faut il creuser un canal fluvial entre nord et le centre

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion el jadida
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il faut juste instaurer un système de régulation fleuves peuvent être responsable des pollutions des océans

Si tu ne pollues pas le fleuve, le fleuve ne pollue pas l'océan.

Ce qu'il faut pour l'eau, c'est surtout rationaliser la consommation d'eau de l'agriculture.

Il n'est pas normal que le Souss produise des agrumes et des légumes par exemple.
 
Si tu ne pollues pas le fleuve, le fleuve ne pollue pas l'océan.

Ce qu'il faut pour l'eau, c'est surtout rationaliser la consommation d'eau de l'agriculture.

Il n'est pas normal que le Souss produise des agrumes et des légumes par exemple.

Voilà c'est ce que j'ai dit plus haut, c'est de la folie de produire par exemple des tomates pour l'exportation dans le Souss. C'est un exemple parmi tant d'autres.
 
RESSOURCES EN EAU
Les eaux de surface

Les ressources en eau de surface sont limitées et très irrégulières. Les débits des oueds présentent une forte irrégularité interannuelle. Ils ne sont pérennes que sur leurs cours de montagne et de piémont et ne coulent que pendant de courtes périodes où surviennent des crues, parfois rapides et violentes. L'apport moyen en eau de la région est évalué à 635 Mm3/an. Les apports minimum et maximum enregistrés sont respectivement de 35 Mm3 (1960-61) et 2.160 Mm3 (1962-63).
v Le Bassin du Souss

Les principaux affluents drainés par l'oued Souss sont ceux de la rive droite, dont les plus importants sont l'oued Issen et ceux du Haut Souss.

Le régime hydrologique de l'oued Souss est caractérisé par une forte irrégularité saisonnière et interannelle. Le maximum des apports intervient pendant les mois de Janvier, Février et Mars et le minimum est observé en Août.

Tout au long de son parcours jusqu'à l'océan, l'oued Souss reçoit un apport moyen annuel de 235 Mm3 (190 Mm3 des affluents du Haut Atlas (rive droite) et de 45 Mm3 des affluents de l'Anti Atlas (rive gauche). L'oued Issen contribue à lui seul avec un apport moyen annuel de 80 Mm3.

L'oued Souss, qui constitue la quasi totalité des apports d'eau, est caractérisé par l'occurrence de crues d'automne et d'hiver provoquées par des précipitations frontales ou de crues de printemps provoquées par la fonte de neige. La crue historique maximale observée a atteint en octobre 1987 un débit de pointe de 1.650 m3/s et un volume de 36 Mm3 au site du barrage Aoulouz.
v Le Bassin du Massa

Le bassin du Massa est drainé par les oueds d'Amaghous et d'Assaka, qui prennent tous deux naissances dans la partie atlantique de l'Anti-Atlas. Les apports moyens annuels de l'oued Massa sont évalués à 138 Mm3.

La crue historique maximale observée en décembre 1957 a atteint un débit de pointe de 2.800 m3/s et un volume de 300 Mm3 en 6 jours. La crue maximale observée en 1996 a atteint un débit de 1.022 m3/s et un volume de 175 Mm3.
v Les Bassins côtiers

Les bassins côtiers atlantiques sont drainés par deux principaux oueds, le Tamri et le Tamraght, qui prennent leur source dans le Haut-Atlas Occidental. Les apports moyens annuels sont évalués à 50 Mm3 pour l'oued Tamri et 25 Mm3 pour l'oued Tamraght

En 1983 , la crue historique maximale observée sur l'oued Tamri a atteint un débit de pointe de 1.700 m3/s et un volume de près de 60 Mm3. Par contre, la crue de 1996, a connu un débit de 1.240 m3/s et un volume de 52 Mm3.
Les eaux souterraines

La région du Souss Massa comprend deux principales unités hydrogéologiques : la nappe du Souss et la nappe des Chtouka.
v La nappe du Souss

Le bassin hydrogéologique de la nappe du Souss s'étend sur une superficie de 4.150 km². Il est limité au Nord par le Haut Atlas, au Sud par l'Anti-Atlas et débouche à l'Ouest sur l'Océan Atlantique.

Constituée par les formations de remplissage de la vallée dont l'âge va de l'Eocène au quaternaire, elle constitue le réservoir phréatique le plus important du pays et joue un rôle primordial dans le développement économique et social de la région du Souss.

La baisse que connaît la piézomètrie de cette nappe, en raison de la surexploitation par puits et forages et de la sécheresse qui sévit dans la région depuis les années 1970, s'est traduite par l'assèchement progressif des résurgences, des sources et des khettaras. Actuellement, la contribution de la nappe dans le débit de base de l'Oued Souss est négligeable alors qu'elle était importante durant la période 1950-1970.

