Expositions et conférences;activités en Belgique

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Aux origines de la guerre, la paix, la mémoire - Les Mercredis de la philo

Les Mercredis de la philo sont de retour avec une thématique au plus proche de l'actualité de ces derniers mois et ces derniers jours !

Trois-Ponts, Espace culturel, 3 mercredis : 22/01 / 05/02 / 19/02 de 19h à 21h

Avec Pascal VAN DER PLASSCHE (philosophe), 3 mercredis pour construire sa pensée autour d’arguments réfléchis et cohérents.Pas de prérequis nécessaires, juste une bonne dose de curiosité.

Atelier 1 : « Polémologie (étude de la guerre) et Irénologie (étude de la paix) ».
Dans l’histoire de l’humanité, un jour sans guerre a-t-il jamais existé ? Pas sûr ! Suivons les pistes de Hobbes et Kant pour mieux comprendre.

Atelier 2 : « L’histoire est-elle écrite par les vainqueurs ? »
La mémoire correspond-elle à la vérité historique ?

Atelier 3 : « Doit-on rompre le cercle de la violence, et, si oui, comment ? »
Une réflexion sur les solutions.

Formule des ateliers: courte présentation du thème, réflexion par groupes, présentation des constats à l’assemblée, recherche de positions distinctes mais clairement définies.

Ouvert
22/01/2020 19:00 21:00
05/02/2020 19:00 21:00
19/02/2020 19:00 21:00

 
Conférence-atelier de sensibilisation à la vie privée numérique

Bibliothèques de Schaerbeek


Ayant pour but d’informer sur des alternatives libres qui respectent votre vie privée numérique, cette conférence vous est proposée par les bénévoles de l’asbl Abelli, qui veulent développer un réseau d’échange entre les divers acteurs concernés par les libertés numériques, l’open data , la neutralité du net et toute association.
La présentation sera suivie d’un “questions-réponses”
Quand? Samedi 22/02 à 10h30
Où? A la bibliothèque Sésame - Boulevard Lambermont, 200 à 1030 Schaerbeek
Combien? Gratuit - Entrée libre
Pour qui? Tout public ado/adulte intéressé par le thème de la vie privée numérique

 
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Détails

Depuis 2014, le 21 septembre est la journée européenne contre l’islamophobie. Le #CCIB lance sa campagne annuelle #ISLAMOPHOBIA21 durant tout le mois de septembre 2020.


La « Semaine Bruxelloise d’Actions contre la Haine et l’Islamophobie – SBAHI2020 » aura comme thème ‘Sous le Signe de la Presse et des Medias’.
Plusieurs conférences et débats avec des journalistes, des chercheurs, des institutions, des influenceurs, pour mieux comprendre ce monde particulier vitale pour notre démocratie qu’est la presse et les médias.


Nous aborderons les questions suivantes : Islamophobie aujourd’hui ? Quelle lutte au travers des médias ? Comment ? Faire ensemble avec les acteurs que sont les médias ? « muslims in the media» ?

Agenda des conférences débats :

Vendredi 18/9/2020 de 10h à 13h : Conférence de presse du CCIB, présentation du Rapport Chiffres 2019 de l’Islamophobie en Belgique.

- Vendredi 18/9/2020 de 18h30 à 20h20 : Conférence/Débat avec des acteurs associatifs et institutionnels

- Lundi 21/9/2020 de 18h30 à 20h30 : Conférence/Débat avec des acteurs académiques et d'Education permanente.

- Mardi 22/9/2020 de 18h30 à 20h30 : Conférence/Débat avec un panel de journalistes bruxellois de la presse mainstream.

- Mercredi 23/9/2020 de 18h30 à 20h30 : Conférence/Débat avec un panel de journalistes bruxellois de la presse alternative.

La participation du public en présentielle ou en retransmission est soumise à une inscription obligatoire à sbahi.ccib@gmail.com.

#SBAHI2020 est un projet du #CCIB soutenu par une subvention de equal.brussels :
site Internet www.equal.brussels
page Facebook equal.brussels
compte Instagram @equal.brussels.




 
Bruxelles ouvrira bel et bien les portes de ses lieux jalousement gardés et préservés au grand public. La thématique principale sera celle de la couleur. En l’occurrence, ce ne sont pas moins de 93 lieux à visiter et plus de 90 animations à découvrir gratuitement sur l’ensemble de la Région bruxelloise. Des endroits jusque-là inaccessibles tels que l’hôtel du gouverneur de la Banque nationale de Belgique se révèleront donc aux visiteurs de même que les ateliers de restaurateurs de vitraux comme celui de l’Atelier Flores. Entre bon plan touristique et véritable mise en exergue du patrimoine bruxellois, ces « Heritage Days » s’annoncent surprenantes à bien des égards. Tour d’horizon de ce qu’il sera possible de voir et faire ce week-end : un programme haut en couleurs vous attend !

