France-maroc : le problème fabius

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Faut sortir les dossiers fâcheux contre ces 2 là! Ils ont bénéficié d'enveloppes bien fournie de la part de l'Algérie pour financer campagne, projets....le fils Fabius avait commencé à en faire les frais. Mais , justice immanente, le Fab est bientôt hors jeu; va y avoir des courses en chaise roulante bientôt.
 
qu'est ce qu'il ne faut pas lire
un concentré d'imagination avec quelques faits réels pour faire gober du n'importe quoi mais certainement pas à n'importe qui.

Il fallait attendre les relations glaciales entre le Maroc et la France pour tirer avec des balles sur quelqu'un qui a un gilet au kevlar?
le problème est ailleurs


Qui veut noyer son chien l'accuse de la rage
je profère une personne qui abandonne son chien sur un air d'autoroute.
 
Avec un Valls aussi sioniste qu'un Netanyahu et tres conciliant avec l'extremiste Liberhman, Avec des Le Drian et Fabius aussi anti marocains que Bouteflika, Avec une situation economique tres inquietante et un president qui n'est pas a la hauteur, il doit y avoir un vote sanction "marocain" contre ces socialistes.

Fabius n'a pas intérêt à ce que le conflit entre le Maroc et l'Algérie cesse. Car pour lui tant que ce conflit dure, les deux pays couriront derrière la France pour avoir son soutien au Conseil de Sécurité de l'ONU. Par conséquent Fabius à une carte très efficace. Le Maroc, dans ce cas doit trouver un autre allié tel que la Russie, la Chine, la Grande Bretagne ou les USA. Mais l'histoire nous a montré que les alliés en politique n'existent que si t'as quelque chose à leur offrir. Pour le Moment, c'est l'Algérie qui a quelque chose à offrir de valable (Pétrole et Gaz). Par conséquent le Maroc doit tenir jusqu'en 1935 date à laquelle l'Algérie n'aura ni l'un ni l'autre.
Le Drian est un suiveur de Fabius ni plus ni moins.

La France de Hollande a démontré comme celle de Mitterrand qu'elle n'est pas ami du Maroc. Donc attendons que Sarko ou Juppé soit à l'Elysée.
Mais pour le Maroc, il vaudrait mieux avoir Sarko, car il est plus lié au Maroc que Juppé. En plus on l'a déjà essayé et il n'a jamais lâché le Maroc.

Le Scénario le plus négatif pour le Maroc, c'est que la France nous lâche à l'ONU et que la question de la Minurso et des droits de l'homme passe. Dans ce cas, le Maroc doit choisir entre renvoyer la Minurso et se préparer à la Guerre. Soit laisser la Minurso, mais ne pas lui permettre d'effectuer son travail avec un risque d'être encore sanctionné pour cela au niveau de l'ONU. Soit laisser la Minurso travailler au Maroc et par conséquent la Minurso deviendra une très bonne arme aux mains des ennemis de notre intégrité territoriale.
C'est pour cette raison que l'état actuel des choses arrange le Maroc. La situation est bloquée et c'est le Maroc qui est sur le terrain. Et l'Algérie fera tout pour sortir ce conflit de cette situation, car pour elle qui continue à financer le Polisario, cela lui coûte beaucoup d'argent sans aucun résultat.
 
François Hollande est-il un président sous influence ? Il faut bien croire que oui. Depuis son investiture, un homme semble le conduire à la baguette notammant sur les grandes questions du monde. Cet homme est Laurent Fabius, son ministre des Affaires étrangères. Au Quai d'Orsay, c'est devenu même un motif de fierté tant la situation s'est renversée depuis l'ère Sarkozy ou des Mazarin comme Claude Guéant veillait à ce que ce soit la cellule diplomatique présidentielle qui donne le ton de la France à l'étranger. Mais avec quelles conséquences avec le Maghreb ?

" Avec Mitterrand, j'étais un jeune homme. Lui, un homme installé. Là, j'ai dix ans de plus que Hollande. On n'est pas du tout dans le même rapport " avait déclaré Fabius comme une sorte d'aveu de puissance, lui qui en effet a été Premier ministre alors que Hollande usait encore ses fonds de culotte sur les bancs de l'ENA.

" Ce n'est pas un ministre des Affaires étrangères ordinaire. Pas un ministre normal. C'est un ancien Premier ministre, il a une expérience d'État " reconnaît avec un rire pincé le Président lui-même. D'aucuns disent que Hollande, connu pour son hésitation et son inexpérience à l'international a besoin des précieux conseils de Fabius, mais que cette dépendance secrète le rend dangereusement indispensable au point de mettre le feu aux poudres avec un allié aussi essentiel que le Maroc.

" Loyal mais pas subordonné. Fabius a noué une alliance politique avec le Président qui lui permet de compter " affirme un diplomate, mais il ajoute que le fait de laisser Fabius en roue libre a aussi des conséquences néfastes.

Cette même source au Quai d'Orsay ajoute un élément clé de l'influence de Fabius dans les plus hautes sphères de l'Etat français : il est d'autant plus précieux que beaucoup de ceux qui comptent aujourd'hui ont travaillé un jour à ses côtés et occupent des postes clés dans l'appareil d'État ou les grandes entreprises.

Mieux encore, il distille aussi ses recommandations à Matignon. Cela a été le cas avec Ayrault qu'aujourd'hui avec Valls. Fabius ne dit-il pas d'ailleurs à qui veut l'entendre qu'il est " omniscient " ? Une fanfaronnade qui fait de lui un maître de l'immixtion pour peser sur telle ou telle décision, ce qui inquiète souvent les tenants d'un bon voisinage avec Rabat.

