Comment expliquer le succès israélien ?

Bjorn

Мир без Путина، زندگی، آزادی Слава Україні
Bladinaute averti
Lorsque le 14 mai 1948 David Ben Gourion lit la déclaration d'indépendance israélienne à Tel Aviv , la joie est de courte durée : quelques minutes après minuit, les cinq armées d'egypte, de syrie, de jordanie, du liban et d'irak attaquent israël. Quelques heures après sa fondation, le pays naissant était en guerre. Mais 75 ans, cinq guerres et deux intifadas plus tard, Israël est plus fort que jamais. Dans la lutte contre l'ennemi extérieur, elle a toujours fait ses preuves.

Au-delà de cela, l'histoire de l'État d'Israël est celle d'un succès. Le pays est en plein essor économique et s'est forgé une réputation de nation start-up innovante.
C'est le seul pays libre du Moyen-Orient à disposer de structures démocratiques fonctionnelles - si l'on exclut les territoires occupés de la bande de Gaza et de la Cisjordanie. Plus récemment, Israël a même normalisé ses relations avec plusieurs pays arabes avec les soi-disant « Accords d'Abraham ».
 

Mohammad

hein + hein = euh
VIB
Ils étaient plus fort militairement soutenus sans réserve par les puissances occidentales.

D'ailleurs la première guerre, ils l'ont perdu, c'est la sdn et les occidentaux qui interviennent pour imposer le statut quo, suivit d'embargo complet contre le monde arabe et de livraisons d'armes sophistiquées à israel, la suite on l'a connait, 6 mois plus tard, israël reprend le combat et met une tannée aux arabes.
Pour bien avoir une idée de ce que l'Occident est capable de faire en 6 mois, faut, se remémorer l'après bataille du pacifique qui opposait américains et japonais: en 6 mois les japonais ont fabriqué 5 navires des guerres tandis que les américains en montait plus de 120.
 
... ce troll nazi se révèle de mieux en mieux. Non seulement il est raciste, mais c'est un suppôt de Sion !

Il doit comme ses semblables valider ces citations sans honte :

« Il n’y a pas de semblable chose que les Palestiniens, ils n’ont jamais existé ».

Golda Meir, 15 juin 1969, discours en tant que Première ministre d’Israël.

« Les Palestiniens sont des bêtes qui marchent sur deux pattes ».

Menahem Begin, 25 juin 1982, discours à la Knesset, cité par Amnon Kapeliouk dans Begin et les bêtes, aux Éditions New Stateman.

« Nous devrions tuer tous les Palestiniens à moins qu’ils ne soient résignés à vivre ici comme esclaves ».

Rafaël Eytan, chef de l’État-Major des Forces armées israélienne de défense. Déclaration au New York Times, 14 avril 1983.

Si l’on remplaçait le nom « Palestinien » par « Israélien », ce serait un tollé, un scandale. Les auteurs des phrases perdraient leur réputation, leur poste ou se verraient fustigés et, bien sûr, traités d’antisémites....
 
Lorsque le 14 mai 1948 David Ben Gourion lit la déclaration d'indépendance israélienne à Tel Aviv , la joie est de courte durée : quelques minutes après minuit, les cinq armées d'egypte, de syrie, de jordanie, du liban et d'irak attaquent israël. Quelques heures après sa fondation, le pays naissant était en guerre. Mais 75 ans, cinq guerres et deux intifadas plus tard, Israël est plus fort que jamais. Dans la lutte contre l'ennemi extérieur, elle a toujours fait ses preuves.

Au-delà de cela, l'histoire de l'État d'Israël est celle d'un succès. Le pays est en plein essor économique et s'est forgé une réputation de nation start-up innovante.
C'est le seul pays libre du Moyen-Orient à disposer de structures démocratiques fonctionnelles - si l'on exclut les territoires occupés de la bande de Gaza et de la Cisjordanie. Plus récemment, Israël a même normalisé ses relations avec plusieurs pays arabes avec les soi-disant « Accords d'Abraham ».
Souviens toi de l’occupation de Jérusalem par les croisades qui y avaient créé le royaume chrétien Franc de Jérusalem.
Il a duré 130 ans, mais a fini rejeté à la mer. Le royaume juif issu d’une nouvelle croisade venue elle aussi d’Europe mais cette fois sous le drapeau sioniste finira de la même façon inéluctablement.
Espérons seulement que sa fin sera plus rapide.
 
