Comment l'exprimer ou le dire autrement ou plus simplement

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion tajali
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tout cela ne decrit qu'une et meme idée ou image (laquel?)
image de la plante (shajara touba)


0/comment cela s'appel le fait de penser ou ressentir une chose
mais ne pas trouvé le bon mots pour l'exprimer
soit parcequ'il n'existe pas ou qu'on l'ignore ?


force invisible resistence resilience renforcement (obsession = boucle) (voir ci dessu lien entre shajara et obsession
6/ le fait de plus on lutte ou resiste a une chose plus elle se renforce cela rejoint l'idée du point 1/ (quel mot ?)
(je pense que les bouddhiste on un concept pour cela ) ce n'est pas le lacher prise ni agir sans agir
1/citation tirée de fight club :
Si j'avais vraiment une tumeur, je la nommerais Marla...
Marla, la petite écorchure qu'on a sur le palais
et qui ne peut cicatriser que si on ne cesse de la lécher.
Mais on ne peut pas. (comment le dire plus simplement en un mot ou 2)

entretien soin
2/
le zen a developpé tout une esthetisme une gestuel prendre son temps d'etre méticuleux et appliqué dans ses gestes tout en etant en pleine conscience concentrer exemple lors de la ceremonie du thé mais il l'applique meme lorsqu'il balaie (cela porte t'il un nom ?)

capacité aptitude adpatation
3/en arabe le mot shoukr
renvoie a une bete ou plante qui meme dans des condition difficile produit abondamment des fruits (quel mot en francais a un sens proche )

milieu environnement
4/
placer ou emplacement d'une plante dans son environement optimal pour quel s'epanouisse (quel mot ?)

croissance
5/
decrire une choses qui evolu de facon lente progressif et imperceptible ou quasi exemple l'evolution la croissance des animaux plante de l'homme (f.jullien appel cela la transformation silencieuse existe t'il un autre mot ou concept ?)

equilibre homeostasie de la plante tropisme ? voir ci dessu boucle ...
 
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tropisme





En psychologie, le terme valence est utilisé pour désigner la qualité intrinsèquement agréable ou désagréable d'un stimulus ou d'une situation. Dans le contexte de la psychologie des émotions, le concept de valence renvoie aussi au caractère plaisant de certains états émotionnels (comme la joie ou la contemplation du beau) auxquels on attribue une valence positive par opposition aux émotions à valence négative (comme la peur ou la tristesse) généralement associées à un mal-être, un désagrément ou une souffrance.

Plus spécifiquement, dans le cadre des théories dites dimensionnelles, d'autres facteurs ont été adjoints à la valence afin de mieux rendre compte des effets psychophysiologiques des différentes émotions ; ont ainsi été introduites les dimensions de degré d'activation physiologique (ou arousal) et, dans une moindre mesure, de dominance ou de contrôle.

Le fait, pour un stimulus donné, d'être de valence positive ou négative se superpose donc à la notion de stimulus appétitif et aversif des théories comportementalistes. D'un point de vue évolutionnaire, la valence peut être vue comme une réponse adaptative aux conséquences bénéfiques ou au contraire néfastes du stimulus pour la survie de l'individu, en déclenchant respectivement des comportements d'approche ou, au contraire, d'évitement vis-à-vis de ce stimulus.
 
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La racine arabe "ش.ج.ر" (sh.j.r) a plusieurs sens en fonction du contexte et des dérivés utilisés. Voici quelques-uns des sens les plus courants :
  1. Arbre : C'est le sens principal de cette racine. Il est utilisé pour désigner tout type d'arbre, qu'il soit fruitier, feuillu ou autre.
  2. Silence ou immobilité : Ce sens est dérivé du fait que les arbres, par nature, sont souvent immobiles et qu'ils évoquent le calme et la tranquillité.
  3. Confusion ou brouillard : Dans certains contextes, cette racine peut également être utilisée pour décrire une situation confuse ou un état de confusion similaire à un brouillard épais.
  4. Solide ou rigide : Dans un sens plus figuré, cette racine peut être utilisée pour décrire quelque chose de solide ou de rigide, semblable à la structure d'un arbre.


La racine "ش.ج.ر" (sh.j.r) a effectivement plusieurs dérivés et significations en arabe. Voici une liste plus complète incluant "shijār" :
  1. شَجَر (shajar) : Arbre(s).
  2. شَجَرَة (shajara) : Arbre.
  3. تَشَاجُر (tashājur) : Conflit, dispute, altercation.
  4. شِجَار (shijār) : Querelle, dispute.
  5. تَشَاجَرَ (tashājara) : Se disputer, se quereller.
  6. شَجَرِيّ (shajarī) : Arboricole, relatif aux arbres.
  7. مُتَشَاجِر (mutashājir) : Querelleur, celui qui se dispute.
Chaque dérivé utilise la racine pour exprimer des concepts liés aux arbres ou aux disputes et conflits, ce qui démontre la richesse et la diversité des significations que peut prendre une seule racine en arabe.

