Cinq ans de prison dont deux ferme aménageables et 5 ans d’inéligibilité requis contre Marine Le Pen

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Le parquet de Paris requiert une peine d'inéligibilité à l'encontre de la présidente des députés RN. Un réquisitoire sévère pour Marine Le Pen, qui, accusée d'avoir détourné des fonds du Parlement européen au profit de son parti, a clamé "son innocence" tout au long de son procès comme celle des 26 autres prévenus.​


Le couperet est tombé ce mercredi 13 novembre. Le parquet du tribunal de Paris requiert une peine d'inéligibilité à l'encontre de Marine Le Pen. Il estime que l'exécution provisoire de cette peine d'inéligibilité s'impose.

Cela signifie que si le tribunal prononce cette peine avec exécution provisoire, Marine Le Pen n'y échappe pas et ne peut pas se présenter même si elle fait appel du jugement.

En outre, le parquet requiert cinq ans de prison dont deux fermes aménageables ainsi que 300.000 euros d'amende.

Elle encourt jusqu'à dix ans d'emprisonnement​

La présidente des députés du Rassemblement national encourt jusqu'à dix ans de prison, une amende d'un million d'euros, mais surtout pour celle qui ne cache pas ses ambitions pour la présidentielle de 2027 une peine d'inéligibilité de dix ans.

Les juges se penchent depuis le 30 septembre sur l'affaire dite des assistants parlementaires du parti frontiste, un dossier de soupçons d'emplois fictifs visant à détourner l'argent du Parlement européen au bénéfice du parti.

Des assistants parlementaires "fictifs" au Parlement européen​

Selon l'accusation, un "système de gestion centralisé" a été établi pour "vider" les enveloppes de 21.000 euros par mois versées aux députés européens au titre d'indemnités pour rémunérer leurs assistants parlementaires. Cet argent aurait en réalité servi à rémunérer des salariés qui travaillaient pour le parti (en tant que garde du corps, graphiste ou secrétaire). L'objectif de ce système aurait été de "soulager les finances".

"Nous ne sommes pas ici en raison d'un acharnement mais au terme d'une information judiciaire", ont prévenu d'emblée les procureurs, dans ce réquisitoire à deux voix, rejetant les accusations d'"acharnement supposé à connotation politique" à l'encontre du RN.
En dépit de la présence très assidue de Marine Le Pen qui a tenu à se défendre point par point, les prévenus ont eu bien du mal à convaincre les juges de la réalité de l'emploi de leurs assistants parlementaires censés travailler pour le Parlement européen, comme le spécifie le règlement intérieur de l'institution. "Vous avez un panel de preuves", a martelé l'une des deux procureurs au tribunal en égrainant les "déclarations des uns et des autres", les preuves matérielles - les fameux mails retrouvés - et l'absence de preuves du travail effectué par les assistants.

Ce mercredi matin, l'ex candidate à la présidentielle a dénoncé une procédure judiciaire "plus que branlante". Assise au premier rang, la députée a écouté l'air abattu les réquisitions du parquet.

Après les réquisitions, le procès reprendra lundi prochain, avec les plaidoiries de la défense prévues pendant deux semaines.

 
Pourquoi il lui donne une chance alors qu'elle est coupable ?
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Pièces jointes

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Le procès pour soupçon d'emplois fictifs d'assistants parlementaires européens du Front national s'est achevé mercredi 27 novembre. Le tribunal rendra son jugement le 31 mars à 10 heures, a annoncé la présidente avant de lever l'audience.


Marine Le Pen, à qui la présidente a donné la parole une dernière fois comme aux 24 autres prévenus, n'a pas souhaité prononcer de derniers mots à la barre. Elle s'est en revanche exprimée devant la presse à la sortie de la salle d'audience. "J'ai toujours l'espoir que nous soyons entendus dans les différents arguments que nous avons déployés", a-t-elle déclaré, en considérant ce procès comme "une forme de souffrance".
Les deux procureurs avaient, pendant près de dix heures, listé tour à tour les éléments démontrant, selon eux, la stratégie d'"enrichissement" du Front national, devenu depuis Rassemblement national, "qui a financé avec des emplois fictifs", "sur plus de dix années", "sa propagande et son développement à hauteur de plus de 4 millions d’euros au préjudice de la vie démocratique".


