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salam

@Septime je sais que tu as une certaine experience dans ce domaine

mais ma demande s'adresse à tous ceux qui ont des bon plan ou un savoir dans ce domaine

pour le moment je formule ma demande comme suit peut etre que je preciserai ma demande au fure et à mesure

je cherche tout ce qui pourrai m'aider à amelioré ma facon de m'exprimer que ca soit par ordre de priorité à l'oral à l'ecrit et la lecture
je ne parle pas des regles d'orthographe et de grammaire
mais de tout ce qui permet de mieu exprimer sa pensé que se soit l'eloquence la concision le style l'accroche etc ...
que se soit sous forme de conseil d'astuce un site internet une video des cours en ligne gratuit des livres etc ...

si vous avez des romans en particulier dont les auteurs sont reputé pour la qualité de leur ecrit de preference contemporain
j'aprecie en general la facon dont la noblesse de l'epoque avait de s'exprimer dans les film mais cela sonnerai trop bizarre de nos jours ...
La lecture, les articles de journaux, écouter la radio, parler avec des personnes instruites, etc...
 
Rêve.
Il me semblait que tout fût brumeux et nacré autour de moi,
avec des présences multiples et indistinctes,
parmi lesquelles cependant se dessinait assez nettement la seule figure d'un homme jeune
dont le cou trop long semblait annoncer déjà par lui-même le caractère à la fois lâche et rouspéteur du personnage. Le ruban de son chapeau était remplacé par une ficelle tressée.
Il se disputait ensuite avec un individu que je ne voyais pas,
puis, comme pris de peur, il se jetait dans l'ombre d'un couloir.
Une autre partie du rêve me le montre marchant en plein soleil devant la gare Saint-Lazare.
Il est avec un compagnon qui lui dit : «tu devrais faire ajouter un bouton à ton pardessus.»
Là-dessus, je m'éveillai.



Pronostication.
Lorsque viendra midi, tu te trouveras sur la plate-forme arrière d'un autobus
où s'entasseront des voyageurs parmi lesquels tu remarqueras un ridicule jouvenceau :
cou squelettique et point de ruban au feutre mou.
Il ne se trouvera pas bien, ce petit.
Il pensera qu'un monsieur le pousse exprès, chaque fois qu'il passe des gens qui montent ou descendent.
Il le lui dira, mais l'autre ne répondra pas, méprisant.
Et le ridicule jouvenceau, pris de panique, lui filera sous le nez, vers une place libre.
Tu le reverras un peu plus tard, cour de Rome, devant la gare Saint-Lazare.
Un ami l'accompagnera, et tu entendras ces paroles :
«ton pardessus ne croise pas bien ; il faut que tu y fasses ajouter un bouton.»


L'arc-en-ciel.
Un jour, je me trouvai sur la plate-forme d'un autobus violet.
Il y avait là un jeune homme assez ridicule : cou indigo, cordelière au chapeau.
Tout d'un coup, il proteste contre un monsieur bleu.
Il lui reproche notamment, d'une voix verte,
de le bousculer chaque fois qu'il descend des gens.
Ceci dit, il se précipite, vers une place jaune, pour s'y asseoir.
Deux heures plus tard, je le rencontre devant une gare orangée.
Il est avec un ami qui lui conseille de faire ajouter un bouton à son pardessus rouge.



Hésitations.
Je ne sais pas très bien où ça se passait… dans une église, une poubelle, un charnier ?
Un autobus peut être ?
Il y avait là… mais qu'est-ce qu'il y avait donc là ? Des œufs, des tapis, des radis ? Des squelettes? Oui, mais avec encore leur chair autour, et vivants. Je crois bien que c'est ça. Des gens dans un autobus. Mais il y en avait un (ou deux ?) qui se faisait remarquer, je ne sais plus très bien par quoi. Par sa mégalomanie ? Par son adiposité ? Par sa mélancolie ? Mieux… plus exactement… par sa jeunesse ornée d'un long… nez ? menton ? pouce ? non : cou, et d'un chapeau étrange, étrange, étrange. Il se prit de querelle, oui c'est ça, avec sans doute un autre voyageur (homme ou femme ? enfant ou vieillard ?) Cela se termina, cela finit bien par se terminer d'une façon quelconque, probablement par la fuite de l'un des deux adversaires. Je crois bien que c'est le même personnage que je rencontrai, mais où ? Devant une église ? devant un charnier ? devant une poubelle ? Avec un camarade qui devait lui parler de quelque chose, mais de quoi ? de quoi ? de quoi ?



