Après la mort d'Amina Fillali : Zakaria Boualem est horrifié

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Non mais il invente la conversation, si t'as pas compris, hein, :prudent:
Je l'ai trouvé drôle :D
J'espère qu'ils vont supprimer cette loi. Et d'ailleurs, ils devraient juger le violeur, le juge et les parents de la fille.
 
Non mais il invente la conversation, si t'as pas compris, hein, :prudent:
Je l'ai trouvé drôle :D
J'espère qu'ils vont supprimer cette loi. Et d'ailleurs, ils devraient juger le violeur, le juge et les parents de la fille.

Il écrit nul part que c'est inventé et je vois pas l'intérêt de le faire en impliquant des personnes réel et endeuillés
 
Les déclarations du ministre de la Justice et des libertés Mustapha Ramid, par voie de communiqué, au sujet de l’affaire de la jeune adolescente Amina, suscitent la colère et l’indignation des féministes. Fouzia Assouli, présidente de la Fédération de la ligue démocratique des droits des femmes, monte au créneau pour dénoncer ce qu’elle qualifie « d’ingérence » dans les affaires de la justice. « C’est malheureux que ces propos proviennent du ministre de la Justice censé rendre justice aux victimes, et de surcroît d’un ancien avocat », s’indigne cette militante chevronnée des droits des femmes, avant de poursuivre : « Les déclarations du ministre sont scandaleuses car il s’agit d’une ingérence dans les affaires de la justice. L’enquête est toujours en cours et la justice n’a pas dit son dernier mot. Ses déclarations peuvent influencer la justice puisqu’elles sont une affirmation de l’innocence de l’accusé des conséquences de la violence psychologique et physique qu’il a exercées sur la mineure Amina ». Fouzia Assouli rappelle au ministre l’article 109 de la Constitution qui stipule : « Est proscrite toute intervention dans les affaires soumises à la justice. Dans sa fonction judiciaire, le juge ne saurait recevoir d’injonction ou instruction, ni être soumis à une quelconque pression ».
Dénonciation et indignation

La colère de la Fédération de la ligue démocratique des droits des femmes est à son comble. « La mère et le père ont déclaré à 2M que leur fille a été violée sous la menace de l’arme blanche. Amina n’avait que 15 ans au moment des faits. Elle était dans l’enseignement primaire. Les déclarations du ministre sont en contradiction avec les constantes du pays et les engagements pris par l’État au niveau international, en ce qui concerne la protection des droits des enfants et les droits des femmes, en bannissant toute forme de discrimination à l’égard des femmes », poursuit-elle. Pour rappel, le ministre de la Justice et des libertés a affirmé par voie de communiqué que « la jeune adolescente Amina entretenait une relation sexuelle avec l’homme qui l’a épousée durant laquelle elle a perdu sa virginité avec son consentement ». Une déclaration qui a fait sortir la Fédération de la ligue démocratique des droits des femmes de ses gonds. « On s’attendait à ce que le ministre rende justice à cette famille pauvre. Si cette dernière était riche, je doute fort qu’il tienne de tels propos ou que le violeur échappe à la condamnation », lance-t-elle. Le père de la victime a également affirmé, dans sa déclaration à 2M, que le violeur a été arrêté par la police et que la proposition du mariage a été faite par le procureur général du roi.

http://www.lesoir-echos.com/affaire-amina -la-polemique-enfle/societe/48151/
 
Et Si Amina n'avait pas été violée mais était dans une relation mineure -adulte majeure et si elle ne s'était pas suicidée mais avait été tuée. tous les médias ont vendu une version des fats. Mais à qui appartient cette version. Est elle la vérité ?.
 
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