Donneriez-vous vos spermatozoides ?

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion FPP75
  • Date de début Date de début

Donneriez vous vos spermatozoides?

  • Oui, avec grand plaisir

    Votes: 14 34.1%
  • Non!

    Votes: 28 68.3%

  • Total des votants
    41
  • Sondage fermé .

FPP75

VIB
Post interdit aux filles :eek:

Donneriez-vous vos zozoides ??



Appel pour les dons de sperme

C'est un véritable appel national aux hommes susceptibles de donner leurs spermatozoïdes qui a été lancé, hier, par l'Agence de la biomédecine, en collaboration avec le Collège national français des gynécologues obstétriciens. Cette campagne originale, débarrassée de toute forme de tabou, vise à répondre aux attentes de milliers de couples souffrant d'infertilité, pour lesquels ce don est la seule solution pour avoir une chance de donner la vie. La France souffre, vis-à-vis des spermatozoïdes comme d'autres éléments du corps humain, d'un manque chronique de donneurs. Ainsi en 2006, 248 hommes sur 350 volontaires ont pu être retenus comme donneurs par les centres spécialisés dans l'assistance médicale à la procréation. Les spécialistes expliquent qu'il en aurait fallu plus du double pour répondre à toutes les demandes : 2 030 couples étaient en attente. La même année, les dons effectués ont permis la naissance de 1 122 enfants.

Le don de spermatozoïdes est destiné le plus souvent à des couples – ils doivent être composés, selon la loi, "d'un homme et d'une femme en âge de procréer" – qui ne peuvent pas avoir d'enfants parce que l'homme souffre d'une infertilité majeure. Mais ce même don peut aussi être destiné à des couples beaucoup plus exposés que d'autres au risque de transmettre certaines maladies graves – le plus souvent de nature génétique – à leur descendance. Etre volontaire ne suffit pas pour être donneur. Ne sont a priori retenus que les hommes en bonne santé, âgés de moins de 45 ans, qui ont déjà un ou plusieurs enfants. Mais ces trois critères ne suffisent pas. Différents examens biologiques sont ensuite pratiqués pour éliminer le risque de transmission de certaines maladies génétiques ou infectieuses (hépatites virales, sida, etc.). Enfin, le donneur doit donner son consentement par écrit, de même que son épouse ou sa compagne s'il vit en couple.

"Dans tous les cas, le donneur est pris en charge par une équipe médicale pluridisciplinaire pleinement consciente de la particularité de ce don et à la disposition du donneur tout au long de son parcours, précise-t-on auprès de l'Agence de la biomédecine. Parce que ce don touche une part intime des hommes, tout est mis en œuvre pour que le recueil de spermatozoïdes soit réalisé de façon simple et discrète, en respectant la confidentialité de la démarche." Le nombre d'enfants conçus à partir d'un donneur est limité à dix "pour prévenir les risques de consanguinité" et les médecins retiennent différents critères morphologiques (taille, couleur des cheveux, etc.) afin qu'ils se rapprochent au mieux de ceux du mari de la receveuse.

La campagne d'incitation au don aborde clairement un point essentiel qui n'était jusqu'ici que rarement évoqué. On expliquera ainsi que le recueil des spermatozoïdes "s'effectue par masturbation dans une salle prévue à cet effet et garantissant une totale intimité du donneur". Ce dernier "peut, s'il le souhaite, venir accompagné". Comme pour tous les dons d'éléments du corps humain, cette pratique est strictement encadrée par la loi de bioéthique du 6 août 2004. C'est ainsi que le don de spermatozoïdes est anonyme : les enfants conçus ne connaîtront jamais leur "père biologique". A la différence de ce qui se passe dans d'autres pays, le don ne peut faire, en aucune façon, l'objet d'une transaction financière. Longtemps considéré comme une pratique thérapeutique marginale, le recours à ce don pourrait, dans l'avenir, se développer. De nombreuses études, menées en Europe comme en Amérique du Nord, ont établi qu'en un demi-siècle le nombre des spermatozoïdes a, en moyenne, diminué de moitié, tandis que la proportion des infertilités masculines augmente, de même que celle des cancers du testicule et des malformations génitales chez les petits garçons. Longtemps inexpliqués, ces phénomènes commencent aujourd'hui à être mis en relation avec différentes formes de pollutions chimiques environnementales. En France, les pouvoirs publics prennent à présent cette question très au sérieux. Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat chargée de l'Ecologie, organise aujourd'hui un colloque sur le thème "Environnement chimique, reproduction et développement de l'enfant". "Il y a ceux qui disent qu'on ne sait pas tout et qu'il vaut mieux ne pas en parler, expliquait-elle il y a quelques jours. Et puis il y a ceux, dont moi, qui considèrent qu'on en sait suffisamment et que plus on en parle, plus on fait avancer la connaissance et la prévention."