Une manière de voir Bruxelles autrement
Le service public régional Bruxelles Urbanismes et Patrimoine propose un programme inédit, à la hauteur du contexte dans lequel il se déroule, « alliant visites de lieux et activités en tous genres, qu’il s’agisse de promenades, de rallyes, de circuits en bus ou d’activités pour les familles, sans oublier les visites en langues des signes » comme l’explique Bety Waknine, directrice générale Urban.
Après des éditions autour d' « un lieu pour l’art » (en 2019) ou « nature en ville » (en 2017), cette fois, l’accent est mis sur la couleur ou plutôt les couleurs que l’on peut trouver dissimulées aussi bien dans les intérieurs que sur les façades des bâtiments publics. Des sculptures colorées visibles à l’ADAM-Brussels Design Museums aux vitraux de l’Eglise Saint-Augustin en passant par les bas-reliefs Art Nouveau de l’hôtel Hannon, les possibilités de visites sont variées. En raison de la crise, les visites d’intérieurs - soit sans guide (accès libre/durée limitée à 1/2h) soit par visites guidées - se font uniquement sur réservation depuis ce 4 septembre et certaines sont déjà « over-bookées ». De plus, vous devez réserver un créneau horaire (visite sans guide) ou une heure de visite (visites avec guide).
Afin de faciliter votre visite, un point d’informations prendra place dans les Halles Saint-Géry de 10h à 19h. Le programme complet de même que des informations seront à votre disposition. Allez-vous y perdre de 14h à 16h, vous aurez peut-être l’occasion de croiser Manuel Murillo, l’illustrateur des Journées du Patrimoine 2020 !








Ce qu’il reste à découvrir
Le programme s’annonce riche et dense…et le succès au rendez-vous ! En effet, plusieurs activités assez prestigieuses sont déjà complètes telles que la visite de la Bibliothèque Solvay ou de la Maison de Saint-Cyr. Rassurez-vous, les plus atypiques sont encore disponibles. Voici un aperçu succinct de ce qu’il reste à découvrir. Entre promenades en plein air et ateliers pratiques, il y en a pour tous les goûts !

Activités en plein air aux jardins de la Maison d’Erasme

Direction Anderlecht et la Maison d’Erasme pour y découvrir ses jardins. Au programme de 14h à 17h, outre la visite des lieux, plusieurs ateliers sont proposés. Initiez-vous à l’art de la teinture végétale et filez une laine locale, celle des moutons noirs de Schaarbeek. Sur le banc « cocoon » du jardin philosophique, l’artiste Serge Goldwicht réalisera un live drawing : création en direct à la plume, encre de Chine et pigments naturels sur papier.

Plus d’informations, ici.

Spectacle gratuit au théâtre de Toone

Au cœur de l’îlot sacré, prenez place au sein de ce théâtre de 1696 et profitez d’une exposition des marionnettes bruxelloises du 19 et 20 ème siècle. A partir de 16h, un spectacle gratuit – sous réservation obligatoire - vous attend : la pièce d’Alexandre Dumas, Les Trois Mousquetaires prendra vie sous vos yeux !

Plus d’informations ici.

De Maelbeek au Watermaelbeek en vélo, des nuances de bleu et de vert

Pour les plus sportifs d’entre nous, une visite d’un genre nouveau vous est proposée : une promenade à vélo pour revisiter le patrimoine naturel et artistique bruxellois. En collaboration avec la Commission ornithologique de Watermael-Boisfort, cette balade vous emmènera de la vallée du Maelbeek vers le bois de la Cambre, en passant par des passerelles urbaines récemment aménagées, longeant vallée et étangs. Dans ce paysage urbain, l’entité de Watermaelbeek prend vie le long de la Woluwe.

Plus d'informations ici.

Un week-end bien festif et instructif s’annonce…En somme, ce parcours chamarré sur 2 jours redonne des couleurs à notre capitale , quelque peu ternie ces derniers temps !

 
belgica elle rate jamais cette fête au chocolat et ca fa fait au moins 30 ans a marius renard
dis belgica je te pose une question ou se trouvais côte d or a ces début
 

Muhammad (live streaming) - Théâtre de Liège​

Le spectacle sera visible GRATUITEMENT via l’appli du Théâtre de Liège, lien ici




La situation sanitaire en Belgique nous impose de garder nos salles vides et de repenser notre façon de présenter les spectacles !

C’est ainsi que le dernier spectacle d’Ismaël Saidi sera joué, filmé et diffusé, à quatre reprises, en direct du Théâtre les 4, 5 et 6 février via la toute nouvelle application du Théâtre de Liège.



Ismaël Saidi est auteur, acteur, réalisateur et producteur.

