Autour de la collapsologie: l'effondrement qui vient !

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la sécheresse actuelle est très sévère .....
le problème c'est pas la canicule mais la sécheresse
jamais vu çà dans le MAINE et LOIRE......je dois passer 1 h chaque soir à arroser.....après 20 h
malgré un arrosage intensif j'ai du arraché toute mes salades ....elles ont eu trop chaud....et sont montées tout de suite en graines....
Je crois toujours pas à la "collapsologie" mais je suis quand même très inquiet.....le problème prioritaire c'est l'eau ....
L'urgence pour moi: faire creuser un puits 40 mètres de profondeur .....
je suis attentivement toutes les informations sur ce thème....
 
L'urgence pour moi: faire creuser un puits 40 mètres de profondeur .....
je suis attentivement toutes les informations sur ce thème....
OUAHH 40 metres je n y connais rien en puit mais cela me parait vraiment enorme , d ailleurs comment peux tu etre sur qu une source d eau passe sous ton terrain et pourquoi parles tu de 40 metres
 
il y a un article réservé aux abonnés dans le monde qui est intéressant si jamais quelqu'un est abonné ?

https://www.lemonde.fr/festival/art...on-sociale-et-culturelle_5491958_4415198.html

« Face à l’effondrement, il faut mettre en œuvre une nouvelle organisation sociale et culturelle »
Par Collectif
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Publié aujourd’hui à 06h35, mis à jour à 08h09

Trois membres de l’Institut Momentum appellent à assumer l’effondrement systémique global qui vient pour préparer l’avènement d’une société « résiliente ».

Vivre avec la fin du monde 1/6.
La fin de notre monde est proche. Une ou deux décennies, tout au plus. Cette certitude qui nous habite désormais, et qui a bouleversé nos croyances et nos comportements, est le résultat d’observations scientifiques nombreuses et variées sur l’évolution du système Terre, mais aussi de l’expression de caractéristiques banales de l’espèce humaine lorsqu’un événement extraordinaire s’annonce.

Depuis une trentaine d’années, les études et les rapports scientifiques ne cessent d’augmenter la plausibilité d’un seuil climatique planétaire qui fera basculer le système Terre dans un état inconnu, nanti de températures moyennes plus hautes que depuis un million d’années. La probabilité d’un tel futur proche est aujourd’hui plus élevée que celle de tout autre scénario prospectif.

Ce n’est plus une question de « si », c’est une question de « quand ». En examinant les centaines de travaux afférents, depuis le premier rapport du Club de Rome – Les Limites à la croissance – en 1972, jusqu’au récent rapport du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC) – « Rapport spécial du GIEC sur les conséquences d’un réchauffement planétaire de 1,5 °C » –, en octobre 2018, on peut estimer la date de passage de ce seuil planétaire entre 2020 et 2040.

Trajectoire chaotique
Ce seuil critique global est la conséquence de multiples boucles de rétroaction autorenforçantes entre éléments du système Terre, dévasté par un siècle de libéral-productivisme. Ainsi, pour le seul cycle du carbone, la fonte du permafrost sibérien, l’affaiblissement du pouvoir de séquestration du carbone par les terres et les océans, la déforestation de l’Amazonie et celle des forêts boréales constituent des boucles de rétroaction qui accélèrent le dérèglement climatique.

Ces rétroactions s’étendent à tous les sous-systèmes de la Terre, intensifiant ainsi l’érosion de la biodiversité, et réciproquement. Cette trajectoire chaotique du système Terre conduit les sociétés humaines vers un effondrement systémique global : passé ce seuil de bascule, le chaos sera tel qu’aucun Etat ne sera plus capable de faire respecter la loi, de contrôler les armes, de lever des impôts.

