Nicolas Anelka a annoncé vendredi qu'il quittait West Bromwich Albion. A 35 ans, l'attaquant français devait purger une suspension de cinq matches suite à sa quenelle. Le club s'étonne.
Prisonnier de son personnage, Nicolas Anelka aura ainsi affiché sa posture de rebelle de bout en bout de sa carrière. Alors que la Fédération anglaise a indiqué la veille qu’elle ne ferait pas appel pour alourdir sa suspension cinq matches et son amende de 97 000 euros suite à sa «quenelle», le joueur français s’est lui-même mis hors-jeu en annonçant vendredi sur les réseaux sociaux qu'il mettait un terme à son contrat avec le club anglais West Bromwich Albion.
«Suite aux entretiens entre le club et moi, des propositions m'ont été faites pour que je réintègre le groupe sous certaines conditions que je ne peux pas accepter. Souhaitant garder mon intégrité, j'ai donc pris la décision de me libérer et de mettre fin au contrat me liant avec West Bromwich Albion jusqu'en 2014, et ce dès à présent.
Devant l’émoi suscité en Angleterre par ce geste s’apparentant à un salut nazi inversé, le joueur avait indiqué qu’il n’était «ni antisémite ni raciste»dédicaceanti-systèmeEn ce qui concerne les ministres qui donnent leurs propres interprétations de ma quenelle, ce sont eux qui créent l'amalgame et la polémique sans savoir ce que signifie vraiment ce geste ! Je demanderai donc aux gens de ne pas se faire duper par les médias. Et bien sûr, je ne suis ni antisémite ni raciste et j'assume totalement mon gesteSuite à cette affaire embarrassante, le club de Birmingham, qui avait vu son sponsor principal Zoopla se désengager, avait ouvert une enquête interne sur le geste du joueur. Les conclusions devaient être rendues ce week end. Le club, qui n’avait pas exclu la possibilité de renvoyer Nicolas Anelka, n’a pu trouver un terrain d’entente avec lui en vue d’une réintégration. Arrivé en juillet 2013 à WBA (2 buts en 12 matches), le joueur dont la carrière a été jalonnée de nombreuses polémiques (avec en point d’orgue les insultes proférées à l’encontre de Raymond Domenech lors Mondial-2010), quitte avec perte et fracas son onzième club. Sans doute le dernier.
Dans un communiqué, West Bromwich Albion a réagi à l'annonce de Nicolas Anelka, indiquant avoir résilié son contrat avec le club anglais : «Le club prend note des commentaires de Nicolas Anelka sur Twitter ce vendredi soir. Cependant, le club n'a rien reçu de la part de Nicolas Anelka ou de ses conseillers concernant une résiliation de contrat.»
Prisonnier de son personnage, Nicolas Anelka aura ainsi affiché sa posture de rebelle de bout en bout de sa carrière. Alors que la Fédération anglaise a indiqué la veille qu’elle ne ferait pas appel pour alourdir sa suspension cinq matches et son amende de 97 000 euros suite à sa «quenelle», le joueur français s’est lui-même mis hors-jeu en annonçant vendredi sur les réseaux sociaux qu'il mettait un terme à son contrat avec le club anglais West Bromwich Albion.
«Suite aux entretiens entre le club et moi, des propositions m'ont été faites pour que je réintègre le groupe sous certaines conditions que je ne peux pas accepter. Souhaitant garder mon intégrité, j'ai donc pris la décision de me libérer et de mettre fin au contrat me liant avec West Bromwich Albion jusqu'en 2014, et ce dès à présent.
Devant l’émoi suscité en Angleterre par ce geste s’apparentant à un salut nazi inversé, le joueur avait indiqué qu’il n’était «ni antisémite ni raciste»dédicaceanti-systèmeEn ce qui concerne les ministres qui donnent leurs propres interprétations de ma quenelle, ce sont eux qui créent l'amalgame et la polémique sans savoir ce que signifie vraiment ce geste ! Je demanderai donc aux gens de ne pas se faire duper par les médias. Et bien sûr, je ne suis ni antisémite ni raciste et j'assume totalement mon gesteSuite à cette affaire embarrassante, le club de Birmingham, qui avait vu son sponsor principal Zoopla se désengager, avait ouvert une enquête interne sur le geste du joueur. Les conclusions devaient être rendues ce week end. Le club, qui n’avait pas exclu la possibilité de renvoyer Nicolas Anelka, n’a pu trouver un terrain d’entente avec lui en vue d’une réintégration. Arrivé en juillet 2013 à WBA (2 buts en 12 matches), le joueur dont la carrière a été jalonnée de nombreuses polémiques (avec en point d’orgue les insultes proférées à l’encontre de Raymond Domenech lors Mondial-2010), quitte avec perte et fracas son onzième club. Sans doute le dernier.
Dans un communiqué, West Bromwich Albion a réagi à l'annonce de Nicolas Anelka, indiquant avoir résilié son contrat avec le club anglais : «Le club prend note des commentaires de Nicolas Anelka sur Twitter ce vendredi soir. Cependant, le club n'a rien reçu de la part de Nicolas Anelka ou de ses conseillers concernant une résiliation de contrat.»