Précisions.
Dans un autobus de la ligne S, long de 10 mètres, large de 2,1, haut de 3,5, à 3 km. 600
de son point de départ, alors qu'il était chargé de 48 personnes, à 12 h. 17,
un individu de sexe masculin, âgé de 27 ans 3 mois 8 jours, taille de 1 m 72 et pesant 65 kg
et portant sur la tête un chapeau haut de 17 centimètres dont la calotte était entourée d'un ruban long de 35 centimètres,
interpelle un homme âgé de 48 ans 4 mois 3 jours et de taille 1 m 68 et pesant 77 kg.,
au moyen de 14 mots dont l'énonciation dura 5 secondes et qui faisaient allusion
à des déplacements involontaires de 15 à 20 millimètres.
Il va ensuite s'asseoir à quelque 2 m. 10 de là.
118 minutes
plus tard il se trouvait à 10 mètres de la gare Saint-Lazare, entrée banlieue,
et se promenait de long en large sur un trajet de 30 mètres
avec un camarade âgé de 28 ans,taille 1 m. 70 et pesant 71 kg.
qui lui conseilla en 15 mots de déplacer de 5 centimètres, dans la direction du zénith,
un bouton de 3 centimètres de diamètre.
 
Dernière édition:
Le côté subjectif.
Je n'étais pas mécontent de ma vêture
, ce jourd'hui.
J'inaugurai un nouveau chapeau, assez coquin,
et un pardessus dont je pensai grand bien.
Rencontré X devant la gare Saint-Lazare qui essaye de gâcher mon plaisir en essayant de me démontrer que ce pardessus est trop échancré et que j'y devrais rajouter un bouton supplémentaire.
Il n'a tout de même pas osé s'attaquer à mon couvre-chef.
Un peu auparavant, rembarré de belle façon une sorte de goujat qui faisait exprès de me brutaliser chaque fois qu'il passait du monde, à la descente ou à la montée.
Cela se passait dans un de ces immondes autobi qui s'emplissent de populus précisément aux heures où je dois consentir à les utiliser.



Autre subjectivité.
Il y avait aujourd'hui dans l'autobus à côté de moi, sur la plate-forme,
un de ces morveux comme on n'en fait guère,
heureusement, sans ça je finirais par en tuer un.
Celui-là, un gamin dans les vingt-six, trente ans, m'irritait tout spécialement non pas tant à cause de son grand cou de dindon déplumé que par la nature du ruban de son chapeau, ruban réduit à une sorte de ficelle de teinte aubergine.
Ah ! le ****** ! Ce qu'il me dégoütait ! comme il y avait beaucoup de monde dans notre autobus à cette heure-là, je profitais des bousculades qui ont lieu à la montée ou à la descente pour lui enfoncer mon coude entre les côtelettes. Il finit par s'esbigner lâchement avant que je me décide à lui marcher un peu sur les arpions pour lui faire les pieds.
Je lui aurais dit aussi, afin de le vexer, qu'il manquait un bouton à son pardessus trop échancré.



