Colonies sauvages: Netanyahu fait les yeux doux à Obama

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ajoute à cela la poudre aux yeux qu ils jettent au monde en montrant quelques reportages montrant la police israélienne et son armée détruire quelques maisons de colonies sauvages mais ne montrent pas le bétonnage intensif de l'autre côté (cf le doc sur 66 minutes, un parmi tant d'autres :rolleyes:)

Oui j`avais entendu un truc comme ca.Ils detruisent un peu d`un cote et construisent massivement de l`autre :rolleyes:
 
ajoute à cela la poudre aux yeux qu ils jettent au monde en montrant quelques reportages montrant la police israélienne et son armée détruire quelques maisons de colonies sauvages mais ne montrent pas le bétonnage intensif de l'autre côté (cf le doc sur 66 minutes, un parmi tant d'autres :rolleyes:)

ces colonies sauvages en etait batis pour ce genre de situation , ce genre de colie na aucune importance aux yeux des sionistes , mais ils utilise ca comme un moyen de pression ,, za3ma regarder nous en tiens notre parole est en marche avec se que le monde exige de nous , khoubatha :fou: ya pas dans se monde akhbathe mane les sionistes
 
Obama ne parle pas à la légère
par Debra DeLee, présidente des American Friends of Peace Now

Traduction Tal pour La Paix Maintenant



Les dirigeants israéliens se disent effarés par "l’obsession" de l’administration Obama concernant la croissance des implantations sur la Rive occidentale du Jourdain. Les ruminations interrogatives du Premier ministre Benjamin Natanyahu ont récemment été citées : « Qu’est-ce qu’ils me veulent ? » Ses collaborateurs ont indiqué à la presse et aux responsables juifs américains que la position adoptée par Washington quant aux colonies est « infantile », « stupide » et « illusoire », et que l’équipe d’Obama devrait « reprendre ses esprits ».

Je ne crois pas que Natanyahu et ses collaborateurs soient vraiment désorientés ou sidérés par la demande du gouvernement américain qu’Israël stoppe toute construction dans les implantations de la Rive occidentale. Ils savent en quoi les colonies font obstruction à la négociation sérieuse d’un accord de paix avec les Palestiniens ; Ils savent qu’elles sont un obstacle à la mise en place d’une solution à deux États, et donc une entrave à la politique américaine dans la région ; Ils savent également qu’Israël est concerné par la feuille de route pour un processus de paix, laquelle appelle au gel de tout développement des implantations, "croissance naturelle" incluse.

Ce qu’ils refusent apparemment de comprendre, c’est que ce président là, à la différence de ses prédécesseurs à la Maison Blanche, le pense vraiment. Il croit sincèrement ce qu’il dit quand il affirme vouloir pousser énergiquement à la conclusion d’un traité global de paix au Moyen-Orient, comprenant la création d’un État palestinien. Ce président là pense ce qu’il dit et dit ce qu’il pense. Le président Barack Obama a promis aux Américains de toujours leur dire la vérité. Il fait pareil avec ses interlocuteurs outre-Atlantique.

Les Israéliens conscients de mon expérience au parti démocrate et dans la vie politique à Chicago me demandent souvent ce que Barack Obama essaie réellement de faire au Moyen-Orient, et pourquoi il insiste pour que les Israéliens gèlent les implantations. Qu’est-ce que ça cache, questionnent-ils. Je dis à mes amis israéliens qu’ils n’ont nul beson de ma science. La réponse est claire. Il n’y a pas d’agenda secret. Inutile de jouer aux devinettes ou de lire dans le marc de café. La politique affichée par Obama est sa vraie politique. Ce que vous voyez est ce que vous aurez. C’est aussi simple que ça.

