« c’est la nuit qu’il est beau de croire à la lumière »

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Takamine
  • Date de début Date de début
j endure littéralement
la détresse
et le bruit en cadence
d un monde
ou les mots fixent l imposture

les Anges
traqués
dérivent pétrifiés
dans ce chaos urbain !:!

http://auto.img.v4.skyrock.net/5108/75035108/pics/2934470135_1_3.jpg

alors tu es la , enserrée dans un rêve
enseveli sous un drap
à dévorer un livre jaune
sur une route dans un de ces pays imaginaire ou la lumière heurte le sol avec violence
dans ces pays ou les amants s enlacent en se léchant les yeux sur le bord du chemin
n espérant plus voir le bout
brisé par la vie
de l autre coté de la route .. une église
avec des étoiles éparpillées un peu partout
il est écrit .. "Église du dernier météore "
tu . Tu es là !
. debout dans le fond
et tous te regardent
des nuages débordent de ta tête
ils sont la affamés a regarder ton cœur tremblé !!

https://www.youtube.com/watch?x-yt-cl=84503534&v=1GWsdqCYvgw&x-yt-ts=1421914688
Moi aussi je rêve. Et je pense que l'imposture fixe les mots. Les mots sont innocents.
 
j endure littéralement
la détresse
et le bruit en cadence
d un monde
ou les mots fixent l imposture

les Anges
traqués
dérivent pétrifiés
dans ce chaos urbain !:!


alors tu es la , enserrée dans un rêve
enseveli sous un drap
à dévorer un livre jaune
sur une route dans un de ces pays imaginaire ou la lumière heurte le sol avec violence
dans ces pays ou les amants s enlacent en se léchant les yeux sur le bord du chemin
n espérant plus voir le bout
brisé par la vie
de l autre coté de la route .. une église
avec des étoiles éparpillées un peu partout
il est écrit .. "Église du dernier météore "
tu . Tu es là !
. debout dans le fond
et tous te regardent
des nuages débordent de ta tête
ils sont la affamés a regarder ton cœur tremblé !!

 


j attend ce mots qui réveille la vie ..

ce cri qui laboure la création
ce murmure qui éveil l amour


.. j apporte mon cœur
et cet œuvre interrompue
excès de songes

nuage
d angoisse
de pulsion
continue
confuse
brûlante
névrose poétique
abrutissante
ahuris
a l abri
cloué
la tête la première
sur le moindre espoir
la moindre lueur



j apporte mon cœur

endormie et impuissante
je traverse les siècles
sur une échelle de verre

je plane au dessus de l histoire
le regard de travers
Élisabeth est morte
Dante anéanti
Satan
enterré
 
Dernière édition:

"witchlike evolution "


réinterpréter les corps
sans costumes ni maquillages

sans résister à la tentation

de transgresser

cette pulsion sauvage

qui éclate

"witchlike evolution"


une méthode pour faire

obstacles a leur violence

et disparaitre

derrière un adjectif indéfini

plutôt qu un nom
définitivement singulier

ils nous ont hais sans raison ...

mais avec la foi !

http://static.canalblog.com/storagev1/africart.canalblog.com/images/VAUDOU21020.jpg


une belle Soirée le Forum ..
 
Oslo s'est endormi.
Je prends le train de nuit.
Sur le hublot la pluie, mes sanglots retranscrits.

Oslo s'est évanoui.
Et par le train de nuit.
Je regagne Paris mais je perds
une amie.

Elle était belle,
quand il se mettait à neiger.
Elle était celle,
dont on n'osait s'approcher.
Intrépide et solennelle,
quand elle défiait l'immensité.
Une étincelle,
avant QUe tout parte en fumée.

Oslo c'est pas Ici,
Ce n'est plus aujourd'hui.
C'est une tristesse enfouie,
c'est un mot interdit.

OsLO c'est, bien fini.
C'est Une autre, une autre vie.
Mes amours, mes amis,
pour toujours, sont partis.

