En rediffusion : les 12 preuves de l'inexistence de Dieu, de Sébastien Faure

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Ebion
  • Date de début Date de début
Deux exposés bien longs qui m'attribuent des réflexions qui ne sont pas miennes et font référence à l'intuition, à une généralisation abusive égocentrée et j'en passe.
Si je pars du néant, c'est parce que cette position est soutenue et défendue par nombre d'agnostiques et d'athées, c'est un raisonnement qui instrumentalise l'absurde.
Si on ne part pas du néant, il faut du "plein", mais alors d'où viendrait-il ? Par génération spontanée ?

J'ai étudié, entre autres, les probas, la théorie de la mesure, la théorie des distributions et celle de l'intégration qui ont pas mal de points communs.
On peut définir une probabilité sur un ensemble infini, cela dit en passant.

Il est question avant tout de potentiel d'interaction, si tu veux formaliser la question elle se ramène à la probabilité d'interaction ou de rencontre "efficace" entre des atomes, des particules à haute énergie, etc. L'exemple des neutrons dits "thermiques" illustre bien la question car il met en relief le rôle des conditions nécessaires (section efficace, vitesse, géométrie, modérateur, etc) à l'amorçage de la réaction en chaine : le hasard n'a pas de place.
Aussi il faut aller au delà, se pencher sur l'essence même de la matière tantôt porteuse de charge électrique, tantôt émettrice de photons, tantôt solide, liquide, gazeuse, plasma etc comme sur la nature de ces potentiels d'interactions (forces de cohésion, différence de masse, interaction forte et faible) qui ne sont pas quelconques et dont on ne sait que peu de chose.

Extrapoler quoi ?
Quant à l'Univers, aux trous noirs j'ai quelques connaissances en la matière, certainement pas cette vision que tu m'attribues et qui semble être tienne.

Enfin dire que l'ordre émerge du chaos, c'est une contre-vérité, car l'émergence de l'ordre nécessite des contraintes et dans ce cas le chaos n'en est plus un (réduction des degrés de liberté).
D'accord, j'ai compris que je t'ai attribué des idées qui ne sont pas les tiennes. Revenons aux faits : Quel est l'argument probabiliste montrant la nécessité d'un créateur dans ce cas ? J'ai bien lu et relu tes messages mais je n'en vois pas.

Je vois que tu as étudié les probas, c'est bien ça ! Mais comment l'utilises-tu pour prouver ton propos de base ? Je prends un grand soin à décortiquer les hypothèses que tu émets. Il faut les justifier.

Je tiens à te prévenir que j'ai une position agnostique sur le sujet, je suis plus attaché à la rigueur du raisonnement que tu auras plutôt qu'à la défense de Dieu/athéisme.

Repartons sur de bonnes bases.
 
Plus sérieusement, si je résume tout ton propos, ça peut se ramener à « c’est trop pour du hasard ». Mais j’ai plusieurs critiques envers ton raisonnement.

Premièrement tu supposes que tout ceci a surgit du néant, or on ne sait rien de ce qui s’est passé avant le mûr de Planck. Il se peut que l’univers soit infini en temps et qu’il ait toujours existé. De plus, tu soumets l’univers aux principes de causalité qui veut que chaque chose soit issue d’une cause. Or rien n’assure ceci, la notion d’extérieur (bien qu’assurée pour tout objet de l’univers) n’est pas vraie pour l’univers entier.

De plus, tu te bases sur l’entropie pour dire que, si l’univers a une tendance à aller au chaos alors forcément une puissance supérieure a instauré l’ordre. Ceci est aussi injustifié.

En somme, ton argument n’est pas probabiliste bien que tu utilises l’expression « quelle est la probabilité que ... ». Je m’attendais à un raisonnement dans lequel il y a un formalisme plus rigoureux.