Sur ce sujet, je partage cet article écrit par Mohamed Taleb


Sous la pression perçante des États-Unis et des sionistes envers les pays réticents ou réfractaires et avec l’engagement et le soutien démesurés de l’Union soviétique à la création de l’État d’Israël, les Nations-Unies (avec un peu plus de 50 États adhérents à cette époque) ont voté, le 29 novembre 1947, la Résolution 181, une proposition de la Commission spéciale portant sur la partition de la Palestine après le dépôt de mandat des Britanniques. Ces derniers étant en difficulté en raison du processus de décolonisation de l’Inde et en passe d’être détrônés par les États-Unis devenus première puissance mondiale.


Les Nations Unies, nouvellement instituées après le choc de la Seconde Guerre mondiale et celui de l’Holocauste nazi à peine achevé (mais dont l’exploitation jusqu’à nos jours et sans limite se décline dans la fabrication d’un rapport de force ouvertement pro-sioniste, dans la visibilité au plan médiatique du futur État d’Israël et dans la diabolisation de l’Arabe et du Palestinien), sont officiellement le piédestal sur lequel s’érige le nouvel ordre international, dominé par les grandes puissances, surtout occidentales.
La partition de la Palestine prend en considération trois zones distinctes. Une partie attribuée aux Juifs, équivalant à 54% de la Palestine historique (avec les meilleures terres agricoles), 43% à la population arabe qui formait les deux-tiers de la population globale et enfin 3% pour une zone internationale qui comprenait la ville de Jérusalem et les Lieux-Saints.

Ce plan de partition qui n’a été toutefois qu’une recommandation des Nations Unies à la puissance mandataire (Empire britannique), a été rejeté par les Palestiniens et par les États arabes.

Les sionistes, qui, déjà lors de leur congrès en 1942 à l’hôtel Biltmore à New York, avaient mis au point une feuille de route pour l’occupation de toute la Palestine historique, considéraient ce plan comme un point de départ, ad hoc, pour atteindre les objectifs fixés en 1942 et ont ainsi accepté les décisions des Nations Unies.

Le plan, n’ayant été accepté que par les sionistes, ne peut cependant avoir force de loi. L’application d’un accord quelconque se prévaut logiquement de son acceptation préalable par toutes les parties concernées. En fait, l’Assemblée Générale n’avait aucun pouvoir en la matière. Le Conseil de Sécurité, selon Jeremy R. Hammond, interpellé pour débattre de la question, n’a pu trancher sur la mise en application du plan de partage, car dépourvu de tout pouvoir. Ceci permet d’affirmer que la Résolution 181 des Nations Unies ne constitue aucune autorité légale pour le fondement juridique du futur Etat d’Israël et aucun droit à l’expropriation des terres palestiniennes par les Juifs, comme le soulignent, bis repetita placent, la rhétorique sioniste et la propagande occidentale, affirmant que ce sont les Nations Unies qui ont octroyé le droit de créer un Etat. La décision de l’Assemblée Générale, incompétente sur le partage, ne possédant aucune souveraineté sur la Palestine et privant le peuple Palestinien de son droit à l’indépendance sur toute sa patrie, est en violation[1] de :

  • L’article 22 de la Convention de la SDN qui a reconnu provisoirement l’indépendance du peuple palestinien et envisagea un mandat temporaire sur la Palestine en vue d’acheminer ses habitants à une totale indépendance…
  • La Charte des Nations Unies et du principe de l’autodétermination du peuple de Palestine…
  • Violation des principes les plus élémentaires de la démocratie en ignorant de façon flagrante la volonté de la majorité des habitants d’origine qui s’opposèrent à la partition de la Palestine…
 
Dès le lendemain du vote de la résolution 181, les sionistes entament systématiquement une vague d’épuration et de nettoyage ethniques des Palestiniens. Destruction de villages palestiniens (plus de 500), pillages, dépossessions, expulsion et massacres des populations arabes (le village de Deir Yassine avec plus de 250 victimes de la part des terroristes sionistes de l’Irgoun et du Lehi), chrétienne et musulmane. A ce sujet une lettre de la part de Albert Einstein cosignée par des personnalités juives intellectuelles (Hannah Arendt et d’autres) est adressée au New York Times en décembre 1948 dans laquelle il déclarait : « Parmi les phénomènes politiques les plus inquiétants de notre époque, il y a dans l’état nouvellement créé d’Israël l’apparition du « Parti de la Liberté » (Tnuat Haherut[2]), un parti politique étroitement apparenté dans son organisation, ses méthodes, sa philosophie politique et son appel social aux partis Nazi et fascistes ».

Avant la tant décriée déclaration d’indépendance du sioniste Ben Gourion du 14 mai 1948, se développait la tragédie du peuple palestinien. Une tragédie aux proportions gigantesques avec 800.000 réfugiés qui sont contraints de quitter leur maison ou leur terre pour aller vivre dans des camps.

