humanité.
 
Dernière édition:
l'Afghanistan et son peuple ont toujours connu les guerres et ça n'a pas cessé jusqu'à aujourd'hui mais ils en sortent toujours victorieux, inchallah.

Les américains sous administration Bush ont attaqué ce pays, appelé le cimetière des empires, sous un faux prétexte, comme d'autres pour guerres. Rappelons que l'Emir Mohammed Omar avait accepté la demande de Bush Junior de livrer OIL à condition qu'il lui donne les preuves qu'il a été impliqué dans les attentats du 11/09/2001...

Y a plus qu'à espérer que la Zunie et ses complices se vautrent le plus tôt possible, une fois pour toute, inchallah pour le bien de l'humanité.
Victoria Nuland incarne un parfait exemple des néoconservateurs qui ont mené la politique étrangère américaine d’une catastrophe à une autre au cours des 30 dernières années tout en se soustrayant à leurs responsabilités. Le fait que le président Joe Biden ait nommé Victoria Nuland au troisième poste le plus élevé du Département d’État, celui de sous-secrétaire aux Affaires politiques, est un mauvais signe.

De 2000 à 2003, Nuland a été la représentante permanente des États-Unis auprès de l’OTAN lorsque l’administration Bush a attaqué puis envahi l’Afghanistan. Le gouvernement afghan a proposé de travailler avec les États-Unis pour éliminer Al-Qaïda, mais cette proposition a été rejetée. Après la défaite d’Al-Qaïda, les États-Unis auraient pu quitter l’Afghanistan, mais ils y sont restés, ont établi des bases semi-permanentes, ont divisé le pays et y combattent toujours deux décennies plus tard.

De 2003 à 2005, Nuland a été la principale conseillère en politique étrangère du vice-président Dick Cheney qui « a aidé à planifier et à gérer la guerre qui a renversé Saddam Hussein, notamment en plaidant la cause de l’administration Bush pour des actions militaires préventives basées sur les prétendues armes de destruction massive de l’Irak ». L’establishment de la politique étrangère, avec Nuland à l’extrême droite, pensait qu’il serait simple d’éliminer Saddam Hussein et d’installer un « allié » américain.

L’invasion et l’occupation continue ont entraîné la mort de plus d’un million d’Irakiens, de plusieurs milliers d’Américains et de centaines de milliers de personnes souffrant de stress post-traumatique, pour un coût de 2 à 6 milliards de dollars.

De 2005 à 2008, Victoria Nuland a été ambassadrice des États-Unis auprès de l’OTAN où son rôle était de « renforcer le soutien des Alliés » pour les occupations de l’Afghanistan et de l’Irak.

Au 10ème anniversaire de l’invasion, lorsqu’on l’a interrogée sur les leçons tirées, Victoria Nuland a répondu : « Par rapport à l’époque de Saddam, nous avons maintenant un accord de sécurité bilatéral… Nous avons des intérêts et des liens économiques profonds. Nous avons des relations en matière de sécurité. Nous avons une relation politique ». Nuland n’est pas consciente des coûts. La loyauté de Nuland va à l’élite qui a bénéficié de la tragédie. Selon Google, « l’un des principaux profiteurs de la guerre en Irak était la société de services pétroliers Halliburton. Halliburton a gagné 39,5 milliards de dollars en « contrats fédéraux liés à la guerre en Irak ». Le patron de Nuland, le vice-président Dick Cheney, était l’ancien PDG de Halliburton.

En janvier 2020, 17 ans après l’invasion américaine, le Parlement irakien a adopté une résolution demandant le départ des troupes et des entrepreneurs américains. Aujourd’hui, plus d’un an plus tard, ils ne sont toujours pas partis.


Question : Depuis des siècles, quel est le pays qui a vaincu l’ Afghanistan ?
 
Après la défaite d’Al-Qaïda, les États-Unis auraient pu quitter l’Afghanistan, mais ils y sont restés


...Ils n'auraient jamais dû envahir l'Afghanistan...

Si la Zunie n'a pas voulu donner des preuves de la culpabilité de OIl dans ces attentats à l'Emir d'Afghanistan Mohammed Omar en échange de sa capture c'est parce qu'ils savent si sont les véritables commanditaires.

C'est une guerre sous faux prétexte...
 
...Ils n'auraient jamais dû envahir l'Afghanistan...