Jean-Yves Nau
 
non, mes spermatozoides je les donnerai pas.. ou je les donnerai directement à l'ovule qui en ressentira le besoin..

çà intéresse qqunes?

Samok

PS: mes zozo c'est des warriors.. j'engrosse à vue d'oeil
 
Oué bon je les donnerais volontier, mais pas en me donnant un petit magazine dans une salle tout seul non non non, ça passe pas comme ça, il me faut l'infirmière elle même :eek:


:D
 
non non et non !!

je ne suis pas sur de rendre service à notre monde car un seul Juste suffit largement

Et puis quoi encore, moi je les eleve à l'ancienne, en mangeant des bonnes choses, en prenant soin de moi, en me relaxant, en faisant du sport

bref mes zozo sont BIO et ils valent cher


Juste
 
non non et non !!

je ne suis pas sur de rendre service à notre monde car un seul Juste suffit largement

Et puis quoi encore, moi je les eleve à l'ancienne, en mangeant des bonnes choses, en prenant soin de moi, en me relaxant, en faisant du sport

bref mes zozo sont BIO et ils valent cher


Juste

LOL ça c'est bien dit
 
Post interdit aux filles :eek:

Donneriez-vous vos zozoides ??



Appel pour les dons de sperme

C'est un véritable appel national aux hommes susceptibles de donner leurs spermatozoïdes qui a été lancé, hier, par l'Agence de la biomédecine, en collaboration avec le Collège national français des gynécologues obstétriciens. Cette campagne originale, débarrassée de toute forme de tabou, vise à répondre aux attentes de milliers de couples souffrant d'infertilité, pour lesquels ce don est la seule solution pour avoir une chance de donner la vie. La France souffre, vis-à-vis des spermatozoïdes comme d'autres éléments du corps humain, d'un manque chronique de donneurs. Ainsi en 2006, 248 hommes sur 350 volontaires ont pu être retenus comme donneurs par les centres spécialisés dans l'assistance médicale à la procréation. Les spécialistes expliquent qu'il en aurait fallu plus du double pour répondre à toutes les demandes : 2 030 couples étaient en attente. La même année, les dons effectués ont permis la naissance de 1 122 enfants.

Le don de spermatozoïdes est destiné le plus souvent à des couples – ils doivent être composés, selon la loi, "d'un homme et d'une femme en âge de procréer" – qui ne peuvent pas avoir d'enfants parce que l'homme souffre d'une infertilité majeure. Mais ce même don peut aussi être destiné à des couples beaucoup plus exposés que d'autres au risque de transmettre certaines maladies graves – le plus souvent de nature génétique – à leur descendance. Etre volontaire ne suffit pas pour être donneur. Ne sont a priori retenus que les hommes en bonne santé, âgés de moins de 45 ans, qui ont déjà un ou plusieurs enfants. Mais ces trois critères ne suffisent pas. Différents examens biologiques sont ensuite pratiqués pour éliminer le risque de transmission de certaines maladies génétiques ou infectieuses (hépatites virales, sida, etc.). Enfin, le donneur doit donner son consentement par écrit, de même que son épouse ou sa compagne s'il vit en couple.

"Dans tous les cas, le donneur est pris en charge par une équipe médicale pluridisciplinaire pleinement consciente de la particularité de ce don et à la disposition du donneur tout au long de son parcours, précise-t-on auprès de l'Agence de la biomédecine. Parce que ce don touche une part intime des hommes, tout est mis en œuvre pour que le recueil de spermatozoïdes soit réalisé de façon simple et discrète, en respectant la confidentialité de la démarche." Le nombre d'enfants conçus à partir d'un donneur est limité à dix "pour prévenir les risques de consanguinité" et les médecins retiennent différents critères morphologiques (taille, couleur des cheveux, etc.) afin qu'ils se rapprochent au mieux de ceux du mari de la receveuse.