Les pays arabes venus en aide aux Palestiniens et intervenant dans un conflit armé contre les sionistes ne pourront renverser la situation en raison de leur faiblesse au plan de la préparation militaire (alignement de quelques 20.000 soldats arabes face aux 90.000 soldats israéliens), de l’organisation politico-militaire mais aussi en raison du rapport collusif (et anti-palestinien) entre les sionistes et le Roi Abdallah de Transjordanie. Le mythe du petit David juif, Israël, devant affronter le géant arabe Goliath, est très bien entretenu par la propagande sioniste. Le tout adoubé par la mise en scène de « l’Exodus » juste avant le vote de l’ONU, un rafiot récupéré par les sionistes et transportant près de 4.500 Juifs qui fuyaient l’Europe pour rejoindre la Palestine, « terre des ancêtres ».

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Le conflit armé s’est conclu, d’une part, par la défaite arabe devant les sionistes (formés par les Britanniques et armés par l’URSS via la Tchécoslovaquie) et d’autre part, par la perte de territoires palestiniens. La Ligne verte (Protocole de Rhodes de 1949) délimitera un territoire palestinien de moins de 22% de la Palestine historique, qui sera occupé (de concert avec les sionistes) par la Jordanie jusqu’en 1967.

Le droit au retour aux réfugiés palestiniens et à leurs descendants (en Palestine ou dans d’autres pays arabes) sera institué par la résolution 194 de l’Assemblée générale des Nations Unies adoptée le 11 décembre 1948. Une résolution jusqu’ici totalement ignorée par Israël. Ce dernier exprime publiquement son racisme[3] en permettant à n’importe quel Juif de par le monde à venir s’installer en Israël et refuser ce droit au réfugié palestinien.

Mais la Nakba palestinienne a commencé bien avant la partition de 1947 et avant même la Déclaration Balfour de 1917, et ce par la négation même de l’existence du peuple palestinien, de son histoire et de son identité.
Le slogan, « une terre sans peuple pour un peuple sans terre », a été semé aux quatre vents depuis la moitié du XIXème siècle (1854) par le sioniste-chrétien Lord Shaftesbury et à partir de 1890 par le sioniste politique Israël Zangwill (1864-1926), contemporain et coreligionnaire de Théodore Herzl (1860-1904), fondateur, à l’issue du congrès de Bâle (Suisse) de 1897, de l’Organisation sioniste mondiale et père du projet « Foyer national juif » en Palestine. Le récipiendaire de cette terre vide serait le peuple juif, contraint à l’exil depuis l’époque romaine, jusque là victime, des siècles durant, de l’antijudaïsme chrétien (Europe Est et Ouest) et devenu proie à un antisémitisme naissant des plus agressif.

L’historien Shlomo Sand[4] de l’Université de Tel Aviv, a, dans son ouvrage « Comment le peuple juif fut inventé», démonté le mythe entretenu par la hasbara (propagande) sioniste sur l’exil massif des Juifs à l’époque romaine et leur dispersion le long des siècles à travers le monde. Pour Shlomo Sand, aussi bien les Ashkénazes (Khazars du Nord du Caucase) que les Sépharades (autour de la Méditerranée) ne sont en aucune manière de descendance juive mais des populations converties au Judaïsme.
Le socle de l’idéologie sioniste selon laquelle les Juifs seraient les descendants de Moise, de David et de Salomon est réduit en poussière par Shlomo Sand. Il fait en outre référence à Flavius Josèphe, l’historiographe juif contemporain de l’empereur Titus, qui affirmait à la fin du 1er siècle après J.C qu’il n’y a pas eu d’exil des Juifs après la révolte juive de 70 après J.C. contre l’Empire romain. Seules quelques familles de notables avaient quitté la Palestine.
 
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Jérusalem 1870

Avant 1880, la population[5] de confession juive (le Yichouve) en Palestine, était de l’ordre de 5% de la population globale (musulmans, chrétiens et autres). En 1872 elle était de 4% ce qui correspondait à environ 16.000 Juifs.
En 1870 une école d’agriculture, Mikveh-Israël (Espoir–Israël) fut fondée par Charles Netter, membre de l’Alliance israélite universelle (créée en 1860 avec Adolphe Crémieux[6] et implantée en 1864 en Turquie) qui soutiendra plus tard le projet de Foyer national juif en Palestine. Une parcelle de terrain de 300 hectares (légalement acquise) est mise à disposition de la future école dont le rapport à la terre représente symboliquement le « Retour » à Sion, terre des ancêtres ou moins celui des Juifs français.
Ce sont les prémices d’une colonisation de peuplement, teintée initialement de nationalisme.

