ca c'est l'histoire ecrite par le vainqueur mon grand
1929 : La haute finance juive rejoint directement Ford dans le financement d’Hitler. Le banquier Warburg avouera, par la suite, qu’il s’agissait d’intimider la France, dans laquelle les banquiers mondialistes voyaient le principal danger pour leur projet d’Europe unifiée sous tutelle du capital anglo-saxon. Il est à noter que l’antisémitisme d’Hitler ne posa apparemment aucun problème à cette haute finance juive, elle-même étroitement imbriquée avec la haute finance protestante, et souvent pro-sioniste (donc a priori peu favorable au maintien des populations juives en Europe).
27 janvier 1932 : l’industriel Thyssen présente Hitler au Club des Industriels, au lieu du patronat allemand.
1932 : Environ 50 % des SA de Berlin sont d’anciens communistes, directement venu du Rotfront.
1932 toujours : le complexe militaro-industriel soviétique est en pleine expansion. Travaillent directement dans les usines qui armeront l’Armée Rouge : 300 Allemands et 700 Américains (tous ou presque, d’excellents ingénieurs).
1933 : les nazis arrivent au pouvoir. Très vite, le parti communiste allemand est interdit et ses membres pourchassés. Mais ce qu’on oublie de dire, c’est que depuis des années, nazis et communistes mêlaient leur bulletin au Reichstag, et que cette persécution anticommuniste est tolérée sans difficulté par le Kremlin. Tout s’est passé comme si Staline avait indirectement soutenu les hitlériens contre Weimar, et jusqu’à sacrifier délibérément le parti communiste allemand. Il aurait déclaré, en apprenant l’arrivée au pouvoir des nazis : « Hitler sera le brise-glace de la révolution ».
1933-1939 : Malgré la politique du régime nazi, il n’y a aucune rupture réelle des accords économiques entre la haute finance anglo-américaine et son homologue allemande. Sous l’égide des banques de Wall Street, Standard Oil et IG Farben établissent des consortiums en vue d’échanges de technologie (les Allemands sont en avance en chimie de transformation). Ironiquement, parmi les « bénéfices » de cette coopération étroite, on comptera le gaz Zyklon-B et les caoutchoucs synthétiques qui permettront à l’Allemagne de poursuivre la guerre après 1942, malgré le blocus. Autre exemple : le trust américain ITT (qui continuera à travailler avec l’industrie allemande jusqu’en… 1944).