Au secours ! nos djihadistes reviennent à la maison

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Drianke
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OK, je vois. Donc cessons la polémique là : on pollue le sujet qui, à la base, parlait de que faire de ces revenants maintenant.
on est en plein dans le sujet.
ceux qu'on laisse revenir ne sont peut être pas un danger... les français partis combattre en Syrie et qui sont jugés dangereux pour la France sont assassinés directement là bas par l'armée française...
 
ceux qu'on laisse revenir ne sont peut être pas un danger...

Voui voui voui, ils sont allés chez Daesh pour enfiler des perles... :rolleyes:

Certains de ceux qui sont revenus passent d'ailleurs leur temps à dire qu'ils n'ont rien fait, qu'ils s'occupaient juste de nettoyer les sanitaires. Et tu vois les mêmes sur une vidéo brandissant une tête coupée (mais c'est pas eux qui l'ont coupée hein, eux, ils voulaient juste un selfie avec...)

Bref... j'ai du mal à croire qu'ils n'ont pas de sang directement sur les mains, surtout pour ceux partis après 2014 et qui sont restés longtemps là-bas.
 
Voui voui voui, ils sont allés chez Daesh pour enfiler des perles... :rolleyes:

Certains de ceux qui sont revenus passent d'ailleurs leur temps à dire qu'ils n'ont rien fait, qu'ils s'occupaient juste de nettoyer les sanitaires. Et tu vois les mêmes sur une vidéo brandissant une tête coupée (mais c'est pas eux qui l'ont coupée hein, eux, ils voulaient juste un selfie avec...)

Bref... j'ai du mal à croire qu'ils n'ont pas de sang directement sur les mains, surtout pour ceux partis après 2014 et qui sont restés longtemps là-bas.
y en a qui y sont allé pour combattre daech, l'armée française non plus n'est pas la bas pour enfiler des perles.... http://www.20minutes.fr/monde/syrie...tions-homo-quoi-consistent-executions-ciblees
 
y en a qui y sont allé pour combattre daech, l'armée française non plus n'est pas la bas pour enfiler des perles.... http://www.20minutes.fr/monde/syrie...tions-homo-quoi-consistent-executions-ciblees
Je vais essayer encore^^
Quand bien même on aurait des drones et des bidasses sur place, en quoi cela devrait changer selon toi la prise en charge des "revenants" ? Tu penses vraiment que ce sont tous des gentils qui n'ont pas fait de mal à une mouche quand ils étaient chez Daesh ?
 
Je vais essayer encore^^
Quand bien même on aurait des drones et des bidasses sur place, en quoi cela devrait changer selon toi la prise en charge des "revenants" ? Tu penses vraiment que ce sont tous des gentils qui n'ont pas fait de mal à une mouche quand ils étaient chez Daesh ?
ou j'ai ça ?
j'ai deja repondu à ta question, relis...
on en fait quoi des soldats français qui sot allé en Syrie? tu penses vraiment que ce sont tous des gentils qui n'ont pas fait de mal à une mouche?
 
ou j'ai ça ?
j'ai deja repondu à ta question, relis...
on en fait quoi des soldats français qui sot allé en Syrie? tu penses vraiment que ce sont tous des gentils qui n'ont pas fait de mal à une mouche?
Donc, pour toi, un soldat de l'armée française envoyé au Moyen Orient sur ordre de l'état major et un abruti parti illégalement en Syrie rejoindre un groupe de malfrats égorgeurs, c'est pareil ??
Ouaaah... tu pars de loin là... :eek:
 
Donc, pour toi, un soldat de l'armée française envoyé au Moyen Orient sur ordre de l'état major et un abruti parti illégalement en Syrie rejoindre un groupe de malfrats égorgeurs, c'est pareil ??
Ouaaah... tu pars de loin là... :eek:
t'arrive a comprendre ce que tu lis ou pas? ou t'as vu que j'ai dit que c’était pareil ou pas pareil?
c'est une question...

ce sont des êtres humains qui doivent tous être suivis et surveillés de très près, soldats ou autre...
 