Les « Capitulations », une série d’accords existant depuis longtemps entre les puissances européennes (qui en tirent d’énormes bénéfices) et l’Empire ottoman constituent une base de départ et un cadre idéal pour entamer de nouveaux échanges avec l’Empire ottoman, orientés beaucoup plus vers la diplomatie foncière et la convoitise des terres palestiniennes. La colonie juive de Petah Tikya voit le jour en 1878.

L’année 1882 marque le début de l’émigration massive juive vers la Palestine après les pogroms de Pologne, de Russie et l’assassinant du Tzar Alexandre II.
Le baron Edmond de Rothschild (Bouclier Rouge) assume un rôle central dans le financement des premières implantations agricoles en Palestine, tel Rishon le Zion, fondée en 1882, qui est de nos jours la 4ème ville en Israël.
Le sionisme politique pré-herzlien a fait son apparition sous l’impulsion du socialiste Moise Hess (contemporain de Karl Marx) avec son ouvrage « Rome et Jérusalem, la dernière question nationale» (premier manifeste sioniste. Leipzig-1862) et plus tard de Léon Pinsker avec son livre « Auto-émancipation » (Berlin-1882).
Faisant référence directement aux expériences de l’Unité italienne sous Camille Cavour et allemande sous Otto Von Bismarck, deux pays se trouvant dans une période cruciale du développement du capitalisme, Moise Hess trace très tôt les premières lignes du nationalisme sioniste.

En 1884-85, la Conférence de Berlin, durant laquelle le partage de l’Afrique sera au centre de la discussion, regroupe les puissances européennes et la Russie. Empire britannique, France, Allemagne, Italie, Espagne etc. s’offrent une portion du « gâteau » africain alors que la Russie tzariste voudrait occuper le flanc occidental du détroit du Bosphore (accès à la Méditerranée à partir de la Mer Noire) et L’élite sioniste prend indubitablement conscience de ce « nouveau » paradigme et c’est avec Théodore Herzl, à partir de 1896, que les contours d’un projet colonialiste sioniste, animé officiellement par l’idée centrale du retour de l’exil des Juifs et celle de construire « un rempart de la civilisation contre la barbarie » (à l’instar d’autres États colonialistes), se font de plus en plus explicites.
 
Avec la première Aliya (montée vers Sion), 35.000 Juifs Ashkénazes de Russie, de Pologne et de Roumanie s’installent en Palestine entre 1882 et 1904. En 1910 il y aura 80.000 Juifs en Palestine. Une grande partie de cette émigration juive, d’obédience socialiste et jeune, est choisie pour la construction non plus d’écoles d’agriculture ou autre mais de Kibboutz.

La Déclaration Balfour du 2 novembre 1917, véritable vaisseau porteur du colonialisme sioniste et adressée officiellement au membre de la fédération sioniste britannique, Lord Rothschild, prévoit l’installation d’un Foyer national juif en Palestine. Après l’attribution du mandat pour la Palestine aux Britanniques en 1922, commencent les premières spoliations au détriment des Palestiniens, leur exclusion de la vie politique et économique.

La Nakba, en marche depuis 1882, culminera en 1948 avec l’expulsion de 800.000 Palestiniens. Mais elle demeure aujourd’hui pour tout le peuple palestinien.

La carte ci-dessous, datant de janvier 1971, est, on ne peut plus éloquente, sur la situation des réfugiés (1.880.393 réfugiés en 1971).

En 2017[7], les réfugiés palestiniens étaient près de 5,9 millions de personnes (2.286.643 en Jordanie, 1.476.616 à Gaza, 997.173 en Cisjordanie, 618.128 en Syrie et 532.173 au Liban).

mail
 
Les sionistes s’apprêtent à commémorer le jour de la déclaration d’indépendance du 14 mai 1948, dans un climat de crise interne aigüe entre pouvoir exécutif (Gouvernement Netanyahou droite extrême et religieuse) et pouvoir judiciaire, le premier voulant limiter de manière drastique les prérogatives du second (réduction du contrôle de la Cour suprême pour avoir carte blanche dans la politique de colonisation). La population israélienne manifeste depuis près de 4 mois pour soi-disant sauver la démocratie. Lutter contre la Nakba des Palestiniens n’est pas encore à l’ordre du jour.

Devant cette crise, se dessine une nouvelle configuration au plan régional, le rapprochement Iran-Arabie Saoudite, la réinsertion de la Syrie au sein de la ligue arabe (sous l’impulsion de l’Algérie) et au plan global, l’affirmation d’un nouvel ordre mondial, non plus dominé par les États-Unis, soutien indispensable à la survie du système d’apartheid sioniste.
L’isolement grandissant d’Israël se manifeste par la cruauté et la brutalité lors des récentes et actuelles répressions et agressions en Cisjordanie (Huwara) et à Ghaza.

