Borat nu, bague au nom d'Allah au doigt : l'affiche du film met la toile en Ă©bullition

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Bladi Robot
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Ce type n'est ni drole ni acteur il n'a aucun talent que celui d'etre juif...il perce dans ce milieu car juif pistonné de base...en plus il est moche
 
On va fermer les yeux et dire que c'est une "joyeuse/malheureuse" coĂŻncidence selon son propre positionnement.
Mais ce qui est clair, c'est que derriÚre l'humour potache, c'est un cinéma trÚs engagé.


Nul doute que ce sioniste s'attaque à l'islam et aux musulmans dans ce film, déja son affiche promotionnelle avec la bague, ensuite le code de leur village, le bouquin, qui n'est rien d'autre qu'une allusion au clichés sur le coran et tous les clichés sur les pays musulmans : la femme n'est pas l'égal de l'homme, elle ne peut pas travailler, elle ne peut pas conduire, etc, de plus à plusieurs reprises il lui dit "puisque c'est écrit c'est que c'est vra", la cage dans laquelle il enferme sa fille comme un animal est le symbole du voile et de la burqa, il y a aussi la notion de virginité, et le fait de marier sa fille pour du fric avec un vieux.

Comme l'a mentionné un bladinaute plus haut tous ses films "ali g" "le dictateur" "borat" visent à humilier les arabes et l'islam, il met quelques petites blagues sur les juifs histoire de brouiller les pistes, mais il est evident que le but de ce genre de déjéction ciné ne trompe personne.
 
Nul doute que ce sioniste s'attaque à l'islam et aux musulmans dans ce film, déja son affiche promotionnelle avec la bague, ensuite le code de leur village, le bouquin, qui n'est rien d'autre qu'une allusion au clichés sur le coran et tous les clichés sur les pays musulmans : la femme n'est pas l'égal de l'homme, elle ne peut pas travailler, elle ne peut pas conduire, etc, de plus à plusieurs reprises il lui dit "puisque c'est écrit c'est que c'est vra", la cage dans laquelle il enferme sa fille comme un animal est le symbole du voile et de la burqa, il y a aussi la notion de virginité, et le fait de marier sa fille pour du fric avec un vieux.

Comme l'a mentionné un bladinaute plus haut tous ses films "ali g" "le dictateur" "borat" visent à humilier les arabes et l'islam, il met quelques petites blagues sur les juifs histoire de brouiller les pistes, mais il est evident que le but de ce genre de déjéction ciné ne trompe personne.

A charge pour nous de maĂźtriser les rouages du soft power.
 
Nul doute que ce sioniste s'attaque à l'islam et aux musulmans dans ce film, déja son affiche promotionnelle avec la bague, ensuite le code de leur village, le bouquin, qui n'est rien d'autre qu'une allusion au clichés sur le coran et tous les clichés sur les pays musulmans : la femme n'est pas l'égal de l'homme, elle ne peut pas travailler, elle ne peut pas conduire, etc, de plus à plusieurs reprises il lui dit "puisque c'est écrit c'est que c'est vra", la cage dans laquelle il enferme sa fille comme un animal est le symbole du voile et de la burqa, il y a aussi la notion de virginité, et le fait de marier sa fille pour du fric avec un vieux.

Comme l'a mentionné un bladinaute plus haut tous ses films "ali g" "le dictateur" "borat" visent à humilier les arabes et l'islam, il met quelques petites blagues sur les juifs histoire de brouiller les pistes, mais il est evident que le but de ce genre de déjéction ciné ne trompe personne.
T’as pas compris Borat alors , c’est de l’anti-amĂ©ricanisme a fond , le personnage qu’il incarne est la vision occidentale qu’on se fait de ces pays (il l’avait dit dans une interview), et avec cette vision , il fait des camĂ©ras cachĂ©es pour faire ressortir le puritanisme et l’hypocrisie de l’AmĂ©rique, dĂ©jĂ  dans Bruno il est allĂ© dans des quartiers orthodoxes juifs dĂ©guisĂ©s en gay pour provoquer , il a faillit se faire lyncher , il a dĂ» sauter dans une voiture avant de se faire lyncher par la foule .Il fait ressortir l’islamophobie , l’antisemitisme , l’homophobie etc de la sociĂ©tĂ© qui se dit puritaine ,c’est un condensĂ© de nos diverses phobies.Et avec son personnage fantasmĂ© tel que par l’Occident , il vient faire ressortir les vrais problĂšmes non fantasmĂ©s de nos sociĂ©tĂ©s.
 