Donc, pour toi, un soldat de l'armée française envoyé au Moyen Orient sur ordre de l'état major et un abruti parti illégalement en Syrie rejoindre un groupe de malfrats égorgeurs, c'est pareil ??
Ouaaah... tu pars de loin là... :eek:


Il inverse la situation : pour lui les djihadistes partis en Syrie sont des gentils alors que les français qui sont là pour traquer des criminels qui ont menacés la France sont considérés comme des terroristes
 
Ouvert fin septembre, le premier centre de déradicalisation est déjà vide !

Non seulement il n’y a jamais abrité les 25 pensionnaires prévus, mais les 9 qui y sont passés ont tous disparu.




Marie Delarue
Ecrivain, musicienne, plasticienne



Vous connaissez Beaumont-en-Véron ? Moi non plus.

À y regarder de plus près, on découvre une jolie petite commune d’Indre-et-Loire, près de Chinon, tapie au pied du coteau crayeux et des vignobles. Le jardin de la France, en somme, Ronsard et les rois de France, la douceur angevine, « Mignonne allons voir si la rose… »

Sauf qu’aujourd’hui, à Beaumont-en-Véron, c’est « Mignonne allons voir les barbus ». Les 2.922 habitants de cette bourgade ont, en effet, eu l’honneur, la joie et l’avantage d’accueillir depuis l’automne dernier le premier centre de « déradicalisation » de France.

Neuf résidents se sont donc installés au centre de Pontourny (c’est son nom). Seulement neuf ? Ben oui. C’est peu, je vous le concède. D’autant qu’on en prévoyait 25, mais il faut croire qu’on ne les a pas trouvés. Ou pas attrapés.

Comme disait la presse lors de son ouverture, fin septembre : « Le centre de prévention, d’insertion et de citoyenneté d’Indre-et-Loire devrait conduire à l’ouverture de douze autres établissements, implantés dans chaque région métropolitaine, d’ici deux ans. Son statut de pionnier laisse entrevoir nombreuses incertitudes sur son fonctionnement et les résultats attendus. » C’est peu dire…

Des pensionnaires haut de gamme, néanmoins. Pas des « fichés S » et pas de repris de justice.

« Ce ne sont ni des jeunes de retour de zone de conflit, ni des cas psychologiques, ni des personnes inquiétées pour des cas de violence ou de terrorisme. On ne va pas accueillir ici des terroristes », disait alors la responsable du projet Muriel Domenach. Tout juste des « personnes égarées, en grande difficulté, qui font l’objet d’une absence de capacité de discernement : rupture familiale, échec scolaire, pas d’emploi », ajoutait alors le préfet d’Indre-et-Loire.
À ce moment de l’histoire, on s’est évidemment demandé si l’on ne se foutait pas de notre gueule, parce que s’il faut offrir des séjours campagnards à tous les « hommes et femmes de 18 à 30 ans » qui sont « en rupture familiale, échec scolaire et sans emploi », il va falloir relancer dare-dare le secteur du bâtiment !

Mais la réponse vient d’arriver : c’est OUI, on s’est foutu de notre gueule, et dans les grandes largeurs.

Aujourd’hui, vendredi 10 février, le centre de déradicalisation de Beaumont-en-Véron est vide ! Non seulement il n’y a jamais abrité les 25 pensionnaires prévus, mais les 9 qui y sont passés ont tous disparu. Pfffffuit ! Envolés, les gentils déradicalisés !

C’est France Bleu Touraine, relayée par Valeurs actuelles, qui nous l’apprend :

le dernier pensionnaire vient de quitter les lieux. Motif : il a été « condamné à quatre mois de prison avec sursis et des travaux d’intérêt général pour… apologie du terrorisme et violence ».