Au demeurant, Obama déteste la politique des clins d’œil complices. Il déteste le temps passé à dire une chose et en faire une autre, autrefois typique des relations israélo-américaines – à propos de l’essor des implantations sur la Rive occidentale en particulier. Il le dit. « Être un bon ami, c’est se montrer honnête », a-t-il récemment souligné sur les ondes nationales. « Et je pense que nous n’avons pas toujours été aussi honnêtes que nous le devrions sur le fait que l’orientation actuelle, la trajectoire actuelle dans la région est profondément négative, non seulement pour les intérêts israéliens, mais aussi pour les intérêts américains dans la région. » Les implantations, précise-t-il, sont concernées.


http://www.bitterlemons-international.org/inside.php?id=1148
 
Washington demande à Netanyahu un gel d’un an de la colonisation
jeudi 6 août 2009 - 13h:07

Les Etats-Unis ont demandé au chef du gouvernement israélien Benjamin Netanyahu de s’engager à geler pendant un an la colonisation juive en Cisjordanie occupée, a indiqué jeudi le quotidien Haaretz.


Cependant, un porte-parole de la présidence du Conseil, interrogé par l’AFP, a affirmé qu’il n’était "pas au courant des informations" publiées par le Haaretz et qu’il s’agit de "pures spéculations médiatiques qui font malheureusement surface trop souvent".

Selon le Haaretz, qui cite des "sources haut placées", la demande américaine a été transmise par l’émissaire spécial pour le Proche-Orient, George Mitchell, lors d’entretiens la semaine dernière à Jérusalem avec M. Netanyahu et son ministre de la Défense Ehud Barak.

M. Mitchell leur a expliqué que les pays arabes ne prendraient aucune mesure de normalisation et n’accepteraient de faire aucune concession vis-à-vis d’Israël sans avoir obtenu au préalable la garantie d’un arrêt de la construction dans les colonies de Cisjordanie, écrit-il.

Selon le journal, MM. Netanyahu et Barak n’ont pas rejeté cette demande mais ont exprimé leur désaccord avec l’émissaire américain sur certains points, tous deux n’acceptant un gel que de six mois au maximum.

Ils veulent également achever durant la période de gel la construction des 2 500 logements en chantier actuellement dans les colonies de Cisjordanie, alors que M. Mitchell souhaite réduire au maximum ce chiffre.

Les négociations vont se poursuivre dans les prochaines semaines notamment lors d’une rencontre prévue entre MM. Netanyahu et Mitchell le 26 août à Londres à l’occasion d’une visite du Premier ministre dans la capitale britannique, a poursuivi le journal.

L’administration de Barack Obama exige un gel total de la colonisation en Cisjordanie occupée et à Jérusalem-est annexée en vue de relancer le processus de paix entre Israël et les Palestiniens. Selon un rapport officiel, plus de 300 000 colons israéliens vivent en Cisjordanie.


Info Palestine
 
t'inquiete que les constructions continuent..on détruit des sauvages et on construit d'autres..

Oui.Les politiques se parlent,ou font semblant en tout cas mais rien ne changent pour les Palestiniens.Enfin si dans le mauvais sens.

Israel veut installer des colonies partout en Palestine pour se sentir legitime partout et que cette terre volee leur appartienne entierement :rolleyes:
 
http://www.haaretz.com/hasen/spages/1109426.html

Plans pour la plus grosse colonie à Jérusalem Est soumis à approbation

Traduction : Gérard pour La Paix Maintenant


Un plan concernant la construction d¹une nouvelle colonie, Ma'aleh David,
située au milieu d¹un quartier arabe de Jérusalem Est, a été soumis pour approbation par la commission municipale de Jérusalem. Ce plan prévoit la construction de 104 logements sur le terrain où était située l¹ancien GG de la police de Judée-Samarie (Cisjordanie), dans le quartier de Ras al-Amoud.

Cette nouvelle colonie est conçue pour être reliée à un quartier déjà existant, Ma'aleh Zeitim. Ensemble, ils devraient être habités par plus de 200 familles, formant ainsi la plus grosse colonie dans Jérusalem Est. C¹est le groupe d¹extrême droite Elad qui en fait la promotion.