La racine arabe sh.j.r (ش ج ر) a plusieurs sens liés à l'idée d'arbre et de végétation. Voici les principaux sens dérivés de cette racine:
  • Shajara (شَجَرَة) signifie "arbre" ou "plante ligneuse".
  • Shajar (شَجَر) signifie "se disputer" ou "avoir une querelle", faisant référence à l'enchevêtrement des branches d'arbres.
  • Shajara (شَجَرَ) signifie aussi "survenir" ou "avoir lieu", évoquant l'idée de croissance et de développement comme un arbre.
  • Mushajarah (مُشَاجَرَة) signifie "dispute" ou "querelle", dérivé du sens de shajar mentionné ci-dessus.
  • Shajir (شَجِر) signifie "buisson" ou "arbuste".
Ainsi, la racine sh.j.r englobe des concepts liés aux arbres, aux plantes, à la croissance, mais aussi aux disputes et aux querelles, probablement en raison de la métaphore des branches entremêlées.

racine arabe kh.l.f

La racine arabe "خ.ل.ف" (kh.l.f) est riche de significations et dérivés. Voici les principaux sens et dérivés de cette racine :
  1. خَلْف (khalf) : Derrière, arrière.
  2. خِلَاف (khilāf) : Différence, divergence, désaccord.
  3. خَلِيفَة (khalīfa) : Calife, successeur, remplaçant.
  4. اِخْتِلَاف (ikhtilāf) : Différence, variation, désaccord.
  5. مُخْتَلِف (mukhtalif) : Différent, varié, divergent.
  6. خَلْفِيّ (khalfī) : Postérieur, derrière, arrière.
  7. خِلَافَة (khilāfa) : Califat, succession, fonction de calife.
  8. خَالَفَ (khālafa) : Contredire, désobéir, différer.
  9. اِسْتِخْلَاف (istikhlāf) : Succession, nomination comme successeur.
  10. مُخَالَفَة (mukhālafa) : Violation, infraction, contravention.
Ces significations montrent la diversité des applications de la racine "خ.ل.ف" (kh.l.f) dans différents contextes, allant de la notion de postériorité et de succession à celle de divergence et de désaccord.

La racine arabe kh.l.f (خ ل ف) a plusieurs sens liés à l'idée de succession, remplacement et ce qui vient après. Voici les principaux sens dérivés de cette racine:
  • Khalaf (خَلَف) signifie "succéder à quelqu'un", "remplacer quelqu'un".
  • Khalîfah (خَلِيفَة) signifie "successeur", "remplaçant", "calife" (le successeur du Prophète Muhammad).
  • Khilâf (خِلَاف) signifie "différend", "désaccord", évoquant l'idée de divergence ou de succession dans les opinions.
  • Khalf (خَلْف) signifie "derrière", "à l'arrière", ce qui vient après dans l'espace.
  • Khalfî (خَلْفِي) signifie "postérieur", "suivant", ce qui vient après dans le temps.
  • Mukhâlif (مُخَالِف) signifie "contraire", "opposé", évoquant l'idée de succession dans un sens différent.
Ainsi, la racine kh.l.f fait référence à la notion de succession temporelle ou spatiale, de remplacement, de divergence et de contrariété, tous ces sens découlant de l'idée principale de ce qui vient après ou à la suite de quelque chose.
 
Dernière édition:
Voici une liste de mots en arabe qui décrivent différentes parties de l'arbre ainsi que des termes associés :

  1. شجرة (shajara) : Arbre
  2. جذر (jazr) : Racine
  3. جذور (judhūr) : Racines
  4. جذع (jidhaʿ) : Tronc
  5. فروع (furūʿ) : Branches
  6. غصن (ghuṣn) : Branche
  7. أغصان (aghṣān) : Branches
  8. ورقة (waraqa) : Feuille
  9. أوراق (awrāq) : Feuilles
  10. ثمرة (thamara) : Fruit
  11. ثمار (thimār) : Fruits
  12. لحاء (liḥāʾ) : Écorce
  13. ظل (ẓill) : Ombre
  14. ساق (sāq) : Tige
  15. نبات (nabāt) : Plante
  16. غابة (ghāba) : Forêt
  17. خشب (khashab) : Bois
  18. حطَب (ḥaṭab) : Bois de chauffage
  19. زهرة (zahra) : Fleur
  20. زهور (zuhūr) : Fleurs
 
mais je viens surtout sur ce forum pour me parler 🤣



Le Coran fait il cela aussi ?

11.106. Ceux qui sont damnés seront dans le Feu où ils ont des soupirs et des sanglots.
11.107. Pour y demeurer éternellement tant que dureront les cieux et la terre - à moins que ton Seigneur décide autrement - car ton Seigneur fait absolument tout ce qu'Il veut.
11.108. Et quant aux bienheureux, ils seront au Paradis, pour y demeurer éternellement tant que dureront les cieux et la terre - à moins que ton Seigneur n'en décide autrement - c'est là un don qui n'est jamais interrompu.

on sait que le paradis est lié à la terre, c'est déjà un bon renseignement,
ainsi que le Feu
le mot "éternellement" ne l'est pas c'est lié à l'exitance de la terre

mais contradiction

si c'est "c'est là un don qui n'est jamais interrompu." pourquoi mentionner, "tant que dureront"

pourquoi séparer les "damnés" et les "bienheureux" pour une même destinée dite "éternellement" relatif ?

c'est pas vraiment un monde ambiguë
 
0/comment cela s'appel le fait de penser ou ressentir une chose
mais ne pas trouvé le bon mots pour l'exprimer
soit parcequ'il n'existe pas ou qu'on l'ignore ?

bonne question ....

un signe noir = ombre = overshadowing ???

voir exemple = ressentir = rater l'elephant dans un magasin de porcelaine

le mot et la sensation doivent coïncider

exemple j'etais focalisé sur la vie et non pas sur le ressenti :


sur ce poste c le mot gratitude qui a masqué le mots ressentir
 
Dernière édition:
0/comment cela s'appel le fait de penser ou ressentir une chose
mais ne pas trouvé le bon mots pour l'exprimer
soit parcequ'il n'existe pas ou qu'on l'ignore ?