DerniĂšre Ă©dition:
Il faut vraiment que je vienne sur bladi pour faire connaissance avec les raclures de poubelles du monde.
Heureusement qu'il y a ici des adeptes de ce genre de kk qui partagent leur savoir.
Sans eux, je serais resté totalement ignorant de ces étranges choses que sont bfm, cnews, borat, touiteur, zemmour, messiha (????) .....j'en oublie....

Merci aux bonnes Ăąmes Ă©clairĂ©es de bladi. 👍
 
T’as pas compris Borat alors , c’est de l’anti-amĂ©ricanisme a fond , le personnage qu’il incarne est la vision occidentale qu’on se fait de ces pays (il l’avait dit dans une interview), et avec cette vision , il fait des camĂ©ras cachĂ©es pour faire ressortir le puritanisme et l’hypocrisie de l’AmĂ©rique, dĂ©jĂ  dans Bruno il est allĂ© dans des quartiers orthodoxes juifs dĂ©guisĂ©s en gay pour provoquer , il a faillit se faire lyncher , il a dĂ» sauter dans une voiture avant de se faire lyncher par la foule .Il fait ressortir l’islamophobie , l’antisemitisme , l’homophobie etc de la sociĂ©tĂ© qui se dit puritaine ,c’est un condensĂ© de nos diverses phobies.Et avec son personnage fantasmĂ© tel que par l’Occident , il vient faire ressortir les vrais problĂšmes non fantasmĂ©s de nos sociĂ©tĂ©s.

tu nous recopies lĂ  les critiques classiques du film, merci toutefois pour l'effort.
si on partage le packaging de ces critiques
quand on déballe la marchandise
"on" constate qu'il fait aussi (surtout ?) le choix de dénoncer l'antisémitisme à l'appui d'un personnage dont les origines prennent racine dans un pays musulman - curieux choix lorsque l'on sait que l'antisémitisme musulman est davantage politique qu'idéologique (à l'instar de l'antisémitisme chrétien - lequel a causé dans l'histoire le plus de tort aux juifs)
pareil pour le film Dictator oĂč une fois de plus , le simple hasard le porte Ă  ancrer les origines du Supreme Leader Aladeen dans un pays arabe.
 
Nul doute que ce sioniste s'attaque à l'islam et aux musulmans dans ce film, déja son affiche promotionnelle avec la bague, ensuite le code de leur village, le bouquin, qui n'est rien d'autre qu'une allusion au clichés sur le coran et tous les clichés sur les pays musulmans : la femme n'est pas l'égal de l'homme, elle ne peut pas travailler, elle ne peut pas conduire, etc, de plus à plusieurs reprises il lui dit "puisque c'est écrit c'est que c'est vra", la cage dans laquelle il enferme sa fille comme un animal est le symbole du voile et de la burqa, il y a aussi la notion de virginité, et le fait de marier sa fille pour du fric avec un vieux.

Comme l'a mentionné un bladinaute plus haut tous ses films "ali g" "le dictateur" "borat" visent à humilier les arabes et l'islam, il met quelques petites blagues sur les juifs histoire de brouiller les pistes, mais il est evident que le but de ce genre de déjéction ciné ne trompe personne.
Il n'y a rien de tout ce qu'il dépeint dans la vraie vie. C'est que du cinéma.
 
tu nous recopies lĂ  les critiques classiques du film, merci toutefois pour l'effort.
si on partage le packaging de ces critiques
quand on déballe la marchandise
"on" constate qu'il fait aussi (surtout ?) le choix de dénoncer l'antisémitisme à l'appui d'un personnage dont les origines prennent racine dans un pays musulman - curieux choix lorsque l'on sait que l'antisémitisme musulman est davantage politique qu'idéologique (à l'instar de l'antisémitisme chrétien - lequel a causé dans l'histoire le plus de tort aux juifs)
pareil pour le film Dictator oĂč une fois de plus , le simple hasard le porte Ă  ancrer les origines du Supreme Leader Aladeen dans un pays arabe.
MĂȘme le pays concernĂ© a compris finalement et en rigole , tourisme multipliĂ© par 10 (c’est bien la preuve que les gens ne le prennent pas au premier degrĂ© et on dĂ©couvre un superbe pays ) , mĂȘme l’état a adoptĂ© dans ces campagnes touristique le very nice de Borat

une critique que je trouve assez juste :