Récit.
Un jour vers midi du côté du parc Monceau, sur la plate-forme arrière d'un autobus à peu près complet de la ligne S (aujourd'hui 84),
j'aperçus un personnage au cou fort long qui portait un feutre mou entouré d'un galon tressé au lieu de ruban.
Cet individu interpella tout à coup son voisin en prétendant que celui-ci faisait exprès de lui marcher sur les pieds chaque fois qu'il montait ou descendait des voyageurs.
Il abandonna d'ailleurs rapidement la discussion pour se jeter sur une place devenue libre.
Deux heures plus tard, je le revis devant la gare Saint-Lazare en grande conversation avec un ami qui lui conseillait de diminuer l'échancrure de son pardessus en en faisant remonter le bouton supérieur par quelque tailleur compétent.


Négativités.
Ce n'était ni un bateau, ni un avion, mais un moyen de transports terrestre.
Ce n'était ni le matin, ni le soir, mais midi.
Ce n'était ni un bébé, ni un vieillard, mais un homme jeune.
Ce n'était ni un ruban, ni une ficelle, mais du galon tressé.
Ce n'était ni une procession, ni une bagarre, mais une bousculade.
Ce n'était ni un aimable, ni un méchant, mais un rageur.
Ce n'était ni une vérité, ni un mensonge, mais un prétexte.
Ce n'était ni un debout, ni un gisant, mais un voulant-être assis.
Ce n'était ni la veille, ni le lendemain, mais le jour même.
Ce n'était ni la gare du nord, ni la gare du p.-l.- m. mais la gare Saint-Lazare.
ce n'était ni un parent, ni un inconnu, mais un ami.
Ce n'était ni une injure, ni une moquerie, mais un conseil vestimentaire


Animisme.
Un chapeau mou, brun, fendu, les bords baissés, la forme entourée d'une tresse de galon,
un chapeau se tenait parmi les autres, tressautant seulement des inégalités du sol transmises par les roues du véhicule automobile qui le transportait, lui le chapeau.
à chaque arrêt, les allées et venues des voyageurs lui donnaient des mouvements latéraux parfois assez prononcés, ce qui finit par le fâcher, lui le chapeau.
Il exprima son ire par l'intermédiaire d'une voix humaine à lui rattachée par une masse de chair structuralement disposée autour d'une quasi-sphère osseuse perforée de quelques trous qui se trouvait sous lui, lui le chapeau.
Puis il alla soudain s'asseoir, lui le chapeau.
Une ou deux heures plus tard je le revis se déplaçant à quelque un mètre soixante-six au-dessus du sol et de long en large devant la gare Saint-Lazare, lui le chapeau.
Un ami lui conseillait de faire ajouter un bouton supplémentaire à son pardessus… un bouton supplémentaire… à son pardessus… lui dire ça… à lui… lui le chapeau…
 
Dernière édition:
Lettre officielle.
J'ai l'honneur de vous informer des faits suivants
dont j'ai pu être le témoin aussi impartial qu'horrifié.

Ce jour même, aux environs de midi, je me trouvais sur la plate-forme d'un autobus qui remontait la rue de Courcelles en direction de la place Champerret. Ledit autobus était complet, plus que complet même, oserai-je dire,
car le receveur avait pris en surcharge plusieurs impétrants, sans raison valable et mû par une bonté d'âme exagérée qui le faisait passer outre aux règlements et qui, par suite, frisait l'indulgence.
à chaque arrêt, les allées et venues des voyageurs descendants et montants ne manquaient pas de provoquer une certaine bousculade qui incita l'un de ces voyageurs à protester, mais non sans timidité.
Je dois dire qu'il alla s'asseoir dès que la chose fut possible
J'ajouterai à ce bref récit cet addendum :
j'eus l'occasion d'apercevoir ce voyageur quelque temps après en compagnie d'un personnage que je n'ai pu identifier. La conversation qu'ils échangeaient avec animation semblait avoir trait à des questions de nature esthétique.
Étant données ces conditions, je vous prie de vouloir bien, monsieur, m'indiquer les conséquences que je dois tirer de ces faits et l'attitude qu'ensuite il vous semblera bon que je prenne dans la conduite de ma vie subséquente. Dans l'attente de votre réponse, je vous assure, monsieur, de ma parfaite considération empressée au moins.