"Depuis le début, ma cliente ne conteste pas la réalité des faits, elle dit simplement que les faits ne sauraient recouvrir une qualification pénale. Le débat est celui de l'appréciation de la pratique parlementaire, de savoir si ces fonds sont ou non détournés de leur usage", a plaidé, en réponse, Rodolphe Bosselut, l'avocat de Marine Le Pen mercredi après-midi. "La seule récidive, ce serait que Madame Le Pen concourt à nouveau à la présidentielle. Si c'est cette récidive que vous visez, alors cela a un sens (…) je propose de laisser le peuple souverain s'en charger et non la justice qui est rendue en son nom", a-t-il également déclaré. Il a demandé la relaxe de la cheffe des députés RN.
 
POLITIQUE - Des commentaires menaçants. Le parquet de Paris a ouvert une enquête alors que des menaces de mort ont été proférées en ligne à l’encontre de trois magistrats travaillant sur le procès des assistants parlementaires des eurodéputés du Rassemblement national, qui s’est ouvert à l’automne, et dont le jugement sera rendu le 31 mars.

Marine Le Pen, pour ses vœux 2025, souhaite une présidentielle anticipée aux Français (sans le dire)

Selon Reuters et France Info, ce sont des commentaires postés sous deux articles publiés par le site d’extrême droite Riposte Laïque qui sont dans le viseur de la justice. Supprimés depuis mais retrouvés par les deux médias, les commentaires sont datés du 6 octobre et du 14 novembre 2024. « Elle mérite une balle de 9 millimètres dans la tête », « Elle doit être éliminée au plus vite », peut-on lire sous une première publication dénonçant l’ouverture du procès et illustrée par la photo de la présidente du tribunal.
Le 14 novembre, soit le lendemain des réquisitions du parquet, les commentaires visent cette fois deux procureurs, dont le nom est mentionné dans une publication du site d’extrême droite : « Il faut les trouver, tirer à vue et flamber leurs nids douillets », lance un internaute alors que les adresses mails des deux magistrats sont aussi données.


Jusqu’à cinq ans de prison dont deux ans ferme aménageables ont été requis contre Marine Le Pen, ainsi qu’une mesure générale d’inéligibilité immédiate. Des réquisitions qui avaient provoqué une levée de boucliers du RN, dont Jordan Bardella qui les avait qualifiées de « politiques ».

« Ces réquisitions ont deux objectifs : c’est empêcher Marine Le Pen de faire de la politique, d’être candidate, et c’est de tuer financièrement le Rassemblement national », avait-il dit. « C’est ma mort politique qu’on réclame », avait réagi Marine Le Pen, dont les ambitions pour 2027 pourraient être mises à mal.
 
Dans un contexte de tensions diplomatiques accrues entre Paris et Alger, Marine Le Pen en rajoute une couche. La cheffe de file des députés du Rassemblement national s'est exprimée sur le passé colonial de la France en Algérie, estimant que la colonisation française n'a pas été un « drame » pour ce pays du Maghreb

« Je peux comprendre que des peuples souhaitent obtenir l'indépendance. Mais je pense que venir dire globalement que la colonisation a été un drame pour l'Algérie, ce n'est pas vrai », a-t-elle affirmé sur LCI, mercredi 29 janvier au soir, pour son retour diplomatique après le décès de son père, qui a d'ailleurs servi pour l'armée en 1962 et a été accusé d'avoir été un tortionnaire lors de cette guerre qui reste un point noir notoire dans l'histoire de la France.
 
« Économiquement, en termes d'infrastructures, la France a apporté à l'Algérie un capital qui aurait dû lui permettre de devenir la Norvège du Maghreb. Ils ne l'ont pas fait. Et c'est bien regrettable parce que c'est le peuple algérien qui en est la première victime », a-t-elle poursuivi, pointant du doigt la responsabilité de la nomenclature algérienne dans la situation économique du pays. « Ce que je ne comprends pas, c'est que les Algériens ne demandent pas des comptes à leurs dirigeants », a-t-elle insisté.

Venir globalement dire que la colonisation a été un drame pour l’Algérie ce n’est pas vrai" estime Marine Le Pen sur LCI.