Ceci dit, la probabilité pour que des atomes constituent une molécule dite « vivante » est faible, certes, mais laisse moi te dire une chose :

Dans une galaxie moyenne il y a 400 000 000 000 d’etoiles avec en moyenne 1 planète par étoile. Il y a dans l’univers observable il y a 2 000 000 000 000 000 galaxies soit potentiellement 2 000 000 000 000 000 planète. L’univers observable est petit par rapport à l’univers réel (en tout cas si on prend en compte le fait que l’extention de l’univers est plus rapide que la lumière). Le tout avec une éventualité d’univers infini en espace et en temps.

Mon constat est : peu importe la faiblesse de la probabilité des événements que tu me décris, face à l’immensité, l’infini même, tout événement peu importe sa probabilité se réalise pourvu que sa probabilité ne soit pas strictement nulle. Or cette probabilité est non nulle car nous existons. On en conclu que la vie est commune dans l’univers.

Si on applique les probabilités à un univers qu'on juge infini, il y a des conséquences absurdes.

Deux personnes jouent aux dés. Or, c'est toujours le même numéro qui sort. La première personne croit que le dé est pipé, mais la deuxième dit que, l'univers étant infini, même cette très faible probabilité est sûre de se réaliser un jour.
 
Si on applique les probabilités à un univers qu'on juge infini, il y a des conséquences absurdes.

Deux personnes jouent aux dés. Or, c'est toujours le même numéro qui sort. La première personne croit que le dé est pipé, mais la deuxième dit que, l'univers étant infini, même cette très faible probabilité est sûre de se réaliser un jour.
La première personne dit que le dé est pipé mais oublie de préciser la confiance qu'elle a attribué à cette affirmation. Quand on effectue un test statistique, il y a toujours une P-value qui pondère la conclusion. Dans tous les cas, on a une chance (même infime) de nous tromper. Cette personne peut affirmer que le dé est pipé à tord ! Quand on répète l'expérience un grand nombre de fois on obtient ce qu'on appelle des faux positifs.

Ces conséquences sont loin d'être absurdes, c'est mon quotidien au travail.

J'espère avoir été clair.
 
Si on applique les probabilités à un univers qu'on juge infini, il y a des conséquences absurdes.

Deux personnes jouent aux dés. Or, c'est toujours le même numéro qui sort. La première personne croit que le dé est pipé, mais la deuxième dit que, l'univers étant infini, même cette très faible probabilité est sûre de se réaliser un jour.
Le problème c'est que le dé est matériel, il a d'emblé un potentiel d'interaction en lui, intrinsèquement lié à sa "nature", il est pipé dès l'origine : c'est justement là que diverge l'approche mathématique (où le dé est un élément indiscernable pris dans un ensemble) de l'approche physique qui à la fois lui reconnait une individualité, des spécificités, des caractéristiques et des lois de comportement "innées" propres.

Question à deux sous : comment superposer ou juxtaposer des probabilités "infimes" d'évènements aléatoires à chaque niveau pour aboutir à un événement certain : émergence de la matière et des écosystèmes, de la biodiversité, de la vie, d'un ordre naturel ?

Un ordre celui généré par des potentiels d'interaction ajustés, calibrés, décrits par un tableau périodique ou des modèles mathématiques "adaptés" aux contraintes, aux limites (linéarité, mesurabilité, etc ...)
 
@juste Tralala

Tout comme la théorie de l'expansion de l'univers conduit à revoir le modèle communément admis, qu'une accélération (principe de la dynamique) devrait avoir une cause (vison causaliste que tu remets en cause plus haut), c'est l'improbabilité qu'une succession d'événements aléatoires puisse être à l'origine de l'ordre régnant, qui me conforte dans mes convictions. Il y a un sens, une logique sous-jacente à l'émergence de l'univers tel que l'on se le représente, des milliards de "croyants" toutes religions et croyances confondues le pensent, dont des prix Nobel, pour ne citer qu'eux.
 