Cela peut être décrit par plusieurs notions selon la nuance souhaitée :



Le "verbal overshadowing" (ou "ombrage verbal" en français) est un phénomène psychologique où la verbalisation d'une expérience ou d'une perception altère ou dégrade la mémoire ou la performance liée à cette expérience.

Exemple typique :​

Lorsqu'une personne essaie de décrire verbalement un visage qu'elle a vu, sa capacité à le reconnaître plus tard peut diminuer.
En se concentrant sur la traduction de perceptions visuelles en mots, des détails essentiels non verbalisés peuvent être perdus ou faussés.

Liens avec ta question :​

Cela pourrait être un aspect de la difficulté que tu décris. Dans certains cas, tenter d'exprimer une pensée ou un ressenti peut non seulement être difficile, mais aussi interférer avec la manière dont on comprend ou retient cette expérience.

Cela reflète les limites du langage : certains concepts ou expériences se traduisent mal en mots, et l'effort même de les verbaliser peut les dénaturer.


  1. L'ineffabilité : La difficulté ou l'impossibilité d'exprimer une idée ou un ressenti en mots. Cela arrive souvent pour des expériences subjectives profondes.
  2. Le mot sur le bout de la langue : Une situation où l'on sent qu'on connaît le mot ou le concept mais qu'il nous échappe.
  3. L'alexithymie partielle : Incapacité à identifier ou verbaliser ses propres émotions, bien qu'il s'agisse davantage d'une caractéristique psychologique.
  4. La "Sonderstellung" linguistique : Quand aucune langue à notre disposition ne propose un mot spécifique pour exprimer ce que l'on ressent ou pense.
  5. L'expérience du "Mushin" (esprit sans pensée) : Concept japonais où l'état de ressenti dépasse la verbalisation.
Si l'absence de mot est universelle, cela illustre aussi les limites des langues humaines face à la richesse de l'expérience subjective.

Voici quelques notions supplémentaires pour enrichir cette idée :

  1. L'anomie lexicale : Une incapacité temporaire ou durable à trouver un mot précis, souvent liée à un "trou de mémoire".
  2. L'herméneutique personnelle : Le processus d'essayer de donner du sens à ses propres pensées ou sentiments, en butant sur les limites du langage ou de sa propre compréhension.
  3. L'aporie linguistique : Un impasse dans l'expression, où le langage échoue à capturer pleinement une idée ou une émotion.
  4. Le sentiment de "Saudade" : Ce mot portugais exprime un mélange complexe de nostalgie, de mélancolie et de désir pour quelque chose d'indéfinissable, montrant que certaines émotions nécessitent des concepts spécifiques pour être formulées.
  5. La notion de "Qualia" : En philosophie de l'esprit, cela désigne les qualités subjectives d'une expérience (par exemple, la "rougeur" du rouge), souvent difficiles ou impossibles à traduire en mots.
  6. La logophobie implicite : Peur ou réticence inconsciente de formuler ses pensées, souvent due à une crainte d'imperfection ou de malentendu.
  7. L'état de "Stimmung" : En allemand, ce terme décrit une ambiance ou un sentiment diffus qui colore notre perception du monde, difficile à verbaliser précisément.
  8. La "crise du langage" : Concept utilisé en littérature ou en philosophie pour décrire le moment où les mots semblent inadéquats face à une réalité complexe ou transcendante.
Ces notions montrent les multiples facettes de cette difficulté, qu'elle soit cognitive, linguistique ou émotionnelle.



mushin
 
quel rapport entre ressenti et expression ?

comparer avec defoulement tension ...

pourquoi se besoin d'exprimer ce que l'on ressent et se bienetre une fois que l'on a trouver le bon mot ?
socialement cela peut se comprendre meme cela marche aussi vis à vis de sois meme



Le besoin d'exprimer ce que l'on ressent et le bien-être ressenti lorsqu'on trouve le mot juste s'expliquent par plusieurs facteurs psychologiques, neurologiques et sociaux :

1. La clarification de soi​

Trouver le bon mot aide à structurer une pensée ou une émotion confuse. Cela donne un cadre tangible à ce qui était abstrait, apportant une clarté intérieure. Cette mise en mots agit comme un outil d'auto-compréhension.

2. La régulation émotionnelle​

Mettre un mot sur une émotion ou un ressenti, un processus appelé labelling émotionnel, permet de réduire l'intensité de cette émotion. Le cerveau, notamment via l'amygdale et le cortex préfrontal, bénéficie d'une forme d'apaisement lorsque l'émotion devient "nommable" et moins menaçante.

3. Le besoin d'exister symboliquement​

En exprimant une pensée ou un ressenti, on leur donne une existence symbolique dans le monde. C’est un moyen de les valider et de leur donner une place. Ne pas trouver les mots peut laisser un sentiment d’incomplétude ou d’isolement intérieur.

