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La beauf partyManque plus que Bigard![]()
La beauf party
Lol... Oui enfin J'en fais moins..Tu fais toujours du yoga ? Tu m'as fait aimé le yoga tu sais ça !
On va fermer les yeux et dire que c'est une "joyeuse/malheureuse" coĂŻncidence selon son propre positionnement.
Mais ce qui est clair, c'est que derriÚre l'humour potache, c'est un cinéma trÚs engagé.
On va fermer les yeux et dire que c'est une "joyeuse/malheureuse" coĂŻncidence selon son propre positionnement.
Mais ce qui est clair, c'est que derriÚre l'humour potache, c'est un cinéma trÚs engagé.
Nul doute que ce sioniste s'attaque à l'islam et aux musulmans dans ce film, déja son affiche promotionnelle avec la bague, ensuite le code de leur village, le bouquin, qui n'est rien d'autre qu'une allusion au clichés sur le coran et tous les clichés sur les pays musulmans : la femme n'est pas l'égal de l'homme, elle ne peut pas travailler, elle ne peut pas conduire, etc, de plus à plusieurs reprises il lui dit "puisque c'est écrit c'est que c'est vra", la cage dans laquelle il enferme sa fille comme un animal est le symbole du voile et de la burqa, il y a aussi la notion de virginité, et le fait de marier sa fille pour du fric avec un vieux.
Comme l'a mentionné un bladinaute plus haut tous ses films "ali g" "le dictateur" "borat" visent à humilier les arabes et l'islam, il met quelques petites blagues sur les juifs histoire de brouiller les pistes, mais il est evident que le but de ce genre de déjéction ciné ne trompe personne.
Tâas pas compris Borat alors , câest de lâanti-amĂ©ricanisme a fond , le personnage quâil incarne est la vision occidentale quâon se fait de ces pays (il lâavait dit dans une interview), et avec cette vision , il fait des camĂ©ras cachĂ©es pour faire ressortir le puritanisme et lâhypocrisie de lâAmĂ©rique, dĂ©jĂ dans Bruno il est allĂ© dans des quartiers orthodoxes juifs dĂ©guisĂ©s en gay pour provoquer , il a faillit se faire lyncher , il a dĂ» sauter dans une voiture avant de se faire lyncher par la foule .Il fait ressortir lâislamophobie , lâantisemitisme , lâhomophobie etc de la sociĂ©tĂ© qui se dit puritaine ,câest un condensĂ© de nos diverses phobies.Et avec son personnage fantasmĂ© tel que par lâOccident , il vient faire ressortir les vrais problĂšmes non fantasmĂ©s de nos sociĂ©tĂ©s.Nul doute que ce sioniste s'attaque Ă l'islam et aux musulmans dans ce film, dĂ©ja son affiche promotionnelle avec la bague, ensuite le code de leur village, le bouquin, qui n'est rien d'autre qu'une allusion au clichĂ©s sur le coran et tous les clichĂ©s sur les pays musulmans : la femme n'est pas l'Ă©gal de l'homme, elle ne peut pas travailler, elle ne peut pas conduire, etc, de plus Ă plusieurs reprises il lui dit "puisque c'est Ă©crit c'est que c'est vra", la cage dans laquelle il enferme sa fille comme un animal est le symbole du voile et de la burqa, il y a aussi la notion de virginitĂ©, et le fait de marier sa fille pour du fric avec un vieux.
Comme l'a mentionné un bladinaute plus haut tous ses films "ali g" "le dictateur" "borat" visent à humilier les arabes et l'islam, il met quelques petites blagues sur les juifs histoire de brouiller les pistes, mais il est evident que le but de ce genre de déjéction ciné ne trompe personne.