Alors, il va plus loin, toujours plus loin. Dans une scĂšne incroyablement gĂȘnante, il demande Ă  un docteur-pasteur d'enlever « le bĂ©bĂ© qu'il a mis dans le ventre de sa fille » : « Je me sens coupable, je voulais juste donner du plaisir Ă  ma fille et elle se retrouve avec un bĂ©bĂ© dans le ventre. » Celui-ci rĂ©pond : « Vous n'avez pas Ă  vous sentir coupable. L'important n'est pas comment il est arrivĂ© lĂ  mais que Dieu est celui qui crĂ©e la vie et Dieu ne crĂ©e pas d'accidents. » Glaçant. AffublĂ© d'un faux nez crochu et de cornes de diable, Borat s'infiltre dans une synagogue. CostumĂ© en Trump, il s'invite Ă  un meeting de Mike Pence. En plein confinement, il se rĂ©fugie chez des militants QAnon rĂ©ellement persuadĂ©s que les dĂ©mocrates sont des pĂ©dophiles satanistes plus dangereux que le coronavirus. Il piĂšge mĂȘme Rudy Giuliani, envoyant sa (fausse) fille devenue (fausse) journaliste interviewer l'ancien (vĂ©ritable) maire de New York qui s'apprĂȘte Ă  (vraiment) coucher avec elle.

Comme toujours, ce n'est pas Borat lui-mĂȘme qui est intĂ©ressant, mais ce qu'il rĂ©vĂšle chez ceux qu'il croise. « Ce film ne convient pas aux enfants de moins de 3 ans », affichait-il d'emblĂ©e au dĂ©but de son film. Borat exagĂšre, mais si on dĂ©cidait d'en rire ? Et de ne pas nous montrer aussi susceptibles que des bambins pas sĂ»rs d'eux ?
 
MĂȘme le pays concernĂ© a compris finalement et en rigole , tourisme multipliĂ© par 10 (c’est bien la preuve que les gens ne le prennent pas au premier degrĂ© et on dĂ©couvre un superbe pays ) , mĂȘme l’état a adoptĂ© dans ces campagnes touristique le very nice de Borat

une critique que je trouve assez juste :

Alors, il va plus loin, toujours plus loin. Dans une scĂšne incroyablement gĂȘnante, il demande Ă  un docteur-pasteur d'enlever « le bĂ©bĂ© qu'il a mis dans le ventre de sa fille » : « Je me sens coupable, je voulais juste donner du plaisir Ă  ma fille et elle se retrouve avec un bĂ©bĂ© dans le ventre. » Celui-ci rĂ©pond : « Vous n'avez pas Ă  vous sentir coupable. L'important n'est pas comment il est arrivĂ© lĂ  mais que Dieu est celui qui crĂ©e la vie et Dieu ne crĂ©e pas d'accidents. » Glaçant. AffublĂ© d'un faux nez crochu et de cornes de diable, Borat s'infiltre dans une synagogue. CostumĂ© en Trump, il s'invite Ă  un meeting de Mike Pence. En plein confinement, il se rĂ©fugie chez des militants QAnon rĂ©ellement persuadĂ©s que les dĂ©mocrates sont des pĂ©dophiles satanistes plus dangereux que le coronavirus. Il piĂšge mĂȘme Rudy Giuliani, envoyant sa (fausse) fille devenue (fausse) journaliste interviewer l'ancien (vĂ©ritable) maire de New York qui s'apprĂȘte Ă  (vraiment) coucher avec elle.

Comme toujours, ce n'est pas Borat lui-mĂȘme qui est intĂ©ressant, mais ce qu'il rĂ©vĂšle chez ceux qu'il croise. « Ce film ne convient pas aux enfants de moins de 3 ans », affichait-il d'emblĂ©e au dĂ©but de son film. Borat exagĂšre, mais si on dĂ©cidait d'en rire ? Et de ne pas nous montrer aussi susceptibles que des bambins pas sĂ»rs d'eux ?

Bravo à l'office du tourisme du Kazakhstan d'avoir su tirer profit du succÚs du film - c'est un peu différent de la version qui laisse entendre qu'ils "ont finalement compris" - version qui témoigne une fois de plus - de cette pseudo supériorité dont l'occidental se prévaut sur l'oriental - ils sont longs à la détente mais ils finissent par comprendre ))
Le reste de la critique est un peu éloignée de ce que je dénonçais plus haut.
 
@Chriski
Sur la perception du Film par les kasakhs (vu que ça t'intéresse)

"L'organisation Ă  but non lucratif dĂ©diĂ©e Ă  la prĂ©servation et Ă  la promotion du patrimoine et de la culture kazakhs aux États-Unis a demandĂ© Ă  Amazon d'annuler la sortie du film dans sa lettre, sans succĂšs. Selon Gaukhar Gia Nootas, fondatrice et directrice de l’Hollywood Film Academy, elle-mĂȘme kazakh, des membres de la communautĂ© kazakhe aurait Ă©tĂ© soumis Ă  des «humiliations fondĂ©es sur l'ethnie et des intimidations» aprĂšs la sortie du premier film en 2006.