Notes

[1] – Voir : Mohamed Taleb : « Palestine : le plus grand hold-up du XXeme siècle ». Éditions Apic 2019. P.253/254

[2] – Le Tnuat Haherut : fondé en juin 1948 par le terroriste Menahem Begin, le parti Herut a succédé au groupe terroriste Irgoun et sera le prédécesseur du parti Likud en Israël.
Le Prix Nobel de la Paix est décerné à Menahem Begin (Premier ministre) en 1978 (après les Accords de Camp David avec l’Egypte) et responsable avec Ariel Sharon des massacres de Sabra et Chatila au Liban en 1982 perpétrés par les milices phalangistes chrétiennes).

[3] – Une loi (raciste) votée par le Parlement israélien (Knesset) le 29 juillet 2018 définit Israël comme « État-nation du peuple juif ». La loi déclare également que la ville de Jérusalem (avec Jérusalem-Est) est la capitale d’Israël.

[4] – Voir Link : Comment fut inventé le peuple juif, par Shlomo Sand (Le Monde diplomatique, août 2008) (monde-diplomatique.fr)

[5] – Voir Link: LA DÉMOGRAPHIE DE LA PALESTINE HISTORIQUE – PALESTINE + (wordpress.com)

[6] – Adolphe Crémieux : auteur du fameux « décret Crémieux » en Algérie en octobre 1870.

[7] – Voir Link: UNRWA Fields of Operations Map 2017 (wikimedia.org)

https://algerie54.dz/2023/05/10/palestine-la-nakba/?fbclid=IwAR1r1BkhUEzKpyW7IwYPoPYpps1rX6Jx3rJszSJtknUgeD_0dD_URnALvqE
 
Ils sont animés par le même instinct de survie que les Palestiniens
La combinaison redoutable - division des arabes + soutient indéfectible des USA, du bloc occidental
Des choix économiques efficaces - industrie militaire, technologie...
L'éducation au coeur du projet de développement..
 
Ils sont animés par le même instinct de survie que les Palestiniens
La combinaison redoutable - division des arabes + soutient indéfectible des USA, du bloc occidental
Des choix économiques efficaces - industrie militaire, technologie...
L'éducation au coeur du projet de développement..
et attentat tout les jours que dieu fait ...

ils n'ont pas eu une seule journée de paix depuis leur colonisation !

aujourd'hui les rapports de forces ne sont plus les mêmes ... il n'y a plus de goliath mais que des david et sont tous bien équipé de nouvelles fronde ...

donc vaut mieux commencer à prendre en considération les peuples qui souffrent de la colonisation ...
 

ELMORITANI

Aka tonystark
VIB
Te fatigues pas à poster toutes ces infos @Yancine ...

Le @Bjorn connais trés bien la situation

sans les usa et l'Europe l'état fantoche se serais fait virer par de simples bédouins dés sa création

ils se font passer pour le petit david contre le grand goliath arabo-musulman, mais avec tous leurs appuis ils sont le grand démon goliath, et le petit dawd lui mettra sa raclée lorsque le moment sera venu
 
ils n'ont pas eu une seule journée de paix depuis leur colonisation !

aujourd'hui les rapports de forces ne sont plus les mêmes ... il n'y a plus de goliath mais que des david et sont tous bien équipé de nouvelles fronde ...

donc vaut mieux commencer à prendre en considération les peuples qui souffrent de la colonisation ...
sans les usa et l'Europe l'état fantoche se serais fait virer par de simples bédouins dés sa création

ils se font passer pour le petit david contre le grand goliath arabo-musulman, mais avec tous leurs appuis ils sont le grand démon goliath, et le petit dawd lui mettra sa raclée lorsque le moment sera venu

"Puisqu’il est établi que les Etats-Unis soutiennent inconditionnellement et, envers et contre tout, le gouvernement et le peuple israéliens, pourquoi ne pas offrir à ces derniers, l’un des plus grands espaces qui soit – la superficie des USA est de 9.630.000 km² et celle d’Israël de 20.770 km², soit moins de 0,25 % du territoire américain – en leur permettant d’y édifier leur Etat ? Les espaces désertiques ne manquent pas dans le Sud-Ouest des USA et quelques grands déserts pourraient bien accueillir ceux qui semblent avoir un penchant atavique pour la chose.

Avec les techniques actuelles, nul doute qu’il soit possible de déménager les quelques vieilles pierres restantes du Mur des Lamentations… Et si vraiment cela ne pouvait être envisagé par crainte de dommages irréversibles au site historique, ou par respect pour ceux qui désireraient rester à Jérusalem, ainsi que pour le tourisme qui retrouverait-là son affluence d’antan, on pourrait assurément compter sur les techniciens d’Hollywood pour effectuer de parfaits décors de la Ville Sainte, plus vrais que nature ! Et pourquoi pas, envisager jusqu’à la reconstruction totale du Temple de Salomon qui trônerait alors, dans toute sa splendeur, au centre d’une nouvelle capitale, baptisée New-Jerusalem !?