La campagne d'incitation au don aborde clairement un point essentiel qui n'était jusqu'ici que rarement évoqué. On expliquera ainsi que le recueil des spermatozoïdes "s'effectue par masturbation dans une salle prévue à cet effet et garantissant une totale intimité du donneur". Ce dernier "peut, s'il le souhaite, venir accompagné". Comme pour tous les dons d'éléments du corps humain, cette pratique est strictement encadrée par la loi de bioéthique du 6 août 2004. C'est ainsi que le don de spermatozoïdes est anonyme : les enfants conçus ne connaîtront jamais leur "père biologique". A la différence de ce qui se passe dans d'autres pays, le don ne peut faire, en aucune façon, l'objet d'une transaction financière. Longtemps considéré comme une pratique thérapeutique marginale, le recours à ce don pourrait, dans l'avenir, se développer. De nombreuses études, menées en Europe comme en Amérique du Nord, ont établi qu'en un demi-siècle le nombre des spermatozoïdes a, en moyenne, diminué de moitié, tandis que la proportion des infertilités masculines augmente, de même que celle des cancers du testicule et des malformations génitales chez les petits garçons. Longtemps inexpliqués, ces phénomènes commencent aujourd'hui à être mis en relation avec différentes formes de pollutions chimiques environnementales. En France, les pouvoirs publics prennent à présent cette question très au sérieux. Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat chargée de l'Ecologie, organise aujourd'hui un colloque sur le thème "Environnement chimique, reproduction et développement de l'enfant". "Il y a ceux qui disent qu'on ne sait pas tout et qu'il vaut mieux ne pas en parler, expliquait-elle il y a quelques jours. Et puis il y a ceux, dont moi, qui considèrent qu'on en sait suffisamment et que plus on en parle, plus on fait avancer la connaissance et la prévention."

Jean-Yves Nau

pourquoi interdit aux filles, il suffit de se dire: "si j'étais un homme, je ....." :D
 
Post interdit aux filles :eek:

Donneriez-vous vos zozoides ??



Appel pour les dons de sperme

C'est un véritable appel national aux hommes susceptibles de donner leurs spermatozoïdes qui a été lancé, hier, par l'Agence de la biomédecine, en collaboration avec le Collège national français des gynécologues obstétriciens. Cette campagne originale, débarrassée de toute forme de tabou, vise à répondre aux attentes de milliers de couples souffrant d'infertilité, pour lesquels ce don est la seule solution pour avoir une chance de donner la vie. La France souffre, vis-à-vis des spermatozoïdes comme d'autres éléments du corps humain, d'un manque chronique de donneurs. Ainsi en 2006, 248 hommes sur 350 volontaires ont pu être retenus comme donneurs par les centres spécialisés dans l'assistance médicale à la procréation. Les spécialistes expliquent qu'il en aurait fallu plus du double pour répondre à toutes les demandes : 2 030 couples étaient en attente. La même année, les dons effectués ont permis la naissance de 1 122 enfants.

Le don de spermatozoïdes est destiné le plus souvent à des couples – ils doivent être composés, selon la loi, "d'un homme et d'une femme en âge de procréer" – qui ne peuvent pas avoir d'enfants parce que l'homme souffre d'une infertilité majeure. Mais ce même don peut aussi être destiné à des couples beaucoup plus exposés que d'autres au risque de transmettre certaines maladies graves – le plus souvent de nature génétique – à leur descendance. Etre volontaire ne suffit pas pour être donneur. Ne sont a priori retenus que les hommes en bonne santé, âgés de moins de 45 ans, qui ont déjà un ou plusieurs enfants. Mais ces trois critères ne suffisent pas. Différents examens biologiques sont ensuite pratiqués pour éliminer le risque de transmission de certaines maladies génétiques ou infectieuses (hépatites virales, sida, etc.). Enfin, le donneur doit donner son consentement par écrit, de même que son épouse ou sa compagne s'il vit en couple.

"Dans tous les cas, le donneur est pris en charge par une équipe médicale pluridisciplinaire pleinement consciente de la particularité de ce don et à la disposition du donneur tout au long de son parcours, précise-t-on auprès de l'Agence de la biomédecine. Parce que ce don touche une part intime des hommes, tout est mis en œuvre pour que le recueil de spermatozoïdes soit réalisé de façon simple et discrète, en respectant la confidentialité de la démarche." Le nombre d'enfants conçus à partir d'un donneur est limité à dix "pour prévenir les risques de consanguinité" et les médecins retiennent différents critères morphologiques (taille, couleur des cheveux, etc.) afin qu'ils se rapprochent au mieux de ceux du mari de la receveuse.