Il est le dernier à s’égayer dans la nature, suivant les copains partis au cours de ces 15 derniers jours « après l’arrestation d’un autre pensionnaire, Mustafa S., dans le Bas-Rhin. Le 17 janvier, au moment d’une permission de sortie, il a été interpellé pour association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste. Il s’est avéré que le jeune homme était lié à un kamikaze, tué au Bataclan en novembre 2015. »

François Pupponi, député-maire PS de Sarcelles, était ce matin l’invité de RTL. Il y parlait, justement de déradicalisation, ayant créé dans sa ville le premier centre, pour que ceux qui sont « au contact » (élus, agents municipaux, éducateurs, policiers…) sachent d’abord de quoi l’on parle. « Il faut former car il n’y a pas de structure de formation, y compris pour les forces de l’ordre, sur ce que sont ces réseaux de radicalisation » », dit-il.

Et, à l’entendre, il y a urgence : « Oui, je suis plus qu’inquiet. […] Il n’y a pas, selon moi, d’organisation, au niveau des institutions républicaines, coordonnée pour faire face à ce processus qui est relativement nouveau mais qui émerge de manière importante. Oui, je le répète, je suis inquiet car c’est le lot quotidien des élus de banlieue de faire face à ce phénomène-là. »



:fou:
mam
 
Ouvert fin septembre, le premier centre de déradicalisation est déjà vide !

Non seulement il n’y a jamais abrité les 25 pensionnaires prévus, mais les 9 qui y sont passés ont tous disparu.




Marie Delarue
Ecrivain, musicienne, plasticienne



Vous connaissez Beaumont-en-Véron ? Moi non plus.

À y regarder de plus près, on découvre une jolie petite commune d’Indre-et-Loire, près de Chinon, tapie au pied du coteau crayeux et des vignobles. Le jardin de la France, en somme, Ronsard et les rois de France, la douceur angevine, « Mignonne allons voir si la rose… »

Sauf qu’aujourd’hui, à Beaumont-en-Véron, c’est « Mignonne allons voir les barbus ». Les 2.922 habitants de cette bourgade ont, en effet, eu l’honneur, la joie et l’avantage d’accueillir depuis l’automne dernier le premier centre de « déradicalisation » de France.

Neuf résidents se sont donc installés au centre de Pontourny (c’est son nom). Seulement neuf ? Ben oui. C’est peu, je vous le concède. D’autant qu’on en prévoyait 25, mais il faut croire qu’on ne les a pas trouvés. Ou pas attrapés.

Comme disait la presse lors de son ouverture, fin septembre : « Le centre de prévention, d’insertion et de citoyenneté d’Indre-et-Loire devrait conduire à l’ouverture de douze autres établissements, implantés dans chaque région métropolitaine, d’ici deux ans. Son statut de pionnier laisse entrevoir nombreuses incertitudes sur son fonctionnement et les résultats attendus. » C’est peu dire…

Des pensionnaires haut de gamme, néanmoins. Pas des « fichés S » et pas de repris de justice.

« Ce ne sont ni des jeunes de retour de zone de conflit, ni des cas psychologiques, ni des personnes inquiétées pour des cas de violence ou de terrorisme. On ne va pas accueillir ici des terroristes », disait alors la responsable du projet Muriel Domenach. Tout juste des « personnes égarées, en grande difficulté, qui font l’objet d’une absence de capacité de discernement : rupture familiale, échec scolaire, pas d’emploi », ajoutait alors le préfet d’Indre-et-Loire.
À ce moment de l’histoire, on s’est évidemment demandé si l’on ne se foutait pas de notre gueule, parce que s’il faut offrir des séjours campagnards à tous les « hommes et femmes de 18 à 30 ans » qui sont « en rupture familiale, échec scolaire et sans emploi », il va falloir relancer dare-dare le secteur du bâtiment !

Mais la réponse vient d’arriver : c’est OUI, on s’est foutu de notre gueule, et dans les grandes largeurs.

Aujourd’hui, vendredi 10 février, le centre de déradicalisation de Beaumont-en-Véron est vide ! Non seulement il n’y a jamais abrité les 25 pensionnaires prévus, mais les 9 qui y sont passés ont tous disparu. Pfffffuit ! Envolés, les gentils déradicalisés !