Tâas pas compris Borat alors , câest de lâanti-amĂ©ricanisme a fond , le personnage quâil incarne est la vision occidentale quâon se fait de ces pays (il lâavait dit dans une interview), et avec cette vision , il fait des camĂ©ras cachĂ©es pour faire ressortir le puritanisme et lâhypocrisie de lâAmĂ©rique, dĂ©jĂ dans Bruno il est allĂ© dans des quartiers orthodoxes juifs dĂ©guisĂ©s en gay pour provoquer , il a faillit se faire lyncher , il a dĂ» sauter dans une voiture avant de se faire lyncher par la foule .Il fait ressortir lâislamophobie , lâantisemitisme , lâhomophobie etc de la sociĂ©tĂ© qui se dit puritaine ,câest un condensĂ© de nos diverses phobies.Et avec son personnage fantasmĂ© tel que par lâOccident , il vient faire ressortir les vrais problĂšmes non fantasmĂ©s de nos sociĂ©tĂ©s.
Il n'y a rien de tout ce qu'il dépeint dans la vraie vie. C'est que du cinéma.Nul doute que ce sioniste s'attaque à l'islam et aux musulmans dans ce film, déja son affiche promotionnelle avec la bague, ensuite le code de leur village, le bouquin, qui n'est rien d'autre qu'une allusion au clichés sur le coran et tous les clichés sur les pays musulmans : la femme n'est pas l'égal de l'homme, elle ne peut pas travailler, elle ne peut pas conduire, etc, de plus à plusieurs reprises il lui dit "puisque c'est écrit c'est que c'est vra", la cage dans laquelle il enferme sa fille comme un animal est le symbole du voile et de la burqa, il y a aussi la notion de virginité, et le fait de marier sa fille pour du fric avec un vieux.
Comme l'a mentionné un bladinaute plus haut tous ses films "ali g" "le dictateur" "borat" visent à humilier les arabes et l'islam, il met quelques petites blagues sur les juifs histoire de brouiller les pistes, mais il est evident que le but de ce genre de déjéction ciné ne trompe personne.
MĂȘme le pays concernĂ© a compris finalement et en rigole , tourisme multipliĂ© par 10 (câest bien la preuve que les gens ne le prennent pas au premier degrĂ© et on dĂ©couvre un superbe pays ) , mĂȘme lâĂ©tat a adoptĂ© dans ces campagnes touristique le very nice de Borattu nous recopies lĂ les critiques classiques du film, merci toutefois pour l'effort.
si on partage le packaging de ces critiques
quand on déballe la marchandise
"on" constate qu'il fait aussi (surtout ?) le choix de dénoncer l'antisémitisme à l'appui d'un personnage dont les origines prennent racine dans un pays musulman - curieux choix lorsque l'on sait que l'antisémitisme musulman est davantage politique qu'idéologique (à l'instar de l'antisémitisme chrétien - lequel a causé dans l'histoire le plus de tort aux juifs)
pareil pour le film Dictator oĂč une fois de plus , le simple hasard le porte Ă ancrer les origines du Supreme Leader Aladeen dans un pays arabe.
MĂȘme le pays concernĂ© a compris finalement et en rigole , tourisme multipliĂ© par 10 (câest bien la preuve que les gens ne le prennent pas au premier degrĂ© et on dĂ©couvre un superbe pays ) , mĂȘme lâĂ©tat a adoptĂ© dans ces campagnes touristique le very nice de Borat
une critique que je trouve assez juste :
Alors, il va plus loin, toujours plus loin. Dans une scĂšne incroyablement gĂȘnante, il demande Ă un docteur-pasteur d'enlever « le bĂ©bĂ© qu'il a mis dans le ventre de sa fille » : « Je me sens coupable, je voulais juste donner du plaisir Ă ma fille et elle se retrouve avec un bĂ©bĂ© dans le ventre. » Celui-ci rĂ©pond : « Vous n'avez pas Ă vous sentir coupable. L'important n'est pas comment il est arrivĂ© lĂ mais que Dieu est celui qui crĂ©e la vie et Dieu ne crĂ©e pas d'accidents. » Glaçant. AffublĂ© d'un faux nez crochu et de cornes de diable, Borat s'infiltre dans une synagogue. CostumĂ© en Trump, il s'invite Ă un meeting de Mike Pence. En plein confinement, il se rĂ©fugie chez des militants QAnon rĂ©ellement persuadĂ©s que les dĂ©mocrates sont des pĂ©dophiles satanistes plus dangereux que le coronavirus. Il piĂšge mĂȘme Rudy Giuliani, envoyant sa (fausse) fille devenue (fausse) journaliste interviewer l'ancien (vĂ©ritable) maire de New York qui s'apprĂȘte Ă (vraiment) coucher avec elle.