«Lorsqu'on dĂ©couvre que je viens du Kazakhstan, on me pose des questions telles que : “Oh, aimez-vous vraiment ce genre de comportement sexuel ? Est-ce que tu couches avec tes frĂšres ?” et toutes sortes de questions vulgaires de ce genre, raconte-t-elle. Ce ne sont pas de mauvaises personnes, elles sont juste mal informĂ©es.» L'Association kazakhe amĂ©ricaine affirme qu'en soutenant la suite, Amazon Prime Video encourage activement le racisme, l'appropriation culturelle et la xĂ©nophobie.

«Le personnage de Borat relais des histoires absurdes à un public qui a probablement peu de connaissances sur le Kazakhstan. Ce portrait de notre pays est misogyne, incestueux et antisémite, explique la lettre de l'association. Si Sacha Baron Cohen s'était moqué d'un Chinois, d'un Noir ou d'un juif, il y aurait eu une mobilisation internationale et le film aurait été fustigé et interdit à la distribution. Pourquoi notre petite nation est-elle la proie du ridicule ?» Et ces critiques ne sont pas des cas isolés."


 
@Chriski
Sur la perception du Film par les kasakhs (vu que ça t'intéresse)

"L'organisation Ă  but non lucratif dĂ©diĂ©e Ă  la prĂ©servation et Ă  la promotion du patrimoine et de la culture kazakhs aux États-Unis a demandĂ© Ă  Amazon d'annuler la sortie du film dans sa lettre, sans succĂšs. Selon Gaukhar Gia Nootas, fondatrice et directrice de l’Hollywood Film Academy, elle-mĂȘme kazakh, des membres de la communautĂ© kazakhe aurait Ă©tĂ© soumis Ă  des «humiliations fondĂ©es sur l'ethnie et des intimidations» aprĂšs la sortie du premier film en 2006.

«Lorsqu'on dĂ©couvre que je viens du Kazakhstan, on me pose des questions telles que : “Oh, aimez-vous vraiment ce genre de comportement sexuel ? Est-ce que tu couches avec tes frĂšres ?” et toutes sortes de questions vulgaires de ce genre, raconte-t-elle. Ce ne sont pas de mauvaises personnes, elles sont juste mal informĂ©es.» L'Association kazakhe amĂ©ricaine affirme qu'en soutenant la suite, Amazon Prime Video encourage activement le racisme, l'appropriation culturelle et la xĂ©nophobie.

«Le personnage de Borat relais des histoires absurdes à un public qui a probablement peu de connaissances sur le Kazakhstan. Ce portrait de notre pays est misogyne, incestueux et antisémite, explique la lettre de l'association. Si Sacha Baron Cohen s'était moqué d'un Chinois, d'un Noir ou d'un juif, il y aurait eu une mobilisation internationale et le film aurait été fustigé et interdit à la distribution. Pourquoi notre petite nation est-elle la proie du ridicule ?» Et ces critiques ne sont pas des cas isolés."


Oui UNE assoc et encore elle est aux États Unis.
 
Oui UNE assoc et encore elle est aux États Unis.

Ils ne nous ont pas dit ce qu'ils allaient faire, se souvient Nicu Tudorache, 72 ans, qui a perdu un bras à la suite d'un accident. J'avais compris qu'ils faisaient un film pour montrer comment on vit dans notre village, mais ils nous ont pris pour des ****. On ne m'a pas dit que le monde entier verrait comment ces Américains se moquent de nous. J'ai été payé 5 dollars pour faire le ***." Le metteur en scÚne avait remplacé son bras par un jouet en plastique terminé par un poing suggérant un pénis. Cristina Iliescu, l'assistante roumaine qui a accompagné l'équipe américaine, et qui avait participé au tournage de Return of the Living Dead et Cold Mountain, s'explique : "Je devais dire aux personnages ce qu'ils avaient à faire. Je leur ai toujours dit qu'ils étaient en train d'interpréter un rÎle. C'est vrai, on a travaillé sous la pression et on n'a pas eu le temps de vérifier si les 600 personnes qui participaient au tournage ont toutes compris de quoi il était question."


