Je te fais un gros câlin consolateur
Ce qui change après la mort des parents
La douleur et la peine restent avec toi toute la vie.... grâce à l aide de Dieu on s habitue à la séparation mais on n oublie jamais!!!
Ma mère est morte juste avant décembre 2005, un coup dur, elle était le centre de mon univers, mon pire ennemi parfois mais aussi ma meilleure amie, ma " petite sœur " sur laquelle je veillais depuis mon enfance.
Je lui ai sauvé la vie plusieurs fois, notamment en la ramenant moi même aux urgences de cardio, mais la dernière fois je n'ai rien pu faire, je n'ai pu que attendre les secours qui sont arrivés bien trop tard, une défaillance des services.
J'ai pris conscience de notre fragilité, de notre mortalité, du défaut de services de secours rapides et compétents.
Si j'avais su les techniques de réanimation, si j'avais eu un de ces défibrillateurs mobiles qu'on voit partout, j'aurais peut être pu la sauver.
Je lui ai sauvé la vie plusieurs fois, notamment en la ramenant moi même aux urgences de cardio, mais la dernière fois je n'ai rien pu faire, je n'ai pu que attendre les secours qui sont arrivés bien trop tard, une défaillance des services.
J'ai pris conscience de notre fragilité, de notre mortalité, du défaut de services de secours rapides et compétents.
Si j'avais su les techniques de réanimation, si j'avais eu un de ces défibrillateurs mobiles qu'on voit partout, j'aurais peut être pu la sauver.
Je ne suis pas d’accord... seules les morts qui ne respectent pas l’ordre de départ de la nature sont inconsolables (sauf pour les hyper religieux et les gens avec’peu de scrupules et j’en connais). Toutes les autres morts on s’y fait tot ou tard.
Pire que de perdre 1 enfants.. c’est d’en perdre 2 à part ça tout est « acceptable »
Le meilleur moyen d'accepter la mort d'un parent a mon avis, c'est de parvenir à se soucier du sort de la personne défunte et non du sien. Aucun parent aimant ne voudrais savoir qu'à sa mort il deviendra responsable de la tristesse de ce qu'il à chéri le plus durant sa vie. Tout ses efforts pour faire en sorte de voir son enfant heureux et épanoui, voler en éclats à cause de sa propre personne... C'est je pense ce qu'il y'a de pire pour quelqu'un qui veut le bonheur de l'autre.
Moi en tout c'est ce que je souhaiterais le plus en tant que père : que mes filles vivent, heureuses, et accepte ma mort, la respecte, et honore ma mémoire dans la joie et non la peine, dans la continuité avec sérénité et non une continuité forcé et amer et j'espère tenir suffisamment longtemps que pour savoir mes filles capables de voler par eux-mêmes et partir ainsi en paix.
Il faut oser discuter de ses sujets là avec les personnes concernées, ce n'est pas tabou, au contraire ça aide. je pense même qu'une personne bien aguerri n'attend que ça vis à vis des proches qui l'aiment et devront continuer sans elle.
divdiv
Je ne ressemble pas du tout à mon avatar.
Je suis TOUT À FAIT d'accord avec l'idée. C'est aussi pour cela que je désacralise...
Je suis passée pour une insensible le jour où j'ai rétorqué à ma sœur que si, on survit au décès de sa maman (je l'ai constaté, des amis l'ont fait).
Elle m'a regardée comme si j'étais un monstre. Puis ensuite, changeons vite de sujet.
Le tabou n'aide pas à admettre la mort des proches, notamment des ascendants directs.
Yoel1
VIB
C'est ma hantise mes parents ont 90 ans (moyenne) et moi avec mes 62 je suis dans la période des cancers futurs ou présent ...je n'arrive même pas à imaginer leur disparition et pourtant je le devrais en étant rationnel, mais que je disparaisse avant eux m'angoisse !
Dernière édition:
meli93
VIB
Mon pere etait atteint d'un cancer ( allah y rahmu ), pendant longtemps je me suis preparer a sa mort , je pensais y etre parvenue , et quand le temps fit venu , je me suis appercue que pas du tout , et plus le temps passe et plus j'ai de mal a m'en remettre , je pense au fin fond qu'on ne se remet jamais de la mort d'un proche , on apprend a vivre avec .
meli93
VIB