Le terrain sur lequel est planifié ce nouveau quartier de logements était, jusqu¹il y a 18 mois, l¹ensemble qui abritait le QG de la police, déplacé depuis dans de nouveaux bâtiments de la Zone E-1. Une fois cette zone évacuée par la police, elle a été replacée sous le contrôle de la Commission de la communauté de Boukhara, propriétaire du terrain et des bâtiments depuis 1048.


D¹après le plan, les anciens bâtiments de la police seraient rasés et remplacés par des bâtiments de 4 à 8 étages, comprenant 104 logements.

Ce plan comprend des logements luxueux, dont une piscine, un mini country-club, une bibliothèque communautaire et un parking. Une synagogue et un mikveh sont également prévus. Un pont piétonnier relierait la nouvelle colonie aux colonies existantes, situées de l¹autre côté de la route.
Ma¹aleh Zeitim abrite actuellement 51 familles et elle est dans une 2e phase de développement, où 66 logements devraient être terminés. Une fois que ces deux quartiers seraient terminés et reliés, une colonie juive de plus de 1 000 personnes se situerait alors au c¦ur de Ras al-Amoud, un quartier qui abrite 14 000 Palestiniens.

Officiellement, les plans ont été soumis pour approbation par la communauté boukharite, mais des sources de la municipalité de Jérusalem croient savoir que des organisations de colons sont derrière le projet.

Selon les mêmes sources, les plans, s¹ils demeurent en l¹état, seront probablement modifiés et le nombre de logement sera moindre. Mais à long terme, il sera difficile d¹empêcher le projet de se développer, étant donné qu¹il n¹y pas débat sur la propriété de la terre ni sur l¹affectation de la zone en projets résidentiels.


Yudith Oppenheimer, directrice de Ir Amim, une ONG qui surveille la colonisation à Jérusalem Est, a déclaré à Haaretz : « Une solution de deux Etats exige la possibilité pour les Palestiniens de bâtir à Jérusalem Est.
L¹objectif de ce plan est d¹établir des faits accomplis sur le terrain, d¹une ampleur telle qu¹il rendrait cette solution impossible. L¹avancement de ce plan soufflera sur les flammes à Jérusalem et est susceptible de conduire à une « hébronisation » de la ville.
 
[Le gel de la construction dans les colonies est de l¹intérêt suprême d¹un Israël sioniste. Plus le nombre des colonies et des colons augmentera, plus il sera difficile pour un premier ministre israélien de décider d¹une séparation et de la création d¹un Etat palestinien]

Ma¹ariv, 3 septembre 2009

http://www.nrg.co.il/online/1/ART1/937/891.html

Les colonies ne sont pas le problème d¹Obama, mais celui d¹Israël Yariv Oppenheimer

Traduction : Gérard pour La Paix Maintenant


A la suite de la publication d¹un accord verbal entre les Etats-Unis et Israël sur un gel temporaire de la construction dans les colonies, il nous faut rappeler encore une fois que ce gel n¹est pas une « faveur » faite au monde par Israël, bien au contraire. Ce gel est de l¹intérêt suprême d¹un Israël sioniste. Le calcul est clair et parfaitement connu de tous : plus le nombre de colonies et de colons augmentera, plus il sera difficile pour un premier ministre israélien de décider d¹une séparation et de la création d¹un Etat palestinien.

Cela explique aussi l¹obsession et l¹obstination des colons qui continuent à construire en Cisjordanie et à y créer de nouveaux faits accomplis sur le terrain, au moyen de nouveaux quartiers et d¹avant-postes illégaux. Il faut de temps en temps prêter l¹oreille à ce que déclarent les dirigeants des colons et rappeler quel est l¹objectif suprême de l¹entreprise de colonisation : faire échec à toute éventualité de création d¹un Etat palestinien et développer une situation où il sera impossible de se séparer physiquement de la Cisjordanie et de ses 3,5 millions de Palestiniens qui la peuplent. Ce ne sont pas la « croissance naturelle », une crèche ici ou là, le mode de construction, en hauteur, en longueur, etc., qui importent aux dirigeants des colons. Pour eux, la mission est claire et l¹a toujours été :
empêcher par tous les moyens de parvenir à un accord et d¹en finir avec l¹occupation.