L'analyse des bilans de la nappe (voir tableau ci-après) a montré que le déstockage des ressources non renouvelables varie entre 100 et 370 Mm3 /an, soit 260 Mm3 en moyenne. Le déstockage évalué depuis 1968 serait de l'ordre de 5.3 Milliards de Mm3 sur une réserve totale de 33 Milliards de Mm3. La baisse moyenne du niveau piézomètrique engendrée varie entre 0.5 m/an et 3 m/an.
v La nappe des Chtoukas

La plaine, qui s'étend sur une superficie de plus de 940 km² , des Chtouka constitue une extension de la plaine du Souss vers le Sud-Ouest. Elle est limitée au Nord par la route d'Agadir-Biougra, à l'Est par les affleurements des formations primaires de l'Anti-Atlas, au Sud par l'Oued Massa et à l'Ouest par l'Océan. L'analyse du bilan permet de constater que la nappe de Chtouka est relativement équilibrée. En 1996, ce bilan a été excédentaire de près de 15 Mm3.
 
rebonjour,
puisque on parle des cultures irriguees non seulement au Souss mais dans tout le maroc ce n'est pas un secret de polichinelle que ces cultures sont des sources de gaspillage a outrance.Sur ce cote la il faut economiser l'eau en utilisant des technologies et des techniques (elles sont disponibles)pour reduire la consommation de l'eau.Meme chose pour les puits ,je trouve inconcevable que au maroc de 2010(quelques mois)des maisons nouvelles sont construites dans des quartiers en plein centre des grandes villes possedent encore des puits ou on peut utiliser l'eau comme bon il leur semble.c'est aberrant et c'est inouie.merci
 
Parfois, l'homme doit prendre des decisions qui n'ont jamais ete d'accord avec le passe et ne dit pas que c'est impossible.
Tout est possible meme la division par zero, il faut juste avoir une vision pour l'infini ..
le future...
on peut meme diviser x ou y par zero, tout est possible si on interprete l'infini comme equation.
c'etait des gents scientifiques avec des visions qui ont construit le canal de panama et c'etait des gens scientifiques avec visions qui ont construit le canal du suez.
10,000 ans avant, un pharoe qui s'appelait Akhenaten a devie l'eau du riviere Nile qui est la seule source de l'eau pour l'Egypt vers des regions qui avaient besoins de l'eau pour survivre.
Si Akhenaten l'a fait ca fait 10,000 ans, pourquoi nous on peut pas le faire dans l'an 2009?
rien n'est impossible, meme la division par zero.
il faut juste avoir une vision pour le future.
 
vu qu'il pleut souvent dans le nord peut être il faut creuser un canal fluvial pour déverser cette eau dans la région ou il manque d'eau , exemple relier 2 rivières

Un canal est un cours d'eau artificiel, navigable ou non. Les canaux sont généralement d’eau douce, mais le canal de Corinthe ou le canal de Suez, qui ne quittent pas le niveau de la mer, sont salés.

Il peut s’agir d’une structure entièrement artificielle, ou d’un fleuve ou d’une rivière canalisé sur tout ou partie de son cours. L’Homme modifie alors les caractéristiques géométriques et hydrauliques d’un cours d’eau, par curages, creusements, rectifications, élargissement (ex : pour « mise à grand gabarit »). La canalisation des grands fleuves (Rhin, Rhône) ont été accompagnés de comblements de méandres ou de « chevelus » pour « canaliser l’eau » dans un cours principal contraint. On a généralement cherché à rendre ce dernier plus rectiligne pour faciliter la navigation, au détriment de la naturalité et richesse écologique et fonctionnelle des zones humides antérieurement présentes.

Dès l’Antiquité, puis au Moyen Âge, des berges ont été aménagées, pour empêcher les inondations en cas de crue, pour faciliter la traction (halage) et l’accostage, par la construction d'embarcadères, quais et chemins de halage, puis par la création d’écluses, voire d’ascenseurs à bateaux, de ponts-canaux ou de passages en tunnels ont encore facilité la circulation, et enfin par des gares d’eau et des points de virement des bateaux et ports fluviaux.

Avec l'invention de la motorisation et pour lutter contre la dégradation des berges par le « batillage » causé par la vitesse des péniches et bateaux à moteurs, de nombreux canaux ont des berges de béton ou palplanches métalliques.


http://www.bladi.info/205042-pluie-maroc-moment/

pk tu veux piquer notre eau? deja que vous piquez notre pognon
 
Prêt koweïtien de 450 millions de dirhams pour un nouveau barrage à Khénifra
15 octobre 2009 - Commentaires? - En discuter sur les forums? - Facebook Twitter Prêt koweïtien de 450 millions de dirhams pour un nouveau barrage à Khénifra

Le Maroc et le Fonds koweïtien pour le développement économique arabe (FKDEA) ont signé un accord de 450 millions de dirhams pour la construction du barrage Tamalout sur l’oued Ansegmir dans la province de Khénifra.

Ce nouveau barrage approvisionnera la population locale en eau potable et permettra d’irriguer plus de 5000 hectares de terres agricoles. Le barrage Tamalout devrait être mis en en service en 2011.

Ce prêt accordé au Maroc sera remboursé sur 24 ans. Il s’agit de la 36ème convention entre le Maroc et le Fonds koweïtien qui a déjà financé pour plus de 11 milliards de dirhams de projets dans le Royaume.
 
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