Aujourd'hui, les Tziganes de Glod affirment en bloc qu'ils n'étaient pas au courant de l'enjeu du tournage. "Ils ont débarqué dans notre village avec des voitures trÚs chÚres et des gardes du corps,lance Nicolae Staicu, leader de la communauté tzigane de Glod. Je croyais qu'ils avaient obtenu les autorisations pour filmer à un haut niveau et je n'ai pas osé intervenir." Ils ont découvert à la télévision roumaine dans quel pétrin ils s'étaient fourrés. L'avalanche de journalistes étrangers qui ont envahi leur petit village leur a fait comprendre que quelque chose ne tournait pas rond dans cette histoire.



Celle-ci, je te la dédicace

Pour Vesna Goldsworthy, une professeure Ă  l’universitĂ© d’Exeter qui est nĂ©e en ex-Yougoslavie, le Kazakhstan de Borat est un “raccourci bien pratique” pour reprĂ©senter “un mĂ©lange de stĂ©rĂ©otypes sur l’Europe de l’Est [et l’Asie centrale]”. Cette rĂ©gion, poursuit-elle, est “la derniĂšre sur laquelle plaquer des sentiments de supĂ©rioritĂ© qui ne peuvent plus exister ailleurs”.

 
La mĂȘme mouvance que ceux qui veulent interdire le blasphĂšme.

ridicule et so prévisible ou comment tenter de museler la critique quand elle dérange (les athées sont les croyants les plus déagréables qui soient, c'est pas de moi mais ça te va bien )
 
Ils ne nous ont pas dit ce qu'ils allaient faire, se souvient Nicu Tudorache, 72 ans, qui a perdu un bras à la suite d'un accident. J'avais compris qu'ils faisaient un film pour montrer comment on vit dans notre village, mais ils nous ont pris pour des **. On ne m'a pas dit que le monde entier verrait comment ces Américains se moquent de nous. J'ai été payé 5 dollars pour faire le *." Le metteur en scÚne avait remplacé son bras par un jouet en plastique terminé par un poing suggérant un pénis. Cristina Iliescu, l'assistante roumaine qui a accompagné l'équipe américaine, et qui avait participé au tournage de Return of the Living Dead et Cold Mountain, s'explique : "Je devais dire aux personnages ce qu'ils avaient à faire. Je leur ai toujours dit qu'ils étaient en train d'interpréter un rÎle. C'est vrai, on a travaillé sous la pression et on n'a pas eu le temps de vérifier si les 600 personnes qui participaient au tournage ont toutes compris de quoi il était question."


Aujourd'hui, les Tziganes de Glod affirment en bloc qu'ils n'étaient pas au courant de l'enjeu du tournage. "Ils ont débarqué dans notre village avec des voitures trÚs chÚres et des gardes du corps,lance Nicolae Staicu, leader de la communauté tzigane de Glod. Je croyais qu'ils avaient obtenu les autorisations pour filmer à un haut niveau et je n'ai pas osé intervenir." Ils ont découvert à la télévision roumaine dans quel pétrin ils s'étaient fourrés. L'avalanche de journalistes étrangers qui ont envahi leur petit village leur a fait comprendre que quelque chose ne tournait pas rond dans cette histoire.



Celle-ci, je te la dédicace

Pour Vesna Goldsworthy, une professeure Ă  l’universitĂ© d’Exeter qui est nĂ©e en ex-Yougoslavie, le Kazakhstan de Borat est un “raccourci bien pratique” pour reprĂ©senter “un mĂ©lange de stĂ©rĂ©otypes sur l’Europe de l’Est [et l’Asie centrale]”. Cette rĂ©gion, poursuit-elle, est “la derniĂšre sur laquelle plaquer des sentiments de supĂ©rioritĂ© qui ne peuvent plus exister ailleurs”.

DĂ©jĂ  quand on parle du film , on parle toujours des sĂ©quences en camĂ©ra cachĂ©es, les gens avec qui je discutent ne parle jamais de Borat et de son origine supposĂ©e dans le film , mais ce sont les camĂ©ras cachĂ©es , j’ai jamais entendu quelqu’un dire « t’as vu , ils boivent de la pisse de cheval de lĂ  oĂč vient Borat » , il y a aussi des sous Ă  se faire «
Un certain nombre de Tziganes en colĂšre se cotisent pour prendre un avocat et intenter un procĂšs aux AmĂ©ricains afin d'obtenir des dĂ©dommagements. » l’équipe de tournage a fournit des livrets scolaires , des ordinateurs aux enfants entre autre , rien qu’en faisant ça ils ont dĂ©jĂ  fait beaucoups plus que la Roumanie envers ces gens que ce mĂȘme pays ne veut pas reconnaĂźtre et les laisse comme laisser pour compte.
 