Si la Zunie n'a pas voulu donner des preuves de la culpabilité de OIl dans ces attentats à l'Emir d'Afghanistan Mohammed Omar en échange de sa capture c'est parce qu'ils savent si sont les véritables commanditaires.

C'est une guerre sous faux prétexte...
Rappelons nous que le début de l’enlisement américain en Afghanistan est la décision américaine de soutenir les opposants armés (dont les talibans , puis Al Quaïda ) au Gvt afghan de l’époque que l’on peut qualifier de nassèrien (cherchant plus particulièrement à imposer le pluralisme ethnico religieux ) à tendance socialiste et soutenu par l’URSS afin d’entraïner celle ci dans ce que les USA appelait le Vietnam Soviétique . Et ce à la fin des années 70 .
Rappelons nous aussi que c’est dans ce contexte afghan que les services secrets américains , aux côtés des services secrets israeliens et saoudiens participèrent à la création de Al Quaïda qui fut réalisée en 1985 à Peshawar (Pakistan ) .
Ben Laden fût dans ce cadre rétribué par la CIA afin de dispacher l’aide américaine dans les différentes composantes de l’opposition armée de l’époque en Afghanistan .
Rappelons nous aussi les commentaires très anti soviétiques de l’époque , alors que l’URSS en Afghanistan ne faisait pas autre chose que ce que fait la Russie en Syrie depuis 2015 . On notera la similitude des vociférations anti russes d’aujourd’hui avec celles antisoviétiques des années 80 sur la question afghane .
L’Afghanistan est un pays très montagneux(qui culmine à 7700 mètres d’altitude ) aux hivers rudes et aux étés localement torrides . Il est incontrôlable et je ne sais pas si les sectaires qui s’opposent aux amerloques valent tellement mieux en dehors du fait qu’ils sont afghans et donc chez eux et en droit d’y être au contraire des amerloques indésirables où que ce soit dans le monde en dehors de cet espace compris entre le Mexique et le Canada d’une part et les océans pacfique et atlantiques d’autre part .
 

Trente insurgés talibans, dont six militants étrangers, ont été tués par une explosion à l'intérieur d'une mosquée où ils s'étaient rassemblés samedi pour un «entraînement à la fabrication de bombes» dans le nord de l'Afghanistan, ont indiqué des responsables.

«Suite à l'explosion d'une mine dans une mosquée, 30 talibans terroristes, dont six ressortissants étrangers qui étaient des fabricants de mines professionnels, ont été tués», selon un communiqué du ministère de la défense. «Cet incident s'est produit alors qu'un certain nombre de talibans s'étaient rassemblés pour s'entraîner à la fabrication de mines...», prévise le communiqué.

L'incident s'est produit à 9h15 dans le village de Qitla, dans le district de Dawlat Abad de la province de Balkh, qui se trouve à environ 450 km au nord de la capitale Kaboul et qui partage sa frontière avec l'Ouzbékistan, ont déclaré les responsables du ministère.

Fawad Aman, un porte-parole du ministère, a déclaré : «Il n'y a pas eu de survivants de l'explosion», qu'il a qualifiée comme étant «la plus meurtrière de ce genre» pour les insurgés.

«Dans le passé, les ennemis ont déja perdu six, huit ou dix personnes en posant une bombe ou en fabriquant une mine, mais c'est la première fois qu'ils ont subi des pertes aussi importantes», a-t-il déclaré à Arab News.


Ils sont morts en fabriquant une BOMBE dans une MOSQUEE, je ne croit pas une seconde à ce bourrage de crâne sémantique international, ils sont surement morts oui, mais pas de la façon dont les médias satanistes nous le décrivent, surement piégés, surement trahis et tués par un espion, mais je ne crois pas une seule seconde à ce fait relayé par les médias menteurs.
 
Ils sont morts en fabriquant une BOMBE dans une MOSQUEE, je ne croit pas une seconde à ce bourrage de crâne sémantique international, ils sont surement morts oui, mais pas de la façon dont les médias satanistes nous le décrivent, surement piégés, surement trahis et tués par un espion, mais je ne crois pas une seule seconde à ce fait relayé par les médias menteurs.
Le principal est qu'ils soient morts. Peu importe le reste.
Ça fera toujours 30 de moins à chasser les filles des écoles.
 