"La France a apporté à l’Algérie un capital qui aurait dû lui permettre de devenir la Norvège du Maghreb. Ils ne l’ont pas fait." pic.twitter.com/hTqB93qScA

— LCI (@LCI) January 29, 2025
Marine Le Pen avait déjà considéré, en 2017, que la colonisation française avait « beaucoup apporté, notamment à l'Algérie », ce que « même les Algériens de bonne foi admettent », évoquant « des hôpitaux, des routes, des écoles », selon des propos rapportés par Ouest-France.

Des « mesures de rétorsion » réclamées contre l'Algérie​

Concernant les relations tendues entre Paris et Alger, qui se sont aggravées avec l'arrestation de Boualem Sansal et les expulsions rejetées d'influenceurs algériens, Marine Le Pen a appelé à prendre des « mesures de rétorsion […] tout à fait naturelles » en cas de non-respect du droit international. Pour l'Algérie, elle ferait « exactement ce qu'a fait Donald Trump avec la Colombie ». Le président américain a notamment menacé d'instaurer de lourdes sanctions économiques à Bogota s'il n'acceptait pas le retour des migrants expulsés du territoire américain. Il a obtenu gain de cause. « Ce qu'il a fait avec la Colombie, c'est ce que nous réclamons de faire avec l'Algérie, qui refuse de respecter le droit international. […] C'est une question de respect de la France, de notre souveraineté, du droit international », a-t-elle encore affirmé. Pour Marine Le Pen, les Comores « contestent l'intégrité territoriale » de la France tandis que l'Algérie est « en permanence en train de l'insulter ».


Et d'interroger : « Pourquoi fait-on preuve d'une telle faiblesse avec des pays qui nous crachent au visage matin, midi et soir ? »

ELLE MENT . La Norvège du Maghreb ? Combien il y avait d'ingénieurs de cadres de techniciens de scientifiques en 1962 sur une
population de 8 millions d'habitants environ ? Et pourquoi cette population n'a pas augmenté depuis 1830 ?


Pourquoi elle n'a pas ouvert sa G......le quand les gendarmes ont été agressés à Jérusalem ?
Ce youtubeur n'était pas un CLANDESTIN !

La guerre est terminée depuis 1962 mais il y a encore des personnes qui n'ont pas accepté l'indépendance de l'Algérie . On peut le dire aussi pour d'autres pays d'Afrique . Il reste très peu de pieds noirs .

lepoint


PS; Droit international ? est-il respecté dans le cas du génocide de Gaza par l'entité génocidaire qui vit sous perfusion depuis 1948 ?
un youtubeur doit il être expulsé avant UNE AUDITION ? La justice a été devancée par un ministre xénophobe . Voilà pourquoi il a été nommé comme le valls aussi . Des personnes pro nétanyaou .

En France, l'expulsion de l'influenceur algérien Doualemn avait provoqué une crise diplomatique entre Paris et Alger. La justice française estime que la procédure était injustifiée. Un camouflet pour le ministère de l'Intérieur, selon les avocats du tiktokeur.
'affaire a mis le feu aux poudres, début janvier, entre la France et l'Algérie.
 
Doualemn, un algérien de 59 ans, est interpellé dans le sud de la France, pour une vidéo diffusée sur TikTok. Il y appelle à donner une « sévère correction » à un supposé opposant algérien. Il se voit retirer son titre de séjour, et placé dans un centre de rétention. Deux jours plus tard, il est expulsé vers Alger.

Mais l'Algérie refuse de le laisser entrer sur le territoire et le renvoi illico en France, au motif que les autorités françaises ne lui ont pas laissé le temps de s'expliquer devant la justice. Bruno Retailleau, le ministre de l'Intérieur, avait dénoncé l'attitude d'Alger, parlant « d'humiliation » de la France par l'Algérie.

Aucune urgence absolue pour justifier l'expulsion​

C'est le ministère de l'Intérieur qui est à l'origine de l'arrêté d'expulsion de Doualemn, une procédure spéciale qui ne peut être utilisée que lorsqu'il y a une urgence absolue. Aucun recours à la justice n'est alors nécessaire. Et c'est ce qu'a contesté ce mercredi 29 janvier le tribunal administratif de Paris.

Les juges expliquent que la présence de l'influenceur sur le sol français ne représentait pas de danger imminent. Ils rappellent d'ailleurs que la justice, elle, n'avait pas estimé utile de le placer en détention provisoire, ni même sous contrôle judiciaire. Il était effectivement ressorti libre de sa garde à vue, dans l'attente de son procès fin février.
 
