Atteintes à la laïcité en milieu scolaire : les messages d'incitation se multiplient et inquiètent

Encadrement du vetement, donc, pareil :)

Une fois de plus tu essaies lamentablement de te raccrocher aux branches, avec une malhonnêteté qui dépasse l'entendement.

En France, on peut s'habiller comme on veut, si l'on n'est pas nu ou le visage masqué.

Chez tes copains taliban ou ayatollahs, il y a des vêtements sont imposés aux femmes.
Et en plus, les femmes qui ne respectent pas la loi risquent leur vie...


Bref, tes contorsions pour défendre l'indéfendable sont tout simplement ridicules ;)
 

mioulo

VIB
Y a ça et le fait qu'il n'a aucune pudeur et pourrait facilement de balader à poil en famille dans la rue... A choisir il préfère voir sa fille se promener nue plutôt que voilée... C'est fou...
J'en ai bien l'impression.

Ce qui est incohérent et totalement hypocrite c'est de dénoncer un encadrement de l'habillement en Iran mais de dire que si la France prend des mesures pour encadrer la façon de s'habiller des citoyens c'est normal.

Un complexe de supériorité, ces gens veulent effacer la culture des autres pour imposer la leur dans le monde entier, des néo colons.
 

mioulo

VIB
Une fois de plus tu essaies lamentablement de te raccrocher aux branches, avec une malhonnêteté qui dépasse l'entendement.

En France, on peut s'habiller comme on veut, si l'on n'est pas nu ou le visage masqué.

Chez tes copains taliban ou ayatollahs, il y a des vêtements sont imposés aux femmes.
Et en plus, les femmes qui ne respectent pas la loi risquent leur vie...


Bref, tes contorsions pour défendre l'indéfendable sont tout simplement ridicules ;)
C'est faux. :)
 
Tu confirmes qu'il y a des interdictions et un encadrement comme en Iran :)

Oui je confirme qu'en France tout vêtement est autorisé. ;)

Et je confirme également qu'en Iran, il y a des vêtements imposés. On peut se faire tuer si on ne les porte pas ;)

 

Chriski

Faite l’humour , pas la guerre.
VIB
Y a ça et le fait qu'il n'a aucune pudeur et pourrait facilement de balader à poil en famille dans la rue... A choisir il préfère voir sa fille se promener nue plutôt que voilée... C'est fou...
Entre le voile et être à poil , il y a toute une panoplie d’habillement , je sais pas si t’es au courant, c’est un réflexe qu’on beaucoups d’extrémistes pour faire passer les occidentales pour des saalopes et justifier bêtement que voile égale pudeur .
 

Chriski

Faite l’humour , pas la guerre.
VIB
Oui et une femme réclame le droit de porter le voile et une femme qui réclame le droit de se balader à poil c'est pareil?...
En France elles ont le droit de porter le voile que je sache , pas de police des mœurs qui vient leur retirer de force , et les musulmanes qui ne veulent pas le porter , ne sont pas obligées , tout l’inverse de L’Iran ou même une touriste chrétienne doit se voiler .
 

Ah bon ? :D

J'en ai bien l'impression.

Ce qui est incohérent et totalement hypocrite c'est de dénoncer un encadrement de l'habillement en Iran mais de dire que si la France prend des mesures pour encadrer la façon de s'habiller des citoyens c'est normal.

Un complexe de supériorité, ces gens veulent effacer la culture des autres pour imposer la leur dans le monde entier, des néo colons.

En Europe, tu peux déambuler dans la rue comme tu veux :
  • aucun vêtement n'est imposé à qui que ce soit
  • aucun vêtement n'est interdit à qui que ce soit
  • les seules règles à respecter sont un minimum de pudeur et le visage découvert.

Au Wahhabistan ou chez les Taliban :
  • il y a des vêtements imposés
  • tous les autres accoutrements sont interdits
  • quiconque enfreint ces règles risque sa vie...