La campagne d'incitation au don aborde clairement un point essentiel qui n'était jusqu'ici que rarement évoqué. On expliquera ainsi que le recueil des spermatozoïdes "s'effectue par masturbation dans une salle prévue à cet effet et garantissant une totale intimité du donneur". Ce dernier "peut, s'il le souhaite, venir accompagné". Comme pour tous les dons d'éléments du corps humain, cette pratique est strictement encadrée par la loi de bioéthique du 6 août 2004. C'est ainsi que le don de spermatozoïdes est anonyme : les enfants conçus ne connaîtront jamais leur "père biologique". A la différence de ce qui se passe dans d'autres pays, le don ne peut faire, en aucune façon, l'objet d'une transaction financière. Longtemps considéré comme une pratique thérapeutique marginale, le recours à ce don pourrait, dans l'avenir, se développer. De nombreuses études, menées en Europe comme en Amérique du Nord, ont établi qu'en un demi-siècle le nombre des spermatozoïdes a, en moyenne, diminué de moitié, tandis que la proportion des infertilités masculines augmente, de même que celle des cancers du testicule et des malformations génitales chez les petits garçons. Longtemps inexpliqués, ces phénomènes commencent aujourd'hui à être mis en relation avec différentes formes de pollutions chimiques environnementales. En France, les pouvoirs publics prennent à présent cette question très au sérieux. Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat chargée de l'Ecologie, organise aujourd'hui un colloque sur le thème "Environnement chimique, reproduction et développement de l'enfant". "Il y a ceux qui disent qu'on ne sait pas tout et qu'il vaut mieux ne pas en parler, expliquait-elle il y a quelques jours. Et puis il y a ceux, dont moi, qui considèrent qu'on en sait suffisamment et que plus on en parle, plus on fait avancer la connaissance et la prévention."

Jean-Yves Nau

C'est affreux, élever un bébé qui n'est pas de ton mari!!!!!!
 
non hors de question , ce n'est pas par égoisme mais par prévoyance , imagine tu donne ton sperme et à la suite la femme qui l'a reçue mette une monde une fille et qu'un jour un de mes garçons la rencontre on fait comment ? je sais c'est un peu tordu mais je ne prendrais pas le risque
 
non hors de question , ce n'est pas par égoisme mais par prévoyance , imagine tu donne ton sperme et à la suite la femme qui l'a reçue mette une monde une fille et qu'un jour un de mes garçons la rencontre on fait comment ? je sais c'est un peu tordu mais je ne prendrais pas le risque

on fait comment ? ben on cris vive l'inceste ! :D
 
Post interdit aux filles :eek:

Donneriez-vous vos zozoides ??



Appel pour les dons de sperme

C'est un véritable appel national aux hommes susceptibles de donner leurs spermatozoïdes qui a été lancé, hier, par l'Agence de la biomédecine, en collaboration avec le Collège national français des gynécologues obstétriciens. Cette campagne originale, débarrassée de toute forme de tabou, vise à répondre aux attentes de milliers de couples souffrant d'infertilité, pour lesquels ce don est la seule solution pour avoir une chance de donner la vie. La France souffre, vis-à-vis des spermatozoïdes comme d'autres éléments du corps humain, d'un manque chronique de donneurs. Ainsi en 2006, 248 hommes sur 350 volontaires ont pu être retenus comme donneurs par les centres spécialisés dans l'assistance médicale à la procréation. Les spécialistes expliquent qu'il en aurait fallu plus du double pour répondre à toutes les demandes : 2 030 couples étaient en attente. La même année, les dons effectués ont permis la naissance de 1 122 enfants.

Le don de spermatozoïdes est destiné le plus souvent à des couples – ils doivent être composés, selon la loi, "d'un homme et d'une femme en âge de procréer" – qui ne peuvent pas avoir d'enfants parce que l'homme souffre d'une infertilité majeure. Mais ce même don peut aussi être destiné à des couples beaucoup plus exposés que d'autres au risque de transmettre certaines maladies graves – le plus souvent de nature génétique – à leur descendance. Etre volontaire ne suffit pas pour être donneur. Ne sont a priori retenus que les hommes en bonne santé, âgés de moins de 45 ans, qui ont déjà un ou plusieurs enfants. Mais ces trois critères ne suffisent pas. Différents examens biologiques sont ensuite pratiqués pour éliminer le risque de transmission de certaines maladies génétiques ou infectieuses (hépatites virales, sida, etc.). Enfin, le donneur doit donner son consentement par écrit, de même que son épouse ou sa compagne s'il vit en couple.