Même ceux qui sont prêts à croire Benjamin Netanyahou, quand il a balbutié dans son discours de Bar-Ilan qu¹il soutenait la solution à deux Etats, ont du mal à comprendre comment la construction en Cisjordanie est soudain devenue un intérêt vital pour lequel il faut lutter au prix de la détérioration des relations extérieures d¹Israël. Si Netanyahou est sérieux et sincère dans ses intentions de parvenir à un accord, la construction dans les colonies ne favorise pas la clarté et rend difficile, dans l¹avenir, de tracer une frontière entre nous et l¹Etat palestinien, démilitarisé ou non.

Le moment est venu pour les Israéliens d¹élever la voix pour dire haut et fort au premier ministre et au gouvernement que l¹élargissement des colonies ne fait pas l¹objet d¹un consensus en Israël et qu¹il nuit à ses intérêts et à sa sécurité. Votre lutte face à la communauté internationale et la détérioration des relations avec l¹Amérique ne se font pas à partir d¹une volonté d¹en faire profiter le peuple mais bien d¹un calcul politicien étroit où l¹on agit au profit des colons pour sauver une majorité gouvernementale. Dans une confrontation inutile avec les Etats-Unis, une « défaite » qui consisterait à geler les constructions dans les colonies serait une victoire pour Israël.
 
Bibi a gagné une bataille, pas la guerre

Benyamin Netanyahou refuse de geler la colonisation en Palestine, comme le lui demande Barack Obama, et cherche même à jouer au plus malin avec le président américain. Qui n’a pas dit son dernier mot.


Benyamin Netanyahou, le Premier ministre israélien, a choisi de s’opposer à Barack Obama sur deux sujets clés de sa politique étrangère : la création d’un État palestinien et la réconciliation avec l’Iran. Non seulement il refuse de céder aux demandes du président américain, mais il cherche à jouer au plus malin et à le faire échouer. Ainsi, pour sauver sa coalition de droite (et son poste de Premier ministre), Netanyahou n’a pas hésité à offenser Obama et à mettre en danger la relation vitale d’Israël avec les États-Unis. Qu’il ait agi de la sorte indique qu’il pense sortir vainqueur de ce bras de fer. Il pourrait même avoir déjà gagné la première manche. Si l’on en croit un porte-parole du département d’État, les États-Unis ont quelque peu assoupli leur exigence d’un gel total de la colonisation comme préalable à l’ouverture de négociations israélo-palestiniennes. Washington semble aussi s’être rallié aux demandes israéliennes d’adopter des sanctions plus sévères à l’encontre de l’Iran s’il ne cesse pas ses activités d’enrichissement de l’uranium d’ici fin septembre. Obama s’était donné jusqu’à ce mois-ci pour réexaminer la situation.

Une politique à courte vue

Ces apparentes concessions pourraient cependant n’être que tactiques. En mettant la pression sur Netanyahou, Obama a agi avec une grande prudence. Il n’a pas encore révélé son propre plan de bataille, comme s’il souhaitait que les Israéliens tirent d’eux-mêmes certaines conclusions plutôt que d’y être contraints. Dans l’esprit de Netanyahou, pourtant, c’est Obama qui est sur la défensive, pas lui. Après tout, le président américain a commis un péché capital : placer les intérêts israéliens et palestiniens sur un pied d’égalité et tendre une main amicale à l’Iran. Netanyahou veut que le régime iranien soit renversé à l’instar de celui de Saddam Hussein, qu’Israël et ses amis ont pressé les États-Unis de liquider. Aujourd’hui, il est clair que Netanyahou n’a aucunement l’intention de mettre fin à l’occupation et à la colonisation de la Cisjordanie, ni d’accepter la création d’un État palestinien digne de ce nom. Il n’a pas lésiné sur les moyens pour faire pression sur la communauté internationale afin qu’elle adopte des « sanctions paralysantes » contre l’Iran, tout en laissant entendre qu’Israël frapperait lui-même ce pays, avec ou sans le feu vert de l’Amérique, s’il ne mettait pas fin à son programme nucléaire.