Alors, Stp, arrête de répéter bêtement les arguments de tes copains salafistes, tu en deviens ridicule ;)
 

Chriski

Faite l’humour , pas la guerre.
VIB
Pas partout... La police des moeurs existe aussi en France, en Iran elle agit au nom de l'islam et en France c'est au nom de la "laïcité"...
La police des mœurs en France on l’a retrouve plus dans les quartiers a surveiller les sœurs et a insidieusement instituer le voile avec des remarques sur la pudeur et pleins d’autres formes de pressions . Si en Iran elle agit au nom de l’islam , pourquoi une chrétienne en touriste est OBLIGÉE de le porter ? Le président Iranien , en Amérique a demandé à ce que la journaliste qui l’interroge mette un voile , elle est même pas musulmane et ne vit pas en Iran , le mec se permet ce genre d´exigence en dehors de son pays , dans un pays non régi par l’islam, c’est la qu’on voit que c’est une idéologie qui sert juste à dominer .Le gars et même pas dans son pays et EXIGE qu’une journaliste chrétienne mette un voile pour l’interroger , elle a bien fait de refuser et de ne pas s’abaisser devant une telle ineptie venue d’un autre âge , ceci dit là religion est un bon prétexte pour rendre une foule docile et là contrôler avec des lois « divines » .
 

Chalou

🦟
VIB
Et voila , l’excuse classique du facho ( encore un truc que tous les extrémistes on entre eux pour tenter de mettre fin au dialogue et esquiver les sujets qui fâche et qui existe )
C'est pas une excuse mais un fait... Dans quel quartier y a une police des moeurs qui surveille les "soeurs"?
 

Chriski

Faite l’humour , pas la guerre.
VIB
C'est pas une excuse mais un fait... Dans quel quartier y a une police des moeurs qui surveille les "soeurs"?
Ces deux affirmations font bondir Nadia Benmissi. Et elle n’est pas la seule. Elle ne conteste pas l’offensive salafiste. Elle qui s’est fait traiter de « mécréante » dans la rue parce qu’elle ne portait pas le voile ou qui s’est vu reprocher par un jeune homme, à la sortie d’un supermarché, d’acheter des yaourts non halal. Mais elle refuse que l’on ignore tous ceux qui, comme elle, résistent à cette offensive. Ceux qui sont à la fois les premières cibles de la vague islamiste et aussi le premier rempart. Tous ceux qui, sur le terrain, organisent peu à peu des formes de « microrésistances », selon l’islamologue Rachid Benzine.

« Vous pouvez vous promener en minijupe et manger un sandwich au jambon pendant le ramadan, il ne vous arrivera rien !, nous affirme Nadia Benmissi. En revanche, si vous êtes d’apparence maghrébine, vous aurez des problèmes. Car ce sont les musulmans que les salafistes veulent soumettre. Mais aujourd’hui, les Maghrébins se réveillent. » « S’il s’agissait simplement de lutter contre les barbus dans les mosquées, ce serait plus simple, souligne Nadia Remadna, 53 ans, fondatrice, en 2014, de la Brigade des mères, à Sevran (Seine-Saint-Denis). Mais on ne sait pas qui mène la danse dans les quartiers. Ce sont surtout des jeunes qui passent et mettent la pression. » Sur les femmes comme sur les hommes.
Alors qu’il déjeunait tranquillement à la terrasse d’un café du centre-ville de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), pendant le ramadan avec un ami « blanc », Medhi (le prénom a été changé), la trentaine, entend soudain des cris venant d’une voiture arrêtée au milieu de la rue. Deux jeunes s’adressent « uniquement » à lui et l’insultent – « mécréant », « mauvais musulman » – avant de redémarrer aussi sec. « J’ai une gueule de musulman mais je n’en suis pas un, tempête-t-il. Et même si j’en étais un, qu’on me foute la paix ! » C’est ce que le patron d’un restaurant, situé à quelques dizaines de mètres du café où s’est déroulée cette scène, a répondu à une bande de jeunes en kamis (vêtement long porté par les hommes) venus lui demander, en 2016, d’arrêter de vendre de l’alcool dans son établissement.