Homme engagé en faveur du rassemblement de toutes les cultures, il mène ce militantisme altruiste dans la vie, parallèlement à sa passion pour la scène.

Après le formidable succès de son spectacle Djihad, du deuxième pan de sa trilogie théâtrale consacrée au radicalisme intitulé Géhenne, et de Tribulations d’un musulman d’ici, et alors que le récit de 5 ans de rencontres avec les jeunes vient tout juste d’être publié dans le recueil Comme un musulman en France, Ismaël Saidi revient au Théâtre de Liège avec sa nouvelle pièce, Muhammad.



Ce nouveau texte, qu’Ismaël interprète seul, nous narre une histoire du passé. Il y a 1.400 ans, quelque part dans le désert aride d’Arabie, un homme a entendu une voix qui lui demandait de se lever et de refuser l’ordre établi.


En se dressant, il a changé la face du monde comme peu d’hommes avant lui.


En 2021, Salman le Perse sort d’un sommeil de plus de quatorze siècles.

Il est réveillé par les bruits des peuples et les cris de colère au nom d’un certain prophète.


Salman a bien connu cet homme et pour tenter de comprendre ce qui se passe aujourd’hui, il plonge dans ses souvenirs et nous emmène avec lui, traversant le temps et l’espace, à la rencontre de… Muhammad.



 

Voices from Syria" : une exposition poignante et gratuite à découvrir sur dix places bruxelloises​

Riad, Thurayya, Eesra, Leyla, etc. Derrière les victimes du conflit syrien qui fait rage depuis dix ans se cachent des personnes et des histoires de courage et de résilience. Ce sont ces portraits qui sont mis en lumière grâce au travail remarquable de Johanna de Tessières, photographe, et Caroline Van Nespen, journaliste. Suivez le guide.​


"On ne vous oublie pas." Voilà, en substance, le message de l’exposition Voices from Syria à découvrir dans dix communes bruxelloises jusqu’au 30 mars.

Dix ans après l’entame du conflit en Syrie, la guerre perdure. Un conflit trop souvent occulté, surtout en cette période de crise sanitaire, mais qui continue à faire des ravages.


Pendant presque quatre ans, la photographe Johanna de Tessières et la journaliste Caroline Van Nespen ont sillonné les pays limitrophes de la Syrie, où se réfugient 80 % des personnes immigrées.

De ces voyages, elles ont rapporté une cinquantaine de portraits intimes et nous invitent, avec cette exposition, à découvrir et partager ces histoires de courage et de résilience. Mettre des visages derrière les chiffres.
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© DR
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Du côté de Woluwe-Saint-Pierre, l’exposition se tient sur l’Esplanade de la maison communale.

On y découvre les récits de Leyla et Oum Walid, deux syriens de 31 ans qui ont trouvé exil en Jordanie; de Riad et Thurayya, qui ont quitté Raqua pour s’installer, avec leurs sept enfants, dans un camp au Liban, ou de Eesra, jeune syrienne de 11 ans qui a fui la guerre avec sa famille.


Chaque portrait est illustré par des superbes photos prises par Johanna de Tessières, membre du collectif Huma et lauréate du trophée Montaigne en 2017 pour son travail documentaire.
Chaque portrait est accompagné d'une légende en français, anglais, néerlandais et arabe.


"L’objectif est de remettre un visage humain sur la crise syrienne et de continuer à donner une voix à ceux qui sont touchés par le conflit en Syrie et dans les pays voisins, tant les réfugiés que les communautés locales", explique Caroline Van Nespen, coordinatrice de la campagne de communication du Fonds fiduciaire régional de l'Union européenne.


"Si chaque lieu d’exposition peut être vu et compris individuellement, les visiteurs seront invités à se rendre dans les autres communes, afin d’y voir les autres portraits, abordés sous différents angles."



En cette période de crise sanitaire, Johanna de Tessières nourrit un principal regret : celui de ne pas pouvoir assurer le suivi des familles. "Nous avons tissé des liens très fort avec les personnes rencontrées.

On a hâte de pouvoir aller les retrouver pour continuer à raconter leurs histoires et éveiller les consciences par rapport à ce conflit interminable."



Les portraits sont également à voir dans plusieurs stations Stib jusqu'au 30 mars.
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Dix lieux d'exposition
Le parcours photographique est à découvrir sur les places suivantes : place de la Résistance (Anderlecht), place Saint-Denis (Forest), place Sainte-Croix (Ixelles), place Van Meenen (Saint-Gilles), place Saint-Josse, parc Josaphat (Schaerbeek), parvis Saint-Pierre (Uccle), place de la Monnaie (Ville de Bruxelles), place Wiener (Watermael-Boitsfort) et esplanade de la maison communale (Woluwe-Saint-Pierre).



