Alors que l'Algérie persiste dans sa position ambiguë concernant le dossier libyen, le Maroc, lui, se fait remarquer en multipliant les actions diplomatiques en faveur du nouveau pouvoir libyen. Cette situation pourrait-elle isoler le régime algérien sur le plan régional - voire international - au profit du Royaume?
En 1969, le régime algérien fut le premier à reconnaître le régime de Kadhafi, rappelle-t-on. Depuis sa chute il y a quelques semaines, le pouvoir algérien a beaucoup atermoyé et tarde encore à reconnaître que le régime de Mouammar Kadhafi, qui a toujours été pour lui un allié de premier plan, ne règne plus sur la Libye.
Face à cette nouvelle donne géopolitique, le voisin marocain a lui choisi son camp. En effet, Rabat a déjà reconnu le Conseil national de transition libyen (CNT) comme représentant unique et légitime du peuple libyen, et le ministre des Affaires étrangères et de la coopération, Taieb Fassi Fihri a été le premier responsable arabe à se rendre fin août à Benghazi, quelques jours après la chute de Tripoli.
http://www.aufaitmaroc.com/actualites/maroc/2011/9/18/quand-le-maroc-double-lalgerie
En 1969, le régime algérien fut le premier à reconnaître le régime de Kadhafi, rappelle-t-on. Depuis sa chute il y a quelques semaines, le pouvoir algérien a beaucoup atermoyé et tarde encore à reconnaître que le régime de Mouammar Kadhafi, qui a toujours été pour lui un allié de premier plan, ne règne plus sur la Libye.
Face à cette nouvelle donne géopolitique, le voisin marocain a lui choisi son camp. En effet, Rabat a déjà reconnu le Conseil national de transition libyen (CNT) comme représentant unique et légitime du peuple libyen, et le ministre des Affaires étrangères et de la coopération, Taieb Fassi Fihri a été le premier responsable arabe à se rendre fin août à Benghazi, quelques jours après la chute de Tripoli.
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