A Saint-Denis, comme ailleurs dans certaines banlieues, ce type de comportement se multiplie, nourri par une propagande omniprésente. Dans une librairie musulmane du centre-ville de Saint-Denis, par exemple, les étagères sont remplies de livres pour enfants (la vie des prophètes en dix volumes, le Coran pour les plus jeunes…) et d’ouvrages du type coaching de couple. J’aime mon mari, par exemple, dresse ainsi la liste de « 57 procédés pour raffermir l’amour de ton mari », parmi lesquels « Satisfais ses désirs », « Sois à son service », « Ne hausse pas la voix sur lui », « Parle-lui de sa personne », « Prononce souvent le mot “oui” »…

Au rayon philosophie de l’islam, l’œuvre complète du prédicateur Tariq Ramadan, réputé proche des Frères musulmans. C’est à peu près tout. Impossible de trouver des auteurs tels que Mohammed Arkoun, historien de l’islam et philosophe, à l’origine du dialogue interreligieux, ou Abdelwahab.
En France, les « mauvais musulmans » n’ont, certes, rien à craindre des lois de la République. Mais ils ne sont pas libres pour autant, face à la pression communautaire à laquelle ils sont soumis. Innombrables sont les témoignages en ce sens, qu’ils concernent les établissements universitaires, la vie des quartiers à forte présence musulmane ou les prisons. Officiellement, les responsables du culte musulman ne sont pour rien dans cette situation. Si, au moment de la création du Conseil français du culte musulman, les organisations le composant ont refusé de reconnaître explicitement le droit d’un musulman à quitter l’islam, c’est en affirmant que leur demander de se prononcer sur ce sujet constituait à leur égard une exigence discriminatoire, et que la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales suffisait à assurer ce droit.
LeMonde ( extrait)
 
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Chalou

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VIB
Ces deux affirmations font bondir Nadia Benmissi. Et elle n’est pas la seule. Elle ne conteste pas l’offensive salafiste. Elle qui s’est fait traiter de « mécréante » dans la rue parce qu’elle ne portait pas le voile ou qui s’est vu reprocher par un jeune homme, à la sortie d’un supermarché, d’acheter des yaourts non halal. Mais elle refuse que l’on ignore tous ceux qui, comme elle, résistent à cette offensive. Ceux qui sont à la fois les premières cibles de la vague islamiste et aussi le premier rempart. Tous ceux qui, sur le terrain, organisent peu à peu des formes de « microrésistances », selon l’islamologue Rachid Benzine.

« Vous pouvez vous promener en minijupe et manger un sandwich au jambon pendant le ramadan, il ne vous arrivera rien !, nous affirme Nadia Benmissi. En revanche, si vous êtes d’apparence maghrébine, vous aurez des problèmes. Car ce sont les musulmans que les salafistes veulent soumettre. Mais aujourd’hui, les Maghrébins se réveillent. » « S’il s’agissait simplement de lutter contre les barbus dans les mosquées, ce serait plus simple, souligne Nadia Remadna, 53 ans, fondatrice, en 2014, de la Brigade des mères, à Sevran (Seine-Saint-Denis). Mais on ne sait pas qui mène la danse dans les quartiers. Ce sont surtout des jeunes qui passent et mettent la pression. » Sur les femmes comme sur les hommes.
Alors qu’il déjeunait tranquillement à la terrasse d’un café du centre-ville de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), pendant le ramadan avec un ami « blanc », Medhi (le prénom a été changé), la trentaine, entend soudain des cris venant d’une voiture arrêtée au milieu de la rue. Deux jeunes s’adressent « uniquement » à lui et l’insultent – « mécréant », « mauvais musulman » – avant de redémarrer aussi sec. « J’ai une gueule de musulman mais je n’en suis pas un, tempête-t-il. Et même si j’en étais un, qu’on me foute la paix ! » C’est ce que le patron d’un restaurant, situé à quelques dizaines de mètres du café où s’est déroulée cette scène, a répondu à une bande de jeunes en kamis (vêtement long porté par les hommes) venus lui demander, en 2016, d’arrêter de vendre de l’alcool dans son établissement.