Tout les empires se sont vautrés en Afghanistan ( Monghols, Safaavides, britanniques, russes, etc...), les prochains seront les euniens et leurs complices,

Ils se vautreront dans tous les cas en essayant de pervertir la nature humaine, leurs fakes news et tentatives de manipulations mentales minables pour faire des individus de simples jouisseurs de la vie consommateurs et jemenfoutistes n'atteindront qu'une infime part du monde qui est d'ors et déja acquise à leur cause car complètement décérébrée, tu le voit bien sur ce forum ce sont souvent des pseudo 68 ards issus du baby boom qui défendent les choses les plus innommables, des vraies marionnettes, hier ils insultaient les homos de p.d aujourd'hui ils les défendent, demain ils défendront les pédophiles, demain leurs maitres leur leur diront que ce marier avec un animal c'est le top ils le feront, aucune identité juste des minables,je vise surtout le gars qui n'intervient jamais mais qui like et qui vit dans un pays dont il deteste la religion..oui oui oui c'est bien toi.
 
Une mosaïque humaine par Jean-Paul Roux
À Begram, toutes les influences se font sentir, celles de la Grèce, de l’Inde, de la Chine (laques), des steppes. Sans doute cela ne se reproduira-t-il plus à un tel point, mais cet afflux des hommes et des cultures venus des quatre horizons continuera pendant des siècles. On ne s’étonne plus alors, bien que l’islam ait fini par imposer sa foi et sa culture, que, dans ce pays, vivent dix peuples et sont parlées vingt langes.
Le fond de la population est iranien. Les Afghans, majoritaires à 55 %, parlent un dialecte iranien oriental, le pashtou, d’autres, dits souvent Tadjiks, en parlent d’autres. À côté d’eux vivent, outre une poignée d’Arabes, d’Indiens, de juifs, les Nouristanis (anciens Kafirs) d’origine inconnue, des Mongols iranisés, les Khazara, et une masse (quelque 10 %) de turcophones, Ouzbeks et Turkmènes, frères de ceux qui peuplent les Républiques à leur septentrion. Tous, avec leur personnalité propre, sont fiers, durs au mal et à l’effort, rudes, j’oserais dire sauvages, patriotes certes, mais aussi volontiers brigands, qu’ils soient ou non organisés en clans, irréductibles, amoureux de leur liberté, de leurs querelles, refusant l’ordre imposé… mais aussi hospitaliers, fidèles, honnêtes, délicats parfois, voire tendres, de cette délicatesse qu’expriment leurs miniatures, de cette tendresse que reflètent leurs faïences ; de nos jours encore ils peignent et sont céramistes ; les faïences qui couvrent les monuments sont presque toutes modernes, si bien faites qu’on les distingue mal des originales.
Rien ne prédisposait ces peuples et ces terres de l’Iran oriental à devenir un État, lequel commença à s’esquisser en 1707 et fut créé par un Afghan de la tribu Durrani, Ahmed Khan, en 1744, à un moment où entraient en décadence les Séfévides d’Iran et les Grands Moghols des Indes qui se les disputaient. Pour le rendre viable, il fallait pacifier cette mosaïque humaine, ce qui n’aura lieu qu’à la fin du XIXe siècle avec la soumission depuis 1885 des Khazara et des Kafir – ces derniers convertis de force à l’islam et nommés dès lors Nouristani , « les éclairés ». Il fallait aussi assurer son indépendance, menacée un peu par les Iraniens (attaques en 1816, 1834, 1837), beaucoup par la Compagnie, puis par l’Empire des Indes et par la Russie qui s’installait en Asie centrale. Dès 1839, les Anglais occupent Kaboul, devenue capitale du royaume sous Timur Khan (1773-1793), se font massacrer en 1841 et lancent, l’année suivante, une colonne de représailles qui détruit la ville, y compris ses monuments anciens, mais juge prudent de se retirer. Malgré cette leçon, en 1878, la menace russe devenant plus précise, ils récidivent lors de la deuxième guerre afghane, échouent encore, mais imposent un traité qui place l’Afghanistan sous surveillance, lui arrache une partie de ses provinces pashtou, rattachées à l’Inde – aujourd’hui au Pakistan –, ce qui pose des problèmes qui gardent toute leur acuité. Plus tard encore, en 1919, une troisième guerre afghane, dite d’indépendance, assure enfin la totale souveraineté du royaume, mais accentue, si possible, son isolement et fait de lui un État tampon entre l’Inde et la Russie.