Prière d'insérer.
Dans son nouveau roman, traité avec le brio qui lui est propre, le célèbre romancier X, à qui nous devons déjà tant de chefs-d'oeuvre, s'est appliqué à ne mettre en scène que des personnages bien dessinés et agissant dans une atmosphère compréhensible par tous, grands et petits. L'intrigue tourne donc autour de

la rencontre dans un autobus du héros de cette histoire et d'un personnage assez énigmatique qui se querelle avec le premier venu. Dans l'épisode final, on voit ce mystérieux individu écoutant avec la plus grande attention les conseils d'un ami, maître ès dandysme. Le tout donne une impression charmante que le romancier X a burinée avec un rare bonheur


Ignorance.
Moi, je ne sais pas ce qu'on me veut.
Oui
, j'ai pris l'S vers midi. Il y avait du monde ? Bien sür, à cette heure-là.
Un jeune homme avec un chapeau mou ? C'est bien possible. Moi, je n'examine pas les gens sous le nez. Je m'en fous.
Une espèce de galon tressé ? Autour du chapeau ? Je veux bien que ça soit une curiosité, mais moi, ça ne me frappe pas autrement. Un galon tressé… Il s'aurait querellé avec un autre monsieur ? C'est des choses qu'arrivent. Et ensuite je l'aurais de nouveau revu une heure ou deux plus tard ? Pourquoi pas ? Il y a des choses encore plus curieuses dans la vie. Ainsi, je me souviens que mon père me racontait souvent que…
 
Passé indéfini.
Je suis monté dans l'autobus de la porte Champerret.
Il y avait beaucoup de monde, des jeunes, des vieux, des femmes, des militaires.
J'ai payé ma place et puis j'ai regardé autour de moi. Ce n'était pas très intéressant.
J'ai quand même fini par remarquer
un jeune homme dont j'ai trouvé le cou trop long.
J'ai examiné son chapeau et je me suis aperçu qu'au lieu d'un ruban il y avait un galon tressé.
Chaque fois qu'un nouveau voyageur montait, ça faisait de la bousculade.
Je n'ai rien dit, mais le jeune homme au long cou a tout de même interpellé son voisin.
Je n'ai pas entendu ce qu'il lui a dit, mais ils se sont regardés d'un sale oeil.
Alors, le jeune homme au long cou est allé s'asseoir précipitamment.
En revenant de la porte Champerret, je suis passé devant la gare Saint-Lazare.
J'ai vu mon type qui discutait avec un copain. Celui-ci a désigné du doigt un bouton juste au-dessus de l'échancrure du pardessus. Puis l'autobus m'a emmené et je ne les ai plus vus. J'étais assis et je n'ai pensé à rien.

Présent.
À midi, la chaleur s'étale autour des pieds des voyageurs d'autobus.
Que, placée sur un long cou, une tête stupide ornée d'un chapeau grotesque vienne à s'enflammer,
aussitôt pète la querelle. Pour foirer bien vite d'ailleurs, en une atmosphère lourde pour porter encore trop vivantes de bouche à oreille des injures définitives.
Alors, on va s'asseoir à l'intérieur, au frais.
Plus tard peuvent se poser, devant des gares aux cours doubles, des questions vestimentaires,
à propos de quelque bouton que des doigts gras de sueur tripotent avec assurance.



Passé simple.
Ce fut midi. Les voyageurs montèrent dans l'autobus. On fut serré.
Un jeune monsieur porta sur sa tête un chapeau entouré d'une tresse, non d'un ruban.
Il eut un long cou. Il se plaignit auprès de son voisin des bousculades que celui-ci lui infligea.
Dès qu'il aperçut une place libre, il se précipita vers elle et s'y assit.
Je l'aperçus plus tard devant la gare Saint-Lazare.
Il se vêtit d'un pardessus et un camarade qui se trouva là lui fit cette remarque :
il fallut mettre un bouton supplémentaire.