A Saint-Denis, comme ailleurs dans certaines banlieues, ce type de comportement se multiplie, nourri par une propagande omniprésente. Dans une librairie musulmane du centre-ville de Saint-Denis, par exemple, les étagères sont remplies de livres pour enfants (la vie des prophètes en dix volumes, le Coran pour les plus jeunes…) et d’ouvrages du type coaching de couple. J’aime mon mari, par exemple, dresse ainsi la liste de « 57 procédés pour raffermir l’amour de ton mari », parmi lesquels « Satisfais ses désirs », « Sois à son service », « Ne hausse pas la voix sur lui », « Parle-lui de sa personne », « Prononce souvent le mot “oui” »…

Au rayon philosophie de l’islam, l’œuvre complète du prédicateur Tariq Ramadan, réputé proche des Frères musulmans. C’est à peu près tout. Impossible de trouver des auteurs tels que Mohammed Arkoun, historien de l’islam et philosophe, à l’origine du dialogue interreligieux, ou Abdelwahab. LeMonde ( extrait)
J'ai aussi de jolis anecdotes sur des paysans français et leurs remarques assez deplacés à l'encontre de femmes soit trop peu vêtues soit trop "légères" à leurs gouts... Personne n'en fait une police des moeurs paysanne...

Y a des livres sur la religion pour enfants dans une librairie musulmane ?.... Mais c'est affreux, que fait la police?...
Tu te rends compte de ce que tu racontes?
 

Chriski

Faite l’humour , pas la guerre.
VIB
J'ai aussi de jolis anecdotes sur des paysans français et leurs remarques assez deplacés à l'encontre de femmes soit trop peu vêtues soit trop "légères" à leurs gouts... Personne n'en fait une police des moeurs paysanne...

Y a des livres sur la religion pour enfants dans une librairie musulmane ?.... Mais c'est affreux, que fait la police?...
Tu te rends compte de ce que tu racontes?
« Prends bien soin de ton mari » « apprends à dire oui » « satisfait ton mari » des livres pour enfants 😂.Devant tant de mauvaise foi , je m’incline .
 

Chalou

🦟
VIB
« Prends bien soin de ton mari » « apprends à dire oui » « satisfait ton mari » des livres pour enfants 😂.Devant tant de mauvaise foi , je m’incline .

Tu te concentre que sur prends soin de ton mari mais pas prends soin de ton épouse... Tu penses que l'islam c'est deux trois lignes dans un livre pour enfants ? Tu te fous de qui?...

Ce qui te choque c'est quoi? Que ça s'adresse à des enfants?... Que penses-tu alors de l'éducation sexuelle a l'école des un très jeune âge?
 
Dans quel quartier y a une police des moeurs qui surveille les "soeurs"?

Ces deux affirmations font bondir Nadia Benmissi. Et elle n’est pas la seule. Elle ne conteste pas l’offensive salafiste. Elle qui s’est fait traiter de « mécréante » dans la rue parce qu’elle ne portait pas le voile ou qui s’est vu reprocher par un jeune homme, à la sortie d’un supermarché, d’acheter des yaourts non halal. Mais elle refuse que l’on ignore tous ceux qui, comme elle, résistent à cette offensive. Ceux qui sont à la fois les premières cibles de la vague islamiste et aussi le premier rempart. Tous ceux qui, sur le terrain, organisent peu à peu des formes de « microrésistances », selon l’islamologue Rachid Benzine.

« Vous pouvez vous promener en minijupe et manger un sandwich au jambon pendant le ramadan, il ne vous arrivera rien !, nous affirme Nadia Benmissi. En revanche, si vous êtes d’apparence maghrébine, vous aurez des problèmes. Car ce sont les musulmans que les salafistes veulent soumettre. Mais aujourd’hui, les Maghrébins se réveillent. » « S’il s’agissait simplement de lutter contre les barbus dans les mosquées, ce serait plus simple, souligne Nadia Remadna, 53 ans, fondatrice, en 2014, de la Brigade des mères, à Sevran (Seine-Saint-Denis). Mais on ne sait pas qui mène la danse dans les quartiers. Ce sont surtout des jeunes qui passent et mettent la pression. » Sur les femmes comme sur les hommes.
Alors qu’il déjeunait tranquillement à la terrasse d’un café du centre-ville de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), pendant le ramadan avec un ami « blanc », Medhi (le prénom a été changé), la trentaine, entend soudain des cris venant d’une voiture arrêtée au milieu de la rue. Deux jeunes s’adressent « uniquement » à lui et l’insultent – « mécréant », « mauvais musulman » – avant de redémarrer aussi sec. « J’ai une gueule de musulman mais je n’en suis pas un, tempête-t-il. Et même si j’en étais un, qu’on me foute la paix ! » C’est ce que le patron d’un restaurant, situé à quelques dizaines de mètres du café où s’est déroulée cette scène, a répondu à une bande de jeunes en kamis (vêtement long porté par les hommes) venus lui demander, en 2016, d’arrêter de vendre de l’alcool dans son établissement.

