Évolution des religions en Asie

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voir parallele entre ces recit et celui d'adam :

nom shanti chang di en chine :


le pont de tyr hyram :

Dans l'épopée de Ramayana il est fait mention d'un pont construit entre Rameshvaram (dans l'Inde du Sud) et la côte de Shri Lanka sous la supervision d'un personnage dynamique et invincible appelé Rama, supposé être l'incarnation du Suprême.
 
proximité entre jinn jnan gnose genie


Jñāna (sanskrit, devanagari : ज्ञान ; pali : ñāṇa), est dans l'hindouisme un mot qui signifie: connaissance, savoir1, mais il peut être traduit par: réalisation. Vidya en est un synonyme.
Le jñāna est de deux ordres: la connaissance commune et la connaissance de la Réalité ultime, qui diffère selon les systèmes philosophiques et religieux.
On retrouve cette notion importante dans les philosophies de l'hindouisme, le bouddhisme et le jainisme.
Dans le vedanta, jnāna est la connaissance du lien qui lie le soi individuel jivātman au Brahman.
Celle-ci est souvent dénommée prajna. En ce sens, elle se distingue de vijñāna2.
Elle peut alors concerner moins le mental ou la réflexion que le cœur.
Pour le bouddhisme, jñāna: la connaissance est complémentaire avec prajna: l'intuition, traduit aussi par le terme de sagesse3.


 
gan : janna : jahannam


 
Malgré la similarité phonétique, le mot « génie » n'est pas une francisation du mot « djinn ».
Le terme « génie » vient du latin « genius », lui-même issu du grec « γεννάν », gennán, « générer, former ».
En latin, le mot « genius » renvoie à une « divinité tutélaire » et, au sens figuré à une « inclination, talent »6. Dans ce sens, il représente donc la capacité d'action d'un état ou d'une personne.
En français, le terme est en général pris dans le sens latin de talent ou d'aptitude, « génie civil », « génie militaire ». Utilisé seul, il désigne également une personne dotée d'une habileté remarquable, d'une aptitude supérieure de l'esprit.
Notons que le mot « genius », via le sens grec de « générer, former » est également à la racine de plusieurs termes en français (ingénieur, géniteur, gène, etc.) et dans les autres langues latines.
Il est possible que des écarts de traductions aient amené des confusions entre deux entités bien distinctes : le « genius » et le « djinn », d'où une version édulcorée du génie oriental.

Il faut toutefois relever la similitude possible de sens entre ces deux termes, si l'on considère le sens premier de génie: « divinité tutélaire ». C'est ainsi que le Dictionnaire du Coran traite la notion de djinn dans l'article intitulé Génies2.

Il ne faut pas confondre le terme djinn (جِنّ [ğinn]) avec le terme perse Djans (جان [ğān]) qui signifie « l’esprit individuel d'un être », et qui est différent des Esprits de Groupe (روح [rūḥ]), terme d'origine sémitique (רוח [rox]).
 
Il existe cependant un autre type de connaissance (en sanskrit jñāna, qui correspond au grec gnôsis) relevant non plus de l'activité mentale (manas), dont le siège est le cerveau, mais de l'intuition intellectuelle, dont l'organe (buddhi, « l'intelligence ») est situé dans le cœur. Lorsque, grâce à la direction spirituelle du maître (guru) qui l'a initié, le sujet parvient à « voir » avec « l'œil du cœur », la révélation qu'il obtient ainsi (et qui est souvent comparée à une « illumination ») provoque une mutation de son être ; l'équation entre l'« âme » (ātman) et l'absolu (brahman) est alors « réalisée » (de virtuelle qu'elle était, elle devient réelle), et cette réalisation constitue en elle-même le salut, toujours conçu comme une délivrance (mokṣa) des liens de l'existence. Le sujet qui a bénéficié de cette expérience s'élève du monde des phénomènes à celui de l'Essence ; par définition, une telle transformation est irréversible.