Comme toujours, ce n'est pas Borat lui-mĂȘme qui est intĂ©ressant, mais ce qu'il rĂ©vĂšle chez ceux qu'il croise. « Ce film ne convient pas aux enfants de moins de 3 ans », affichait-il d'emblĂ©e au dĂ©but de son film. Borat exagĂšre, mais si on dĂ©cidait d'en rire ? Et de ne pas nous montrer aussi susceptibles que des bambins pas sĂ»rs d'eux ?
Oui UNE assoc et encore elle est aux Ătats Unis.@Chriski
Sur la perception du Film par les kasakhs (vu que ça t'intéresse)
"L'organisation Ă but non lucratif dĂ©diĂ©e Ă la prĂ©servation et Ă la promotion du patrimoine et de la culture kazakhs aux Ătats-Unis a demandĂ© Ă Amazon d'annuler la sortie du film dans sa lettre, sans succĂšs. Selon Gaukhar Gia Nootas, fondatrice et directrice de lâHollywood Film Academy, elle-mĂȘme kazakh, des membres de la communautĂ© kazakhe aurait Ă©tĂ© soumis Ă des «humiliations fondĂ©es sur l'ethnie et des intimidations» aprĂšs la sortie du premier film en 2006.
«Lorsqu'on dĂ©couvre que je viens du Kazakhstan, on me pose des questions telles que : âOh, aimez-vous vraiment ce genre de comportement sexuel ? Est-ce que tu couches avec tes frĂšres ?â et toutes sortes de questions vulgaires de ce genre, raconte-t-elle. Ce ne sont pas de mauvaises personnes, elles sont juste mal informĂ©es.» L'Association kazakhe amĂ©ricaine affirme qu'en soutenant la suite, Amazon Prime Video encourage activement le racisme, l'appropriation culturelle et la xĂ©nophobie.
«Le personnage de Borat relais des histoires absurdes à un public qui a probablement peu de connaissances sur le Kazakhstan. Ce portrait de notre pays est misogyne, incestueux et antisémite, explique la lettre de l'association. Si Sacha Baron Cohen s'était moqué d'un Chinois, d'un Noir ou d'un juif, il y aurait eu une mobilisation internationale et le film aurait été fustigé et interdit à la distribution. Pourquoi notre petite nation est-elle la proie du ridicule ?» Et ces critiques ne sont pas des cas isolés."
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HarcĂšlement ethnique ou promotion touristique, Borat secoue le Kazakhstan
Une association kazakhe aux Ătats-Unis accuse le film d'ĂȘtre raciste tandis que l'office de tourisme du pays capitalise sur le succĂšs de la comĂ©die.www.lefigaro.fr
La mĂȘme mouvance que ceux qui veulent interdire le blasphĂšme.Oui UNE assoc et encore elle est aux Ătats Unis.
Oui UNE assoc et encore elle est aux Ătats Unis.
La mĂȘme mouvance que ceux qui veulent interdire le blasphĂšme.
DĂ©jĂ quand on parle du film , on parle toujours des sĂ©quences en camĂ©ra cachĂ©es, les gens avec qui je discutent ne parle jamais de Borat et de son origine supposĂ©e dans le film , mais ce sont les camĂ©ras cachĂ©es , jâai jamais entendu quelquâun dire « tâas vu , ils boivent de la pisse de cheval de lĂ oĂč vient Borat » , il y a aussi des sous Ă se faire «Ils ne nous ont pas dit ce qu'ils allaient faire, se souvient Nicu Tudorache, 72 ans, qui a perdu un bras Ă la suite d'un accident. J'avais compris qu'ils faisaient un film pour montrer comment on vit dans notre village, mais ils nous ont pris pour des **. On ne m'a pas dit que le monde entier verrait comment ces AmĂ©ricains se moquent de nous. J'ai Ă©tĂ© payĂ© 5 dollars pour faire le *." Le metteur en scĂšne avait remplacĂ© son bras par un jouet en plastique terminĂ© par un poing suggĂ©rant un pĂ©nis. Cristina Iliescu, l'assistante roumaine qui a accompagnĂ© l'Ă©quipe amĂ©ricaine, et qui avait participĂ© au tournage de Return of the Living Dead et Cold Mountain, s'explique : "Je devais dire aux personnages ce qu'ils avaient Ă faire. Je leur ai toujours dit qu'ils Ă©taient en train d'interprĂ©ter un rĂŽle. C'est vrai, on a travaillĂ© sous la pression et on n'a pas eu le temps de vĂ©rifier si les 600 personnes qui participaient au tournage ont toutes compris de quoi il Ă©tait question."