A Saint-Denis, comme ailleurs dans certaines banlieues, ce type de comportement se multiplie, nourri par une propagande omniprésente. Dans une librairie musulmane du centre-ville de Saint-Denis, par exemple, les étagères sont remplies de livres pour enfants (la vie des prophètes en dix volumes, le Coran pour les plus jeunes…) et d’ouvrages du type coaching de couple. J’aime mon mari, par exemple, dresse ainsi la liste de « 57 procédés pour raffermir l’amour de ton mari », parmi lesquels « Satisfais ses désirs », « Sois à son service », « Ne hausse pas la voix sur lui », « Parle-lui de sa personne », « Prononce souvent le mot “oui” »…

Au rayon philosophie de l’islam, l’œuvre complète du prédicateur Tariq Ramadan, réputé proche des Frères musulmans. C’est à peu près tout. Impossible de trouver des auteurs tels que Mohammed Arkoun, historien de l’islam et philosophe, à l’origine du dialogue interreligieux, ou Abdelwahab. LeMonde ( extrait)

J'ai logé une étudiante marocaine il y a quelques années, dans un studio inoccupé que ma mère allait vendre.

Elle m'a elle-même raconté la pression qu'elle a pu subir précédemment par des apprentis salafistes, dans un quartier "populaire", pour la seule raison qu'elle ne portait pas de voile...
Et encore, elle faisait attention à son accoutrement quand elle revenait à son domicile...

Un autre exemple, toujours dans ma ville :


Bref, vous pouvez toujours vous "voiler la face" (sans jeu de mots) , mais ce genre de pressions sur les femmes maghrébines existent vraiment, de nos jours, dans certains quartiers en France.
 

Chriski

Faite l’humour , pas la guerre.
VIB
Tu te concentre que sur prends soin de ton mari mais pas prends soin de ton épouse... Tu penses que l'islam c'est deux trois lignes dans un livre pour enfants ? Tu te fous de qui?...

Ce qui te choque c'est quoi? Que ça s'adresse à des enfants?... Que penses-tu alors de l'éducation sexuelle a l'école des un très jeune âge?
En même temps quand tu vois ce genre de sitehttps://islamqa.info/fr/answers/159926/est-il-permis-aux-femmes-de-frequenter-les-piscines-publiques. Les gars font la comparaison entre une femme en maillot de bain et une qui est nue , donc non , t’as pas le droit d’aller à la piscine , car tu n’as le droit de te déshabiller que dans le foyer conjugale , je savais pas qu’à la piscine on s déshabillait devant tout le mode et qu’on nageait nu . Tu fais semblant de ne pas comprendre mon article du Monde qu’on ne peux pas traiter d’islamophobe en le détournant .
 

Chalou

🦟
VIB
En même temps quand tu vois ce genre de sitehttps://islamqa.info/fr/answers/159926/est-il-permis-aux-femmes-de-frequenter-les-piscines-publiques. Les gars font la comparaison entre une femme en maillot de bain et une qui est nue , donc non , t’as pas le droit d’aller à la piscine , car tu n’as le droit de te déshabiller que dans le foyer conjugale , je savais pas qu’à la piscine on s déshabillait devant tout le mode et qu’on nageait nu . Tu fais semblant de ne pas comprendre mon article du Monde qu’on ne peux pas traiter d’islamophobe en le détournant .
C'est ça la police des moeurs des quartiers?
 
Oui mon cheval m'a déjà prévenu...

Ton cheval porte malheureusement des oeillères... :D

Je reposte l'article complet ci-dessous

Samira, une jeune musulmane de 19 ans veut prendre sa carte au Front national. Elle explique pourquoi​

Samira est une jeune niçoise résidente aux Moulins depuis 2006. L'attentat de Nice le 14 juillet l'a confortée dans son choix: elle sera bientôt encartée au Front National.