Les Maghrébins ont apporté à la france dans les " 30 glorieuses" mais elle qu'a-t-elle apporté ? RIEN à part des VOLS et son soutien à l'entité qui
vit sous perfusion depuis 1948 .
Même aujourd'hui ils apportent toujours à la france .
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« Tête haute et mains propres » disait-elle …


Le Front national et de deux de ses dirigeants sont renvoyés en correctionnelle dans l’enquête sur le financement des campagnes électorales du parti en 2012.

Un vieux slogan du FN proclamait « Tête haute et mains propres ». Faudra-t-il le transformer en tête basse et mains sales ? Le Front national en tout cas et de deux de ses dirigeants sont renvoyés en correctionnelle dans l’enquête sur le financement des campagnes électorales du parti en 2012.

Les deux dirigeants du FN visés sont le trésorier Wallerand de Saint-Just et le vice-président du FN Jean-François Jalkh. Deux autres personnes morales, « Jeanne », le micro-parti de la présidente du FN Marine Le Pen, et Riwal, la société qui fournissait le matériel de campagne du FN, sont également renvoyées devant le tribunal. Le FN sera jugé pour complicité d’escroquerie dans le cadre des législatives de 2012, et de recel d’abus de biens sociaux.

La justice soupçonne le mouvement d’avoir mis en place un système d’enrichissement frauduleux aux frais de l’Etat avec l’un de ses prestataires, la société Riwal, aux mains d’un proche de Marine Le Pen, Frédéric Chatillon, et le micro-parti de Marine Le Pen, Jeanne, en profitant des remboursements publics sur les frais de campagne.

Un candidat frontiste s’était étonné auprès de la commission des comptes de campagne d’être remboursé de frais électoraux, alors qu’il n’avait rien signé. L’alerte est suffisamment rouge pour que le vice-président Florian Philippot éteigne l’incendie d’un « Marine Le Pen n’est nullement mise en cause », réagissant sur iTELE. Marine Le Pen a été entendue par les juges d’instruction chargés du dossier sous le statut de témoin assisté.

Pour les législatives de 2012, des kits de campagne quasi obligatoires au tarif de 16.650 euros étaient fournis à quelque 525 candidats par Riwal. Les candidats devaient en outre contracter un prêt avec intérêts auprès de « Jeanne » pour pouvoir les acheter. Les juges estiment qu’il s’agit de prestations surfacturées au détriment de l’Etat, qui rembourse les frais de campagne aux candidats dépassant 5% des voix.

Les dirigeants du FN, qui contestent toute irrégularité, se défendent en expliquant que les faits reprochés au parti étaient sans commune mesure avec ceux visant l’ex-UMP. Et que les comptes de campagne de 2012 avaient été validés, sans préciser, comme l’a montré l’affaire Bygmalion, que la commission des comptes de campagne ne juge que sur pièces comptables, sans moyen d’investigation.

Lors des réquisitions du parquet, en juillet dernier, l’avocat du Front national, Me David Dassa-Le Deist, avait souligné que la formation « réfute depuis le début de cette enquête avec la plus grande fermeté les charges artificielles retenues contre lui ». « Ça nous donnera l’occasion de nous défendre publiquement et de montrer que nous sommes totalement innocents », a déclaré Wallerand de Saint-Just sur Europe 1, précisanhttps://librejugement.org/2016/10/09/tete-haute-et-mains-propres-disait-elle/t vouloir faire appel de l’ordonnance de renvoi. Gagner du temps est essentiel pour le FN, tandis que s’approche l’élection présidentielle pour Marine Le Pen
 
.

A la lumière de ces vociférations des fachos

nostalgiques des gens intelligents devraient

saisir les vraies raisons de l'emballement

des medias pour soutenir l'islamophobe

et soutien de l'état d'apartheid génocidaire de

Sansal.

Des marocains algériens tunisiens africains

français de plusieurs générations sont vus

et appélés comme des français de papier.

Alors que le collabo pro occupation et français

fraîchement déclaré est appelé par la

fachosphère..."notre compatriiote".

Il faut bien récompenser les soumis ayant la

haine d'eux mêmes.