Tant pis pour elle,
si elle ne veut plus me parler.
Elle était belle,
quand on frôlait l'éternité.
Je me rappelle,
nos boréales matinées,
Mais plus rien ne vaut la peine,
si tu peines à aimer.

Tant pis pour elle,
si elle ne veut plus me parler.
Elle était belle,
quand on frôlait l'éternité.
Je me rappelle,
que souvent elle me disait,
rien ne vaut la peine,
si tu peines à aimer.

Mon Dieu qu'elle était belle,
quAnd elle se Mettait en danger.
Elle était celle,
dont j'ai tOUjouRs rêvé.

Interdite et sensuelle,
quand elle défiait l'obscurité.
En arc-en-ciel,
avant que tout parte en fumée.




Résultats Google Recherche d'images correspondant à http://www.123boutchou.com/_images/123info/grandir/sommeil_bebe.jpg

: )
 
nous ne sommes plus que des images mentales
ou l autre n est qu un vagabond
errant de mondes en mondes
écrasé a terre
des fables mélancolique
qui poursuivent une ligne
ce chemin ou s achève la nuit
ou notre seul chance de survie
et de naître une deuxième fois
sous ce ciel
qu'est ton regard

l’Être réfugié sous tes mots ..
qui s endort
et dérive dans une impasse
malgré le froid
et un avenir incertain

il n y a plus d océan
plus d horizon
et dieu vie dans ce vide
a moitié nu
la bouche pleine de miracle


 
Moi aussi je rêve. Et je pense que l'imposture fixe les mots. Les mots sont innocents.

Les mots sont innocents.


Et manœuvres en silence
dans ces transactions codifiées dès l'enfance

"des mots pour faire briller les étoiles"




des mots pour adorer un dieu
un dieu léger
, volubile
un animal déconnecté
qui fait corps avec la ville
éblouie par l acier et l' asphalte
un dieu avec une langue de loup
et des cornes
un dieu fou tordu dodu
délicieux a souhait
un dieu en sucre d orge
a la chair fragile
un dieu qui changent le monde
en simple images
érotique
consommation instantané du désir
pour oublier
se rassurer
se perdre
un dieu pour trouver sens dans l éphémère le fugitif
comme une bête vulgaire animé par un instinct social
qui se moque des conventions collective
agglutiner autour d un soleil
a la dérive
les yeux brûlés jusqu’aux racines




 
Dernière édition:

"qu est ce que dessiner se demandait Simone la femme de van Gogh ;
' c est l action de se frayer un chemin a travers un mur invisible
qui semble se trouver entre ce que l on sent et ce que l on peut ' .
. il n est pas un hasard si le fou ne porte aucun nombre .
.il n entre dans aucune série , http://tarot-divinatoire.eu/img/fou.jpg
c est celui qui renonce a son 'moi '
pour trouver un nouveau ' je suis '
à un autre niveau ,
c est celui qui sort du pays confiné , il devient l étranger
, l objet d étonnement ,
en fait cet étranger est le seul a être vraiment au cœur de la vie
contrairement aux autres kon
qui continue de labourer toujours la même terre stérile …
en tout un chacun sont enfoui les élément féminin et masculin ,
libre a chacun d aller y puiser ou de s y noyer "(page 138)
( Walter spook , primatologue norvégien , gaby iroif ,spiritualiste italienne)


Version Littéral ...




Version Acoustique ...
 