Imparfait.
C'était midi. Les voyageurs montaient dans l'autobus. On était serré.
Un jeune monsieur portait sur sa tête un chapeau qui était entouré d'une tresse et non d'un ruban.
Il avait un long cou. Il se plaignait auprès de son voisin des bousculades que ce dernier lui infligeait.
Dès qu'il apercevait une place libre, il se précipitait vers elle et s'y asseyait.
Je l'apercevais plus tard, devant la gare Saint-Lazare.
Il se vêtait d'un pardessus et un camarade qui se trouvait là lui faisait cette remarque :
il fallait mettre un bouton supplémentaire.
 
Polyptotes.
Je montai dans un autobus plein de contribuables
qui
donnaient des sous à un contribuable
qui
avait sur son ventre de contribuable une petite boîte
qui contribuait à permettre aux autres contribuables de continuer leur trajet de contribuables.
Je remarquai dans cet autobus un contribuable au long cou de contribuable
et dont la tête de contribuable supportait un chapeau mou de contribuable
ceint d'une tresse comme jamais n'en porta contribuable.
Soudain le dit contribuable interpelle un contribuable de voisin en lui reprochant amèrement de lui marcher exprès sur ses pieds de contribuable chaque fois que d'autres contribuables montaient ou descendaient de l'autobus pour contribuables. Puis le contribuable irrité alla s'asseoir à la place pour contribuable que venait de laisser libre un autre contribuable.
Quelques heures de contribuable plus tard, je l'aperçus dans la cour pour contribuables de Rome, en compagnie d'un contribuable qui lui donnait des conseils d'élégance de contribuable.


Moi je.
Moi je comprends ça :
un type qui s'acharne à vous marcher sur les pinglots, ça vous fout en rogne.
Mais après avoir protesté aller s'asseoir comme un péteux, moi, je comprends pas ça.
Moi j'ai vu ça l'autre jour sur la plate-forme arrière d'un autobus S.
Moi je lui trouvais le cou un peu long à ce jeune homme et aussi bien rigolote cette espèce de tresse qu'il avait autour de son chapeau.
Moi jamais j'oserais me promener avec un couvre-chef pareil.
Mais c'est comme je vous le dis, après avoir gueulé contre un autre voyageur qui lui marchait sur les pieds,
ce type est allé s'asseoir sans plus.
Moi, je lui aurais foutu une baffe à ce ****** qui m'aurait marché sur les pieds.
Il y a des choses curieuses dans la vie, moi je vous le dis, il n'y a que les montagnes qui ne se rencontrent pas. Deux heures plus tard,
moi je rencontre de nouveau ce garçon.
Moi, je l'aperçois devant la gare Saint-Lazare.
Moi, je le vois en compagnie d'un copain de sa sorte qui lui disait,
moi je l'ai entendu : «tu devrais remonter ce bouton-là.»
Moi, je l'ai bien vu, il désignait le bouton supérieur.


Exclamations.
Tiens ! Midi ! temps de prendre l'autobus ! que de monde ! que de monde ! ce qu'on est serré ! marrant !ce gars-là ! quelle trombine ! et quel cou ! soixante-quinze centimètres ! au moins ! et le galon ! le galon !je n'avais pas vu ! le galon ! c'est le plus marant ! ça ! le galon ! autour de son chapeau ! Un galon ! marrant ! absolument marrant ! ça y est le voilà qui râle ! le type au galon ! contre un voisin ! qu'est-ce qu'il lui raconte ! l'autre ! lui aurait marché sur les pieds ! ils vont se fiche des gifles ! pour sür ! mais non ! mais si ! va h y ! va h y ! mords y l'œil ! fonce ! cogne ! mince alors ! mais non ! il se dégonfle !le type ! au long cou ! au galon ! c'est sur une place vide qu'il fonce ! oui ! le gars ! eh bien ! vrai ! non ! je ne me trompe pas ! c'est bien lui ! là-bas ! dans la Cour de Rome ! devant la gare Saint-Lazare ! qui se balade en long et en large ! avec un autre type ! et qu'est-ce que l'autre lui raconte ! qu'il devrait ajouter un bouton ! oui ! un bouton à son pardessus ! À son pardessus !