 
Bozar lance son cinéma en plein air GRATUIT à Bruxelles du 24 au 29 juin !


Dans le cadre du festival Urban Summer, Bozar lancera très bientôt son cinéma en plein air :


des rendez-vous cinématographiques gratuits qui permettront de profiter d’une sélection avisée (mais courte, avouons-le) de films et retransmissions artistiques (celles de l’Opéra Garnier de Paris) du 24 au 27 juin prochain.

L’été s’annonce couvert de septième art chez Bozar ! Du 24 au 27 juin, le bâtiment emblématique du Mont des Arts accueillera ses visiteurs pour plusieurs sessions de cinéma en plein air gratuit faisant la part belle à l’animation et à la danse.


Sa projection principale,

« La Troisième Scène » sera une suite documentaire plongeant dans les coulisses des productions de l’Opéra Garnier de Paris, articulée autour du mouvement de la danse et diffusé plusieurs fois.

C’est le mouvement, justement, qui devrait être le thème central des films diffusés, puisque « La Troisième Scène » sera en outre accompagné par le film d’animation multi-récompensé « Les Triplettes de Belleville » (ici, référence au vélo) ou encore « Residue » (de M. Gerima) et « Walking the Streets of Moscow » (de G. Daneliya).

Programmation :


Jeudi 24 juin à 21h : La Troisième Scène (1h30)
Vendredi 25 juin à 19h : Residue, de Merawi Gerima (2h)
Samedi 26 juin à 19h : Wadja, de Haifaa al Mansour (2h)
Samedi 26 juin à 21h : La Troisième Scène (1h30)
Dimanche 27 juin à 19h : Les Triplettes de Belleville, de Sylvain Chomet (2h)
Dimanche 27 juin à 21h : La Troisième Scène (1h30)
Lundi 28 juin à 19h : La Troisième Scène (1h30)
Mardi 29 juin à 19h : Walking the Streets of Moscow, de Georgiy Daneliya (2h)



L’accès aux films sera gratuit mais votre place devra être réservée sur le site de Bozar afin que des chaises (respectant la distanciation sociale) soient mises en place.

Cette offre sera accompagnée par des foodtrucks installés au Mont des Arts.





 
salam

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L’ASBL Secours Solidaire organisait le dimanche 1er octobre dernier, au Centre culturel d’Ottignies-Louvain-la-Neuve, un petit-déjeuner dont les bénéfices aideront à soutenir son projet d’adduction d’eau à Ben Tayeb, un village du nord du Maroc, «où les enfants font des kilomètres pour aller chercher l’eau le matin avant d’aller à l’école.
 

‘Walk With Amal’​

6 + 7
Oct.'21



Une petite fille, un grand espoir​

Dans The Walk (« La marche »), découvrez l’histoire d’Amal, une marionnette qui représente une petite fille syrienne qui se fait la porte-parole de tous les enfants déplacés du monde. La petite Amal entreprend un long voyage de 8.000 kilomètres qui la conduit de Turquie, en Grèce, en Italie, en France, en Suisse, en Allemagne, en Belgique et au Royaume-Uni. Ce festival itinérant entend apporter une réponse artistique en ces temps agités : une odyssée qui dépasse les frontières, qu’elles soient politiques ou linguistiques.


Le 6 et 7 octobre, Amal sera parmi nous à Bruxelles pour une étape artistique exceptionnelle ! À Bruxelles, Amal prend la forme d’un spectacle de danse créé par des danseurs et des circassiens sous les conseils artistiques de Sidi Larbi Cherkaoui.

Aux Abattoirs, lieu de la performance, nous découvrons une petite Amal hantée par ses souvenirs. Partout autour d’elle, ce qui semblait autrefois normal lui apparaît soudainement menaçant. Le Chœur d’enfants de la Monnaie sera de la partie pour célébrer Amal avec enfants, artistes et adultes réunis.



Un projet de lettres venant du monde entier destiné à Amal s’achemine vers le Théâtre National pour donner voix à des milliers d’enfants. Une sélection de lettres sera lue par les enfants à la place de la Monnaie en plusieurs langues comme clôture à ces deux journées à Bruxelles. Participez et rédigez une lettre à Amal avec votre classe, votre famille ou vos amis !
Gardez cette page à l’œil pour en savoir plus sur le programme.


Crédits :
Direction artistique : Amir Nizar Zuabi
Good Chance Production en collaboration avec Handspring Puppet Company
Pour le programme artistique à Bruxelles :
Conseiller artistique : Sidi Larbi Cherkaoui
Création musicale : Sara Dziri et bien d'autres.
Coordination artistique : Chaire Mahmoud Darwich
En collaboration avec la Chaire Mahmoud Darwich, Bozar, le Théâtre National Wallonie-Bruxelles, La Monnaie, Cie EASTMAN, Circus zonder handen, P.A.R.T .S, Cultureghem, la Plateforme Citoyenne des réfugiés et de nombreux autres partenaires scolaires et associatifs.
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles et la ville de Bruxelles.



