Pas nécessairement envie de le mettre dans le forum islam étant donné que ce sujet concerne tout les êtres humains !
Je lis des choses concernant la maman ! qui me font mal ! (un post en particulier ! qui m'a fait mal et m'a fait pleurer)
Qu'Allah soub7ana wata3ala vous laisse vos mamans ! et Qu'Allah ir7em ceux qui ont perdus leurs mamans !!
On a beau dire ce que l'on veut ! sans nos mères nous ne sommes plus rien !!
Prenez soin de vos mères s'il vous plait ! on n'en a qu'une seule !
Je passerais des jours et des nuits collé à ma mère si je pouvais !
Un texte émouvant que j'ai trouvé sur le net !
Bonne lecture :
Voici la lettre dune mère meurtrie, adressée à son fils bien-aimé... Cette pauvre mère, après avoir fait son éducation, veillé les nuits pour lui, sacrifié sa vie et son bonheur pour sa cause, organisé son mariage..., sest vue soudainement reniée par ce dernier, lui désobéissant et la rejetant...
Elle dit dans un extrait de sa lettre :
« Mon fiston, il y a maintenant vingt-cinq ans, ce fut dans ma vie une rayonnante journée lorsque le médecin minforma que jétais enceinte. Tu sais, mon fils, les mères maîtrisent bien le sens de ce mot, cest à la fois un mélange de joie et de bonheur, avec le début de la fatigue et les changements psychologiques et physiologiques.
Après cette bonne nouvelle, je tai porté dans mon ventre pendant neuf mois mon fils, heureuse et enjouée. Pourtant, je me levais péniblement, je dormais difficilement, je mangeais à contrecur, et je respirais malaisément. Malgré tout, cela na jamais affaibli lamour que je te porte et la joie de tavoir. Au contraire, plus les jours passaient et plus mon amour pour toi ne cessait de se développer et le désir de te voir grandissait. Je tai porté, mon fils, subissant pour toi peine sur peine et douleur sur douleur. Cependant, jétais heureuse, heureuse chaque fois que je ressentais dans mon ventre un de tes mouvements. Je me réjouissais lorsque tu prenais du poids bien que la grossesse me soit pénible. Ce fut en effet une longue fatigue.
Après cela, laube de cette fameuse nuit est arrivée, cette nuit où je nai pas dormi, où je nai pas pu fermer lil. Cette nuit, jai été secouée par les douleurs, les difficultés, lanxiété et la peur. Une situation telle quil est impossible de la décrire par écrit ou même oralement.
Je jure par Allah mon enfant, à maintes reprises, jai perçu la mort de mes propres yeux jusquà ce que tu viennes au monde. Tes larmes de naissance se sont mêlées à mes larmes de joie, et toutes mes douleurs et mes blessures disparurent. Mon cher fils, pendant des années de ma vie je tai porté dans mon coeur, je tai lavé de mes propres mains, mon giron fut ton lieu pour dormir et de ma poitrine tu prenais ta nourriture. Jai veillé mes nuits pour que tu dormes, et durant mes jours, je me suis fatiguée pour ton bonheur. Mon seul souhait est de pouvoir entrevoir ton sourire et ma joie de tout instant est que tu me demandes de te préparer quelque chose. Ceci était mon bonheur extrême. Je demeurais ainsi pendant toutes les nuits et les jours qui sécoulèrent. Je demeurais une servante sans reproche, une nourrice ininterrompue et une travailleuse sans relâche. Ceci jusquà ce que tu aies atteint ta maturité et ta pleine croissance, et jusquà commencer à voir en toi les signes de la virilité.
Je lis des choses concernant la maman ! qui me font mal ! (un post en particulier ! qui m'a fait mal et m'a fait pleurer)
Qu'Allah soub7ana wata3ala vous laisse vos mamans ! et Qu'Allah ir7em ceux qui ont perdus leurs mamans !!
On a beau dire ce que l'on veut ! sans nos mères nous ne sommes plus rien !!
Prenez soin de vos mères s'il vous plait ! on n'en a qu'une seule !
Je passerais des jours et des nuits collé à ma mère si je pouvais !
Un texte émouvant que j'ai trouvé sur le net !
Bonne lecture :
Voici la lettre dune mère meurtrie, adressée à son fils bien-aimé... Cette pauvre mère, après avoir fait son éducation, veillé les nuits pour lui, sacrifié sa vie et son bonheur pour sa cause, organisé son mariage..., sest vue soudainement reniée par ce dernier, lui désobéissant et la rejetant...
Elle dit dans un extrait de sa lettre :
« Mon fiston, il y a maintenant vingt-cinq ans, ce fut dans ma vie une rayonnante journée lorsque le médecin minforma que jétais enceinte. Tu sais, mon fils, les mères maîtrisent bien le sens de ce mot, cest à la fois un mélange de joie et de bonheur, avec le début de la fatigue et les changements psychologiques et physiologiques.
Après cette bonne nouvelle, je tai porté dans mon ventre pendant neuf mois mon fils, heureuse et enjouée. Pourtant, je me levais péniblement, je dormais difficilement, je mangeais à contrecur, et je respirais malaisément. Malgré tout, cela na jamais affaibli lamour que je te porte et la joie de tavoir. Au contraire, plus les jours passaient et plus mon amour pour toi ne cessait de se développer et le désir de te voir grandissait. Je tai porté, mon fils, subissant pour toi peine sur peine et douleur sur douleur. Cependant, jétais heureuse, heureuse chaque fois que je ressentais dans mon ventre un de tes mouvements. Je me réjouissais lorsque tu prenais du poids bien que la grossesse me soit pénible. Ce fut en effet une longue fatigue.
Après cela, laube de cette fameuse nuit est arrivée, cette nuit où je nai pas dormi, où je nai pas pu fermer lil. Cette nuit, jai été secouée par les douleurs, les difficultés, lanxiété et la peur. Une situation telle quil est impossible de la décrire par écrit ou même oralement.
Je jure par Allah mon enfant, à maintes reprises, jai perçu la mort de mes propres yeux jusquà ce que tu viennes au monde. Tes larmes de naissance se sont mêlées à mes larmes de joie, et toutes mes douleurs et mes blessures disparurent. Mon cher fils, pendant des années de ma vie je tai porté dans mon coeur, je tai lavé de mes propres mains, mon giron fut ton lieu pour dormir et de ma poitrine tu prenais ta nourriture. Jai veillé mes nuits pour que tu dormes, et durant mes jours, je me suis fatiguée pour ton bonheur. Mon seul souhait est de pouvoir entrevoir ton sourire et ma joie de tout instant est que tu me demandes de te préparer quelque chose. Ceci était mon bonheur extrême. Je demeurais ainsi pendant toutes les nuits et les jours qui sécoulèrent. Je demeurais une servante sans reproche, une nourrice ininterrompue et une travailleuse sans relâche. Ceci jusquà ce que tu aies atteint ta maturité et ta pleine croissance, et jusquà commencer à voir en toi les signes de la virilité.