S. G.Publié le 10/08/2016 à 16:50, mis à jour le 10/08/2016 à 16:46

Samira est décidée. Elle va prendre sa carte au Front national. Ça la titillait depuis quelque temps. Et l’attentat de Nice a, presque, fini de la convaincre. Cette Algérienne d’origine, âgée de 19 ans, habite aux Moulins depuis 10 ans. Musulmane, "pas franchement pratiquante", elle porte, depuis presque trois ans maintenant, le foulard islamique.
Et ce n’est ni par conviction, ni parce qu’elle en a envie. Samira couvre ses cheveux pour "avoir la paix".

"T’es une p..."​

"J’avais tout juste 16 ans, c’est mon frère qui a commencé à me dire de mettre le voile, parce que ses copains du quartier disaient que je n’étais pas une fille bien", raconte la jeune femme. "Ils disaient à mon frère que je cherchais les mecs et que c’était pas bien. Mon frère me faisait une scène tous les soirs, il me disait que je lui faisais honte et que j’étais la honte de la famille".
Samira refuse, dans un premier temps, de capituler. "Et puis, un après-midi, je rentrais des courses, les potes de mon frère ont commencé à me crier dessus. Ils m’ont suivie de l’arrêt de bus jusqu’à l’entrée de l’immeuble. J’ai entendu de tout! "Viens faire un tour ce soir avec nous, nous aussi on veut en profiter". "Toi t’es une ****”. Ils m’ont insultée. Ils me touchaient les cheveux en me disant ça c’est que pour ton mari".

Cette scène s’est renouvelée. Trop souvent. «Mon frère, un jour, était avec eux. De retour à la maison, il a été odieux. Il m’a fait peur». Lasse, la jeune femme ne veut plus "trembler" et décide de mettre ce "fichu voile".

seule source de revenus de sa famille​

"Au départ, je le mettais pour sortir de la maison et ensuite je l’enlevais en ville. Et je le remettais en rentrant", raconte Samira. Jusqu’au jour où, elle croise "deux gars du quartier sur la zone piétonne". "Ils ne m’ont rien dit sur le moment. Mais le lendemain, ils sont venus à la maison. Mon frère leur a ouvert la porte. Ma mère s’est enfermée dans la cuisine. Elle est voilée depuis longtemps mais ne m’a jamais demandé de le mettre. Elle s’en fout. Mon père est parti de la maison quand j’avais 6 ans et on ne l’a plus jamais revu. Mon frère se prend pour le chef de la famille, alors qu’il a 25 ans et qu’il ne bosse pas! C’est moi qui ramène des sous pour nous trois. Ma mère a fermé la porte pour ne pas entendre et ce jour-là, j’ai passé un sale quart d’heure. Mais je ne veux pas en parler", chuchote la jeune femme.
C’était il y a environ deux ans. Depuis Samira ne quitte plus ce voile. Sa seule protection contre la bêtise des "jeunes" de sa cité. Sa garantie d’être "tranquille". Son rempart contre la violence de son frère. Mais elle le vit comme un enfermement. "Je ne l’enlevais que pour travailler. Je suis serveuse dans un restaurant. Je suis droite et honnête, je ne vais pas souvent prier, mais je suis quelqu’un de bien. Je gagne ma vie et je ne fais de mal à personne. Je souffre de ne pas avoir le droit de vivre comme je l’entends. Déjà, je faisais des études et j’ai dû lâcher la fac pour travailler alors que j’ai toujours rêvé d’être traductrice".

des paroles inquiétantes​

Et puis il y a eu l’attentat. Un déclic pour Samira. "Cela faisait un moment que j’essayais de trouver une façon de faire évoluer les mentalités dans le quartier, d’être de nouveau libre, d’autant que parfois il n’y avait pas que des garçons et des hommes qui m’agressaient. Des filles aussi m’ont insultée. Parfois encore plus jeunes que moi".

(...)
 