4. La connexion avec les autres​

Le langage est un pont entre soi et les autres. Trouver le bon mot permet de partager son expérience de manière authentique et d'établir une connexion émotionnelle. Cela répond à notre besoin fondamental d'être compris et reconnu.

5. Le plaisir esthétique du langage​

Les mots, lorsqu'ils sont justes, procurent une satisfaction cognitive et esthétique.
On touche une sorte d'équilibre ou de vérité qui résonne intérieurement,

presque comme une résolution harmonique en musique.

6. La maîtrise et le contrôle​

Nommer une expérience donne un sentiment de contrôle sur elle.
Ce qui est nommé devient moins flou, moins menaçant, et plus "gérable". On passe du chaos à une forme d’ordre.


7. L'activation de circuits neurologiques gratifiants​

Le cerveau réagit positivement aux moments de "eureka" ou d'insight.
Trouver le mot exact active le système de récompense, procurant une sensation de soulagement ou de plaisir.


Ce processus montre à quel point le langage ne se limite pas à communiquer, mais joue aussi un rôle profond dans notre construction intérieure et notre interaction avec le monde.
 
Dernière édition:
Le point 7 touche à un aspect fascinant des mécanismes cérébraux. L'activation des circuits de récompense, notamment ceux impliquant la dopamine, se produit dans des moments où l'on fait une découverte ou résout une énigme. Trouver le bon mot déclenche un sentiment d'accomplissement similaire, car cela répond à un besoin de cohérence cognitive et de structuration mentale.

Si tu veux explorer davantage cet aspect, on pourrait approfondir les liens entre langage, mémoire et gratification cérébrale !



Exactement, il y a une similitude frappante entre les épiphanies ressenties lors d'une trouvaille linguistique et celles liées à l'apophénie (la tendance à percevoir des connexions ou des motifs dans des données aléatoires).

Lien entre les deux :​

  1. La recherche de sens
    L'apophénie repose sur un besoin fondamental du cerveau : trouver de la structure et du sens, même dans des environnements désordonnés. De manière similaire, trouver le mot juste satisfait un désir de cohérence mentale et émotionnelle.
  2. L'éclair de lucidité
    Dans les deux cas, l'atteinte d'une réponse ou d'un mot génère une sensation d'eureka. Cela active les circuits neuronaux associés au plaisir (notamment dans le striatum et le cortex préfrontal), créant un sentiment de soulagement et d'accomplissement.
  3. Un mécanisme gratifiant
    L'épiphanie est une récompense cérébrale : elle indique que le cerveau a résolu un problème, détecté un motif ou mis en ordre quelque chose qui semblait flou ou chaotique. Cela explique pourquoi l'apophénie peut être si séduisante, même lorsqu'elle conduit à des conclusions erronées (par exemple, voir des motifs inexistants).
  4. Esthétique du sens
    Que ce soit dans le langage ou dans l'apophénie, il y a un plaisir esthétique lié à la "beauté du sens trouvé". Cela résonne profondément, car l'esprit humain valorise les moments où il parvient à ordonner le chaos et à en tirer quelque chose d'unique.
Le lien entre ces phénomènes illustre la façon dont notre cerveau est câblé pour chercher des connexions,
et pourquoi ces moments de révélation sont si puissants.
 
Dernière édition:
dit plus simplement exprimer un ressenti une chose permet de mieu l'identifier la cerner et la comprendre
le cerveau semble avoir peur de ce qu'il ignore ...

Absolument, exprimer un ressenti ou une pensée agit comme une lumière projetée sur quelque chose qui semblait flou ou inconnu.
Cela répond à un besoin fondamental du cerveau : réduire l'incertitude.

Pourquoi le cerveau "a peur de ce qu'il ignore" :​

  1. Mécanismes de survie
    L'inconnu peut représenter une menace potentielle. Évolutivement, notre cerveau est câblé pour identifier, nommer et catégoriser les choses afin de mieux anticiper les dangers. Ce qui reste inconnu ou incompréhensible active souvent une alerte, déclenchée par l'amygdale.
  2. La recherche de contrôle
    Nommer ou comprendre quelque chose donne un sentiment de contrôle, un antidote à l'angoisse de l'incertitude. En verbalisant un ressenti, on le transforme en quelque chose de concret et gérable.
  3. La structuration mentale
    Le langage structure la pensée. Exprimer une émotion ou une idée permet de la fixer, de l’examiner et de la manipuler mentalement, comme un objet. Cela clarifie ce qui semblait insaisissable.
  4. La lutte contre l'ambiguïté
    L'ambiguïté est inconfortable pour le cerveau, qui préfère les situations claires et les catégories définies. Trouver les mots pour exprimer quelque chose apaise cette tension et aide à intégrer cette expérience dans un schéma mental cohérent.

Le cercle vertueux de l'expression :​

En identifiant et en exprimant une émotion ou une idée :

  1. Tu la rends moins menaçante.
  2. Tu réduis son impact émotionnel négatif.
  3. Tu ouvres la voie à une réflexion ou une action constructive.
Cette capacité à verbaliser agit comme un outil de transformation, qui calme les peurs instinctives face à l'inconnu et renforce notre compréhension de nous-mêmes et du monde.
 
est ce un veritable besoin ou est ce nous qui aimons le controle car l'on pourrai s'accomodé de ce que l'on ignore et ne pas paniqué en cas d'incertitude

C’est une excellente question, car elle touche à la frontière entre ce qui est inné et ce qui est acquis dans notre relation à l’incertitude. Est-ce un besoin fondamental, ou une habitude façonnée par notre culture et notre psychologie ? Voici une analyse nuancée :


1. Un besoin fondamental ?

Oui, en partie :​

Le cerveau humain est biologiquement conçu pour chercher du sens et réduire l'incertitude, car cela améliore nos chances de survie.