Aujourd'hui, les Tziganes de Glod affirment en bloc qu'ils n'étaient pas au courant de l'enjeu du tournage. "Ils ont débarqué dans notre village avec des voitures trÚs chÚres et des gardes du corps,lance Nicolae Staicu, leader de la communauté tzigane de Glod. Je croyais qu'ils avaient obtenu les autorisations pour filmer à un haut niveau et je n'ai pas osé intervenir." Ils ont découvert à la télévision roumaine dans quel pétrin ils s'étaient fourrés. L'avalanche de journalistes étrangers qui ont envahi leur petit village leur a fait comprendre que quelque chose ne tournait pas rond dans cette histoire.
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Les faux Kazakhs du film "Borat" se révoltent
Glod, rattaché administrativement à sa mairie, a servi de décor au producteur américain 20th Century Fox pour la premiÚre séquence du film.www.lemonde.fr
Celle-ci, je te la dédicace
Pour Vesna Goldsworthy, une professeure Ă lâuniversitĂ© dâExeter qui est nĂ©e en ex-Yougoslavie, le Kazakhstan de Borat est un âraccourci bien pratiqueâ pour reprĂ©senter âun mĂ©lange de stĂ©rĂ©otypes sur lâEurope de lâEst [et lâAsie centrale]â. Cette rĂ©gion, poursuit-elle, est âla derniĂšre sur laquelle plaquer des sentiments de supĂ©rioritĂ© qui ne peuvent plus exister ailleursâ.
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Controverse. Avons-nous encore besoin de Borat en 2020â?
Quatorze ans aprĂšs son premier voyage aux Ătats-Unis, le journaliste kazakh imaginĂ© par lâacteur britannique Sacha Baron Cohen est de retour. Mais fallait-il tourner une suite Ă ses aventures dĂ©jantĂ©esâ? Le personnage fait-il toujours rire Ă lâĂšre de Donald Trump et du Covid-19â? La presse estwww.courrierinternational.com
Oui en fait câest une question de gros sousIls ne nous ont pas dit ce qu'ils allaient faire, se souvient Nicu Tudorache, 72 ans, qui a perdu un bras Ă la suite d'un accident. J'avais compris qu'ils faisaient un film pour montrer comment on vit dans notre village, mais ils nous ont pris pour des **. On ne m'a pas dit que le monde entier verrait comment ces AmĂ©ricains se moquent de nous. J'ai Ă©tĂ© payĂ© 5 dollars pour faire le *." Le metteur en scĂšne avait remplacĂ© son bras par un jouet en plastique terminĂ© par un poing suggĂ©rant un pĂ©nis. Cristina Iliescu, l'assistante roumaine qui a accompagnĂ© l'Ă©quipe amĂ©ricaine, et qui avait participĂ© au tournage de Return of the Living Dead et Cold Mountain, s'explique : "Je devais dire aux personnages ce qu'ils avaient Ă faire. Je leur ai toujours dit qu'ils Ă©taient en train d'interprĂ©ter un rĂŽle. C'est vrai, on a travaillĂ© sous la pression et on n'a pas eu le temps de vĂ©rifier si les 600 personnes qui participaient au tournage ont toutes compris de quoi il Ă©tait question."
Aujourd'hui, les Tziganes de Glod affirment en bloc qu'ils n'étaient pas au courant de l'enjeu du tournage. "Ils ont débarqué dans notre village avec des voitures trÚs chÚres et des gardes du corps,lance Nicolae Staicu, leader de la communauté tzigane de Glod. Je croyais qu'ils avaient obtenu les autorisations pour filmer à un haut niveau et je n'ai pas osé intervenir." Ils ont découvert à la télévision roumaine dans quel pétrin ils s'étaient fourrés. L'avalanche de journalistes étrangers qui ont envahi leur petit village leur a fait comprendre que quelque chose ne tournait pas rond dans cette histoire.