Fin de l'article...
Se débarrasser du voile? Elle a pensé au FN... "Je pense qu’ils sont les seuls à avoir envie que ça change vraiment. Ils ont envie de faire le ménage dans nos HLM qui se replient de plus en plus sur eux-mêmes. Peut- être que s’ils passent au gouvernement, ils feront des réunions dans les quartiers pour expliquer que chacun a le droit de faire ce qu’il veut et pourquoi pas, que devienne un délit le fait d’insulter une femme parce qu’elle ne veut pas porter le voile".
Le FN, sa solution à ce voile qui l’étouffe, mais pas que... "Depuis l’attentat, j’entends des paroles de la part des jeunes du quartier qui m’inquiètent. Je sais qu’ils ne pensent pas ce qu’ils disent. Je sais qu’ils disent ça pour passer pour des durs, des caïds. Mais quand même, quand j’entends certaines paroles sur la France, ça me fait peur et là encore je me dis que le FN pourra être la solution". Samira veut non seulement adhérer, mais aussi s’investir. "Si je peux aider, je le ferais aussi. Mais pas dans mon quartier, c’est trop risqué pour moi. Je me laisse encore quelque temps de réflexion, j’en parle à des amis. Je me déciderai vraimentàla rentrée, parce que quand même je me dis que moi au FN, il y a quelque chose qui ne va pas". Elle se reprend: "Enfin, non je suis sûre de moi. Il faut tenter le FN dans les quartiers

Bref, comme dit le dicton : "il n'y a pas plus aveugle, que celui qui ne veut pas voir "
;)
 
Tu veux quoi avec ton article ?... justifier le racisme?...


Hormis le vote d'extrême-droite (pas du tout mon bord politique...) suggéré par la victime, je ne vois pas vraiment le rapport entre l'article et le racisme.

Cet article confirme simplement la présence d'une police des moeurs, dominée par les salafistes, dans certains quartiers...
 

Chriski

Faite l’humour , pas la guerre.
VIB
On parles de politique d'État, pas de deux trois guignols à gauche à droite qui n'ont aucun pouvoir...
Ces guignols ont le temps , j’ai déjà vu d’énormes changements dans les quartiers en 30 ans que ce soit Paris , Marseille , Lyon ,Strasbourg, Nantes , ( changement surtout intervenue depuis une dizaine d’années) et j’y vais régulièrement, au moins une vingtaine de fois par an dans ces différentes villes ,que ce soit au niveau vestimentaire , thème des discussions , relationn entre jeunes , religiosité , tout va dans les extrêmes etc , et crois moi les musulmanes Françaises préfèrent largement vivre en France où elles ont le choix ( sauf pour les tenues recouvrant le visage , ce qui est aussi le cas pour un mec qui se ballade avec son casque et sa visière teintée a pied , il sera vite intercepté et ne fera pas 2 kilomètres dans la rue ) qu’en Iran .
 
Elle a été libre de ne pas le porter, libre de voter FN et libre de vivre sa vie comme elle l'entend... Aucune contravention ou peine de prison...

Bah oui, en effet.

Et puis elle est libre de l'enlever, son voile, au risque de se faire insulter par le grand frère et la police des moeurs du quartier (qui n'existe pas)

Mais bon, apparemment, ce ne sont que des délires de fachos islamophobes...

Circulez, y a rien à voir ;)
 

Chalou

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VIB
Ces guignols ont le temps , j’ai déjà vu d’énormes changements dans les quartiers en 30 ans que ce soit Paris , Marseille , Lyon ,Strasbourg, Nantes , ( changement surtout intervenue depuis une dizaine d’années) et j’y vais régulièrement, au moins une vingtaine de fois par an dans ces différentes villes ,que ce soit au niveau vestimentaire , thème des discussions , relationn entre jeunes , religiosité etc , et crois moi les musulmanes Françaises préfèrent largement vivre en France où elles ont le choix ( sauf pour les tenues recouvrant le visage , ce qui est aussi le cas pour un mec qui se ballade avec son casque et sa visière teintée a pied , il sera vite intercepté et ne fera pas 2 kilomètres dans la rue ) qu’en Iran .

Oui en trente ans les tenues vestimentaires ont changés, les modes sont différentes, y avait beaucoup moins de musulmans, y avait pratiquement pas de mosquée...
Et oui les choses changent, elles ne restent pas figées...
Y a aussi beaucoup plus de maghrébins et maghrébines qui sortent, qui vont en boîte de nuit, qui fument qui boivent... Même dans les quartiers beaucoup plus de femmes qui se baladent dans les rues qu'avant, et aussi bien moins habillées qu'avant...
 
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