Les interventions des Britanniques et leur constante veille aux frontières du nord-ouest découlent de la conviction que toute puissance installée en Afghanistan, et surtout à Kaboul, non seulement contrôle une voie de communication essentielle, mais ne peut pas résister au désir de s’emparer de l’Inde. L’histoire l’avait largement prouvé.
 
De Cyrus à Tamerlan…
Comme le futur Afghanistan faisait partie de l’Empire achéménide depuis Cyrus (vers 590-530 av. J.-C.), il fut conquis, comme lui, par Alexandre le Grand. Après avoir pris Bactres (329) et guerroyé au nord, le Macédonien traverse l’Hindou Kouch et envahit les Indes. Dès lors la voie est ouverte – si elle ne l’était pas dès la préhistoire) – et ne se fermera plus. Ses successeurs, les Séleucides et le royaume gréco-bactrien de Diodote (250-235), réunissent sous une même couronne – et elle est grecque – les terres entre Indus et Oxus. Peu après surgissent les peuples de la steppe, les Yue-tche d’abord qui franchissent les passes du Khyber, occupent le Pendjab et fondent en Iran et en Inde le royaume des Kouchanes (60 de notre ère), immortalisé par Kanishka et l’art gréco-bouddhique du Gandhara ; les Huns Blancs, Ye-ta ou Hephtalites ensuite, vers 440-555, qui font de Kaboul un nid d’aigle – on y voit plus que des traces des murailles qu’ils y édifièrent–, d’où ils fondent sur les Indes. Ils y laisseront un souvenir atroce.
Cent ans plus tard, les Arabes font leur apparition. Ils sont en 651 à Hérat, en 652 à Bactres, mais ils ont trop galopé de par le monde. Ils devront se contenter, en Inde, de faire boire à leurs chevaux l’eau de l’Indus. L’Afghanistan s’islamise, pour toujours, et s’arabise, mais superficiellement, ce qui permettra à la dynastie des Samanides – transoxianaise –, vassale théorique des califes, en fait indépendante depuis 875, de se poser en championne de l’iranisme. Comme tous les princes musulmans de cette époque, les Samanides ont une armée de mercenaires turcs. Or, en 962, l’un d’eux, Alp Tegin, se soulève contre eux et va s’installer à Ghazni où il fonde l’Empire ghaznévide qui redonne à l’Afghanistan la grandeur du temps des Kouchanes. Ghazni, humble bourgade, devient métropole et rivale de Bagdad. L’élite intellectuelle et artistique de l’Orient y accourt : Firdusi, l’auteur du Chah name, le « Livre des Rois », qu’on a pu comparer à Homère, Biruni, le plus grand savant du monde musulman… Il reste peu de vestiges de l’architecture ghaznévide, décrite avec enthousiasme par les contemporains : essentiellement les murs des palais de Lachkari Bazar (Bust) qui, comme ceux de Ghazni, mis au jour par les archéologues italiens, ont livré reliefs figuratifs et peintures murales. Ces œuvres prouvent, mieux que quelques autres trouvailles faites sous d’autres cieux, que la sculpture figurative et la peinture n’ont pas été seulement pratiquées aux premiers et aux derniers siècles de leur histoire par les musulmans ni sous influence européenne – encore une révolution dans nos connaissances ! Par ailleurs, les plans cruciformes et les hautes voûtes en berceau brisé ou iwan des palais démontrent que ces éléments n’ont pas été utilisés d’abord dans les madrasa, mais que ce sont les madrasa qui ont copié le plan palatal.

Nous ne nous sommes détournés des invasions de l’Inde que pour y mieux revenir : le plus grand prince des Ghaznévides, Mahmud (999-1030), lance dix-sept expéditions. Avec elles, l’islam, pour la première fois, pénètre dans ce pays pour y faire la carrière que l’on sait. Avec elles, au moins indirectement, vont naître l’empire de Delhi et, finalement, la domination qu’exerceront, jusqu’à l’arrivée des Britanniques, les Turcs et les Afghans sur la majeure partie de la population indienne.

Les Ghaznévides vivront peu : des Afghans enfermés dans les monts de Ghur, les Ghurides, tout juste islamisés, pleins de haine, s’acharneront sur eux. Ils détruiront Bust et Ghazni, et le système d’irrigation du Sistan sera rendu au désert (1150). Ils les poursuivront à Peschawar, Lahore, Ajmeer, Delhi, jusque dans la vallée du Gange (1176) et les feront disparaître (1187).
 