Alors.
Alors l'autobus est arrivé.
Alors j'ai monté dedans.
Alors j'ai vu un citoyen qui m'a saisi l'œil.
Alors j'ai vu son long cou et j'ai vu la tresse qu'il y avait autour de son chapeau.
Alors il s'est mis à pester contre son voisin qui lui marchait alors sur les pieds.
Alors, il est allé s'asseoir.
Alors, plus tard, je l'ai revu Cour de Rome.
Alors il était avec un copain.
Alors, il lui disait, le copain : tu devrais faire mettre un autre bouton à ton pardessus.
Alors.
 
Polyptotes.
Je montai dans un autobus plein de contribuables
qui
donnaient des sous à un contribuable
qui
avait sur son ventre de contribuable une petite boîte
qui contribuait à permettre aux autres contribuables de continuer leur trajet de contribuables.
Je remarquai dans cet autobus un contribuable au long cou de contribuable
et dont la tête de contribuable supportait un chapeau mou de contribuable
ceint d'une tresse comme jamais n'en porta contribuable.
Soudain le dit contribuable interpelle un contribuable de voisin en lui reprochant amèrement de lui marcher exprès sur ses pieds de contribuable chaque fois que d'autres contribuables montaient ou descendaient de l'autobus pour contribuables. Puis le contribuable irrité alla s'asseoir à la place pour contribuable que venait de laisser libre un autre contribuable.
Quelques heures de contribuable plus tard, je l'aperçus dans la cour pour contribuables de Rome, en compagnie d'un contribuable qui lui donnait des conseils d'élégance de contribuable.


Moi je.
Moi je comprends ça :
un type qui s'acharne à vous marcher sur les pinglots, ça vous fout en rogne.
Mais après avoir protesté aller s'asseoir comme un péteux, moi, je comprends pas ça.
Moi j'ai vu ça
l'autre jour sur la plate-forme arrière d'un autobus S.
Moi je lui trouvais le cou un peu long à ce jeune homme et aussi bien rigolote cette espèce de tresse qu'il avait autour de son chapeau.
Moi jamais j'oserais me promener avec un couvre-chef pareil.
Mais c'est comme je vous le dis, après avoir gueulé contre un autre voyageur qui lui marchait sur les pieds,
ce type est allé s'asseoir sans plus.
Moi, je lui aurais foutu une baffe à ce ****** qui m'aurait marché sur les pieds.
Il y a des choses curieuses dans la vie, moi je vous le dis, il n'y a que les montagnes qui ne se rencontrent pas. Deux heures plus tard,
moi je rencontre de nouveau ce garçon.
Moi, je l'aperçois devant la gare Saint-Lazare.
Moi, je le vois en compagnie d'un copain de sa sorte qui lui disait,
moi je l'ai entendu : «tu devrais remonter ce bouton-là.»
Moi, je l'ai bien vu, il désignait le bouton supérieur.


Exclamations.
Tiens ! Midi ! temps de prendre l'autobus ! que de monde ! que de monde ! ce qu'on est serré ! marrant !ce gars-là ! quelle trombine ! et quel cou ! soixante-quinze centimètres ! au moins ! et le galon ! le galon !je n'avais pas vu ! le galon ! c'est le plus marant ! ça ! le galon ! autour de son chapeau ! Un galon ! marrant ! absolument marrant ! ça y est le voilà qui râle ! le type au galon ! contre un voisin ! qu'est-ce qu'il lui raconte ! l'autre ! lui aurait marché sur les pieds ! ils vont se fiche des gifles ! pour sür ! mais non ! mais si ! va h y ! va h y ! mords y l'œil ! fonce ! cogne ! mince alors ! mais non ! il se dégonfle !le type ! au long cou ! au galon ! c'est sur une place vide qu'il fonce ! oui ! le gars ! eh bien ! vrai ! non ! je ne me trompe pas ! c'est bien lui ! là-bas ! dans la Cour de Rome ! devant la gare Saint-Lazare ! qui se balade en long et en large ! avec un autre type ! et qu'est-ce que l'autre lui raconte ! qu'il devrait ajouter un bouton ! oui ! un bouton à son pardessus ! À son pardessus !