.

.
 
La colonisation une "bonne chose" ?
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Des routes et des logements pour QUI en grande partie ? qui étaient les ouvriers ?

Le seul point ou il dit vrai c'est la fin de la période des recherches qui avait commencé avec les Oméyades vers 700 environ puis les Abassides et les Fatimides et c'est terminée avec la venue du dictateur tamerlan 14 iem siècle et de soliman au 16 iem siècle le soi disant magnifique ou la décadence s'est accrue .
Les Maghrébins ont dû faire face à ce manque d'investissement comme jadis mais non pas baissé les bras .
 

Pièces jointes


Klarsfeld a été garde frontières pour l'occupant israelien.

L'extrême droite a déja fait sa soumission à partir des années 2010.

Cette extrême droite low cost n'est pas du tout patriote comme JM LEPEN...elle a tout cédé jusqu'à la souveraineté nationale au profit d'Israel pour pouvoir bénéficier d'une "respectabilité" politique et l'ouverture des medias.

En echange elle ne dout plus critiquer l'occupation israelienne mais au contraire faire de l'islam et des musulmans le sujet principal de leur projet politique.

Il est piquant de voir le fils du chasseur de nazis se compromettre avec l'héritier du parti de collaboration qui disait aux allemands...n'oubliez
pas les petits lors des rafles.

Autres temps autres moeurs.
 
Cette extrême droite low cost n'est pas du tout patriote comme JM LEPEN...elle a tout cédé jusqu'à la souveraineté nationale au profit d'Israel pour pouvoir bénéficier d'une "respectabilité" politique et l'ouverture des médias.
Pragmatisme politique et électorale oblige.
Les voix valent de l'argent et les formations politiques en ont besoin car le fonctionnement d'un parti coute cher.
En échange elle ne doit plus critiquer l'occupation israélienne mais au contraire faire de l'islam et des musulmans le sujet principal de leur projet politique.
Le contraire de LFI .
Le dossier algérien est aussi du pain béni pour ces 2 formations.
Bardella et Rima Hassan s'en ont emparé pour booster leur électorat.
Autres temps autres mœurs.
 
Hypocrisie . C'est pas enseigné pourquoi ? Ils ont joué les DURS avec des paysans en grande partie mais ou étaient ils face aux nazis allemands ?
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Interrogé hier sur RTL, l’éditorialiste a assuré que la France avait commis de nombreux massacres lors de la conquête de l’Algérie. À quel événement Jean-Michel Aphatie pensait-il ?​

Anne D.
mer. 26 février 2025 à 4:20 PM UTC+1


Hier sur RTL, Jean-Michel Aphatie fustigeait le comportement de l'armée française lors de la conquête d'Algérie (capture d'écran RTL)

Mardi sur RTL, Jean-Michel Aphatie fustigeait le comportement de l'armée française lors de la conquête d'Algérie (capture d'écran RTL)
Une sortie qui a généré de nombreuses réactions. "On ne s’est pas comportés comme des nazis... Les nazis se sont comportés comme nous, nous l’avons fait en Algérie". La sentence, en réponse à une question de Thomas Sotto, était prononcée hier matin au micro d’RTL par Jean-Michel Aphatie. Le journaliste était en plein débat avec Florence Portelli, vice-présidente (LR) de la région Île-de-France.

"Chaque année en France on commémore ce qui s’est passé à Oradour-sur-Glane, c’est-à-dire le massacre de tout un village. Mais on en a fait des centaines, nous, en Algérie ! Est-ce qu’on en a conscience ?", a assuré Jean-Michel Aphatie face à son interlocutrice, sidérée de la comparaison.

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L’éditorialiste de l’émission Quotidien évoque le massacre des 643 habitants d’Oradour-sur-Glane, un village de la Haute-Vienne, par une division SS en juin 1944. L’ancienne commune en ruines, devenue aujourd’hui un lieu de mémoire et de recueillement, a notamment été le témoin d’un terrible incendie au sein de l’église Saint-Martin, au cours duquel des centaines de femmes et enfants de tous âges ont été enfermés et brûlés vifs.

Les massacres du 8 mai 1945

Mais à quoi Jean-Michel Aphatie fait-il référence ? On compte parmi les plus graves violences commises par les Français en Algérie, celles perpétrées après la Seconde Guerre mondiale, juste après la Libération. Le 8 mai 1945, des manifestations indépendantistes éclatent successivement dans trois villes : Sétif, Guelma et Kherrata.