L’imminence et l’ampleur de la catastrophe « éco-anthropologique » sont telles qu’elles excèdent nos capacités de compréhension, aussi bien de perception que d’imagination
Cependant, ce basculement n’est que la composante objective de l’effondrement. Deux caractéristiques cognitives de l’espèce humaine transforment la plausibilité géobiophysique de l’effondrement en une certitude politique. La première s’énonce comme suit : l’immensité (c’est-à-dire l’imminence et l’ampleur) de la catastrophe « éco-anthropologique » est telle qu’elle excède nos capacités de compréhension, aussi bien de perception que d’imagination. Elle est irreprésentable, démesurée, supraliminaire, comme dit le philosophe Günther Anders. La seconde relève de la spécularité des croyances et des comportements : une personne informée de l’effondrement rapproché ne se demande pas si elle veut changer sa vie – c’est-à-dire diminuer drastiquement son empreinte écologique –, mais seulement si elle le ferait au cas où un certain nombre d’autres le feraient aussi.

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OUAHH 40 metres je n y connais rien en puit mais cela me parait vraiment enorme , d ailleurs comment peux tu etre sur qu une source d eau passe sous ton terrain et pourquoi parles tu de 40 metres
la nappe fréatique existe de partout à des profondeurs variables! Le problème c'est que ce sont les précipitations qui la renouvelle ...Et si tous le monde y va de son forage , c'est pas viable .

Enfin quand j'écris : "Le problème c'est que ce sont les précipitations qui la renouvelle ." c'est une partie du problème la capacité des sols à absorber l'eau compte beaucoup ! Et de ce coté là entre artificialisation et perte d'humus cela aggrave la situation !

https://www.aquaportail.com/definition-7594-nappe-phreatique.html
 
Je crois toujours pas à la "collapsologie" mais je suis quand même très inquiet....

Tu veux dire que tu ne penses pas qu'il ne peut y avoir une crise systémique qui puisse provoquer un effondrement de la civilisation tel que nous la connaissons aujourd'hui !
C'est juste une intuition ou tu as des points , des éléments rationnels sur lesquels t'appuyer pour penser que l'on peut encore éviter une crise civilisationnelle majeure ?
 
la sécheresse actuelle est très sévère .....
le problème c'est pas la canicule mais la sécheresse
jamais vu çà dans le MAINE et LOIRE......je dois passer 1 h chaque soir à arroser.....après 20 h
malgré un arrosage intensif j'ai du arraché toute mes salades ....elles ont eu trop chaud....et sont montées tout de suite en graines....
Je crois toujours pas à la "collapsologie" mais je suis quand même très inquiet.....le problème prioritaire c'est l'eau ....
L'urgence pour moi: faire creuser un puits 40 mètres de profondeur .....
je suis attentivement toutes les informations sur ce thème....

Sécheresse : "On a perdu de la capacité de stockage de l'eau dans les sols parce qu'on les a compactés", selon une chercheuse du CNRS
La sécheresse arrive très tôt cette année en France, et cela risque de s'empirer dans le futur.

Pour lutter contre la sécheresse, on pense au stockage de l'eau. Est-ce que construire des retenues d'eau est la bonne solution ?
Comment anticiper ces sécheresses? Quels types de solutions peut-on mettre en place ?
Est-ce qu'il faut désurbaniser ? Est-ce que c'est l'urbanisation croissante qui favorise la sécheresse ?

https://www.francetvinfo.fr/meteo/c...s-d-apres-une-chercheuse-du-cnrs_3540001.html

On connait des solutions simples et pourtant tellement compliqué à mettre en oeuvre , c'est pourquoi selon moi on n’échappera pas à la catastrophe!
 
Général Lecointre : « Il faut être prêt à s’engager pour un conflit de survie »
PAR LAURENT LAGNEAU · 26 JUILLET 2019
Lors de sa dernière à l’Assemblée nationale, le chef d’état-major des armées [CEMA], le général François Lecointre, est entré dans le détail des menaces actuelles. Ainsi, après avoir de nouveau critiqué les « dividendes de la paix » qui, après 1991, « allaient provoquer pertes de capacités et diminution de la réactivité des armées », il a évoqué un contexte marqué par le terrorisme qui « se développe en même temps que l’expansion incessante de menaces hybrides », « l’apparition de nouveaux champs de conflictualité » et une « désinhibition tout à fait frappante de l’usage de la violence et de la force. »