Le pays n’est pas relevé quand Gengis Khan arrive. En 1221, il rase Bactres, peu après Chahr-i Golgola, la « ville des Soupirs », Chahr-i Zohag, la « ville Rouge », toutes deux proches de Bamiyan, où il n’épargne aucune vie, même pas celle des chiens et des chats, puis Hérat où « pas une tête ne fut laissée sur un corps, pas un corps ne conserva sa tête » : il y a un million et demi de morts. Il va en Inde, bien sûr, sans y rester, peut-être parce que, disent les Mongols, elle est chaude comme l’enfer. Quand son empire démesuré est divisé en quatre apanages, l’Afghanistan, ou ce qu’il en reste, est partagé entre les Mongols d’Iran (Ilkhans) et d’Asie centrale (Djaghatai) ; et comme, au Djaghatai, ne tarde pas à se lever un nouveau conquérant, Timur, notre Tamerlan, qui joue un rôle de premier plan. Celui-ci se fait proclamer souverain à Bactres, en 1370. Est-il utile de dire qu’il se rend en Inde ? Lui qui est le maître de Kaboul dévaste Delhi en 1398 dont il repart croulant sous le butin.Certes, Timur, dont la brutalité est peut-être pire que celle de Gengis Khan, apporte à l’Afghanistan un nouveau lot de souffrances, mais ses successeurs sont bénéfiques pour le pays : ils lui font connaître son troisième âge d’or avec ce qu’on a nommé la « renaissance timouride ». Hérat, où Husain Baiqara (1461-1506) a établi sa capitale, devient, grâce à celui-ci et à son ministre Mir Ali Chir Nevaï, lui-même talentueux poète de langue turque, la « Florence orientale ». On y construit beaucoup et les monuments se couvrent de faïences ; l’histoire y produit deux maîtres ; la poésie iranienne y voit son dernier grand artiste, Djami (1414 – 1492) ; on y tisse des tapis ; on y peint surtout, sur les murs et sur les manuscrits. Si les peintures murales ont disparu, il reste, innombrables, les miniatures sorties de l’Académie du livre, les plus belles que l’Iran produisit, même quand elles ne sont pas signées par cet homme de génie que fut Behzad (vers 1450-1520).

Le dernier grand prince à illustrer la famille timouride, Babur (1483-1530), n’est pas d’Hérat et ne rêve que de Samarcande. Il finit par échouer à Kaboul où il devient roi. Que peut-il faire ? Descendre en Inde. Il en commence la conquête en 1525 et y fonde la dynastie des Grands Moghols.

Dès lors l’Afghanistan est partagé entre ces derniers et les Séfévides d’Iran (1501-1734) tandis que, dans les plaines du nord, s’installent les Ouzbeks (1500). Il peut sortir de l’histoire. Il connaît pourtant encore un drame au moment même d’œuvrer pour réaliser son unité. Un Turc d’Iran, Nadir Chah (1739-1747), le traverse quand il va, comme tout le monde, piller Delhi. Deux ans après, Ahmed Khan Durrani a fondé son royaume. L’Afghanistan naît et entre en même temps dans la décadence.


[1] [N.D.L.R.] Depuis la rédaction de cet article, en décembre 2000, ces monuments ont été détruits par les Talibans.

https://www.clio.fr/BIBLIOTHEQUE/quand_lafghanistan_etait_lun_des_centres_du_monde.asp
 
Le principal est qu'ils soient morts. Peu importe le reste.
Ça fera toujours 30 de moins à chasser les filles des écoles.
Je voudrais bien connaitre ta position vis à vis des US et sa propagande oxydentale anti soviétique, lors de la déstabilisation de l'Afghanistan
Contrairement aux mensonges de nos élites : l’URSS n’a pas plus « envahi l’Afghanistan » qu’elle « n’envahit » la Syrie aujourd’hui !!!
Elle y était LÉGALEMENT en application des accords militaires entre les 2 pays, amis (rappelons qu’à l’époque l’Afghanistan était démocratique, les femmes non voilées et les filles à l’école ! l’oxydent hurlait au massacre des traditions !! les U$ ont financé les talibans, groupe microscopique ultra-réctionnaire, pour attirer l’URSS et mener une guerre par procuration qui a sûrement affaibli l’URSS ! ruse de rat répétée à l’infini partout !!)
 