Informations pratiques​

Dates​

Mercredi 6 octobre, 14:00 → 16:00
Jeudi 7 octobre, 11:00 → 15:00




 

Petite Amal​

Une petite fille qui fait un GRAND voyage

Petite Amal est la marionnette géante au cœur de La Marche qui entame un voyage de 8,000 km pour soutenir les réfugiés.
En 2021, la marionnette géante d’une jeune réfugiée syrienne va traverser la Turquie, la Grèce, l’Italie, la France, la Suisse, l’Allemagne, la Belgique et le Royaume-Uni à pied pour mettre en lumière le sort des jeunes réfugiés dans le monde.
Du haut de ses 3,5 mètres, ‘Petite Amal’ n’est pas si petite que ça. Pour en apprendre plus sur son fonctionnement, consultez la page de Handspring Puppet Company.

L’histoire de Little Amal​


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L’histoire de la Petite Amal débute dans la pièce de théâtre primée The Jungle. Cette production Good Chance s’inspire de véritables histoires, que les fondateurs Joe Murphy et Joe Robertson, ont entendu alors qu’ils ont implanté leur premier dôme-théâtre dans la jungle de Calais en 2015. La Petite Amal est un des personnages de The Jungle. Elle représente les centaines de mineurs non-accompagnés à Calais. Suite au succès de la pièce, qui a contribué à un dialogue mondial autour de la crise d’accueil des réfugiés, l’équipe de Good Chance a senti que le Petite Amal avait encore beaucoup à dire.





 

Dans le cadre du cycle de conférences « Femmes, Féminismes et Islam : l’égalité en question», l’association Dakira a le plaisir de vous convier à une rencontre-débat autour de la thématique : Femmes djihadistes : combattantes ou victimes ?



À cette occasion, ils tenteront de mieux comprendre le phénomène social du djihadisme et ses conséquences globales, tout en réfléchissant aux divers parcours des combattantes musulmanes, radicalisées sous l’influence de l’une des branches idéologiques soutenant une interprétation violente de l’islam.



L’association souhaite que les échanges occasionnés lors de cette rencontre contribuent à la démystification d’une thématique traitée, à cette occasion, de façon scientifique par les recherches de l’intervenante Myriam Amélie Chelly, docteure en sociologie, chercheuse, islamologue et auteure des livres


En attendant le paradis : anatomie des radicalisations (2019) et Dictionnaire des islamismes (2021) publiés aux éditions du Cerf.
Cet événement fait suite aux interventions précédentes : « Féminismes arabes: un siècle de combats », Firouzeh Nahavandy ; « Le genre intraitable : politiques de la virilité dans le monde musulman », Nadia Tazi ; « Femmes du Maghreb : l’égalité en question » Ghalia Djelloul et Latifa Laghdar ; « Femmes et pouvoir en Islam », Azadeh Kian.

MA 25 JANV.20:00


 

VERNISSAGE DE L'EXPOSITION LES OUBLIÉS DE LA MÉDINA - MEHDI BEN KHOUJA​

Espace Magh | Rue du Poinçon, 17 - 1000 Bruxelles


A l’origine, le mot arabe Médina signifie “ville”. Mais avec la colonisation européenne et la construction de nouvelles villes juxtaposées aux anciennes médinas, le terme a fini par désigner uniquement la “ville historique”.

Les médinas se sont toujours caractérisées par une mixité d'activités humaines.

Elles forment depuis des siècles un espace de vie foisonnant où viennent s’entremêler les fonctions résidentielles, économiques, sociales et culturelles de la ville.

Aujourd’hui, le développement des pays du Maghreb et l’évolution rapide des villes bouleversent ces modes de vie séculaires.

Cette exposition met en lumière certains pans plus ou moins cachés de la vie quotidienne dans la médina qui résistent – tantôt involontairement tantôt consciemment – à ces nouveaux bouleversements et rythmes effrénés du monde moderne.


Des photographies en noir et blanc, d’autres en couleurs, des portraits et vues d’ensemble se succèdent et contextualisent l’environnement des sujets photographiés.


Par son travail, l’artiste interroge les effets du mode de vie moderne et de ses contraintes sur la vie des gens de la Médina et, dans le même temps, leur capacité de résistance.

Né en 1987 à Rabat, Mehdi Ben Khouja est photographe indépendant et autodidacte.

Après sept années de travail dans la coopération internationale de la région du Maghreb et Moyen-Orient, il s’installe à Bruxelles et obtient, en 2020, son deuxième master en Relations
Internationales à l’Université Libre de Bruxelles.

Sa carrière photographique débute pendant les révoltes du printemps arabe où il travaillera sur la mémoire visuelle de cette période.