Dernière édition:
@juste Tralala

Tout comme la théorie de l'expansion de l'univers conduit à revoir le modèle communément admis, qu'une accélération (principe de la dynamique) devrait avoir une cause (vison causaliste que tu remets en cause plus haut), c'est l'improbabilité qu'une succession d'événements aléatoires puisse être à l'origine de l'ordre régnant, qui me conforte dans mes convictions. Il y a un sens, une logique sous-jacente à l'émergence de l'univers tel que l'on se le représente, des milliards de "croyants" toutes religions et croyances confondues le pensent, dont des prix Nobel, pour ne citer qu'eux.
L’argument « c’est trop pour du hasard » n’est pas convainquant pour moi. Tu supposes que l’univers a besoin d’une cause mais ce n’est pas certain ! En disant que l’ordre (l’univers) « émerge » de quelque chose (aléa ou créateur) est déjà un parti pris. Pourquoi tu me diras ? Tout simplement parce que on ne sait pas si l’univers a « émergé », si un instant 0 a existé, si l’univers n’est pas une succession infinie de big bang et big crunch etc.

Et même si on suppose que l’univers ait « émergé », l’aléa ne peut être écarté de l’équation par simple fait que « c’est trop parfait pour être aléatoire ». Comme tu le sais déjà, en probabilité tout évènement de probabilité non nulle se produit. Pire encore, même les événements de probabilité nulle se produisent comme quand tu tires un nombre au hasard dans un continuum (mais impossible de le tirer une seconde fois, P-presque sûrement).

Ton argument est (à mon sens) faible car se basant sur une hypothèse invérifiable (bien que présente dans notre quotidien) et utilisant un argument faible (improbabilité que l’ordre émerge du désordre).

Dans un premier temps on peut démontrer que l’ensemble des caractéristiques de l’univers est différent de l’ensemble des caractéristiques de ses constituants. On procède par contre exemple et on prend la caractéristique d’extérieur. Tout objet de l’univers admet un extérieur mais l’univers n’en admet par car, par définition l’univers est tout ce qui est, si un extérieur existe alors (vu qu’il existe) fait partie de l’ensemble de l’existant, cet ensemble est l’univers par définition. Cet argument peut être utilisé pour la caractéristique d’ « avant » l’univers, car l’univers ne peut être précédé de quoi que ce soit, vu que par définition c’est tout ce qui est.

Ceci montre que l’ensemble des caractéristiques de m’univers n’est pas égal à l’ensemble des caractéristiques de ses constituants. Toute extrapolation est hasardeuse. Tu as extrapolé la caractéristique d’ « émergence » et de causalité. Tu peux avoir raison, certes, mais pas pour les bonnes raisons !

Concernant le désordre qui ne peut engendrer l’ordre, tout dépend de ta mesure de l’ordre et du désordre. Ce sont des concepts flous. Tu n’as connu qu’un seul univers alors comment peux-tu savoir ce qu’est un univers désordonné ? Connais-tu les lois de l’univers avant le mur de Planck ? As-tu une idée de ce qui est possible ou impossible à cet instant ? Personne ne sait pour l’instant donc personne ne peut déduire que l’existence cest « trop pour du hasard ». Dans l’incertitude de ce qui s’est passé au delà du mur de Planck, on peut imaginer que l’univers soit infini en temps, qu’avant le mur de Planck il y avait l’univers. Et supposons que le hasard dispose d’un temps infini pour enchaîner des big bang et des big crunch en essayant toutes les combinaisons possibles de lois, de constantes et c. Jusqu’à arriver à cette facette de l’univers ? Et en ayant un univers infini, tout est possible même pour des choses improbables.

En somme, dans l’impossibilité de justifier tes hypothèses/extrapolations, ton argument reste faible à mes yeux car on peut toujours imaginer une configuration dans laquelle tu aurais tord et qui est tout aussi invérifiable que la tienne.
 
Je suis d'accord pour dire que mon argumentation ne peut être que faible en l'absence de preuves objectives, cependant elle est orientée dans un sens défini par l'intuition et l'intime conviction, tandis que la tienne n'est même pas faible mais à somme nulle réduite à diverses supputations allant dans toutes les directions hypothétiques.

Dixit : "Ceci montre que l’ensemble des caractéristiques de m’univers n’est pas égal à l’ensemble des caractéristiques de ses constituants."


C'est l'énoncé même du principe de l'émergence tel qu'avancé par E. Morin dans son livre la Méthode de la méthode qui rappelons le se consacre à l'étude et à l'approche systémique.