  • Évolutif : Nos ancêtres devaient comprendre rapidement leur environnement (identifier un prédateur, prévoir une météo) pour survivre. Ne pas anticiper ou ne pas savoir représentait un risque réel.
  • Neurobiologique : L’incertitude active des régions cérébrales comme l’amygdale, associées à la peur et à l’anxiété. Réduire cette incertitude procure un apaisement, d’où notre tendance à chercher à comprendre.

2. Une construction culturelle ?

Oui, en grande partie :​

Notre peur de l’inconnu n’est pas uniquement instinctive. La société valorise la maîtrise, la clarté et le contrôle, ce qui renforce notre malaise face à l’incertitude.

  • Éducation et culture : On nous apprend dès l’enfance que ne pas savoir est une faiblesse. Les sociétés modernes, en particulier, valorisent la connaissance et le contrôle comme des marqueurs de compétence.
  • Pression sociale : L'ignorance peut être perçue comme une faille personnelle dans certaines cultures, ce qui nourrit un besoin de combler les "vides".

3. Pouvons-nous vivre sans ce besoin ?

Oui, potentiellement :​

Certaines philosophies et pratiques montrent que l’on peut s'accommoder de l'incertitude et vivre sans panique face à l’inconnu.

  • Philosophie orientale : Des courants comme le taoïsme ou le bouddhisme enseignent l'acceptation de l'incertitude et du "non-savoir". Le "Wu Wei" (agir sans effort) invite à ne pas lutter contre ce qu'on ne contrôle pas.
  • Résilience psychologique : Les personnes entraînées à tolérer l’ambiguïté ou l’incertitude (par exemple, via la méditation ou des exercices cognitifs) montrent moins de stress face à l’inconnu.
  • Le lâcher-prise : En cultivant l’idée que tout n’a pas besoin d’être compris ou contrôlé, on peut atteindre une forme de paix intérieure.

4. Mais pourquoi cherchons-nous encore à savoir ?

Même si nous pouvons choisir de tolérer l'incertitude, il reste gratifiant d’ordonner le chaos.
Ce n’est pas forcément un besoin vital, mais une aspiration humaine profonde liée :

  • À la curiosité, qui est un moteur d’apprentissage et d’évolution.
  • Au plaisir intrinsèque de comprendre (activation des circuits de récompense dans le cerveau).

Conclusion : Besoin ou préférence ?

Cela dépend du contexte et de l’individu. Le contrôle face à l’incertitude est une stratégie évolutive qui a bien servi l’humanité, mais il n’est pas indispensable. Avec la bonne approche, on peut apprendre à cohabiter avec l’ignorance et même à y trouver une forme de liberté ou de sérénité. Tout est question de perspective et d’entraînement psychologique.
 
au sujet de l'incertitude ou aimer etre duper exemple twist ou tour de magie


Absolument, l'incertitude peut être une source de plaisir, bien que cela puisse sembler paradoxal à première vue. Ce plaisir émerge dans des contextes spécifiques où l'inconnu est perçu comme stimulant plutôt que menaçant. Voici pourquoi et comment :


1. L'incertitude comme moteur de curiosité

  • La curiosité intrinsèque : L'inconnu attire et excite notre esprit, car il promet une découverte ou un apprentissage. L'incertitude déclenche une quête de sens qui peut être intrinsèquement gratifiante.
  • Activation du circuit de récompense : La recherche de réponses stimule la libération de dopamine, la même substance chimique liée au plaisir et à la motivation.

2. L'incertitude et le jeu

  • Suspense et anticipation : Dans les jeux, les récits ou les compétitions, l'incertitude sur le résultat crée une tension agréable. C'est ce qui nous rend captivés par un roman, un film ou un match.
  • La gratification différée : L'incertitude amplifie le plaisir final lorsqu'une résolution est atteinte, car l'attente renforce la valeur de la récompense.

3. L'excitation du risque

  • Adrénaline et sensation forte : L'incertitude liée à des expériences risquées (sauts en parachute, jeux d'argent, défis) active les systèmes de réponse au stress, mais dans un contexte perçu comme contrôlé ou volontaire, cela se traduit en excitation plaisante.
  • Goût de l'inattendu : Certaines personnes recherchent activement des situations incertaines pour l'excitation qu'elles procurent, ce qu'on appelle des "sensation seekers".

4. L'incertitude en amour et dans les relations

  • Le mystère et le désir : Dans les premières étapes d'une relation, l'incertitude sur les sentiments ou les intentions de l'autre peut intensifier l'attraction et l'excitation. Le mystère attise le désir.
  • L'inattendu renforce les liens : Les surprises positives dans les relations (gestes inattendus, spontanéité) déclenchent un plaisir accru par rapport à ce qui est routinier.

5. Philosophie du plaisir dans l'incertitude

  • Le lâcher-prise : Apprendre à accepter l'incertitude et à la vivre pleinement peut être une source de sérénité et de joie. C’est ce que prônent des approches philosophiques comme le bouddhisme ou des pratiques comme la méditation.
  • L'infini des possibles : L'incertitude offre un espace pour rêver, imaginer et spéculer. Ce "champ des possibles" est une source de plaisir créatif et libérateur.