Il participera notamment à la publication de la première anthologie photo-journal sur les révoltes au Maroc en 2011 : Mouvement du 20 février tentative de documentation. En 2019, l’Espace Magh accueillait sa première exposition Tbourida, une histoire équestre

 

Morlanwelz : les collections permanentes du musée de Mariemont accessibles gratuitement​



L'occasion de jeter un œil sur les expositions en cours et à venir.​


Cela fait désormais plusieurs jours que le musée royal de Mariemont annonçait rendre accessibles gratuitement ses collections permanentes.

Le musée a également adapté ses tarifs et permet aux moins de 18 ans d'accéder gratuitement aux expositions temporaires.

Derrière ces décisions, le musée de Mariemont veut ainsi renouer avec la volonté de son fondateur : faire profiter ses collections au plus grand nombre tout mettant en œuvre la politique culturelle de la Fédération Wallonie-Bruxelles.


De plus, le musée royal de Mariemont poursuit l’ambition réelle de mettre la culture à la portée de toutes et tous et d’attirer de nouveaux publics.


Implanté au cœur d’un domaine de 45 hectares,



Le Musée royal de Mariemont abrite l’une des plus importantes collections publiques belges.

Léguée par Raoul Warocqué, elle est répartie en 8 collections que sont : les Trésors de Mariemont ; Egypte et Proche-Orient ; les œuvres grecques et romaines ; l'Extrême-Orient ; l'archéologie régionale; les porcelaines de Tournai ; des pièces de l'histoire régionale ou encore la réserve précieuse de livres anciens.

Amoureux de l'art de manière générale, Raoul Warocqué a notamment consacré une grande partie de sa fortune à l'acquisition de pièces de l'Antiquité, au patrimoine égyptien ou encore aux philosophies orientales.

Déambulant dans les couloirs de la collection permanente, vous pourrez admirer notamment de nombreuses statues grecques et romaines, d'anciennes fresques d'une villa de Pompéi, une collection d'antiquités égyptiennes constituées de nombreuses statuettes ou encore d'une statue monumentale de Cléopâtre de cinq tonnes.

Un véritable pavillon de thé asiatique est également installé au cœur même du musée. Hétéroclite, la collection permanente est également composée d'objets de nos régions.

Le musée présente une vaste collection de porcelaines de Tournai ainsi qu'une très grande collection d'objets ayant appartenus aux époques gallo-romaines et mérovingiennes attestant de notre savoir-faire de l'époque.
 
Côté expositions temporaires, le public peut profiter de l'exposition "Le mystère de Mithra. Plongée au cœur d'un culte romain".

En place jusqu'au 17 avril prochain, l'exposition suit les traces du dieu indien Mithra, un des cultes les plus mystérieux de l'Antiquité romaine.

En arpentant des couloirs souterrains et participant à des spectacles rituels, les visiteurs pourront admirer des œuvres d'art célèbres et des trouvailles récentes montrées au public pour la première fois.

Courant 2022, le public pourra ensuite admirer l'exposition "La Chine au féminin. Une aventure moderne".

L'exposition qui débutera le 2 avril prochain offrira un regard contemporain sur la femme chinoise et un regard inédit sur la Chine.


Le visiteur embarquera pour un voyage original à la découverte des femmes chinoises du 20ème siècle.


A partir d'objets authentiques tels que des robes, des bijoux, des marionnettes ou des
documents visuels et sonores, le musée royal de Mariemont met en scène la vie quotidienne de la population féminine chinoise et des héroïnes de la littérature et du cinéma.



Enfin, à l’occasion du bicentenaire du déchiffrement des hiéroglyphes par Jean-François Champollion et du centenaire de la découverte de la tombe de Toutankhamon, le Musée royal de Mariemont proposera deux expositions dédiées à l'Egypte.

La première, "Egypte. Eternelle passion", offrira un aperçu de la fascination égyptienne en Occident. Par le biais de sculptures, de porcelaines, de livres précieux, de jouets, de costumes, de bijoux ou encore de papiers peints, l'exposition interroge : comment et pourquoi l'Egypte s'est-elle invitée dans nos foyers depuis des siècles ?

Traversant ainsi l'Antiquité, la Renaissance, l'époque de Warocqué, touchant Rihanna, Assassin's Creed ou encore en influençant nos tatouages.

La deuxième exposition, nommée "Egypte. Eternelle passion : les vies multiples des cercueils", prendra elle place du 24 septembre 2022 au 16 avril 2023.

Elle abordera le cercueil comme symbole marquant de l'Egypte ancienne.