C’est France Bleu Touraine, relayée par Valeurs actuelles, qui nous l’apprend :

le dernier pensionnaire vient de quitter les lieux. Motif : il a été « condamné à quatre mois de prison avec sursis et des travaux d’intérêt général pour… apologie du terrorisme et violence ».

Il est le dernier à s’égayer dans la nature, suivant les copains partis au cours de ces 15 derniers jours « après l’arrestation d’un autre pensionnaire, Mustafa S., dans le Bas-Rhin. Le 17 janvier, au moment d’une permission de sortie, il a été interpellé pour association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste. Il s’est avéré que le jeune homme était lié à un kamikaze, tué au Bataclan en novembre 2015. »

François Pupponi, député-maire PS de Sarcelles, était ce matin l’invité de RTL. Il y parlait, justement de déradicalisation, ayant créé dans sa ville le premier centre, pour que ceux qui sont « au contact » (élus, agents municipaux, éducateurs, policiers…) sachent d’abord de quoi l’on parle. « Il faut former car il n’y a pas de structure de formation, y compris pour les forces de l’ordre, sur ce que sont ces réseaux de radicalisation » », dit-il.

Et, à l’entendre, il y a urgence : « Oui, je suis plus qu’inquiet. […] Il n’y a pas, selon moi, d’organisation, au niveau des institutions républicaines, coordonnée pour faire face à ce processus qui est relativement nouveau mais qui émerge de manière importante. Oui, je le répète, je suis inquiet car c’est le lot quotidien des élus de banlieue de faire face à ce phénomène-là. »



:fou:
mam
Itou :fou:
 
on est en plein dans le sujet.
ceux qu'on laisse revenir ne sont peut être pas un danger... les français partis combattre en Syrie et qui sont jugés dangereux pour la France sont assassinés directement là bas par l'armée française...


On est censé s'émouvoir du fait que l'armée les "assassine" ? Comme ça fait deux fois que tu places ce mot ça doit avoir du sens pour toi.
Mais tant mieux, qu'on les liquide, ça fera une perte sérieux ?
Les assassins ce sont eux. (lol les gentils touristes qui partent en Syrie. Encore des gens qui se trouvent au mauvais endroit au mauvais moment et qu'on va accuser à tort les pauvres.)
 
On est censé s'émouvoir du fait que l'armée les "assassine" ? Comme ça fait deux fois que tu places ce mot ça doit avoir du sens pour toi.
Mais tant mieux, qu'on les liquide, ça fera une perte sérieux ?
Les assassins ce sont eux. (lol les gentils touristes qui partent en Syrie. Encore des gens qui se trouvent au mauvais endroit au mauvais moment et qu'on va accuser à tort les pauvres.)
deux fois c’était assez t'avais pas besoin de le répéter une troisième fois, tu veux quoi?, me culpabiliser....
la prochaine fois je dirais "liquider" pour apporter un peu plus de bonheur à ta vie...

tu cites le dernier message d'une conversation sans tenir compte des autres messages, reprends depuis le début et décortique message par message avant de m'apostropher inutilement...
 
Ils essaient avec les centres de de-radicalisation ; apparemment un échec ; il faut dire que les conditions "d'entrée" sont assez flous : "quelqu'un de pas encore assez radicalisé, et qui n'a pas manifesté encore le souhait de partir en Syrie" ; il faut les dénicher ces jeunes lapins là, ils sont encore au chaud dans leur tanière, ils tètent encore maman internet !

Maintenant on essai de former !
François Pupponi, député-maire PS de Sarcelles, était ce matin l’invité de RTL. Il y parlait, justement de déradicalisation, ayant créé dans sa ville le premier centre, pour que ceux qui sont « au contact » (élus, agents municipaux, éducateurs, policiers…) sachent d’abord de quoi l’on parle. « Il faut former car il n’y a pas de structure de formation, y compris pour les forces de l’ordre, sur ce que sont ces réseaux de radicalisation » », dit-il.

Je pense que ce sera encore plein d'argent gaspillé pour résultat proche du zéro !

En attendant on laisse prospérer Trappes et cie ! Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué !
 
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