Mais là où blesse le raisonnement c'est qu'il reste au niveau du système qu'est l'univers. De la multiplicité et diversité biologique et chimique, la science a procédé à une première réduction, à celle des éléments du tableau périodique, puis aux nucléons et aux particules élémentaires et tente à rebours de procéder à une "unification" autour des états stables de l'énergie dont dériverait les divers champs.

Peu importe les scénarios relatifs à l'évolution de l'énergie, aux différents formes qu'elle prend au cours des "ères ", à l'existence de bigs bangs, de bigs crunchs, de trous noirs, de phénomènes qui sont bien entendu des questions physiques d'intérêt, il n'en reste pas moins la question de fond : d'où provient cette énergie et pourquoi des états stables (information, mémoire) qui ont donné substance à un système qu'est l'univers ?

Pour en revenir à l'ordre et au désordre, l'existence incontournable de contraintes "organisationnelles" est nécessairement indéniable, alors soit on part du désordre et nécessairement les contraintes sont extérieures pour établi un ordre, soit le désordre n'en est pas un car il porterait les "germes" d'un ordre et en ce sens le désordre serai lui-même pré-ordonné.

Parler d'un solide indéformable réduit les degrés de liberté (représentation d'Euler), il est ordonné par les forces de cohésion internes : ses constituants sont soumis à un pré-ordre, il ne s'agit pas d'un domaine mathématique de particules libres que l'on suit dans leur mouvement et cela est aussi valable pour les fluides (liquides ou gazeux même dits parfaits (équation de Van der Waals).

En conclusion le désordre au sens physique et autre que celui au sens mathématique, c'est une lapalissade car les particules sont soumises à un pré-ordre (masse, charge, viscosité, loi de Poiseuille, coefficient de Poisson, caractéristiques chimiques etc.)

Un ordre ou un pré-ordre ramène nécessairement à se poser la question sur l'origine de ces derniers.

Une énergie qui ne viendrait de nulle part, qui évoluerait par et pour elle-même, pour revêtir différentes formes afin "d'engendrer" un système "cohérent" se prêtant à des modélisations et représentations de plus en plus complexes et fines dans tous les champs et disciplines de la science et de la connaissance, ne tient pas la route, c'est mon avis personnel.

Stop et fin avec le témoignage qu'est la chahada.
 
Je suis d'accord pour dire que mon argumentation ne peut être que faible en l'absence de preuves objectives, cependant elle est orientée dans un sens défini par l'intuition et l'intime conviction, tandis que la tienne n'est même pas faible mais à somme nulle réduite à diverses supputations allant dans toutes les directions hypothétiques.
Tout ce que tu dis se base sur une intuition et une intime conviction. Partant d'hypothèses faibles, on a un résultat faible (tu le confirmes).

Mon approche est de pointer les faiblesses de tes arguments. Je ne prétends pas que Dieu existe donc la charge de la preuve te revient, normal que je ne sois que dans la défensive. Il est facile pour toi de te fixer une hypothèse sous laquelle ton intime conviction s'avère vraie, maintenant il faut savoir si ton hypothèse est VRAIE ou juste "hypothétique".

Ma démarche consistait à te montrer qu'il existe une multitude d'hypothèses (toutes aussi valables que la tienne) conduisant à un univers auto-suffisant. Tu accuses ma démarche d'être "à somme nulle réduite à diverses supputations allant dans toutes les directions hypothétiques"
mais la tienne l'est tout autant, partant d'une hypothèse invérifiable et menant à des conclusions qui te satisfont.

Il se peut que ta démarche soit bonne et que tes hypothèses soient vraies, dans ce cas il faut des données expérimentales pour valider ta théorie et à ce moment là je me plie devant ta démonstration sans aucune hésitation !