 

Immigration marocaine en Belgique: un nouveau dossier pédagogique pour dépasser les simplismes et briser les préjugés​

17/02/2022




Le Centre d’Action Laïque a choisi d’aborder l’histoire de l’immigration marocaine en Belgique dans son nouveau dossier pédagogique, cinquante-huit ans jour pour jour après la signature de la convention entre la Belgique et le Maroc.

Divisé en 10 fiches, le dossier pédagogique retrace les grandes dates de l’histoire marocaine en Belgique, notamment au départ des deux guerres mondiales et des charbonnages. Il est accompagné d’un site internet www.immigration-marocaine-en-Belgique.be qui offre aux professeurs et éducateurs l’ensemble des supports sous format numérique.

À l’instar de ceux sur l’avortement et sur la déportation des Juifs de Belgique, cet outil fournit des clés de compréhension historique et de décryptage pour dépasser les simplismes et saisir toute la complexité du réel.

Pour la Présidente du Centre d’Action Laïque, Véronique De Keyser: “Cette histoire a façonné notre pays, mais le chemin est encore long pour permettre à la communauté marocaine de Belgique de conquérir sa juste place dans les manuels scolaires et nous espérons modestement que ce dossier y contribuera.


Par ailleurs, les discriminations envers les personnes d’origine étrangère sont encore une dure réalité en Belgique, comme le prouvent les chiffres en matière d’accès au logement ou au marché du travail.

L’objectif est donc aussi de briser les préjugés sur les phénomènes migratoires à travers cette histoire belgo-marocaine.


Ça s’inscrit dans un travail de fond, plus large, que le CAL mène contre l’extrême droite.”


Conscient que cette histoire est trop riche que pour être entièrement résumée en 10 fiches, le dossier se concentre sur les éléments historiques et n’a pas la prétention de couvrir l’ensemble des aspects liés à l’immigration marocaine.

Il se base en partie sur l’exposition NASS BELGICA de 2014, initiative de l’ULB, en coproduction avec le Botanique, La Cambre, ENSAV, dans le cadre des commémorations des 50 ans de l’immigration marocaine en Belgique.

Pour la Présidente du Centre d’Action Laïque, “c’est d’abord une histoire collective, qui a mêlé des destins familiaux et nous concerne toutes et tous.

Comme souvent à cette époque, une migration s’articule autour de départs, d’arrivées, de travail laborieux et de revendications citoyennes dont les valeurs universelles de liberté et d’égalité sont les fondements.


Progressivement, cette histoire deviendra celle de droits acquis, de richesses culturelles et de mixité. Nous espérons que ce travail traduira cet élan et permettra d’avancer vers toujours plus d’égalité.”



 

VERNISSAGE DE L'EXPOSITION HUMANITÉ MULTIPLE - DJAMEL MERBAH​

Espace Magh | Rue du Poinçon, 17 - 1000 Bruxelles | Voir la carte




Célébré au niveau international, l'artiste Djamel Merbah a reçu de nombreuses récompenses.


Il a exposé dans plusieurs pays : Algérie, Allemagne, Belgique, France, Pays-Bas, Portugal. Il a également participé à de nombreuses expositions collectives dans le monde.



On ne saurait passer devant un tableau de Djamel Merbah sans s'y arrêter et s'y arrêtant on ne pourrait le recevoir sans convoquer l'intelligence sensible de l'œil.


Un premier regard, qu'il soit ou non le fruit d'une inadvertance, sortira ébloui d'un périmètre sacré où l'artiste a circonscrit la plus douce des lumières comme le plus ardent des feux. Que le regard s'attarde - au reste comment pourrait-il faire autrement - et c'est le "trait" lui-même, celui qui obéit aux prescriptions du formel et par lequel le figuratif instaure son genre, c'est ce trait qui nous interpelle. Il convient de le suivre lorsque capturant la femme tout en lui faisant don de

la plus rayonnante des libertés, il épouse, aux frontières de l'intangible, aussi bien la courbe

qui se dilue que la ligne qui se brise... Car c'est précisément à l'intérieur de ces "défaillances"

volontaires du pourtour que se situe le repère du sens. Il ne s'agit pas d'affirmer Ceci est une

femme ou Ceci est une fête et de "boucler" ainsi la légende. Le peintre préférera le paradoxalla-mort-du-pecheur-djamel-merbah-min-480x360.png

intitulé "Sans Titre" à toute désignation explicite, laissant au regardant la liberté de

s'approprier l'œuvre en l'interprétant à sa propre manière... (Liliane GUISSET)