Dans une répression d’une grande brutalité, l’armée française aurait tué des milliers d’Algériens. Le point de départ ? À Sétif, un policier tue un scout musulman de 26 ans qui brandissait un drapeau algérien, alors que seuls les drapeaux français étaient autorisés lors de ces manifestations. Les émeutes qui suivent durent près de deux mois et s’étendent dans les villes de Guelma et Kherrata. Elles auraient fait entre 5 000 et 30 000 morts dans le camp algérien, selon des estimations récentes.

Ces massacres seront suivis, dix ans plus tard, par les terribles répressions de la guerre d’indépendance de l’Algérie, de 1954 à 1962 (tortures systématiques, bombardements, exécutions et disparitions de milliers d’Algériens).
 

Le scandale des "enfumades" du 19ème siècle

Cependant, Jean-Michel Aphatie évoque une période antérieure à l’Allemagne nazie. "Vous ne connaissez pas du tout les détails de la conquête de l’Algérie par la France ?", demande le journaliste politique à Florence Portelli.

"Vous ne savez pas du tout que les villageois fuyaient les colonnes des soldats français ? (...) Les villageois algériens se réfugiaient dans des grottes, on a muré les grottes, on a mis du bois devant les grottes, on a allumé du feu et on les a asphyxiés."

Jean-Michel Aphatie fait référence aux "enfumades", cette technique utilisée par le corps expéditionnaire français à la fin de la conquête de l’Algérie (1830-1847). Sont ainsi tristement connues les "enfumades des Sbéhas" en juin 1944 et celle du Dahra l'année suivante. Les premières ont lieu sur une idée du général Bugeaud, déjà connu ses méthodes brutales, ses destructions de villages et exécutions de masse.

"Si ces gredins se retirent dans leurs cavernes, fumez-les à outrance comme des renards" ; cette phrase a fait passer à la postérité le futur maréchal pour sa cruauté. Aussi, la tribu des Shébas, alliée de l’émir Abdel Kader, se réfugie dans des grottes où les soldats français vont les asphyxier, en bloquant et en incendiant l’entrée de cet abri de fortune.

Le massacre des grottes du Dahra

Un an plus tard, en juin 1845, la technique est reprise par le colonel Aimable Pélissier. L’homme a une mission : faire capituler la tribu des Ouled Riah. Ces derniers se réfugient avec femmes, enfants et bétail dans les grottes montagneuses du Dahra. Le colonel et son armée surveillent les grottes avant de les enfumer à l'aide de bois et de paille au niveau des entrées. En entrant le lendemain dans la grotte, les soldats y auraient trouvé une dizaine de survivants et plus de 700 cadavres.


Ces massacres ont largement indigné la France, ses parlementaires, ses journalistes et ses intellectuels, comme Alphonse de Lamartine ou Alexis de Tocqueville. Victor Hugo nota dans ses carnets une affirmation prononcée par le général Bugeaud : "Eussé-je devant moi cinquante mille femmes et enfants, je mitraillerais". L’écrivain François Maspero rapporte quant à lui, dans un roman, la phrase glaçante de Pélissier : "La peau d'un seul de mes tambours avait plus de prix que la vie de tous ces misérables".

Plus tard, Bugeaud fut finalement écarté du haut-commandement par le roi Louis Philippe tandis que Pélissier fut récompensé. Les enfumades restent aujourd’hui un symbole des crimes de la colonisation française en Algérie.
 
Capture d’écran X Chroniqueur régulier sur RTL, Jean-Michel Aphatie avait déclaré à l’antenne que la situation actuelle entre Paris et Alger trouvait en partie son origine dans le douloureux passé commun entre les deux pays.
MÉDIAS - Une absence remarquée. Quand il n’est pas sur Quotidien, l’éditorialiste Jean-Michel Aphatie officie également du côté de la radio RTL. Habitué aux sorties coup de poing sur l’actualité, le journaliste s’était fait remarquer le 25 février en déclarant à l’antenne : « Chaque année, en France, on commémore ce qui s’est passé à Oradour-sur-Glane, c’est-à-dire le massacre de tout un village. Mais on en a fait des centaines, nous, en Algérie. Est-ce qu’on en a conscience ? ».