Ceux qui ont fabriqué les taliban.​


Par François LAFARGUE — 17 septembre 2001 à 00:50

Pourquoi les Etats-Unis ont financé le régime de Kaboul.​




Après l'heure de la stupéfaction vient le moment de l'explication. Si les motivations de cet acte de guerre contre l'Amérique sont encore difficiles à cerner, l'identité de leurs auteurs semble se préciser. Le mot taliban et le nom d'Oussama ben Laden semblent s'imposer. A défaut de savoir qui sont exactement ces taliban, vaste nébuleuse de Pachtouns afghans et d'Arabes venus du Golfe, la question: «Qui les a fabriqués?» a déjà une réponse.
Guerre d'Afghanistan. Malheureusement, les milliers de victimes du mardi 11 septembre constituent la rançon macabre des incohérences de la politique américaine en Afghanistan. Au début des années 80, les Etats-Unis apportèrent un soutien logistique important aux Afghans, engagés dans une guerre terrible contre l'Union soviétique. Un soutien symbolisé par la fourniture de missiles sol-air, les redoutables Stinger. Cette aide américaine fut, dans les faits, gérée directement par le Pakistan et se porta essentiellement en faveur de l'un des chefs de la résistance afghane, Gulbuddin Hekmatyar. Issu de l'ethnie pachtoun, population dont une partie vit également au Pakistan (où ils sont dénommés Pathan), Gulbuddin Hekmatyar était un familier des cercles du pouvoir du Pakistan, notamment de Zia ul-Haq. L'aide américaine lui fut en majorité attribuée au détriment d'un autre chef militaire, le commandant Massoud. Ce dernier, un Tadjik (25 % de la population de l'Afghanistan), inspirait moins confiance à Islamabad.

Première trahison. A la fin de la guerre d'Afghanistan, les soldats de Gulbuddin Hekmatyar, enhardis par leur succès, entreprirent un nouveau combat contre cette Amérique impie, accusée de persécuter les musulmans en Bosnie et en Somalie. Le symbole de cette lutte fut le premier attentat contre le World Trade Center, en février 1993. Première trahison. C'est à ce moment-là que les Américains prennent conscience de la menace que représentent ces mouvements extrémistes.
Washington décide alors de mettre sur pied et de financer, avec le concours de l'Arabie Saoudite et du Pakistan, un mouvement dénommé les taliban, avec deux objectifs en tête. La priorité est d'éradiquer les mouvements islamistes présents en Afghanistan en instaurant un régime politique rigoriste et stable, à l'image de celui de l'Arabie Saoudite.
Mais le financement des taliban s'explique également par un intérêt pétrolier largement oublié aujourd'hui. En ce milieu des années 90, les hydrocarbures de la mer Caspienne et des Etats riverains suscitent les convoitises du consortium américain Unocal. Or cette région d'Asie centrale est enclavée. L'idée va alors germer de construire un gazoduc, doublé d'un oléoduc partant du Turkménistan, et qui devrait déboucher sur l'océan Indien en passant à travers l'Afghanistan.

Ce pétrole et ce gaz auraient pu être évacués par le sud à travers l'Iran. Mais la loi d'Amato interdit tout investissement américain dans ce pays. Les autres voies à travers la Turquie ou le Caucase sont jugées dangereuses (rébellion kurde, guerre de Tchétchénie...). Reste le trajet à travers l'Afghanistan. Ces hydrocarbures permettront d'alimenter les nouveaux marchés d'Asie comme la Chine, contrainte déjà d'importer 12 % de son pétrole.
Toutefois, la construction de ce gazoduc ne peut se concrétiser dans un pays plongé dans l'anarchie. L'arrivée des taliban est donc vue sous un angle favorable. Le département d'Etat américain comme les lobbies pétroliers américains vont faciliter la victoire des taliban, en accord avec le Pakistan et l'Arabie Saoudite. Le Pakistan, chef d'orchestre, gagnera une profondeur stratégique face à l'Inde, et l'Arabie Saoudite poursuit sa politique d'endiguement du chiisme (rite majoritaire en Iran et en Irak).
Pavot. Parvenus au pouvoir à Kaboul en septembre 1996, les taliban vont trahir les Etats-Unis. La culture du pavot (l'Afghanistan devient l'un des principaux producteurs) leur offre la liberté de quitter la tutelle américaine et de financer leur prosélytisme religieux.