Ce serait tout avantage pour les Israéliens : ils ne seraient pas trop dépaysés par l’environnement naturel ; seraient directement sous l’aile protectrice et satellitaire de leur bienfaiteur ; ne devraient plus utiliser leur argutie habituelle de peurs paranoïaques alimentées par la présence d’Arabes et de musulmans innombrables à leurs frontières ; n’auraient plus besoin d’un budget militaire exponentiel pour garantir la paix avec leurs voisins, ce qui leur permettrait de se pencher sur le problème réel de la pauvreté dans le pays ; n’auraient plus à vivre en état de stress permanent parce qu’ils seraient mieux abrités d’éventuelles attaques suicides ; pourraient se livrer sans limite à leur occupation favorite, à savoir, l’extension de leur territoire, etc… Le colossal budget militaire ainsi économisé pourrait servir à édifier très rapidement les infrastructures modernes dont ils bénéficient aujourd’hui, et pourrait en outre être consacré aux soins psychologiques indispensables pour soigner les nombreuses névroses d’une grande majorité de citoyens.

Enfin, comble de bonheur, ils seraient proches du Saint des Saints puisque le souffle divin traverse aussi le Président yankee, qui conduit désormais le monde de vision en vision… Comme on peut le voir, là également, point de dépaysement…

La région du Moyen-Orient serait finalement libérée de l’une de ses tensions majeures. La Communauté internationale serait définitivement débarrassée de l’un de ses plus épineux problèmes puisque le cas échéant, tout problème israélien deviendrait interne aux Etats-Unis. Là également, que d’économies d’argent et d’énergie ! Le calme reviendrait sans doute dans l’ensemble de la région. Ainsi peut-être que sur les cours pétroliers. Le nouveau Moyen-Orient ainsi reconstitué pourrait être sécurisé d’Est en Ouest et du Nord au Sud et nettoyé de tout danger nucléaire, y compris en Iran. Et les peuples libérés pourraient enfin se consacrer à l’essentiel. Ce qui au vu des dégâts à tous niveaux, éliminerait le chômage et assurerait du travail pour tous, pendant des décennies entières. Nous serions en Europe, soulagés des interventions indigestes des prétentieux de salons, politologues incompétents, journalistes verbeux, « spécialistes » pédants, etc… Et chacun de nous pourrait en définitive, consacrer son temps à autre chose (…)”
LA DÉMOCRATIE MENSONGE Ed. M.Pietteur – Extrait
 
Depuis combien de siècles ils complotent et se sont fais exploser la gueule avec leurs coups de vices ??? Pas brillant ...

Sur l'histoire de l'humanité ce n'est rien et ils termineront anéantis après avoir semé un désordre sans précédent avec l'antéchrist.

Sinon face aux hesbollah ils se sont pris une belle branlée tous ce qu'ils sont capables de faire c'est de torturer des civils palestiniens et magouiller .

les mecs ont pactisés et soutenus les nazis

En octobre 2015, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a déclaré à la tribune du 37e congrès de l’Organisation sioniste mondiale qu’Hitler « ne voulait pas exterminer les Juifs à l’époque, seulement les expulser », en se fondant probablement sur les accords de Haavara. Son propos a suscité un grand émoi4,5,6, notamment la seconde partie de sa phrase où il pointait la prétendue responsabilité du grand Mufti de Jérusalem au sujet de l'idée d'exterminer les juifs d'Europe.

 

NowHereMan

...
Bladinaute averti
Un squatteur n'est jamais à l'abri d'une expulsion.
Le propriétaire légitime aura toujours raison même s'il laisse des plumes. par contre le squatteur reste un SDF et il va errer dans les rues ou il va chercher qui peut l'accepter pour le loger temporairement.
IMG_20230513_190045.jpg
 
Depuis combien de siècles ils complotent et se sont fais exploser la gueule avec leurs coups de vices ??? Pas brillant ...

Sur l'histoire de l'humanité ce n'est rien et ils termineront anéantis après avoir semé un désordre sans précédent avec l'antéchrist.