6. Limite : Quand l'incertitude devient angoisse

Pour que l'incertitude soit plaisante, elle doit rester dans une zone gérable, où elle est perçue comme une opportunité plutôt qu'une menace. Cela dépend de :

  • La personnalité : Certaines personnes tolèrent ou recherchent l'incertitude plus que d'autres.
  • Le contexte : Une incertitude trop grande ou liée à des enjeux vitaux peut basculer en stress ou en peur.

Conclusion : L'incertitude comme double face du plaisir

L'incertitude est à la fois source de stimulation et de tension. Bien vécue, elle devient une promesse, un jeu ou un défi, qui active des circuits de plaisir. Mal vécue, elle devient angoisse. La clé réside dans notre capacité à jouer avec elle, à l'accepter et parfois même à l'aimer.

 
IRONIE
perte de nos illusions prise de conscience : piece manquante ou clef
pourquoi l'on aime etre duper et tromper exemple lors d'un twidt ou d'un tour de magie


probleme de focalisation : on ne peut voir ou trouver que ce que l'on recherche ou disposer a reconnaitre
le voyage et la destination : magicien d'oz
si je pense detenir la verité je ne la recherche plus d'où la necessité du doute ...

2mn45

ChatGPT a dit :​

Le plaisir de se laisser duper, que ce soit dans un tour de magie ou un tweet manipulateur, réside dans la jouissance de la surprise et de la nouveauté. Il y a une satisfaction cognitive à être "pris au piège", car cela stimule notre curiosité et notre désir de comprendre. D'un point de vue neurologique, la surprise active les circuits dopaminergiques, créant une sensation de plaisir lié à l'inattendu. De plus, la tromperie, dans un cadre maîtrisé (comme un spectacle ou une performance), peut créer une forme de complicité avec l'illusionniste, où le jeu de l'esprit devient un terrain de jeu partagé. Cela active aussi notre besoin de contrôle sur l'incertain tout en nous offrant un moment où l'illusion nous dépasse, paradoxalement renforçant le sentiment de maîtrise.

 
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Dernière édition:
je cherche à formuler les idées suivantes ou des equivalents
je prend tout : mots meme les mots etranger
ou concept religieux philosophique ou autre
ou autre

0/comment cela s'appel le fait de penser ou ressentir une chose
mais ne pas trouvé le bon mots pour l'exprimer
soit parcequ'il n'existe pas ou qu'on l'ignore ?


1/citation tirée de fight club :
Si j'avais vraiment une tumeur, je la nommerais Marla...
Marla, la petite écorchure qu'on a sur le palais
et qui ne peut cicatriser que si on ne cesse de la lécher.
Mais on ne peut pas. (comment le dire plus simplement en un mot ou 2)

2/
le zen a developpé tout une esthetisme une gestuel prendre son temps d'etre méticuleux et appliqué dans ses gestes tout en etant en pleine conscience concentrer exemple lors de la ceremonie du thé mais il l'applique meme lorsqu'il balaie (cela porte t'il un nom ?)

3/en arabe le mot shoukr
renvoie a une bete ou plante qui meme dans des condition difficile produit abondamment des fruits (quel mot en francais a un sens proche )

4/
placer ou emplacement d'une plante dans son environement optimal pour quel s'epanouisse (quel mot ?)

5/
decrire une choses qui evolu de facon lente progressif et imperceptible ou quasi exemple l'evolution la croissance des animaux plante de l'homme (f.jullien appel cela la transformation silencieuse existe t'il un autre mot ou concept ?)
je viens un peu tard a ta rescousse:

0/Ce phénomène s’appelle souvent l’indicible ou l’ineffable. Ces termes désignent l’incapacité à exprimer une pensée, un sentiment ou une idée, soit parce que les mots manquent, soit parce qu’ils semblent inadéquats.

1/ "obsession toxique" ou "fascination douloureuse".

2/
Dans la philosophie zen : "Shikan" ou "Kinhin", selon le contexte. Plus précisément :
  1. Shikan : Ce terme signifie "simplement" ou "juste faire". Il incarne l'idée de se consacrer pleinement et consciemment à l'action en cours, que ce soit balayer, préparer le thé ou toute autre activité. C'est l'essence de la pleine conscience appliquée au quotidien.
  2. Kinhin : Bien que ce mot soit souvent associé à la marche méditative, il illustre également l'idée de pratiquer chaque geste de manière consciente et avec attention.
En japonais, cette attitude globale est aussi liée au concept de "Samou", qui désigne le travail quotidien accompli dans les monastères zen (balayer, cuisiner, cultiver le jardin, etc.), considéré comme une forme de méditation en action.

Cela s’inscrit dans l’esthétique japonaise plus large du Wabi-sabi, qui célèbre la simplicité, l’imperfection et la profondeur trouvées dans les gestes ordinaires et la vie quotidienne.