L'engrenage est inéluctable et, en août 1998, sont perpétrés deux attentats, en Tanzanie et au Kenya. Deuxième trahison pour les Etats-Unis. Ces événements politiques et la condamnation de l'Afghanistan obligent alors l'Unocal à suspendre son projet pétrolier, en décembre 1998. Les rêves de profits fabuleux grâce à l'or noir de la Caspienne s'évanouissent.
 
Soucieux de sortir de leur ghetto et convaincus par le montant de l'aide internationale, les taliban s'étaient engagés, au début de l'année 2000, à éradiquer les cultures de pavot. Depuis, les récoltes de pavot auraient été divisées par deux en Afghanistan. Mais la lutte contre la culture du pavot permet de justifier les représailles et les exactions contre des populations rebelles tels les chiites Hazaras. Surtout, les observateurs des Nations unies chargés de contrôler l'éradication des cultures ne peuvent pas se rendre sur l'ensemble du territoire afghan. De plus, le relief montagneux du pays (40 % de l'Afghanistan est situé à plus de 1 800 mètres d'altitude) est un atout pour les trafiquants, car il rend difficile la localisation précise des champs de pavot par les satellites américains. Enfin, cette mesure d'éradication pourrait n'être que temporaire et destinée simplement à réguler un marché marqué par la surproduction.

Opium, pétrole et taliban, tels sont les principaux ingrédients du malheur afghan.
 
Elle y était LÉGALEMENT en application des accords militaires entre les 2 pays, amis
Disons qu'ils se sont invités

En avril 1978, le président afghan Mohammed Daoud est renversé et tué par un groupe de militaires favorables à l'URSS. Mohamed Taraki lui succède à la présidence du pays. L'adoption de réformes communistes suscite une forte opposition au régime, particulièrement chez les islamistes. L'exode de dizaines de milliers d'entre eux et l'adoption de mesures répressives ne suffisent pas à enrayer l'insurrection qui gagne une bonne partie du pays. Après l'élimination du président Taraki, que remplace Hazifullah Amin, l'URSS, qui dit répondre à une demande de Kaboul, intervient en faisant traverser la frontière afghane à ses troupes en décembre 1979. Un homme de confiance des Soviétiques, Babrak Karmal, prend la tête du pays. Cette intervention soulève la réprobation dans plusieurs pays qui adopteront des sanctions économiques ou boycotteront les Jeux olympiques de Moscou, à l'été 1980, en guise de représailles. Les troupes soviétiques quitteront l'Afghanistan en février 1989, laissant derrière elles des milliers de morts et une rébellion qu'ils n'ont jamais réussi à écraser.
 
Disons qu'ils se sont invités

En avril 1978, le président afghan Mohammed Daoud est renversé et tué par un groupe de militaires favorables à l'URSS. Mohamed Taraki lui succède à la présidence du pays. L'adoption de réformes communistes suscite une forte opposition au régime, particulièrement chez les islamistes. L'exode de dizaines de milliers d'entre eux et l'adoption de mesures répressives ne suffisent pas à enrayer l'insurrection qui gagne une bonne partie du pays. Après l'élimination du président Taraki, que remplace Hazifullah Amin, l'URSS, qui dit répondre à une demande de Kaboul, intervient en faisant traverser la frontière afghane à ses troupes en décembre 1979. Un homme de confiance des Soviétiques, Babrak Karmal, prend la tête du pays. Cette intervention soulève la réprobation dans plusieurs pays qui adopteront des sanctions économiques ou boycotteront les Jeux olympiques de Moscou, à l'été 1980, en guise de représailles. Les troupes soviétiques quitteront l'Afghanistan en février 1989, laissant derrière elles des milliers de morts et une rébellion qu'ils n'ont jamais réussi à écraser.
Je relève cette phrase de ton lien

" Ce que révèle la crise actuelle, ce sont les conséquences dangereuses de cette logique de l'intervention sans limites et sans retour. "

Ce qui était valable pour l'URSS hier, l'est aussi pour les USA aujourd'hui. Et au passage, je rajoute que contrairement aux américains, les russes ont été invités par un gouvernement légal et laïc. L'oxydent lui a imposé les talibans à ce pays.