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Les faux Kazakhs du film "Borat" se révoltent
Glod, rattaché administrativement à sa mairie, a servi de décor au producteur américain 20th Century Fox pour la premiÚre séquence du film.www.lemonde.fr
Celle-ci, je te la dédicace
Pour Vesna Goldsworthy, une professeure Ă lâuniversitĂ© dâExeter qui est nĂ©e en ex-Yougoslavie, le Kazakhstan de Borat est un âraccourci bien pratiqueâ pour reprĂ©senter âun mĂ©lange de stĂ©rĂ©otypes sur lâEurope de lâEst [et lâAsie centrale]â. Cette rĂ©gion, poursuit-elle, est âla derniĂšre sur laquelle plaquer des sentiments de supĂ©rioritĂ© qui ne peuvent plus exister ailleursâ.
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Controverse. Avons-nous encore besoin de Borat en 2020â?
Quatorze ans aprĂšs son premier voyage aux Ătats-Unis, le journaliste kazakh imaginĂ© par lâacteur britannique Sacha Baron Cohen est de retour. Mais fallait-il tourner une suite Ă ses aventures dĂ©jantĂ©esâ? Le personnage fait-il toujours rire Ă lâĂšre de Donald Trump et du Covid-19â? La presse estwww.courrierinternational.com
Il suffirait aussi de boycotter ce film mais tout le monde saute dessus.. Pfff une mierda comme caA charge pour nous de maĂźtriser les rouages du soft power.
DĂ©jĂ quand on parle du film , on parle toujours des sĂ©quences en camĂ©ra cachĂ©es, les gens avec qui je discutent ne parle jamais de Borat et de son origine supposĂ©e dans le film , mais ce sont les camĂ©ras cachĂ©es , jâai jamais entendu quelquâun dire « tâas vu , ils boivent de la pisse de cheval de lĂ oĂč vient Borat » , il y a aussi des sous Ă se faire «
Un certain nombre de Tziganes en colĂšre se cotisent pour prendre un avocat et intenter un procĂšs aux AmĂ©ricains afin d'obtenir des dĂ©dommagements. » lâĂ©quipe de tournage a fournit des livrets scolaires , des ordinateurs aux enfants entre autre , rien quâen faisant ça ils ont dĂ©jĂ fait beaucoups plus que la Roumanie envers ces gens que ce mĂȘme pays ne veut pas reconnaĂźtre et les laisse comme laisser pour compte.
Oui ils disent eux mĂȘme câest bien , , wahouuuuuu 30 millions de dollars , ça vaut lle coup de le dire , ah ils le disent donc câest vrai .2 ressortissants Roumains attaque le film , et comme dit plus haut câest dĂ©menti, lâenfer pour ces gens câest pas ce film , mais la triste rĂ©alitĂ© quâils vivent au quotidien.Ils disent eux-mĂȘme qu'ils ont Ă©tĂ© trompĂ©s et humiliĂ©s et toi tu leur dit de fermer leur gueule parce qu'ils ont eu des jouets des livres etc. ?
Vieux beauf tĂȘtu.
Il suffirait aussi de boycotter ce film mais tout le monde saute dessus.. Pfff une mierda comme ca
Oui ils disent eux mĂȘme câest bien , , wahouuuuuu 30 millions de dollars , ça vaut lle coup de le dire , ah ils le disent donc câest vrai .2 ressortissants Roumains attaque le film , et comme dit plus haut câest dĂ©menti, lâenfer pour ces gens câest pas ce film , mais la triste rĂ©alitĂ© quâils vivent au quotidien.
Mais le film de Cohen n'attire pas les regards uniquement sur le Kazakhstan. Tous ceux qui ont vu ou verront le film seront peut-ĂȘtre Ă©tonnĂ©s de savoir que les premiĂšres images censĂ©es se dĂ©rouler dans un misĂ©rable village kazakh ont en fait Ă©tĂ© tournĂ©es en... Roumanie, pays qui va adhĂ©rer en janvier prochain Ă l'Union europĂ©enne (UE).