Tu vois, je te donne un exemple qui va te parler vu que tu m'as l'air d'être physicien. Il y a deux théories incompatibles (à première vue) : la relativité et la physique quantique. Pour tenter la réunification il y a eu plusieurs théories (partant d'une multitude d'hypothèses) qui ont été développées, dont la théorie des cordes. Les physiciens trouvent la théorie des cordes prometteuse mais il y a un problème : Les cordes (hypothèse de base de cette théorie) sont par définition invisibles, indétectables. Il se peut que cette théorie fonctionne bien, mais on ne saura jamais si c'est LA théorie et on ne saura jamais si ces fameuses cordes existent où si elles ne sont que des êtres fictifs mathématiques qui servent à développer les équations.

Je vois que tu prends très mal mon précédent message vu ta réponse un peu rude (en gras), mais tu admets bien que ton raisonnement part d'une hypothèse largement contestable ! Comme j'ai pu te le dire précédemment, dis toi : Et si l'univers n'a pas de début ? Si le temps est infini (dans le passé) ? Ton argument tiendrait-il toujours ? As-tu les moyens d'écarter cette possibilité ? Tu prends appui sur la provenance de l'énergie (et la matière par la même occasion, il y a équivalence) mais tu es certain que l'énergie a besoin d'une origine ?

Tiens, je te propose une vision de l'univers qu'est la mienne : Rien n'a été créé, tout existe et a toujours existé. le passé est infini, le futur aussi. Les lois de la physiques ont toujours été là et ne sont issues de rien, nul besoin d'opposer ordre et désordre car nul besoin de supposer que l'un engendre l'autre, ils coexistent depuis l'éternité. (ça ne te rappelle pas la définition de Dieu ?)

L'univers a les caractéristiques de Dieu : Infini en temps et en espace, n'a jamais émergé de quoi que ce soit, ne disparaitra jamais, contient tout ce qui est et en est à l'origine.

... d'où provient cette énergie et pourquoi des états stables (information, mémoire) qui ont donné substance à un système qu'est l'univers ? ....

.....

Un ordre ou un pré-ordre ramène nécessairement à se poser la question sur l'origine de ces derniers.

Une énergie qui ne viendrait de nulle part, ... , ne tient pas la route, c'est mon avis personnel.
Il est légitime de se poser la question de l'origine d'un ordre/pré-ordre, mais la question doit être complétée par la nécessité d'avoir une origine. Est-ce nécessaire ? Ton avis personnel (merci de le préciser) est oui, c'est nécessaire. Mon avis est : On n'en sait rien. Vu qu'on parle entre physicien et mathématicien, nos avis valent peu, donc le scepticisme est de mise. En attente de preuves, on reste sceptiques !

En conclusion le désordre au sens physique et autre que celui au sens mathématique, c'est une lapalissade car les particules sont soumises à un pré-ordre
Tu t'y connais certainement mieux que moi, mais de mémoire les particules sont soumises à un pré-ordre oui, mais aussi à un aléa (pur aléa) au niveau microscopique. Comme pour l'effet tunnel. N'est-ce pas un désordre qui cohabite bien avec l'ordre ? (je ne parle pas d'un désordre dans le sens entropie, mais dans le sens de hasard).

Bon, j'ai envoyé ce message au cas où, vu ta dernière phrase je doute fort que la discussion continue. Si tu décides de t'arrêter ici je te dis aurevoir, c'était un plaisir.
 
Pour la énième fois
c'est à celui qui affirme l'existence de quelque chose d'apporter les preuves: si je prétend que les licornes existent je dois montrer les preuves de leur existence sinon on peut réfuter cette existence sans preuve car il est impossible de prouver l'inexistence de quelque chose.
tout a fait exact, il est impossible de prouver "l'inexistence de Dieu". Par contre on peut montrer l'incohérence d'un texte. Et ce n'est pas difficile avec la bible et le coran.
 
Pour la énième fois
c'est à celui qui affirme l'existence de quelque chose d'apporter les preuves: si je prétend que les licornes existent je dois montrer les preuves de leur existence sinon on peut réfuter cette existence sans preuve car il est impossible de prouver l'inexistence de quelque chose.
Tu parles à des gens qui n’ont pas du tout le même prisme que toi pour voir le monde. Il est impossible d’y arriver.
 
Retour
Haut