"Dans tous les cas, le donneur est pris en charge par une équipe médicale pluridisciplinaire pleinement consciente de la particularité de ce don et à la disposition du donneur tout au long de son parcours, précise-t-on auprès de l'Agence de la biomédecine. Parce que ce don touche une part intime des hommes, tout est mis en œuvre pour que le recueil de spermatozoïdes soit réalisé de façon simple et discrète, en respectant la confidentialité de la démarche." Le nombre d'enfants conçus à partir d'un donneur est limité à dix "pour prévenir les risques de consanguinité" et les médecins retiennent différents critères morphologiques (taille, couleur des cheveux, etc.) afin qu'ils se rapprochent au mieux de ceux du mari de la receveuse.

La campagne d'incitation au don aborde clairement un point essentiel qui n'était jusqu'ici que rarement évoqué. On expliquera ainsi que le recueil des spermatozoïdes "s'effectue par masturbation dans une salle prévue à cet effet et garantissant une totale intimité du donneur". Ce dernier "peut, s'il le souhaite, venir accompagné". Comme pour tous les dons d'éléments du corps humain, cette pratique est strictement encadrée par la loi de bioéthique du 6 août 2004. C'est ainsi que le don de spermatozoïdes est anonyme : les enfants conçus ne connaîtront jamais leur "père biologique". A la différence de ce qui se passe dans d'autres pays, le don ne peut faire, en aucune façon, l'objet d'une transaction financière. Longtemps considéré comme une pratique thérapeutique marginale, le recours à ce don pourrait, dans l'avenir, se développer. De nombreuses études, menées en Europe comme en Amérique du Nord, ont établi qu'en un demi-siècle le nombre des spermatozoïdes a, en moyenne, diminué de moitié, tandis que la proportion des infertilités masculines augmente, de même que celle des cancers du testicule et des malformations génitales chez les petits garçons. Longtemps inexpliqués, ces phénomènes commencent aujourd'hui à être mis en relation avec différentes formes de pollutions chimiques environnementales. En France, les pouvoirs publics prennent à présent cette question très au sérieux. Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat chargée de l'Ecologie, organise aujourd'hui un colloque sur le thème "Environnement chimique, reproduction et développement de l'enfant". "Il y a ceux qui disent qu'on ne sait pas tout et qu'il vaut mieux ne pas en parler, expliquait-elle il y a quelques jours. Et puis il y a ceux, dont moi, qui considèrent qu'on en sait suffisamment et que plus on en parle, plus on fait avancer la connaissance et la prévention."

Jean-Yves Nau

Si on considere qu'un tiers de la production fini dans les cuvettes des WC,autant en faire profiter le public. :langue:
 
j'avoue effectivement ça fait peur et j'aurais les mm craintes que toi :(



tsss aucune générosité ... :D

Nan mais tu imagines tu es tellement généreux que ta pleins de gosses qui sortent de nulle part et qui peuvent même se marier entre eux sans savoir qu'ils sont frères et soeurs... C'est horrible, moi je suis contre ils ont qu'un adopter y a pleins d'orphelins....Et la terre est assez peuplée...
 
Nan mais tu imagines tu es tellement généreux que ta pleins de gosses qui sortent de nulle part et qui peuvent même se marier entre eux sans savoir qu'ils sont frères et soeurs... C'est horrible, moi je suis contre ils ont qu'un adopter y a pleins d'orphelins....Et la terre est assez peuplée...

t'as raison vaut mieux etre généreux qu'avec une seule femme pour annihiler ces risques :D
 
En dehors du fait que c HARAM pour les musulmans ,ce genre de méthode m atoujours mise mal à l'aise( on peut aussi parler du don d ovule...):savoir qu on a un enfant quelquepart et qu on le verra jamais ou pire qu on pourrais (ou nos enfants reconnu)avoir une relation amoureuse avec(tout est possible n est ce pas),je pourrais pas .

Et c^pour eviter ce genre de dérive que la filiation doit absolument etre prouvé et ne pas etre caché dans notre religion mais bon c peut etre un autre sujet ...:rolleyes:
 
non merci j aimerais pas un jour croisé ma progéniture me ressemblant élevée par des gens que je n aime pas,mes spermatozoides sont à moi
 
Post interdit aux filles :eek:

Donneriez-vous vos zozoides ??