Les afghans ont souvent été envahis mais jamais, ils n’ont été vaincus! Et ce sera la même chose pour les Yankees! Second Vietnam en vue! Ce n’est qu’une question de temps..! Ils n’ont pas de montres mais ils ont le temps! De plus, le coût de cette guerre devient absolument prohibitif pour le trésor US!!! Voyez ici leur dette en temps réel et en millier de milliards, qui avance à une vitesse folle!

https://www.usdebtclock.org/

Chaque Américain doit : $481,000 US!!! Ils ne pourront jamais le payer! Et dire que le Grand Cinglé critiquait Obama pour avoir en 8 années de gouvernance dépensé 10 milles milliards! LUI en 4ans en a 20 de dépensé!!! Une folie mortelle! Juste le service « intérêt » de leur dette(15,000$ par adulte:<) leur coûte les yeux de la tête et les empêche d’avancer! Mais, qu’à cela ne tienne, quand ils en manque ils impriment! Mais ce faisant, la confiance dans le dollar diminue! Et un jour, ça risque de les assommer , sans aucune solution pour y faire face!!!! Y a de l’orage dans l’air!!!
 
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" Ce que révèle la crise actuelle, ce sont les conséquences dangereuses de cette logique de l'intervention sans limites et sans retour. "

Ce qui était valable pour l'URSS hier, l'est aussi pour les USA aujourd'hui. Et au passage, je rajoute que contrairement aux américains, les russes ont été invités par un gouvernement légal et laïc. L'oxydent lui a imposé les talibans à ce pays.

Les afghans ont souvent été envahis mais jamais, ils n’ont été vaincus! Et ce sera la même chose pour les Yankees! Second Vietnam en vue! Ce n’est qu’une question de temps..! Ils n’ont pas de montres mais ils ont le temps! De plus, le coût de cette guerre devient absolument prohibitif pour le trésor US!!! Voyez ici leur dette en temps réel et en millier de milliards, qui avance à une vitesse folle!

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Chaque Américain doit : $481,000 US!!! Ils ne pourront jamais le payer! Et dire que le Grand Cinglé critiquait Obama pour avoir en 8 années de gouvernance dépensé 10 milles milliards! LUI en 4ans en a 20 de dépensé!!! Une folie mortelle! Juste le service « intérêt » de leur dette(15,000$ par adulte:<) leur coûte les yeux de la tête et les empêche d’avancer! Mais, qu’à cela ne tienne, quand ils en manque ils impriment! Mais ce faisant, la confiance dans le dollar diminue! Et un jour, ça risque de les assommer , sans aucune solution pour y faire face!!!! Y a de l’orage dans l’air!!!

Au-delà de la question d'être envahis et d'être où non vaincus, se pose celle du régime Taliban en lui-même. J'entends beaucoup ici parler d'interventions US etc, mais à présent que les US se retirent, les Talibans reprennent bien le contrôle progressif du pays en voulant imposer un régime féodal basé sur une lecture des plus obscurantistes du Coran, inspirée tout droit de la "formation" de ces Talibans par les émissaires wahabbites dans les madrassas pakistanaises pendant des années.

Il n'y a rien d'inquiétant pour le peuple afghan à se voir menacés d'ête dirigés par une mouvance inspirée d'un Islam aussi radical et violent ?
 
Vous faites beaucoup de confusions (souvent volontaires et entretenues) entre ceux appelés génétiquement par l'Occident de talibans et ceux appelés génériquement aussi de moujahidines afghans. Tout deux sont des mouvements à l'idéologie et origine non homogènes et ne forment pas deux blocs ou deux partis formels.
Grosso modo ceux appelés talibans ont pourchassés beaucoup de ceux appelés moujahidines à cause des rapts et razzias répétés perpétrés par ces derniers.
De plus, Il arrive souvent que des groupes dit talibans condamnent des actes d'autres groupes dit talibans.
La faute au medias menteurs qui entretiennent la confusion, cataloguant rapidement des personnes avec de fausses étiquettes.
 
Ils sont morts en fabriquant une BOMBE dans une MOSQUEE, je ne croit pas une seconde à ce bourrage de crâne sémantique international, ils sont surement morts oui, mais pas de la façon dont les médias satanistes nous le décrivent, surement piégés, surement trahis et tués par un espion, mais je ne crois pas une seule seconde à ce fait relayé par les médias menteurs.

Ils ont déjà attaqué des mosquées et des lieux de rassemblements (mosquées notamment) des chiites et des soufis sunnites.

Ils vont la construire dans une mosquée car non seulement le lieu est généralement sûr, ils seront également transquilles.
 
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