« Les Nazis se sont comportés comme nous »
, avait-il ajouté. À l’heure de vives tensions entre la diplomatie française et celle d’Alger, ces propos dans RTL Matin avaient provoqué « beaucoup d’émotion », comme le remarque Jean-Michel Aphatie lui-même ce mercredi 5 mars auprès d’Arrêt sur image. Et pour cause, le chroniqueur de RTL a été mis « en retrait de l’antenne » par sa direction, raison pour laquelle il n’était pas présent pour présenter sa chronique et débattre dans l’émission de Thomas Sotto ce mercredi.


À la place, la direction de RTL a choisi de diffuser un message d’explication sur cette mise en retrait temporaire. « D’habitude, le mercredi, Jean-Michel Aphatie est avec nous pour débattre. Ce matin, Jean-Michel n’est pas là. En effet, mardi dernier, lors d’un débat face à vous, Florence Portelli (vice-présidente du conseil régional d’Île-de-France), Jean-Michel a effectué un parallèle entre certains actes commis pendant la colonisation de l’Algérie et des crimes nazis. Une comparaison que la direction considère inappropriée et qui a choqué beaucoup, beaucoup d’entre vous », a ainsi lu Thomas Sotto.

« Jean-Michel ne souhaitant ni s’excuser, ni revenir sur ses propos, ce qui est son droit, la direction de RTL lui a donc demandé de se tenir, ce matin, en retrait de l’antenne. Voilà qui est dit », a complété la co-animatrice Amandine Bégot. De son côté, Jean-Michel Aphatie s’est confié sur cette décision sans protester. Comme il l’affirme à Arrêt sur image, il ne se dit ni « meurtri, ni choqué » par la sanction. Et juge même cette attitude « positive » et la méthode « plutôt fair-play », en référence au texte lu à l’antenne.

«​

« Ce n’est pas un texte qui dit que je raconte n’importe quoi, ce n’est pas un texte qui est humiliant pour moi. Dire ’c’est son droit’ me paraît être important, parce que respectueux de mon propos », souligne le journaliste de 66 ans. Il poursuit : « Ça n’était pas voulu, mais c’est devenu un moment d’antenne particulier. RTL, qui est diffuseur, doit gérer ça, et je trouve qu’ils l’ont géré avec beaucoup de compréhension et d’intelligence. »


« Normalement, j’y serai mercredi prochain », rassure également Jean-Michel Aphatie, visiblement serein quant à son avenir malgré une instruction ouverte par l’Arcom. D’autant que, comme le note Arrêt sur Image, ses propos du 25 février étaient nuancés en plus d’être attestés par des historiens. À l’antenne, il avait notamment déclaré que les relations entre Paris et Alger étaient tendues, peut-être aussi à cause du passé de la France en Algérie. « Parce qu’on les a massacrés [les Algériens], parce qu’on l’a jamais reconnu ».
 
« Si la France présentait des excuses pour 130 ans de massacres, de meurtres, de paupérisation d’un peuple, d’une violence incroyable… 130 ans d’occupation ! », ajoutait-il, cela permettrait sans doute d’apaiser les tensions. Avant de rappeler la nature dictatoriale du régime algérien aujourd’hui.

Face aux réactions contradictoires de Thomas Sotto ou de l’invitée Florence Portelli, Jean-Michel Aphatie ne s’était pas démonté après avoir été accusé par cette invitée de faire « insulte au peuple français », citant plusieurs exemples néfastes de la colonisation française. Mais selon lui, aujourd’hui, « quelque chose a été acquis, après ce passage ». « Beaucoup d’historiens ont pris la parole après, et aucun n’a dit : ’Il raconte n’importe quoi ’», abonde l’éditorialiste, qui s’étonne toutefois de cette levée de boucliers, après avoir maintes fois évoqué la présence problématique de l’armée française en Algérie ces dernières années dans les médias.

Le HuffPost :
PS:La corruption de l'état algérien a été dénoncée par des millions d'algériens . La france afrique ne date pas d'hier .
Papon et les morts dans la Seine ils l'ont bien fait alors au 19 ieme siècle 20 ieme ou il n'y avait pas d'internet etc ce fut plus facile .
Peut être qu'il existe des charniers non découvert .
 