Ils ne nous ont pas dit ce qu'ils allaient faire, se souvient Nicu Tudorache, 72 ans, qui a perdu un bras à la suite d'un accident. J'avais compris qu'ils faisaient un film pour montrer comment on vit dans notre village, mais ils nous ont pris pour des **. On ne m'a pas dit que le monde entier verrait comment ces Américains se moquent de nous. J'ai été payé 5 dollars pour faire le *." Le metteur en scÚne avait remplacé son bras par un jouet en plastique terminé par un poing suggérant un pénis. Cristina Iliescu, l'assistante roumaine qui a accompagné l'équipe américaine, et qui avait participé au tournage de Return of the Living Dead et Cold Mountain, s'explique : "Je devais dire aux personnages ce qu'ils avaient à faire. Je leur ai toujours dit qu'ils étaient en train d'interpréter un rÎle. C'est vrai, on a travaillé sous la pression et on n'a pas eu le temps de vérifier si les 600 personnes qui participaient au tournage ont toutes compris de quoi il était question."


Aujourd'hui, les Tziganes de Glod affirment en bloc qu'ils n'étaient pas au courant de l'enjeu du tournage. "Ils ont débarqué dans notre village avec des voitures trÚs chÚres et des gardes du corps,lance Nicolae Staicu, leader de la communauté tzigane de Glod. Je croyais qu'ils avaient obtenu les autorisations pour filmer à un haut niveau et je n'ai pas osé intervenir." Ils ont découvert à la télévision roumaine dans quel pétrin ils s'étaient fourrés. L'avalanche de journalistes étrangers qui ont envahi leur petit village leur a fait comprendre que quelque chose ne tournait pas rond dans cette histoire.



Celle-ci, je te la dédicace

Pour Vesna Goldsworthy, une professeure Ă  l’universitĂ© d’Exeter qui est nĂ©e en ex-Yougoslavie, le Kazakhstan de Borat est un “raccourci bien pratique” pour reprĂ©senter “un mĂ©lange de stĂ©rĂ©otypes sur l’Europe de l’Est [et l’Asie centrale]”. Cette rĂ©gion, poursuit-elle, est “la derniĂšre sur laquelle plaquer des sentiments de supĂ©rioritĂ© qui ne peuvent plus exister ailleurs”.

Oui en fait c’est une question de gros sous
"Borat" : des Roumains
portent plainte

Des villageois roumains figurants dans le film "Borat" demandent 30 millions de dollars de dommages aux producteurs.
Le distributeur dément

Gregg Brilliant, porte-parole de la 20th Century Fox, distributeur de "Borat", a déclaré que le film n'avait "jamais été présenté à quiconque en Roumanie comme un documentaire". Il a ajouté que les villageois avaient été bien payés, et mélangés avec des acteurs professionnels pour montrer un village fictif.
Dans le film, le comédien britannique Sacha Baron Cohen joue le rÎle d'un journaliste kazakh, Borat, qui se rend aux Etats-Unis pour un reportage et se joue avec dérision des gens qu'il rencontre. La séquence d'ouverture du film, qui montre la ville natale de Borat au Kazakhstan, a été tournée à Glod, village situé au nord-ouest de Bucarest. https://www.nouvelobs.com/culture/20061121.OBS9912/borat-des-roumains-portent-plainte.html
 
DĂ©jĂ  quand on parle du film , on parle toujours des sĂ©quences en camĂ©ra cachĂ©es, les gens avec qui je discutent ne parle jamais de Borat et de son origine supposĂ©e dans le film , mais ce sont les camĂ©ras cachĂ©es , j’ai jamais entendu quelqu’un dire « t’as vu , ils boivent de la pisse de cheval de lĂ  oĂč vient Borat » , il y a aussi des sous Ă  se faire «
Un certain nombre de Tziganes en colĂšre se cotisent pour prendre un avocat et intenter un procĂšs aux AmĂ©ricains afin d'obtenir des dĂ©dommagements. » l’équipe de tournage a fournit des livrets scolaires , des ordinateurs aux enfants entre autre , rien qu’en faisant ça ils ont dĂ©jĂ  fait beaucoups plus que la Roumanie envers ces gens que ce mĂȘme pays ne veut pas reconnaĂźtre et les laisse comme laisser pour compte.

Ils disent eux-mĂȘme qu'ils ont Ă©tĂ© trompĂ©s et humiliĂ©s et toi tu leur dit de fermer leur gueule parce qu'ils ont eu des jouets des livres etc. ?

Indécent.
 