Appel pour les dons de sperme

C'est un véritable appel national aux hommes susceptibles de donner leurs spermatozoïdes qui a été lancé, hier, par l'Agence de la biomédecine, en collaboration avec le Collège national français des gynécologues obstétriciens. Cette campagne originale, débarrassée de toute forme de tabou, vise à répondre aux attentes de milliers de couples souffrant d'infertilité, pour lesquels ce don est la seule solution pour avoir une chance de donner la vie. La France souffre, vis-à-vis des spermatozoïdes comme d'autres éléments du corps humain, d'un manque chronique de donneurs. Ainsi en 2006, 248 hommes sur 350 volontaires ont pu être retenus comme donneurs par les centres spécialisés dans l'assistance médicale à la procréation. Les spécialistes expliquent qu'il en aurait fallu plus du double pour répondre à toutes les demandes : 2 030 couples étaient en attente. La même année, les dons effectués ont permis la naissance de 1 122 enfants.

Le don de spermatozoïdes est destiné le plus souvent à des couples – ils doivent être composés, selon la loi, "d'un homme et d'une femme en âge de procréer" – qui ne peuvent pas avoir d'enfants parce que l'homme souffre d'une infertilité majeure. Mais ce même don peut aussi être destiné à des couples beaucoup plus exposés que d'autres au risque de transmettre certaines maladies graves – le plus souvent de nature génétique – à leur descendance. Etre volontaire ne suffit pas pour être donneur. Ne sont a priori retenus que les hommes en bonne santé, âgés de moins de 45 ans, qui ont déjà un ou plusieurs enfants. Mais ces trois critères ne suffisent pas. Différents examens biologiques sont ensuite pratiqués pour éliminer le risque de transmission de certaines maladies génétiques ou infectieuses (hépatites virales, sida, etc.). Enfin, le donneur doit donner son consentement par écrit, de même que son épouse ou sa compagne s'il vit en couple.

"Dans tous les cas, le donneur est pris en charge par une équipe médicale pluridisciplinaire pleinement consciente de la particularité de ce don et à la disposition du donneur tout au long de son parcours, précise-t-on auprès de l'Agence de la biomédecine. Parce que ce don touche une part intime des hommes, tout est mis en œuvre pour que le recueil de spermatozoïdes soit réalisé de façon simple et discrète, en respectant la confidentialité de la démarche." Le nombre d'enfants conçus à partir d'un donneur est limité à dix "pour prévenir les risques de consanguinité" et les médecins retiennent différents critères morphologiques (taille, couleur des cheveux, etc.) afin qu'ils se rapprochent au mieux de ceux du mari de la receveuse.

La campagne d'incitation au don aborde clairement un point essentiel qui n'était jusqu'ici que rarement évoqué. On expliquera ainsi que le recueil des spermatozoïdes "s'effectue par masturbation dans une salle prévue à cet effet et garantissant une totale intimité du donneur". Ce dernier "peut, s'il le souhaite, venir accompagné". Comme pour tous les dons d'éléments du corps humain, cette pratique est strictement encadrée par la loi de bioéthique du 6 août 2004. C'est ainsi que le don de spermatozoïdes est anonyme : les enfants conçus ne connaîtront jamais leur "père biologique". A la différence de ce qui se passe dans d'autres pays, le don ne peut faire, en aucune façon, l'objet d'une transaction financière. Longtemps considéré comme une pratique thérapeutique marginale, le recours à ce don pourrait, dans l'avenir, se développer. De nombreuses études, menées en Europe comme en Amérique du Nord, ont établi qu'en un demi-siècle le nombre des spermatozoïdes a, en moyenne, diminué de moitié, tandis que la proportion des infertilités masculines augmente, de même que celle des cancers du testicule et des malformations génitales chez les petits garçons. Longtemps inexpliqués, ces phénomènes commencent aujourd'hui à être mis en relation avec différentes formes de pollutions chimiques environnementales. En France, les pouvoirs publics prennent à présent cette question très au sérieux. Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat chargée de l'Ecologie, organise aujourd'hui un colloque sur le thème "Environnement chimique, reproduction et développement de l'enfant". "Il y a ceux qui disent qu'on ne sait pas tout et qu'il vaut mieux ne pas en parler, expliquait-elle il y a quelques jours. Et puis il y a ceux, dont moi, qui considèrent qu'on en sait suffisamment et que plus on en parle, plus on fait avancer la connaissance et la prévention."

Jean-Yves Nau

Ca signifie avoir un enfant que l'on ne connaît pas...
 
Retour
Haut