La secte lâche et nauséabonde a encore frappé :
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Le journaliste Jean-Michel Aphatie a annoncé dimanche qu'il ne reviendrait pas à RTL, estimant ne pas avoir fait de faute en tenant des propos à l'antenne fin février sur des "Oradour-sur-Glane en Algérie" qui auraient été commis par la France.

"Je ne reviendrai pas à RTL. C'est ma décision", écrit sur le réseau X le journaliste, qui avait été "mis en retrait" de l'antenne pendant une semaine par la radio.

"Chaque année, en France, on commémore ce qui s'est passé à Oradour-sur-Glane, c'est-à-dire le massacre de tout un village. Mais on en a fait des centaines, nous, en Algérie. Est-ce qu'on en a conscience?", avait-il déclaré le 25 février, au sujet de la conquête de l'Algérie par la France au XIXe siècle.

À Oradour-sur-Glane, village martyr du Limousin, une unité de la Waffen SS Das Reich remontant vers le front en Normandie massacra 642 habitants le 10 juin 1944.


"On n'a pas fait Oradour-sur-Glane en Algérie", a d'abord rétorqué le présentateur Thomas Sotto. Mais "on s'est comporté comme des nazis?", a-t-il ensuite interrogé. "Les nazis se sont comportés comme nous", lui a répondu Jean-Michel Aphatie.

"Mes propos sur la colonisation algérienne ont créé le débat", admet, sur X, Jean-Michel Aphatie, qui explique avoir perçu sa mise en retrait de l'antenne, finalement, comme une "punition". "Si je reviens sur l’antenne de RTL, je la valide, donc je reconnais avoir fait une faute. C’est un pas que je ne peux pas franchir", explique-t-il.

Le journaliste dit attacher "un prix particulier à la question de la présence française en Algérie entre 1830 et 1962", confiant avoir été "horrifié" par ce qu'il a "lu dans les livres écrits par des historiens méticuleux".

"Pour cette raison (...), je ne peux pas accepter d’être puni (...). Je regrette la situation qui s’est créée", affirme-t-il, ajoutant avoir "passé de belles années professionnelles à RTL, (...) une radio que j’aime".

Egalement chroniqueur dans "Quotidien" sur TMC, Jean-Michel Aphatie intervenait régulièrement dans la matinale de RTL.


Dans une vidéo postée sur X par l'émission "C médiatique", sur France 5, il ajoute: "Ce débat sur l'inhumanité de la France vis-à-vis de ses conquêtes coloniales, il faut reconnaître qu'il ne peut pas être exposé dans les médias. Encore aujourd'hui. Alors que c'est ça le problème, nous avons commis des crimes atroces et nous ne l'avons pas reconnu".

Sollicitée par l'AFP, la direction de RTL a indiqué qu'elle ne ferait "pas de commentaire sur" la décision du journaliste.

Le journaliste de Mediapart, Fabrice Arfi, invité de "C médiatique", a apporté "tout (s)on soutien" à M. Aphatie. "RTL n'avait pas de problème à garder Eric Zemmour, pourtant condamné pour des faits de racisme. Quand un chroniqueur comme Jean-Michel Aphatie vient rappeler (...) des faits historiques - pas des opinions-, parce que ça chatouille les oreilles des extrémistes de l'extrême droite, alors ça devient inapproprié ?", a-t-il lancé.

Les propos du chroniqueur ont suscité plusieurs signalements auprès de l'Arcom, le régulateur de l'audiovisuel, qui a comme habituellement en pareil cas ouvert une instruction, le 26 février, pour déterminer si la radio a commis un manquement à ses obligations.

Des responsables politiques avaient également réagi, à l'instar du président du RN, Jordan Bardella, fustigeant "une odieuse falsification de l'Histoire et une insulte à tous les rapatriés d'Algérie".

yahoo
 
Pourquoi on a interdit de parler des vrais chiffres de la deuxième guerre mondiale ? sur les morts réels dans les camps ? et même fait des lois
pour contester les recherches en france ?
ça va gêner la secte de zemmour un berbere algérien qui soutient le colonialisme en Palestine .
Ils veulent garder le business mais pour combien de temps ? qui soutient le mensonge ?
france occupée par la tribu de zemmour et les complices . Le général avait raison .
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