Dernière édition:
me reste ce piano
collé au mur
ce texte écrit
agenouillé
..
ces quelques notes


malgré l absence...


une parole

improbable

des mots blanc
prononcés
le front collé au ciel
des mots qui parlent bas
et offre a l inconscient

ce silence


un écho qui bouscule l horizon

et s envole

épuisé

attaché a ton cœur
cette promesse
et ce visage triste
dévoré par le brouillard



http://www.babyfrance.com/cache/im/...humbnail/article/52f3b850a518d.jpeg?v=1.0.3.4
 
Dernière édition:
aime moi !!!
que je puisse commencer
ce voyage impossible
débarrassée de tout artifice
qui je puisse enfin
dévaler a contre sens
toute la création
et accrocher mon sourire
au désespoir des dieux


 
je sais plus ... ils viennent ils partent
"c est une mémoire spoliée"
une errance

il y avait quoi .. attend que je me souvienne ...
c était je crois le début d un conte
une histoire a dormir debout
ou des mots s enroule autour d'un ego
il y avait .. Satan réinvestit en indice boursier
et des anges damnés qui volent en airbus a 320

''dépouille pétrifié''
 
Dernière édition:

j ai la mémoire qui déborde de pierre
d amour et d odeur humaine
de ciels solides
qui survivent a peine ...
je me lève je fume je bois
et laisse les mois passés
un démon sous mes vers
et mes cils qui battent l exil
je voudrais être une barque
et m en aller vers ces horizons lointains
ou l amour suffit pour vivre
 
...

http://api.ning.com/files/wC0ZJYtbZ...cw8Lkw-mdHOXjldiC*2GahLRDj*pApA_/oslo.600.jpg

lundi ...

il était une fois
trois petit point ..

mardi ..
si c était a refaire , j allégerai mes mots en empruntant une de tes allumettes .. laissant cette lourdeur qui fini par m étouffer se consumer d elle même
pour ne laisser que quelque mots ..
collé a ce bout de verre
ce chant qui persiste

mercredi
dans la nuit dévoré par des vers et de drôles de rêve
mon ego entasse dans l urgence ses angoisses
quelque lueurs
l enfant voyageur qui se souvient d'un poème

entre deux océans

entre ce désir

en pleine obscurité

indifférente
au bruit

égarée dans ce rêve
qui déborde la nuit



 
Dernière édition:
Ou l'amour suffit pour vivre .. je sais ou se trouve cette place, Où vous pouvez commencer avec une mémoire blanche, Où les Sisters of mercy chantent en boucle les chansons de Leonard Cohen, les rendez-vous reportés, les contes histoire sans fin, les mots qui nous trahissent, la place ou les trois points de suspension n'existe pas, pas besoin de remplir le vide, déjà y'aura pas du vide .. car l'amour remplit toutes les fissures, j'ai déjà entendu parlé de ce place .. j'ai déjà entendu qu'il y a seulement un ticket d'aller sans retour .
 
Indécise ...« On ne peut pas mettre le vent en cage »

http://festivaldelhistoiredelart.com/wp-content/uploads/2012/04/07-512524-e1377874557980.jpg

avant ... il y avait "un trou noir au centre de la tête ,
artère déversant tout
et qui arrive au bout des mots
avant de mourir
écrasé sous le silence "'

jetant ses dernières forces
dans un récit
ou des amants s enlacent
sous un ciel complice
des silences révoltants
une langue qui transforme chacune de nos respirations
en un mot
qui s anime
et endure la soif
seuls avec toutes ces lois dans cet espace borné
..à l abri de l ombre
des sons ,
sensibles à ceux qui me parle aux hasard
de mes rencontres
en fin de journée
entre deux syllabes
ce cantique
pour ces bannis
ces oubliés

 
Dernière édition:
..
un après midi aux puces
ou aux saint sépulcre
a rechercher dans le quotidien
et le banal
ces instant magique
ou notre cœur éclate en sanglots
.
 