http://www.jeuneafrique.com/Article...-Bibi-a-gagne-une-bataille-pas-la-guerre.html
 
Malgré les promesses faites à Obama, la construction continue dans des douzaines de colonies de Cisjordanie.

Akiva Eldar et Haim Levinson
Haaretz Vendredi 16 Octobre
Traduction par Marc Lefevre pour la Piax Maintenant

http://www.haaretz.com/hasen/spages/1121544.html

Des militants des droits de l’homme qui surveillent la Cisjordanie, rapportent que malgré les engagements pris le mois dernier par Israël auprès de l’administration du président Barack Obama, un programme de construction étendu a commencé il y a trois semaines dans au moins douze implantations différentes.

Les travaux consistent à préparer le terrain, creuser des fondations et couler le béton.

Ces travaux de construction ne font pas partie des projets sur lesquels Israël et les Etats-Unis s’étaient déjà entendus. En son temps, le premier ministre Netanyahu et le ministre de la défense Ehud Barak s’étaient mis d’accord avec l’administration américaine pour terminer 2500 logements déjà en cours de construction.

Les douze sites identifiés cette semaine ne font pas non plus partie de la liste des 492 unités de construction que le ministère de la défense a publiée après qu’Ehud Barak eut approuvé leur construction.

Les travaux sur ces douze sites ont commencé après que cette liste ait été publiée. Ces constructions ont lieu dans les colonies de Carmel, Kiryat Arba, Betar Ilit, Elazar, Shilo, Talmon, Nili, Yitzhar, Bracha et Rosh Tzurim.

Les procédures habituelles de construction en Cisjordanie stipulent qu’aucun travail de préparation des fondations ne peut avoir lieu sans autorisation du ministère de la défense. Le ministère peut autoriser ces travaux seulement après que la demande de permis de construire ait été publiée, et que les recours éventuels aient été soumis et éventuellement rejetés.

Le ministre des transports Israël Katz (Likoud) a, quant à lui, autorisé jeudi dernier plusieurs projets de travaux en Cisjordanie. Israël Katz a rencontré treize responsables régionaux dans les Territoires et accepté, entre autres choses, que la société nationale israélienne responsable, construise des routes d’accès à plusieurs implantations. Le ministre a aussi approuvé des plans pour améliorer la sureté des implantations, en particulier pour des entrées, des trottoirs et des feux de circulation près des écoles.

Katz a déclaré à Haaretz que ces plans n’ont aucune signification politique.

Plusieurs routes de Cisjordanie ont aussi été rénovées durant les six dernières semaines.

800 constructions dans 34 implantations

Des travaux de construction ont lieu également dans les colonies de Tekoa, Nokdim, Alon Shvut, Alonei Shilo, Bakan, Givat Zeev, Dolev, Har Gilo, Talmon, Yitzhar, Kochav Yaakov, Kfar Adumim, Kfar Etzion, Mevo Horon, Matityahu, Naaleh, Etz Efraim, P'duel, Tzofim, Kedar et Kalia.

Le mouvement « La Paix Maintenant » a rapporté la semaine dernière que des travaux de préparation pour la construction de 800 logements étaient en cours dans 34 implantations.

Shaul Goldstein, président du conseil régional du Goush Etzion a répondu :

« La Paix Maintenant ne cherche qu’à provoquer et à fomenter des querelles. Ce sont des agents étrangers, envoyés par des gouvernements étrangers pour surveiller des constructions parfaitement légales de gens qui aiment leur peuple et leur pays. Il est temps que La Paix Maintenant disparaisse. »
 
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