3/ Résilience tout simplement

4/ Niche écologique

5/
  1. "Gradualité" : Met en avant le caractère progressif et continu du changement.
  2. "Maturation" : Souligne le développement naturel et progressif, souvent utilisé pour les plantes, les animaux ou les idées.
  3. "Croissance organique" : Fait référence à une évolution naturelle, fluide et harmonieuse.
  4. "Émergence" : Souligne l’apparition subtile d’un phénomène ou d’une transformation au fil du temps.
  5. "Métamorphose latente" : Une transformation en cours, mais discrète ou imperceptible.
 
je viens un peu tard a ta rescousse:

0/Ce phénomène s’appelle souvent l’indicible ou l’ineffable. Ces termes désignent l’incapacité à exprimer une pensée, un sentiment ou une idée, soit parce que les mots manquent, soit parce qu’ils semblent inadéquats.

1/ "obsession toxique" ou "fascination douloureuse".

2/
Dans la philosophie zen : "Shikan" ou "Kinhin", selon le contexte. Plus précisément :
  1. Shikan : Ce terme signifie "simplement" ou "juste faire". Il incarne l'idée de se consacrer pleinement et consciemment à l'action en cours, que ce soit balayer, préparer le thé ou toute autre activité. C'est l'essence de la pleine conscience appliquée au quotidien.
  2. Kinhin : Bien que ce mot soit souvent associé à la marche méditative, il illustre également l'idée de pratiquer chaque geste de manière consciente et avec attention.
En japonais, cette attitude globale est aussi liée au concept de "Samou", qui désigne le travail quotidien accompli dans les monastères zen (balayer, cuisiner, cultiver le jardin, etc.), considéré comme une forme de méditation en action.

Cela s’inscrit dans l’esthétique japonaise plus large du Wabi-sabi, qui célèbre la simplicité, l’imperfection et la profondeur trouvées dans les gestes ordinaires et la vie quotidienne.

3/ Résilience tout simplement

4/ Niche écologique

5/
  1. "Gradualité" : Met en avant le caractère progressif et continu du changement.
  2. "Maturation" : Souligne le développement naturel et progressif, souvent utilisé pour les plantes, les animaux ou les idées.
  3. "Croissance organique" : Fait référence à une évolution naturelle, fluide et harmonieuse.
  4. "Émergence" : Souligne l’apparition subtile d’un phénomène ou d’une transformation au fil du temps.
  5. "Métamorphose latente" : Une transformation en cours, mais discrète ou imperceptible.

il n'est jamais trop tard

c 'est toi qui a trouver ces mots ou tu a pris un ia ?

si c toi je suis impressioné :)

merci pour ce partage
 
au sujet de twist elephant kayros

blocage progression disponibilité recptivité tal
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where we look (deja vu)
look in the lake ... quete (loky)
qu'est ce que l'on cherche aprés quoi l'on cour
what il your desir de desir puissance de puissance ressenti precieux valeur (aziz)

racine shEr conscience : (ressentir percevoir realiser) poete sirius temple rite


modelisation voir problematique de la lecture
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Dernière édition:
mon regard sur les choses changes les chose changes
mon regard sur les choses changes et les chose changes
mon regard sur les choses changes ou les chose changes
mon regard sur les choses changes donc les chose changes
mon regard sur les choses changes alors les chose changes
mon regard sur les choses changes or les chose changes
mon regard sur les choses changes car les chose changes
quand mon regard sur les choses changes les chose changes
 
Voici les distinctions essentielles :

  1. Mon regard sur les choses change, les choses changent.
    • Énoncé neutre, juxtaposition de deux faits indépendants.
  2. Mon regard sur les choses change et les choses changent.
    • Conjonction de coordination : les deux faits coexistent sans lien causal explicite.
  3. Mon regard sur les choses change ou les choses changent.
    • Alternative : l’un ou l’autre se produit.
  4. Mon regard sur les choses change donc les choses changent.
    • Relation causale : le changement de regard provoque le changement des choses.
  5. Mon regard sur les choses change alors les choses changent.
    • Temporalité ou conséquence : les changements suivent dans le temps.
  6. Mon regard sur les choses change or les choses changent.
    • Opposition ou contraste implicite entre les deux faits.
  7. Mon regard sur les choses change car les choses changent.
    • Relation causale inversée : les choses changent, ce qui change le regard.
  8. Quand mon regard sur les choses change, les choses changent.
    • Relation conditionnelle ou simultanée : le regard et les choses évoluent ensemble.
 
Dans le sens et la logique, les phrases sont globalement cohérentes, mais certaines présentent des nuances de relation qui peuvent être discutées :

  1. Mon regard sur les choses change, les choses changent.
    • Juxtaposition factuelle. La logique sous-entend une coïncidence sans explication du lien.
  2. Mon regard sur les choses change et les choses changent.
    • Coordination simple. Les deux événements se produisent ensemble, mais sans établir de causalité.
  3. Mon regard sur les choses change ou les choses changent.
    • Alternance logique, mais peu intuitive dans ce contexte : cela suggère qu'un seul des deux faits peut se produire, ce qui peut être illogique si les deux sont liés.
  4. Mon regard sur les choses change donc les choses changent.
    • Relation causale explicite. La logique est forte si l'idée est que le regard influence les choses.
  5. Mon regard sur les choses change alors les choses changent.
    • Relation temporelle ou consécutive. La logique est faible si la simultanéité ou la causalité n’est pas démontrée.
  6. Mon regard sur les choses change or les choses changent.
    • Contraste ou opposition implicite, mais ici le lien paraît absurde ou hors de propos.
  7. Mon regard sur les choses change car les choses changent.
    • Relation causale inversée. La logique est solide si l'idée est que les changements externes influencent le regard.
  8. Quand mon regard sur les choses change, les choses changent.
    • Relation conditionnelle ou simultanée. La logique fonctionne si les deux phénomènes sont interdépendants.