Dernière édition:
je me laisse envahir doucement " une langue si proche si lointaine "
qui résonne
brulant les lendemains au rythme d un mots
une petite secousse
et on aperçoit l océan , les nuages
ce paysage sourd
ou tous renoncent ..
débordé par cette espoir
cet imposture humaine
les paupières sereines
serrés sur un rêve
d instinct je me réinvente
et deviens cette messagère
qui plaide pour un gouffre


http://houhouhaha.fr/wp-content/uploads/2012/01/p110.jpg
 
Dernière édition:
à moi mes fous zélée et zublime foudroyés par l orage mes folles mystérieuse et leur rimes sismiques qui caresse la terre
c est l'heure de l assaut des pro-faite ci mais pas çà sous les grandes pluies acide je bave de rage je marche face au silence sous les prolétaire et les bourgeoise !!!
j habite dans un grenier ou vivent des mulots géants avec des soldats couvert de miel je m endors dans le coin des sémaphore qui se chatouille le nombril en contemplant la parfaite fluidité des mots cette étrange et surprenante manifestation d un noir intense
je m éveille sous les eaux soyeuse et sonores
je m endors le soir venue sur le bord de l air

une élévation impossible du son , vous chantiez Léa l intégriste celle qui est pas commode , et puis vous avez commencez a danser avec st jean , j ai rien compris j assistai a un théâtre ou je confondais les spectateur et le spectacle , le rideau et son ombre et puis d un coup vous vous êtes transformés en arbres animés et vous proclamiez l avènement de la philo-fiction d un nouvel ordre ou l on pourrais explorer la nuit sans paraitre louche ... , un nouvel art qui s engage dans le bitume c est là que j ai engloutie le monde !! m approchez pas j ai des bouffé de haine !!


http://media.giphy.com/media/AOs6pjRlSgpeU/giphy.gif
 
Dernière édition:

nous aborderons cette nuit le chapitre sur le difforme le gras le gros celui qui tache et qui fait de belle trace sur l innocence médiéval avec ses sale patte d étrusque corrompus , nous évoquerons les humanoïdes a l écart.. les hors normes...
nous opterons pour la mort des adeptes de l esthétisme hellénique nous mettrons fin a cet farce des Atrides et au théogonie d Hésiode aux rumeurs d Homère et au vice d Ulysse , nous nous remémorons l histoire de Pline l anciens noyé sous les cendres incandescente d une montagne de feu qui a crachée toute sa haine triomphante à cet hellénisme galopant partis cueillir des pâquerettes avec Perséphone

en seconde partis

nous étudierons les prêtres hittites les barbares aux mains lourdes qui défonce tout , les manouches les vagabonds et les nomades d orients aux saveurs d épice qui vivent au delà des colonnes d hercule !! , azuz et asmar , kirikou karabas moustaki et le grand krakatoès !!

pour clore

je ferai l apologie de la brousse
immenses sauvage et incontrôlable brousse
ou l'on peux jouer a l infini
cette déesse anthropophage et si douce
qui meurs d envies de nous offrir

en plein milieu du crane

quelques fragments de vers
 

Um Salama
"pourquoi nous les femmes ne sommes nous pas évoquées dans le coran comme le sont les hommes"

Le Prophète
"Oh vous tous !
voila ce que dieu dit dans son Coran
Le Seigneur a exaucé leur prières
Je ne ferai jamais perdre à aucun d'entre vous
hommes ou femmes
le bénéfice de ses œuvres
N’êtes vous pas issus les "uns" .. "des autres" ?

(verset 195 de la sourate 3 Al'Imran) .. trad(2007Mohammed Chiadmi, edition Tawhid)

"féminisme anti colonial et black féminisme "

"il y a bien un féminisme endogène aux sociétés musulmane nous dit Zahra ... !!!
un féminisme qui rejette ce présupposé occidental qui veut que toute émancipation des femmes se passe par la mise a distance du religieux
au contraire , il y a bien possibilité d'un féminisme islamique qui prend sa source dans la spiritualité musulmane et faisant de l islam une grille de lecture pour promouvoir l égalité e s appuyant notamment sur ce principe d unicité divine( tawhid) qui veut que nous soyons égaux face au créateur !!"

http://up.alamto.com/m/img/zanan-barjeste-3.jpg
 
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