Aussi, pour le CEMA, nous entrons dans une ère qui « combine, d’une certaine façon, les caractéristiques de périodes précédentes, sur fond de risque climatique, d’épuisement des ressources et d’inégalités de développement. » Et, a-t-il ajouté, elle faut « surtout réapparaître la crainte de menaces existentielles, à même de saper les fondements de notre Nation. »

Et « cette période nous expose à trois grandes formes de conflictualité, qui se conjuguent », a relevé le général Lecointre. Ainsi, a-t-il dit, « un affrontement majeur apparaît aujourd’hui comme une potentialité réelle ». Selon lui, « l’armement de la Chine, l’affirmation de puissances régionales avec des prétentions nucléaires, le jeu de la Russie, la concurrence à la puissance américaine ou les déséquilibres autour du golfe Arabo-Persique sont de nature à provoquer un point de rupture. »

Et cela conduit le CEMA à estimer qu’il « faut être prêt à s’engager pour un ‘conflit de survie’, seul ou en coalition, rapidement et dans la durée. » Et cela demandera des « moyens de haute technologie car ce conflit se déroulera dans les champs habituels, mais aussi dans ceux qui échappaient jusqu’ici à la conflictualité militaire. »

Et, a poursuivi le général Lecointre, « le déni d’accès de certains espaces et les stratégies indirectes, avec un rapport coût efficacité aujourd’hui à la portée de petits compétiteurs, pourraient préfigurer ce type de conflit. »

En outre, les affrontements de nature « asymétrique » n’ont pas disparu. Loin de là même. « Le terrorisme persiste. Il mute. Il intègre opportunément toutes les revendications ethniques, religieuses, idéologiques ou identitaires » tandis que les groupes terroristes « s’approprient les nouvelles technologies et savent investir tous les champs, exigeant de notre part une palette complète de réponses militaires », a expliqué le CEMA.

Enfin, ce dernier n’exclut pas qu’une ou plusieurs « crises profondes » puissent « déstabiliser sérieusement les grands équilibres mondiaux. » Ces crises pourraient être de « nature démographique, climatique ou d’accès à l’eau » et elles « ne manqueront pas d’affecter l’Afrique », ce qui aura « de lourdes conséquences pour la stabilité de l’Europe tout entière », a prévenu le général Lecointre.

« Je pense que nous devons absolument nous y préparer et l’intégrer dans notre modèle d’armée, d’autant que cette typologie de la menace n’exclut pas la simultanéité des occurrences et que chaque type d’affrontement se conjuguera dans le temps et l’espace. Nous devons être capables d’anticiper et de voir venir ces menaces ou ces conjugaisons de menaces, mais aussi de créer les coalitions qui nous permettront d’y faire face », a-t-il ensuite fait valoir auprès des députés.
.

 

Je veux pas forcément faire de la publicité pour ce militaire dont le travail est d'obtenir des budgets ! Oui il dramatise sans doute un peu , mais il faut multiplier les sources d'information pour pouvoir se faire une opinion sur le sujet!
Il faut savoir que le rôle de l'armée dans état comme la France est de protéger les civils .
Dans ce cadre bien évidement l'armée française étudie des scénarios d'effondrement et des mesures à mettre en oeuvre si cela arrivait !
 
« Après l'effondrement » : quand la SNCF demande conseil aux collapsologues


Des champs, des chevaux et des millions de morts
Et c'est en effet tout un monde qu'Yves Cochet, la journaliste Agnès Sinaï et l'ingénieur Benoît Thévard dépeignent dans leur rapport. Un monde où, après la faillite de Rungis, l'Île-de-France a été redécoupée en « biorégions », territoires dont les écosystèmes naturels et les habitants forment une même « unité organique ».
Où l'aéroport d'Orly est devenu une vaste plaine, traversée de sentiers que parcourent des charrettes tirées par des chevaux. Où le périphérique est recouvert de verdure. Où les hypermarchés ont disparu. Où des assemblées élues pour six ans et renouvelées de moitié tous les trois ans assurent la sécurité des habitants (les structures étatiques et supraétatiques étant devenues « secondaires »). Où « la vie quotidienne a retrouvé une forme de convivialité et de proximité, à base d'entraide et de solidarité ». En somme, un monde où – et c'est la conclusion du texte – l'Île-de-France s'est muée en « un territoire du bien-vivre, reconnecté à des rythmes plus lents, pratiquement autosuffisant sur le plan énergétique et alimentaire, libéré des nuisances des énergies fossiles ».