Sinon face aux hesbollah ils se sont pris une belle branlée tous ce qu'ils sont capables de faire c'est de torturer des civils palestiniens et magouiller .

les mecs ont pactisés et soutenus les nazis

En octobre 2015, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a déclaré à la tribune du 37e congrès de l’Organisation sioniste mondiale qu’Hitler « ne voulait pas exterminer les Juifs à l’époque, seulement les expulser », en se fondant probablement sur les accords de Haavara. Son propos a suscité un grand émoi4,5,6, notamment la seconde partie de sa phrase où il pointait la prétendue responsabilité du grand Mufti de Jérusalem au sujet de l'idée d'exterminer les juifs d'Europe.

on a parlé des accords d'havaraa sur ce site bien avant Netanyahou ... et il avait raison de dire qu'hitler voulait simplement expulser les juifs, ceux qui avaient de l'argent et ceux qui n'en avait pas ... et que le début de la guerre à rendu difficile la suite des transferts ...

et que des sionistes s'étaient engagé avec les nazi pour faire la guerre contre les alliés !

En 1940, des représentants du groupe sioniste droitier Lehi rencontrèrent toutefois Werner Otto von Hentig afin de proposer directement une coopération militaire avec les nazis[réf. nécessaire] et accélérer le transfert des juifs d'Europe vers la Palestine.
 
"Puisqu’il est établi que les Etats-Unis soutiennent inconditionnellement et, envers et contre tout, le gouvernement et le peuple israéliens, pourquoi ne pas offrir à ces derniers, l’un des plus grands espaces qui soit – la superficie des USA est de 9.630.000 km² et celle d’Israël de 20.770 km², soit moins de 0,25 % du territoire américain – en leur permettant d’y édifier leur Etat ? Les espaces désertiques ne manquent pas dans le Sud-Ouest des USA et quelques grands déserts pourraient bien accueillir ceux qui semblent avoir un penchant atavique pour la chose.

Avec les techniques actuelles, nul doute qu’il soit possible de déménager les quelques vieilles pierres restantes du Mur des Lamentations… Et si vraiment cela ne pouvait être envisagé par crainte de dommages irréversibles au site historique, ou par respect pour ceux qui désireraient rester à Jérusalem, ainsi que pour le tourisme qui retrouverait-là son affluence d’antan, on pourrait assurément compter sur les techniciens d’Hollywood pour effectuer de parfaits décors de la Ville Sainte, plus vrais que nature ! Et pourquoi pas, envisager jusqu’à la reconstruction totale du Temple de Salomon qui trônerait alors, dans toute sa splendeur, au centre d’une nouvelle capitale, baptisée New-Jerusalem !?

Ce serait tout avantage pour les Israéliens : ils ne seraient pas trop dépaysés par l’environnement naturel ; seraient directement sous l’aile protectrice et satellitaire de leur bienfaiteur ; ne devraient plus utiliser leur argutie habituelle de peurs paranoïaques alimentées par la présence d’Arabes et de musulmans innombrables à leurs frontières ; n’auraient plus besoin d’un budget militaire exponentiel pour garantir la paix avec leurs voisins, ce qui leur permettrait de se pencher sur le problème réel de la pauvreté dans le pays ; n’auraient plus à vivre en état de stress permanent parce qu’ils seraient mieux abrités d’éventuelles attaques suicides ; pourraient se livrer sans limite à leur occupation favorite, à savoir, l’extension de leur territoire, etc… Le colossal budget militaire ainsi économisé pourrait servir à édifier très rapidement les infrastructures modernes dont ils bénéficient aujourd’hui, et pourrait en outre être consacré aux soins psychologiques indispensables pour soigner les nombreuses névroses d’une grande majorité de citoyens.

Enfin, comble de bonheur, ils seraient proches du Saint des Saints puisque le souffle divin traverse aussi le Président yankee, qui conduit désormais le monde de vision en vision… Comme on peut le voir, là également, point de dépaysement…

La région du Moyen-Orient serait finalement libérée de l’une de ses tensions majeures. La Communauté internationale serait définitivement débarrassée de l’un de ses plus épineux problèmes puisque le cas échéant, tout problème israélien deviendrait interne aux Etats-Unis. Là également, que d’économies d’argent et d’énergie ! Le calme reviendrait sans doute dans l’ensemble de la région. Ainsi peut-être que sur les cours pétroliers. Le nouveau Moyen-Orient ainsi reconstitué pourrait être sécurisé d’Est en Ouest et du Nord au Sud et nettoyé de tout danger nucléaire, y compris en Iran. Et les peuples libérés pourraient enfin se consacrer à l’essentiel. Ce qui au vu des dégâts à tous niveaux, éliminerait le chômage et assurerait du travail pour tous, pendant des décennies entières. Nous serions en Europe, soulagés des interventions indigestes des prétentieux de salons, politologues incompétents, journalistes verbeux, « spécialistes » pédants, etc… Et chacun de nous pourrait en définitive, consacrer son temps à autre chose (…)”
LA DÉMOCRATIE MENSONGE Ed. M.Pietteur – Extrait
et les indiens d'Amérique ils n'ont aucun droit ?
 