Ils ne nous ont pas dit ce qu'ils allaient faire, se souvient Nicu Tudorache, 72 ans, qui a perdu un bras à la suite d'un accident. J'avais compris qu'ils faisaient un film pour montrer comment on vit dans notre village, mais ils nous ont pris pour des **. On ne m'a pas dit que le monde entier verrait comment ces Américains se moquent de nous. J'ai été payé 5 dollars pour faire le *." Le metteur en scÚne avait remplacé son bras par un jouet en plastique terminé par un poing suggérant un pénis. Cristina Iliescu, l'assistante roumaine qui a accompagné l'équipe américaine, et qui avait participé au tournage de Return of the Living Dead et Cold Mountain, s'explique : "Je devais dire aux personnages ce qu'ils avaient à faire. Je leur ai toujours dit qu'ils étaient en train d'interpréter un rÎle. C'est vrai, on a travaillé sous la pression et on n'a pas eu le temps de vérifier si les 600 personnes qui participaient au tournage ont toutes compris de quoi il était question."
Aujourd'hui, les Tziganes de Glod affirment en bloc qu'ils n'étaient pas au courant de l'enjeu du tournage. "Ils ont débarqué dans notre village avec des voitures trÚs chÚres et des gardes du corps,lance Nicolae Staicu, leader de la communauté tzigane de Glod. Je croyais qu'ils avaient obtenu les autorisations pour filmer à un haut niveau et je n'ai pas osé intervenir." Ils ont découvert à la télévision roumaine dans quel pétrin ils s'étaient fourrés. L'avalanche de journalistes étrangers qui ont envahi leur petit village leur a fait comprendre que quelque chose ne tournait pas rond dans cette histoire.
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Les faux Kazakhs du film "Borat" se révoltent
Glod, rattaché administrativement à sa mairie, a servi de décor au producteur américain 20th Century Fox pour la premiÚre séquence du film.www.lemonde.fr
Celle-ci, je te la dédicace
Pour Vesna Goldsworthy, une professeure Ă lâuniversitĂ© dâExeter qui est nĂ©e en ex-Yougoslavie, le Kazakhstan de Borat est un âraccourci bien pratiqueâ pour reprĂ©senter âun mĂ©lange de stĂ©rĂ©otypes sur lâEurope de lâEst [et lâAsie centrale]â. Cette rĂ©gion, poursuit-elle, est âla derniĂšre sur laquelle plaquer des sentiments de supĂ©rioritĂ© qui ne peuvent plus exister ailleursâ.
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Controverse. Avons-nous encore besoin de Borat en 2020â?
Quatorze ans aprĂšs son premier voyage aux Ătats-Unis, le journaliste kazakh imaginĂ© par lâacteur britannique Sacha Baron Cohen est de retour. Mais fallait-il tourner une suite Ă ses aventures dĂ©jantĂ©esâ? Le personnage fait-il toujours rire Ă lâĂšre de Donald Trump et du Covid-19â? La presse estwww.courrierinternational.com
Oui en fait câest une question de gros sous
"Borat" : des Roumains
portent plainte
Des villageois roumains figurants dans le film "Borat" demandent 30 millions de dollars de dommages aux producteurs.
Le distributeur dément
Gregg Brilliant, porte-parole de la 20th Century Fox, distributeur de "Borat", a déclaré que le film n'avait "jamais été présenté à quiconque en Roumanie comme un documentaire". Il a ajouté que les villageois avaient été bien payés, et mélangés avec des acteurs professionnels pour montrer un village fictif.
Dans le film, le comédien britannique Sacha Baron Cohen joue le rÎle d'un journaliste kazakh, Borat, qui se rend aux Etats-Unis pour un reportage et se joue avec dérision des gens qu'il rencontre. La séquence d'ouverture du film, qui montre la ville natale de Borat au Kazakhstan, a été tournée à Glod, village situé au nord-ouest de Bucarest. https://www.nouvelobs.com/culture/20061121.OBS9912/borat-des-roumains-portent-plainte.html