https://www.lepoint.fr/societe/apre...-aux-collapsologues-04-09-2019-2333671_23.php
 
https://www.franceculture.fr/emissions/la-transition/dun-effondrement-lautre




En 2001, Jonathan Franzen publie ‘’Les Corrections’’, livre considéré presque instantanément comme un des plus importants de la littérature américaine, peinture précise d’une Amérique en plein doute, à travers le portrait d’une famille du Midwest. Ses lecteurs ont forcément en tête l’effondrement des tours du World Trade Center. Le livre a pourtant été publié dix jours avant le 11 Septembre, mais c’est bien à la lumière de cet événement tragique qu’il va être lu, offrant ainsi à son auteur la réputation d’écrivain visionnaire.

C’est dire le poids et l’impact de son regard sur le monde. La publication, il y a trois jours, d’un article de Franzen dans The New Yorker vient illustrer ce statut de façon retentissante. Dans ce long papier, il est à nouveau question d’effondrement, non pas de structures en béton, mais du monde tout entier. Sans doute avez-vous déjà entendu parler de cette théorie, la collapsologie, qui annonce la fin probable et prochaine de notre civilisation. Plus que probable, estime Jonathan Franzen, ‘’si vous avez moins de 60 ans, vous avez de bonnes chances d’assister à la déstabilisation radicale de la vie sur terre…si vous avez moins de 30 ans, vous êtes presque assuré d’en être témoin’

Le titre de son article donne le ton : ’What if we stopped pretending ?’’, ‘’ Et si nous arrêtions de faire semblant ?’’ Faire semblant de quoi ? De croire que nous pouvons empêcher ‘’l’apocalypse climatique’’. Nous ne pouvons pas l’empêcher, assure l’écrivain, c’est trop tard, il faut sortir du ‘’déni’’. Un déni qui peut se comprendre à titre individuel : entre l’abstraction –lointaine- de la mort, et le plaisir –immédiat- du petit déjeuner, nous préférons le petit déjeuner, écrit Franzen. Mais c’est un autre déni qui, selon lui, pose problème : celui entretenu par les progressistes. Rien n’est perdu disent-ils, à condition qu’on investisse, par exemple, massivement dans les énergies renouvelables. Un discours trompeur, répond l’auteur des ’’Corrections’’, ça ne sert plus à rien, quitte à dépenser de l’argent, autant investir dans la préparation à la catastrophe. Et comme si cela ne suffisait pas, Franzen enfonce un autre clou en mettant en doute la sincérité des rapports du GIEC, laissant entendre que les experts ont délibérément sous-estimé le rythme et la gravité du changement climatique, conformément à l’idée selon laquelle ‘’il ne faut pas désespérer Billancourt’’.

’What if we stopped pretending’’ : matière hautement inflammable que cet article du New Yorker, qui agit, depuis dimanche, comme une étincelle dans un baril d’essence : réactions en cascades côté anglo-saxons, c’est le AAF, ‘’All against Franzen’’, tous contre Franzen. La ‘communauté’ scientifique est vent debout, dénonçant, pêle-mêle, les approximations du romancier, son manque de vision politique et le caractère démobilisateur de ses propos, quand cette même communauté assène qu’’’il sera bientôt trop tard pour dévier de notre trajectoire vouée à l’échec’’, mais qu’il n’est pas encore trop tard.
Toutes ces critiques s’entendent, elles sont même justifiées, mais il me semble que l’article de Franzen mérite mieux, malgré tous ses défauts, que ce tir de barrage. D’abord parce que le ‘’vous n’avez rien compris’’ que lui opposent les scientifiques est contre-productif. Ensuite parce que Franzen en tire une morale qui n’est pas celle de l’inaction. ’‘Chacun de nous a un choix éthique à faire’’ Ce n’est parce que nous savons la catastrophe certaine que nous devons baisser les bras, ne plus nous soucier de la planète et des autres. Enfin parce que le discours du romancier n’est plus un discours isolé. Il s’inspire du survivalisme, moins folklorique qu’on l’imagine : ‘’une fois que vous acceptez le fait que nous avons perdu la guerre totale contre le changement climatique, d’autres types d’actions prennent plus de sens comme la préparation aux incendies, aux inondations’’ Vous savez ce qu’il vous reste à faire.
 