Ils disent eux-mĂȘme qu'ils ont Ă©tĂ© trompĂ©s et humiliĂ©s et toi tu leur dit de fermer leur gueule parce qu'ils ont eu des jouets des livres etc. ?

Vieux beauf tĂȘtu.
Oui ils disent eux mĂȘme c’est bien , , wahouuuuuu 30 millions de dollars , ça vaut lle coup de le dire , ah ils le disent donc c’est vrai .2 ressortissants Roumains attaque le film , et comme dit plus haut c’est dĂ©menti, l’enfer pour ces gens c’est pas ce film , mais la triste rĂ©alitĂ© qu’ils vivent au quotidien.
Mais le film de Cohen n'attire pas les regards uniquement sur le Kazakhstan. Tous ceux qui ont vu ou verront le film seront peut-ĂȘtre Ă©tonnĂ©s de savoir que les premiĂšres images censĂ©es se dĂ©rouler dans un misĂ©rable village kazakh ont en fait Ă©tĂ© tournĂ©es en... Roumanie, pays qui va adhĂ©rer en janvier prochain Ă  l'Union europĂ©enne (UE).

Toujours friands de reportages annexes, de nombreux journalistes se sont dĂ©jĂ  prĂ©cipitĂ©s Ă  Glod (HergĂ© aurait adorĂ© ce nom...), un village tsigane rattachĂ©, expliquent les responsables locaux, Ă  la municipalitĂ© de Moroeni, au nord-ouest de Bucarest. Et lĂ , les reporters ont dĂ©couvert la sordide rĂ©alitĂ© du dĂ©nuement d'une Roumanie rurale avec des villages sans eau courante oĂč l'on se chauffe encore au bois et oĂč les jeunes, faute d'Ă©ducation, sont au chĂŽmage.

On est loin des chiffres macro-économiques qui vantent le miracle roumain: 7% de croissance en 2006 (5% de moyenne au cours des cinq derniÚres années) et un bond des investissements directs étrangers à 7 milliards de dollars (5,4 milliards en 2005). On est loin aussi de la "surprise agréable pour l'Europe" promise par le président roumain Traian Basescu à ceux qui craignent les effets de l'entrée de ce pays dans l'UE.

L'incursion de Borat en Roumanie a d'ailleurs mis en exergue les dures lois de la mondialisation. Quelques centaines d'euros pour les figurants, un ordinateur et une photocopieuse pour l'école, et du ciment: le tournage dans l'ancien pays de Caucescu ne s'est guÚre avéré ruineux pour les producteurs du film mais cela a suffit à créer la polémique. Le maire de Moroeni a eu des propos plus que douteux à l'égard de ses administrés tsiganes "capables de tuer leurs pÚres pour de l'argent".

Quant Ă  la tĂ©lĂ©vision roumaine, elle a dĂ©noncĂ© des villageois "prĂȘts Ă  se vendre" pour quelques euros. Un dĂ©faut que l'on pourrait croire national Ă  en juger par le rĂ©cent classement de la Roumanie dans le rapport sur la corruption de Transparency International. Elle y figure en quatre-vingt-quatriĂšme position ce qui conforte l'une des critiques majeures Ă  l'encontre de la Roumanie Ă  savoir le niveau endĂ©mique de la corruption qui y sĂ©vit.

Et mardi 22 novembre, la polémique a pris une nouvelle tournure, deux ressortissants roumains, habitants de Glod, ayant décidé d'attaquer les producteurs du film, dont la compagnie 20th Century Fox, devant un tribunal fédéral de Manhattan. Assurant avoir été trompés par l'équipe de tournage de Borat, laquelle leur aurait assuré qu'il s'agissait de la réalisation du tournage d'un documentaire sur la pauvreté en Roumanie, ils réclament 30 millions de dollars (23,6 millions d'euros) de dommages à ces producteurs. Des accusations rejetées par la 20th Century Fox qui assure avoir correctement traité les figurants du film et que ces derniers étaient bel et bien au courant de la nature du projet. https://www.latribune.fr/archives/2...-marketing-pour-pays-en-mal-de-notoriete.html
 
Il suffirait aussi de boycotter ce film mais tout le monde saute dessus.. Pfff une mierda comme ca

Tout le monde saute sur ce telefilm ( j'apelle pas ca du cinéma), car borat cohen fait partie de la clique qui tient hollywood, le journalimse et les médias, il peut produire n'importe quoi il sera mis en avant et son navet matraqué partout.