On comprend dès lors pourquoi les divers points de vue sur la doctrine traditionnelle (darśanas) sont autant de « systèmes » proposant chacun une voie particulière pour l'acquisition de la connaissance : tel est, en fin de compte, le seul objet de la recherche philosophique en Inde depuis les premières upaniṣhads (vers le ~ Xe s.) jusqu'à nos jours.
 
chamanisme

qui peut m'expliqué simplement le lien qui existe entre
zoroastrisme et hindouisme et entre perse et inde ?

il ont une langue d'origine proche ancien avestique et sanskrit

EPOPE INDIENNE : Maharabata et Ramayana

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mahabharata
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ramayana

VEDA : https://fr.wikipedia.org/wiki/Véda
Pour les auteurs européens, les premiers textes de la tradition védique auraient été composés à partir du xve siècle av. J.-C., des auteurs indiens proposent une datation plus ancienne. Pour marquer l'unité du Véda qui se manifeste en une multiplicité de textes,
la tradition hindoue nomme « Triple Véda » l'ensemble des trois premiers recueils de textes,
un recueil de poèmes (stances) forme le Rig-Veda,
un recueil de chants rituels le Sama-Veda,
une collection de formules sacrificielles le Yajur-Veda.

Une famille de brahmanes nommée Atharva donne son nom à l'Atharva-aṅgiras, livre de magie blanche et noire, qui est accepté comme constituant du « Quadruple-Véda », sous le nom de Atharva-Veda, après une longue période de controverses.

Le passage du védisme au brahmanisme commence avec la rédaction des Brāhmaṇa, spéculations rituelles en prose. Et la transition du brahmanisme à l'hindouisme s'accompagne de la rédaction des Āraṇyaka puis des Upaniṣad. La compilation de ces textes est attribuée au sage Vyāsa, et les parties les plus récentes des écritures du Véda dateraient du ve siècle av. J.-C.2
tu veux comprendre pas difficle faut absolument etudier la mythologie tout y est
pour commencer mythologie chinoise suivi de celle hindou et les autres elle sont lier toutes
en passant par les celtes pas oublier
 
mu enso taichi 5 mouvements

 
GEN tapis jardin persan


Depuis, les grands poètes perses ont tenté de rapprocher de nouveau le corps et l'esprit.
Pour preuve, ils ont multiplié les occurrences du mot «djân» de manière à ce que,
si l'on interprète ce mot comme désignant l'âme, l'on lise un poème mystique,
tandis que lorsqu'il renvoie au corps, le même texte devient érotique :
«Dissimulée comme djân, tu te glisses à l'intérieur de mon djân»,

écrivait entre autres le grand poète Rumi. Le mot djân me manque,
car son absence désigne un dualisme dans lequel je ne me retrouve pas.
Il y a bien la psychanalyse qui lie les deux, mais elle n'a pas de mot pour cette fusion.

En persan, par politesse, ou affection, on fait suivre le prénom d'un khanom/madame, khan/monsieur (généralement pour un homme jeune), agha/monsieur (pour un homme plus âgé). Cet usage dénote soit la familiarité, soit le respect. Agha peut aussi, dans un registre familier (de supérieur à subalterne), précéder le prénom. Agha et khanom peuvent aussi précéder un nom de famille; c'est l'usage normal pour dire «Monsieur X, Madame Y». Le mot djan (qui devient djounen persan courant) postposé au nom, équivaut à cher/chère, chéri/chérie. Le redoublement indique une grande intimité (Ex: Nosrat djoun djoun).

 
Tobie Nathan

zar jan ghrb shed ...

https://www.youtube.com/watch?v=mak3rmsHmcE
https://youtu.be/tW_PxtjMnTU
https://www.youtube.com/watch?v=mfD-2f2MUKc
https://www.youtube.com/watch?v=l-6ChT7HIPM
https://youtu.be/ctP6kYHKPU4
 
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