T’as raison, c’est dur.Le plus dur dans l’histoire, c’est de s’en vouloir à soi parce qu’on a été trop faible et que l’on a dérogé à nos règles habituelles...
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T’as raison, c’est dur.Le plus dur dans l’histoire, c’est de s’en vouloir à soi parce qu’on a été trop faible et que l’on a dérogé à nos règles habituelles...
C’est peut-être pas une bonne chose si tu continues à en souffrir... Est-ce qu’au moins tu exprimes ton désaccord sur le moment?
Coucou tout le monde!
Je me fais de plus en plus rare, je sais... Mais tout va bien, je vous publierai bientôt une énième anecdote à dormir debout
En attendant, voilà ce qui m’amène: la question du pardon!
Je voudrais savoir quelle est votre nature, comment réagissez-vous lorsque vous êtes lésés? Au bout de combien de temps parvenez-vous à pardonner sincèrement?
Inutile de mentionner des phrases toutes faites su style: « je pardonne mais j’oublie pas »; j’aimerais vraiment pousser la réflexion ici.
En ce qui me concerne, j’ai longtemps été rancunière puis j’ai appris deux choses. Tout d’abord, la miséricorde de Dieu est à la hauteur de celle que l’on a envers son prochain. Le comble dans tout ça, c’est que c’est l’une des personnes auxquelles j’en veux de m’avoir fait du mal qui me l’avait apprise... Quelle ironie du sort; à croire qu’il était destiné à me faire du mal...
Deuxièmement, on m’a un jour dit que se refuser à pardonner c’est aussi garder une part de nous attachée à la personne à laquelle on en veut!
Pour ma part, étant donné que j’ai du mal à pardonner, j’ai décidé de ne plus m’ouvrir. C’est l’assurance tout risque et ça me convient ainsi, j’ai trouvé d’autres valeurs et centres d’intérêts dans la vie. Je fais en sorte de ne froisser personne, j’ai de très hautes attentes envers moi-même et, en contre partie, je n’accorde plus de seconde chance. Fini le temps des « fool me once, shame on you; fool me twice, shame on me ». Ma nouvelle devise est la suivante « fool me once, get the hell outta here »; je tourne la page froidement, simplement et sans jamais me retourner.
Bref, plus qu’une chose à dire : à vous?!