ALI G ( référence aux arabes, à l'islam) BORAT ( ridiculise un pays majoritairement musulman, il ridiculise à la fois les habitants , leur religion et leur livre sacré) LE DICTATEUR ( il prend nom d'aladeen et manque de respect à feu khaddafi en le tournant en ridicule)

Aprés on va nous dire que ce gars ne s'attaque pas aux arabes et à l'islam??? enfin voyons....
 
Oui ils disent eux mĂȘme c’est bien , , wahouuuuuu 30 millions de dollars , ça vaut lle coup de le dire , ah ils le disent donc c’est vrai .2 ressortissants Roumains attaque le film , et comme dit plus haut c’est dĂ©menti, l’enfer pour ces gens c’est pas ce film , mais la triste rĂ©alitĂ© qu’ils vivent au quotidien.
Mais le film de Cohen n'attire pas les regards uniquement sur le Kazakhstan. Tous ceux qui ont vu ou verront le film seront peut-ĂȘtre Ă©tonnĂ©s de savoir que les premiĂšres images censĂ©es se dĂ©rouler dans un misĂ©rable village kazakh ont en fait Ă©tĂ© tournĂ©es en... Roumanie, pays qui va adhĂ©rer en janvier prochain Ă  l'Union europĂ©enne (UE).

Ils ne nous ont pas dit ce qu'ils allaient faire, se souvient Nicu Tudorache, 72 ans, qui a perdu un bras à la suite d'un accident. J'avais compris qu'ils faisaient un film pour montrer comment on vit dans notre village, mais ils nous ont pris pour des **. On ne m'a pas dit que le monde entier verrait comment ces Américains se moquent de nous. J'ai été payé 5 dollars pour faire le *." Le metteur en scÚne avait remplacé son bras par un jouet en plastique terminé par un poing suggérant un pénis. Cristina Iliescu, l'assistante roumaine qui a accompagné l'équipe américaine, et qui avait participé au tournage de Return of the Living Dead et Cold Mountain, s'explique : "Je devais dire aux personnages ce qu'ils avaient à faire. Je leur ai toujours dit qu'ils étaient en train d'interpréter un rÎle. C'est vrai, on a travaillé sous la pression et on n'a pas eu le temps de vérifier si les 600 personnes qui participaient au tournage ont toutes compris de quoi il était question."


Aujourd'hui, les Tziganes de Glod affirment en bloc qu'ils n'étaient pas au courant de l'enjeu du tournage. "Ils ont débarqué dans notre village avec des voitures trÚs chÚres et des gardes du corps,lance Nicolae Staicu, leader de la communauté tzigane de Glod. Je croyais qu'ils avaient obtenu les autorisations pour filmer à un haut niveau et je n'ai pas osé intervenir." Ils ont découvert à la télévision roumaine dans quel pétrin ils s'étaient fourrés. L'avalanche de journalistes étrangers qui ont envahi leur petit village leur a fait comprendre que quelque chose ne tournait pas rond dans cette histoire.



Celle-ci, je te la dédicace

Pour Vesna Goldsworthy, une professeure Ă  l’universitĂ© d’Exeter qui est nĂ©e en ex-Yougoslavie, le Kazakhstan de Borat est un “raccourci bien pratique” pour reprĂ©senter “un mĂ©lange de stĂ©rĂ©otypes sur l’Europe de l’Est [et l’Asie centrale]”. Cette rĂ©gion, poursuit-elle, est “la derniĂšre sur laquelle plaquer des sentiments de supĂ©rioritĂ© qui ne peuvent plus exister ailleurs”.

 
Oui en fait c’est une question de gros sous
"Borat" : des Roumains
portent plainte

Des villageois roumains figurants dans le film "Borat" demandent 30 millions de dollars de dommages aux producteurs.
Le distributeur dément

Gregg Brilliant, porte-parole de la 20th Century Fox, distributeur de "Borat", a déclaré que le film n'avait "jamais été présenté à quiconque en Roumanie comme un documentaire". Il a ajouté que les villageois avaient été bien payés, et mélangés avec des acteurs professionnels pour montrer un village fictif.
Dans le film, le comédien britannique Sacha Baron Cohen joue le rÎle d'un journaliste kazakh, Borat, qui se rend aux Etats-Unis pour un reportage et se joue avec dérision des gens qu'il rencontre. La séquence d'ouverture du film, qui montre la ville natale de Borat au Kazakhstan, a été tournée à Glod, village situé au nord-ouest de Bucarest. https://www.nouvelobs.com/culture/20061121.OBS9912/borat-des-roumains-portent-plainte.html

Ce n'est qu'UNE asssociation
Ce n'est qu'une histoire de sous


#cenestque
 
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