Bjorn

Мир без Путина، زندگی، آزادی Слава Україні
Bladinaute averti
Souviens toi de l’occupation de Jérusalem par les croisades
On sort du sujet mais puisque tu y tiens, les chrétiens étaient là avant les arabes
Et en 1078, les Turcs Seldjoukides, venus des steppes asiatiques, ravissent Jérusalem des mains des Arabes Abbassides, et en interdisent l’accès aux chrétiens. D'où les croisades.

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Deuxièmement
, une politique migratoire unique au monde a contribué à l'apogée d'Israël. La "Aliyah" - hébreu pour "ascension" - fait référence à l'immigration juive en Israël. Le droit de tous les Juifs à la citoyenneté israélienne, inscrit dans la loi depuis 1950, est l'un des principes les plus importants du sionisme. Il en est résulté la diversité sociale et culturelle pour laquelle Israël est connu aujourd'hui.

L'adhésion au principe de l'aliyah a donné à Israël un réseau international sans précédent. La diaspora juive s'étend à travers le monde et s'engage à soutenir le projet sioniste. Dans les années qui ont suivi l'effondrement de l'Union soviétique, plus d'un million de Juifs ont afflué en Israël, dont beaucoup étaient très instruits et dont l'expertise a encore fait progresser l'économie israélienne. Aujourd'hui, ils représentent environ 15% de la population totale.
 
et attentat tout les jours que dieu fait ...

ils n'ont pas eu une seule journée de paix depuis leur colonisation !

aujourd'hui les rapports de forces ne sont plus les mêmes ... il n'y a plus de goliath mais que des david et sont tous bien équipé de nouvelles fronde ...

Tel est le sort d'un pays qui construit son bonheur sur le malheur des autres.

donc vaut mieux commencer à prendre en considération les peuples qui souffrent de la colonisation ...

L'Algérie s'est accaparée le sahara tunisien, malien, marocain - abrite le polisario et appelle le monde arabe à libérer la Palestine. Quelle blague !!!
 
Tel est le sort d'un pays qui construit son bonheur sur le malheur des autres.



L'Algérie s'est accaparée le sahara tunisien, malien, marocain - abrite le polisario et appelle le monde arabe à libérer la Palestine. Quelle blague !!!
je te l'ai dis plusieurs fois, personne d'entre nous n'avait d'histoire ou de territoire ! ces grandes histoires ne sont pas les notres, on nous les a imposé par erreur !

maintenant concernant nos territoires, faut dire merci pour les cartographes qui ont découpé le monde en notre faveur ...
 
Lorsque le 14 mai 1948 David Ben Gourion lit la déclaration d'indépendance israélienne à Tel Aviv , la joie est de courte durée : quelques minutes après minuit, les cinq armées d'egypte, de syrie, de jordanie, du liban et d'irak attaquent israël. Quelques heures après sa fondation, le pays naissant était en guerre. Mais 75 ans, cinq guerres et deux intifadas plus tard, Israël est plus fort que jamais. Dans la lutte contre l'ennemi extérieur, elle a toujours fait ses preuves.

Au-delà de cela, l'histoire de l'État d'Israël est celle d'un succès. Le pays est en plein essor économique et s'est forgé une réputation de nation start-up innovante.
C'est le seul pays libre du Moyen-Orient à disposer de structures démocratiques fonctionnelles - si l'on exclut les territoires occupés de la bande de Gaza et de la Cisjordanie. Plus récemment, Israël a même normalisé ses relations avec plusieurs pays arabes avec les soi-disant « Accords d'Abraham ».
les gouverneurs des muslims sont des vigils de sécurité ,
 

NowHereMan

...
Bladinaute averti
Comment on peut expliquer une réussite quand ta vie bascule si souvent entre un canapé en regardant tranquillement un film ou tu dort dans un lit et à tout moment tu descends dans un abri pour rejoindre les rats ?


Je le souhaite à personne évidemment sauf s'il fautif. quelqu'un qui a spolié la propriété d'un autre.

IMG_20230514_003559.jpgIMG_20230514_003554.jpg
 

Bjorn

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Bladinaute averti
Comment on peut expliquer une réussite quand ta vie bascule si souvent entre un canapé en regardant tranquillement un film ou tu dort dans un lit et à tout moment tu descends dans un abri pour rejoindre les rats ?


Je le souhaite à personne évidemment sauf s'il fautif. quelqu'un qui a spolié la propriété d'un autre.

Regarde la pièce jointe 356292Regarde la pièce jointe 356294
C'est qui sur ces photos ?

On dirait des personnes qui se protègent des roquettes du hamas.
 
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