 
Bozar
Moussem Centre Nomade des Arts

‘Sufi Night’​

29 Oct.'22 - 20:00
Concerts
Global Music
DescriptifInformations pratiquesTarifs
Tickets
Chaque année, Bozar et Moussem vous invitent à expérimenter des musiques et danses rituelles des traditions soufies. Cette année, cette soirée met à l’honneur deux traditions : celle des Bauls du Bengal et du Bengladesh et la cérémonie du Sêma incarnée par les derviches de l’ordre Mevelvi de Konya en Turquie.
Avec sa voix, ses gestes et sa personnalité uniques, Parvathy Baul porte aux oreilles et au cœur du public les paroles de sagesse de chants traditionnels qui ont inspiré des grands noms comme Sri Rama Krishna Paramahamsa et Sri Rabindranth Tagore (Prix Nobel de littérature 1913). Accompagnée d’instrumentistes de talent, elle présente
des chants issus du Baul Pada Madhuri, une anthologie des traditions Sahajia, Bauls et Fakirs.
Depuis sa fondation en 1990, le Konya Turkish Sufi Music Ensemble s’emploie à faire vivre les traditions de l’ordre soufi Mevlevi. Cet ensemble de la ville turque de Konya, plébiscité et récompensé par de nombreux prix, vous plonge dans la cérémonie du Sêma: une quête d’unité entre l’humain, le cosmos et le divin à travers la prière, le chant, la danse, les mouvements tourbillonnants et la transe méditative des derviches tourneurs.
Parvathy Baul
chant soufi
Nilanshuk Dutta
percussions
Shubhabrata Sen
dotara
Derviches tourneurs de Konya
ensemble
20:00
-
20:45
Parvathy Baul (Inde)
Parvathy Baul
chant soufi
Nilanshuk Dutta
percussions
Shubhabrata Sen
dotara

21:15
-
22:30
Derviches tourneurs de Konya (Turquie)
Derviches tourneurs de Konya
ensemble



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Informations pratiques​

Dates​

Samedi 29 octobre, 20:00 → 23:00

Lieu​

Salle Henry Le Bœuf

Rue Ravenstein 23 1000 BRUXELLES

Niveau sonore​

Niveau 2 ≤ 95 db

Tarifs​

Standard​

€ 16 - 20

< 30 ans​

€ 10

Voir aussi​


Moussem Centre Nomade des Arts
Coproduction




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Côté expositions temporaires, le public peut profiter de l'exposition "Le mystère de Mithra. Plongée au cœur d'un culte romain".

En place jusqu'au 17 avril prochain, l'exposition suit les traces du dieu indien Mithra, un des cultes les plus mystérieux de l'Antiquité romaine.
le culte de Mithra n' est pas mysterieux il vient des Aryens ancetres des hindous et des iraniens
Pour les hindous aryens il est un dieu a part , dieu du soleil , pour les iraniens il est soit le chef des anges d' Ahura Mazda, soit une divinite a part venere en tant que dieu unique dieu du soleil,
les iraniens l' appellent encore Mehr
 
Côté expositions temporaires, le public peut profiter de l'exposition "Le mystère de Mithra. Plongée au cœur d'un culte romain".

En place jusqu'au 17 avril prochain, l'exposition suit les traces du dieu indien Mithra, un des cultes les plus mystérieux de l'Antiquité romaine.

En arpentant des couloirs souterrains et participant à des spectacles rituels, les visiteurs pourront admirer des œuvres d'art célèbres et des trouvailles récentes montrées au public pour la première fois.

Courant 2022, le public pourra ensuite admirer l'exposition "La Chine au féminin. Une aventure moderne".

L'exposition qui débutera le 2 avril prochain offrira un regard contemporain sur la femme chinoise et un regard inédit sur la Chine.


Le visiteur embarquera pour un voyage original à la découverte des femmes chinoises du 20ème siècle.


A partir d'objets authentiques tels que des robes, des bijoux, des marionnettes ou des
documents visuels et sonores, le musée royal de Mariemont met en scène la vie quotidienne de la population féminine chinoise et des héroïnes de la littérature et du cinéma.



Enfin, à l’occasion du bicentenaire du déchiffrement des hiéroglyphes par Jean-François Champollion et du centenaire de la découverte de la tombe de Toutankhamon, le Musée royal de Mariemont proposera deux expositions dédiées à l'Egypte.

La première, "Egypte. Eternelle passion", offrira un aperçu de la fascination égyptienne en Occident. Par le biais de sculptures, de porcelaines, de livres précieux, de jouets, de costumes, de bijoux ou encore de papiers peints, l'exposition interroge : comment et pourquoi l'Egypte s'est-elle invitée dans nos foyers depuis des siècles ?

Traversant ainsi l'Antiquité, la Renaissance, l'époque de Warocqué, touchant Rihanna, Assassin's Creed ou encore en influençant nos tatouages.

La deuxième exposition, nommée "Egypte. Eternelle passion : les vies multiples des cercueils", prendra elle place du 24 septembre 2022 au 16 avril 2023.

Elle abordera le cercueil comme symbole marquant de l'Egypte ancienne.


Mithra est a la fois iranien et indien et pas qu' indien
il vient du Zagros
 
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