Un présent sans lendemain (There's no tomorrow) est un documentaire animé (VF) qui synthétise les données sur les ressources énergétiques et autres (pétrole, gaz, charbon, minerais, terres rares...) et qui met en évidence la fin proche et i

 
en ce moment c'est l'abondance "al kawthar" au potager ..
.la FRANCE est un pays riche en agriculture....dormez tranquilles
tu bines la terre, tu jettes les graines tu arroses, tu désherbes, tu sarcles, tu pailles, tu récolte en abondance voilà la vérité...
 

La production américaine de pétrole a cessé de croître


PUBLIÉ LE13 SEPTEMBRE 2019 PAR MATTHIEU AUZANNEAU


La planche de salut censée empêcher un « resserrement de l’offre » de pétrole dans les prochaines années est-elle en train de se rompre ? Le risque pour la sécurité de l’Europe devient un argument clé en faveur d’une transition énergétique cohérente


https://www.lemonde.fr/blog/petrole...ion-americaine-de-petrole-a-cesse-de-croitre/



[youtube]S1qqIS5_pJE[/youtube]
 
en ce moment c'est l'abondance "al kawthar" au potager ..
.la FRANCE est un pays riche en agriculture....dormez tranquilles
tu bines la terre, tu jettes les graines tu arroses, tu désherbes, tu sarcles, tu pailles, tu récolte en abondance voilà la vérité...


Comment l’autonomie alimentaire peut sauver nos villes ?
Les potagers derrière la maison et les jardins partagés n’éviteront pas les famines. Pour l’autonomie alimentaire, il faut aller plus loin. Les initiatives sont nombreuses et les fermes urbaines connectées s’implantent sur les toits ou même sur les balcons, au coeur des villes.
https://france3-regions.francetvinf...imentaire-peut-sauver-nos-villes-1630128.html
 
en ce moment c'est l'abondance "al kawthar" au potager ..
.la FRANCE est un pays riche en agriculture....dormez tranquilles
tu bines la terre, tu jettes les graines tu arroses, tu désherbes, tu sarcles, tu pailles, tu récolte en abondance voilà la vérité...


La qualité des sols s'effondre elle aussi ! Pourtant aujourd'hui on sait ce qu'il faudrait faire !
Video un peu longue mais passionnante pour les passionnés ...

 
des histoires à dormir debout.....
du fumier de cheval, zéro engrais, zéro pesticide.....la terre chez moi tout pousse.........
l'abondance je te dis.....cette année je récupère les graines ......
dors tranquille .....
 
des histoires à dormir debout.....
du fumier de cheval, zéro engrais, zéro pesticide.....la terre chez moi tout pousse.........
l'abondance je te dis.....cette année je récupère les graines ......
dors tranquille .....


Et ton pain tu le fabriques avec le blé que tu fais pousser? Oui tu as un terrain qui a sans doute la chance de ne pas avoir été défoncé systématiquement par du labour profond, qui c'est érodé, qui à perdu sa vie bactérienne ...Oui tous pousse sur une terre en bonne santé . Mais 90% des terres agricole actuelle sont en train de pourrir et sont maintenus artificiellement en vie ...

Et c'est pas les jardins individuels aussi méritoire soient-ils qui arriverons à nourrir toute la population Française , européenne , ou même mondiale !
Demain si il y a une rupture dans la chaîne d’approvisionnement en nourriture tu vas défendre tes choux et tes salades en campant dans ton jardin avec un fusil ?
 