Alors.
Alors l'autobus est arrivé.
Alors j'ai monté dedans.
Alors j'ai vu un citoyen qui m'a saisi l'œil.
Alors j'ai vu son long cou et j'ai vu la tresse qu'il y avait autour de son chapeau.
Alors il s'est mis à pester contre son voisin qui lui marchait alors sur les pieds.
Alors, il est allé s'asseoir.
Alors, plus tard, je l'ai revu Cour de Rome.
Alors il était avec un copain.
Alors, il lui disait, le copain : tu devrais faire mettre un autre bouton à ton pardessus.
Alors.
petit resumé peut prevenir d un ulcère mon cher typologie
 
salam

@Septime je sais que tu as une certaine experience dans ce domaine

mais ma demande s'adresse à tous ceux qui ont des bon plan ou un savoir dans ce domaine

pour le moment je formule ma demande comme suit peut etre que je preciserai ma demande au fure et à mesure

je cherche tout ce qui pourrai m'aider à amelioré ma facon de m'exprimer que ca soit par ordre de priorité à l'oral à l'ecrit et la lecture
je ne parle pas des regles d'orthographe et de grammaire
mais de tout ce qui permet de mieu exprimer sa pensé que se soit l'eloquence la concision le style l'accroche etc ...
que se soit sous forme de conseil d'astuce un site internet une video des cours en ligne gratuit des livres etc ...

si vous avez des romans en particulier dont les auteurs sont reputé pour la qualité de leur ecrit de preference contemporain
j'aprecie en general la facon dont la noblesse de l'epoque avait de s'exprimer dans les film mais cela sonnerai trop bizarre de nos jours ...



Pour l’expression écrite : lire et écrire énormément mais malheureusement la nature fait que certains sont privilégiés

Pour l’expression orale : s’entraIner mais malheureusement la nature fait que certains sont privilégiés
 
c est prouvé scientifiquement .;
les topic de typo
vous donne envie de faire dodo
ou popo .. hey je tiens un rap je crois : p)
 
cependant , dans
ALORS
Alors j'ai monté dedans.
........................non............Alors je suis monté dedans :)



mam

effectivement ... alors je suis monté dedans ..
en soupirant ..
refermant la porte derrière moi ..

et me suis sauvé par la fenêtre avec mon ballon : )

 
mon dieu .. raremment vu ou lu . c est au un choix .. un topic qui m ai autant donné envie dormir : : / .. c est d un ennui

c quoi le probleme tu n'aimes pas raymond quenau
j'ai fan en general les histoire qui se repete sous different angles :
https://www.bladi.info/threads/lexique-concepts-clef-pensees.475077/#post-16145498


en faite je sais c quoi le probleme tu vas me dire que l'on apprend pas à ecrire avec des regles
tu va me parlé d'etre humble de laché prise d'inspiration d'akasha de transcendance de possession et ne pas oublié le plus important d'une bonne dose d'amour et de passion tu voi j'apprend vite ... :D
et je suis d'accord ...
 
c est prouvé scientifiquement .;
les topic de typo
vous donne envie de faire dodo
ou popo .. hey je tiens un rap je crois : p)

mes topic sont une merveille d'ingenierie c juste qu'il sont incompris
peut etre que dans un futur lointain quand la technologie sera suffisament avancé on pourra enfin dechiffrer tout les sagesse quel contienne :D
 
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