Semblable à ce que je subis actuellement !!! insultes, injures raciales. je suis en dépression et seule devant ce problème sans issue et portant sanctionner par la lois....
à lire c'est triste si cette affaire relève de racisme
A revoir sur Canal+.frMyriam Sakhri : Le choix d'être gendarme...
Elle s'appelait Myriam Sakhri. Jeune femme dynamique, joyeuse, volontaire et investie dans tout ce qu'elle entreprenait, elle avait un caractère déterminé. Durant des années, elle s'est engagée comme pompier volontaire. Par choix. Myriam a également fait le choix de son engagement dans la Gendarmerie. Une carrière brisée...Myriam Sakhri, comme à son habitude, était une gendarme investie. Quelques jours avant sa mort, le 24 septembre 2011, sa carrière allait progresser suite à la réussite du concours interne d'OPJ (Officier de Police Judiciaire). Au sein du service téléphonique d'accueil de la Gendarmerie, la jeune femme se sentait depuis longtemps à l'étroit. Brimades, menaces, insinuations à caractère raciste, personne ne sait exactement ce qui sait réellement passé au sein de la caserne Delfosse. Suite aux diverses protestations de Myriam, une enquête a été diligentée par le service d'enquête interne de la Gendarmerie Nationale. Résultat : néant. Aucune sanction. Circulez, il ne se passe rien. Myriam n'a été victime de rien...
Sur le point de porter plainte...
Comment expliquer qu'une jeune femme investie dans un métier qu'elle aimait ait pu se donner la mort alors même que sa carrière allait progresser ? Le 24 septembre 2011, Myriam est retrouvée dans son appartement de fonction de la caserne Delfosse à Lyon. Premières constatations : elle se serait tirée une balle dans le ventre en utilisant son arme de service. A ses pieds, une lettre manuscrite mettant en cause un haut gradé. Myriam Sakhri, fonctionnaire d'origine algérienne, passionnée par son métier, a-t-elle trouvé le racisme rampant d'une partie de ses collègues et de certains de ses supérieurs trop insupportable pour en finir avec la vie ? Pas si sûr. Abandonnée, humiliée, rabaissée... Des procédés malheureusement fréquents pour tous les cas de suicides révélés au sein des entreprises et administrations au cours des dernières années... Seulement, voilà, Myriam a été retrouvée morte avant d'avoir eu le temps de déposer plainte...
Des obsèques révélatrices...
Tout bon enquêteur le sait. Les obsèques sont souvent révélatrices des relations réelles qui existent entre les membres d'une même famille. Celles de la Gendarmerie et de Myriam Sakhri étaient à ce titre limpides : aucun haut gradé de la Gendarmerie n'était présent à ses obsèques... Autre fait troublant. Selon les informations révélées par le magazine Spécial Investigation et grâce à de nombreux témoignages inédits, rien n'aurait été fait dans les règles lors de la découverte de son corps. L'une de ses amie proche et sa famille ne se résolvent également pas à croire que personne n'est absolument rien entendu lors des faits. Quoi qu'il en soit, Myriam Sakhri n'est plus là pour en parler. Sa famille, qui a porté plainte contre X, et ses amis, qui sont encore sous le choc, ne peuvent toujours pas se résigner à un départ aussi brutal. L'affaire Myriam Sakhri n'en est peut-être qu'à ses premiers balbutiements...
à lire c'est triste si cette affaire relève de racisme
A revoir sur Canal+.frMyriam Sakhri : Le choix d'être gendarme...
Elle s'appelait Myriam Sakhri. Jeune femme dynamique, joyeuse, volontaire et investie dans tout ce qu'elle entreprenait, elle avait un caractère déterminé. Durant des années, elle s'est engagée comme pompier volontaire. Par choix. Myriam a également fait le choix de son engagement dans la Gendarmerie. Une carrière brisée...Myriam Sakhri, comme à son habitude, était une gendarme investie. Quelques jours avant sa mort, le 24 septembre 2011, sa carrière allait progresser suite à la réussite du concours interne d'OPJ (Officier de Police Judiciaire). Au sein du service téléphonique d'accueil de la Gendarmerie, la jeune femme se sentait depuis longtemps à l'étroit. Brimades, menaces, insinuations à caractère raciste, personne ne sait exactement ce qui sait réellement passé au sein de la caserne Delfosse. Suite aux diverses protestations de Myriam, une enquête a été diligentée par le service d'enquête interne de la Gendarmerie Nationale. Résultat : néant. Aucune sanction. Circulez, il ne se passe rien. Myriam n'a été victime de rien...
Sur le point de porter plainte...
Comment expliquer qu'une jeune femme investie dans un métier qu'elle aimait ait pu se donner la mort alors même que sa carrière allait progresser ? Le 24 septembre 2011, Myriam est retrouvée dans son appartement de fonction de la caserne Delfosse à Lyon. Premières constatations : elle se serait tirée une balle dans le ventre en utilisant son arme de service. A ses pieds, une lettre manuscrite mettant en cause un haut gradé. Myriam Sakhri, fonctionnaire d'origine algérienne, passionnée par son métier, a-t-elle trouvé le racisme rampant d'une partie de ses collègues et de certains de ses supérieurs trop insupportable pour en finir avec la vie ? Pas si sûr. Abandonnée, humiliée, rabaissée... Des procédés malheureusement fréquents pour tous les cas de suicides révélés au sein des entreprises et administrations au cours des dernières années... Seulement, voilà, Myriam a été retrouvée morte avant d'avoir eu le temps de déposer plainte...
Des obsèques révélatrices...
Tout bon enquêteur le sait. Les obsèques sont souvent révélatrices des relations réelles qui existent entre les membres d'une même famille. Celles de la Gendarmerie et de Myriam Sakhri étaient à ce titre limpides : aucun haut gradé de la Gendarmerie n'était présent à ses obsèques... Autre fait troublant. Selon les informations révélées par le magazine Spécial Investigation et grâce à de nombreux témoignages inédits, rien n'aurait été fait dans les règles lors de la découverte de son corps. L'une de ses amie proche et sa famille ne se résolvent également pas à croire que personne n'est absolument rien entendu lors des faits. Quoi qu'il en soit, Myriam Sakhri n'est plus là pour en parler. Sa famille, qui a porté plainte contre X, et ses amis, qui sont encore sous le choc, ne peuvent toujours pas se résigner à un départ aussi brutal. L'affaire Myriam Sakhri n'en est peut-être qu'à ses premiers balbutiements...