Pourquoi la Fed a injecté plus de 270 milliards de dollars sur les marchés monétaires en une semaine
La Réserve fédérale américaine est intervenue vendredi, pour la quatrième fois de la semaine, à hauteur de 75 milliards de dollars.

Pour certains, c’est peut-être le signe avant-coureur d’une nouvelle tempête financière. Pour d’autres, il s’agit de simples opérations techniques. Vendredi 20 septembre, pour la quatrième fois cette semaine, la Réserve fédérale américaine (Fed) devait injecter 75 milliards de dollars (68 milliards d’euros) sur les marchés monétaires, par des opérations appelées « repo », après être déjà intervenue mardi (53 milliards), mercredi et jeudi (75 milliards dans les deux cas). Mercredi, le président de l’institution, Jerome Powell, a minimisé ces « problèmes », assurant qu’ils n’avaient « aucune implication pour l’économie ».

https://www.lemonde.fr/economie/art...-sur-les-marches-monetaires_6012374_3234.html
 
Si la fin du monde arrive je vais directement en bretagne rendre visite a mon grand ami Yves Cochet en esperant etre le seul a y penser :p

J'ai rencontré 2 fois Pablo Servigne . C'est le voisin de mon meilleur ami ..Ami qui est pas mal placé pour se planquer en entendant des jours meilleurs.
Cochet se fait démonter par les collapso comme les anti collapso , mais au moins il se mouille ose afirmer des choses ...Pour le coté résiliant il a fait rire tous le monde avec sa réserve d'eau de plusie...
Mais il sait que si effondrement il y a il est probable qu'ils soit "ballayé" comme les autres ...

La collapso heureuse qui se la joue "résilience" "entraide et ne parle jamais de "violence pour rester positif " est un forme de déni contre productif ...Il faut regarder les choses en face "entre la civilisation et la barbarie il y a 5 repas " comme disait Churchill...
 
Daemon Leechi a partagé un lien dans le groupe Transition 2030.

La fin d'un monde et l'entrée dans l'ère des conséquences.

"Notre mode de vie entier est construit sur une séries de mythes, le mythe de l'espace infinie, le carburant infinie, l'eau infinie, l'optimisme infinie, l'étalement infinie. Un par un, ces mythes brulent dans les flammes : Nous manquons d'espace, de maison, d'eau, de route et maintenant d’électricité."
Ça plus les villes en faillites, les villages de tentes, les centres commerciaux en friche, les canicules, ouragans...
L'empire est déjà dans un processus d'effondrement.

 
Urgence climatique, ressources, pollution… Jamais les alertes sur le futur de notre planète n’ont été aussi alarmantes. Pourtant, déjà dans les années 60 et 70, des chercheurs, des intellectuels ou des politiques ont fait passer ces mêmes messages. Des visionnaires en quelque sorte. Aujourd’hui, nous vous présentons René Dumont, un agronome réputé qui s’inquiétait des dangers de la surconsommation.

 
Pénuries, crise du pétrole… Le gouvernement est-il prêt en cas d’effondrement du monde ?

Mis à jour le 29/11/19


« Les services de l’Etat n’ont pas attendu les théories des collapsologues pour que soient pensées de manière transversale la prévention et la gestion des risques »
Vous y croyez, vous, que tout est prévu pour nourir la population en cas d'effondrement financier ou de grosse crise du pétrole ?
https://m.20minutes.fr/amp/a/2661459
 
Pourquoi la descente énergétique risque d'être plus qu'une sympathique petite ballade entre gens civilisés
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:)

Bousculade dans le métro, chauffards en scooter, Vélib' cadenassés… Pourquoi la grève nous transforme en sauvages
  • Les comportements déplacés ont tendance à se multiplier au fil des jours, faisant de Paris une jungle aux heures de pointe.
  • On retrouve le même type d’attitudes lors des évacuations d’urgence ou lors de l’ouverture des soldes, car cela crée des situations de concurrence entre les individus.
  • Et plus les auteurs d’incivilités sont nombreux, plus ils peuvent avoir un effet d’entraînement sur les autres.



 
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