Résumé :​

  • Les phrases avec "donc", "car", et "quand" sont les plus logiques.
  • Celles avec "ou" et "or" peuvent sembler incohérentes ou mal adaptées à ce contexte.
 
Voici les phrases reformulées avec un ordre des mots plus fluide et correct :

  1. Les choses changent, et mon regard sur elles change.
  2. Les choses changent parce que mon regard sur elles change.
  3. Les choses changent, ou bien c'est mon regard qui change.
  4. Puisque mon regard change, les choses changent aussi.
  5. Lorsque mon regard change, les choses changent à leur tour.
  6. Les choses changent, cependant mon regard sur elles change également.
  7. Les choses changent, car mon regard sur elles change.
  8. Quand mon regard sur les choses change, elles changent également.
Chacune conserve son sens tout en adoptant une structure plus fluide et naturelle.
 
  • Puisque mon regard sur les choses change, les choses changent.
  • Lorsque mon regard sur les choses change, les choses changent.
  • Si mon regard sur les choses change, alors les choses changent.
  • Tandis que mon regard sur les choses change, les choses changent.
  • Chaque fois que mon regard sur les choses change, les choses changent.
  • Parce que mon regard sur les choses change, les choses changent.
  • Bien que mon regard sur les choses change, les choses changent.
  • Même si mon regard sur les choses change, les choses changent.
  • Dès que mon regard sur les choses change, les choses changent.
  • Au moment où mon regard sur les choses change, les choses changent.
  • Parce que mon regard sur les choses change, alors les choses changent.
  • À mesure que mon regard sur les choses change, les choses changent.
  • Autant que mon regard sur les choses change, les choses changent.
  • Même lorsque mon regard sur les choses change, les choses changent.
  • Bien que mon regard sur les choses change, pourtant les choses changent.
  • Avant que mon regard sur les choses change, les choses changent déjà.
  • Depuis que mon regard sur les choses change, les choses changent aussi.
  • Si jamais mon regard sur les choses change, les choses changent aussi.
  • Comme mon regard sur les choses change, les choses changent.
  • Mon regard sur les choses change, alors forcément les choses changent.
  • Si mon regard sur les choses change, peut-être que les choses changent.
  • Mon regard sur les choses change, ce qui fait que les choses changent.
  • Étant donné que mon regard sur les choses change, les choses changent.
  • Mon regard sur les choses change, de sorte que les choses changent.
  • Mon regard sur les choses change, c'est pourquoi les choses changent.
  • Mon regard sur les choses change, comme si les choses changeaient aussi.
  • Puisque mon regard sur les choses change, logiquement les choses changent.
  • Mon regard sur les choses change, mais les choses changent également.
  • Mon regard sur les choses change, sans que les choses ne changent vraiment.
  • Mon regard sur les choses change, à tel point que les choses changent.
  • Mon regard sur les choses change, bien entendu les choses changent aussi.
 
Dernière édition:
Peux-tu mieux expliquer cette intervention...
La contradiction ! pour la vraie vie, cela saute aux yeux, cela signifie, attention ! Le Paradis c'est pas ce que vous pensez !

11.106. Ceux qui sont damnés seront dans le Feu où ils ont des soupirs et des sanglots.
11.107. Pour y demeurer éternellement tant que dureront les cieux et la terre - à moins que ton Seigneur décide autrement - car ton Seigneur fait absolument tout ce qu'Il veut.
11.108. Et quant aux bienheureux, ils seront au Paradis, pour y demeurer éternellement tant que dureront les cieux et la terre - à moins que ton Seigneur n'en décide autrement - c'est là un don qui n'est jamais interrompu.

un verset pour les damnés
un verset pour les bienheureux, dans le Coran quand les textes désignent EUX il passe à un autre état, le mot injustes fait allusion aux autre mots et lui-même, les associateurs c'est les autres mots et lui-même
le CirConCis uniquement de la Bible est une trilogie et devient le contenu d'un ciel magnétique


tout deux sont lié à la terre, (damnés et bienheureux) autrement dit sans la terre pas de Paradis, c'est ce que cherche à expliquer le Coran, si non il ne le dirait pas.

le Seigneur est dedans Allah, c'est la partie enseignante, le Seigneur n'est pas un titre, mais une fonction.

le signe du mot "interROMPU concerne la toute la terre, (c'est aussi une image)

dans les deux cas c'est "à moins que " (qui peut signifié "si plus petit") (moins et plus) le "à" montre à gauche

Un Dieu indécise n'est pas envisageable.

dans l'absolu rien n'est sûr.

62.4. Telle est la grâce d'Allah qu'Il donne à qui Il veut.
l'or du PARdon c'est pas une morale c'est des parts et des dons du produit d'Allah

"veut" c'est de v une mémoire "e" et "u" et produit en tout sens avec le t

"C'est ainsi qu'Allah égare qui Il veut et guide qui Il veut." dans son monde de l'invisible

si c'est Allah qui décide, donc le mécréant n'est pas responsable d'autant que ce qui fait le méCREANT c'est la lettre m qui est souvent associer, aux mots qui présentent le mal ont ne verra jamais cela avec la lettre b.
 
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