Renforcé par des amitiés durables, la galaxie Fabius compte nombre de cercles économiques, politiques, technocratiques ou culturels. Une manière d'agir qui rappelle le fonctionnement sournois des cercles cloisonnés, à la Mitterrand.

Depuis un temps, l'homme sait qu'il ne briguera plus la présidence de la République, lui que l'on dit usé par un Parkinson précoce. Il a donc jeté tous ses efforts pour demeurer dans l'Histoire en transformant ses atouts en réseaux de connivences et d'influence. Les réseaux fabiusiens sont très fournis, très efficaces, très divers. Une de ses chevilles ouvrières, Claude Roiron se défend du fait qu'il en abuse, mais ce qu'il présente comme un think tank lové dans la haute administration n'est en réalité qu'une puissante machine de lobbying, constituée d'experts et de technos aux dents longues. Un de ses hommes est Stéphane Israël, sa plume en réalité qui a été directeur de cabinet d'Arnaud Montebourg. Il a animé avec Bernard Pêcheur et Florence Parly les petits déjeuners du Café Musset et des déjeuners organisés au Bistrot de Paris ou chez Fabius lui-même. Des rencontres discrètes qui cherchaient entre autres à remettre coûte que coûte en selle le régime algérien sur la scène régionale.

Ses ouailles disent de lui qu'il est un facilitateur au service de la diplomatie économique, son cheval de bataille au Quai. Aussi, la Fabiusie fonctionne avec comme ordre de bataille l'entrisme et le pragmatisme à outrance. Ce n'est pas par hasard que dans la plupart des cabinets ministériels, on trouve aujourd'hui un fabiusien qui défend la suprématie d'un axe Paris-Alger au Maghreb.

Mais pour durer et laisser sa trace, Fabius remet souvent les couverts d'un PS à l'ancienne. Derrière son caractère poli et conciliateur, il cache mal qu'il est en fait un digne héritier d'une gauche poussièreuse, souvent hostile au Maroc, celle de 1981 qui avait vu arriver un François Mitterrand coriace et son épouse Danielle que Hassan II avait qualifiée d'"épouse morganatique".

Et avec le royaume chérifien, il se comporte en dinosaure socialiste, accumulant les impairs jusqu'à causer l'irréparable. N'est-il pas le principal responsable du long hiver glacial que traversent les relations bilatérales entre les deux pays ?

" En politique, quand ça va, c'est ennuyeux " marmonne-t-il souvent. Une raison pour laquelle il cultive des relations distantes avec Rabat et adopte une opinion ambivalente de Normand sur les sujets qui fâchent dont celui nodal pour le Maroc : le dossier du Sahara. De plus, " il a toujours fait en sorte que ses liens soient quasi-inexistants avec l'entourage du roi " confirme une source au Quai d'Orsay. Une manière de montrer à Alger qu'il veut lui marquer sa préférence.

Les raisons sont encore une fois historiques. Côté officiel, il suffit de rappeler ici que feu le roi Hassan II avait demandé l' adhésion du Maroc à l'Union européenne dans les années 1980, à l'occasion d'une visite mémorable à Rabat de Laurent Fabius alors Premier ministre de Mitterand. La proposition royale était de l'ordre du symbolique et devait tracer le long chemin que devait parcourir le royaume jusqu'à son obtention récente du " statut avancé " avec l'UE. Cassant, Fabius avait clairement rejeté cette demande au moment où il caressait dans le sens du poil une Algérie tenue par la junte militaire. On sait que depuis l'Algérie n'a pas été un bon compagnon de l'Europe, mais plutôt un frein à l'unité du Maghreb, seul gage d'une coopération étendue avec l'UE, contrairement au Maroc qui a su consolider un partenariat multi-formes avec ses voisins du Nord.

Une autre anecdote historique démontre le double-jeu permanant de Fabius à l'égard du Maroc. Invité à donner un discours au Palais Bourbon, Hassan II pénètre dans l'hémicycle sous les applaudissements, entouré des princes. Seuls certains députés socialistes, dont Laurent Fabius et Henri Emmanuelli. ne se lèveront pas. Cette marque de défiance avait révélé la duplicité de Fabius à l'égard du Maroc, alors que celui-çi affirmait pourtant que la venue du roi en France alors que les liens avec Paris étaient grippés, était non seulement souhaitable, mais nécessaire aux bonnes relations de voisinage entre les deux pays.

C'est de cette époque lointaine qu'on lui reconnaît un tropisme prononcé pour l'Algérie. Des décennies plus tard, ce penchant pour Alger ne s'est jamais démenti, lui qui avait favorisé la proximité de Hollande avec son conseiller politique Faouzi Lamdaoui, un natif de Constantine, récemment débarqué suite à un scandale de corruption. Un autre hollandais, l'eurodéputé Kader Arif aux racines algériennes avait aussi le soutien discret mais efficace de Fabius. Il sera à son tour limogé suite à de forts soupçons de malversations. Sans oublier bien entendu Arnaud Montebourg dont la hargne anti-marocaine avait provoqué quelques grincements de dents à Rabat: le chantre de la "démondialisation" a une vague attache avec l'Algérie par le biais de sa mère Leïla Ould Cadi, descendante d'un wali de l'Algérie française... Lui aussi est tombé du carrosse présidentiel suite à un récent remaniement ministériel.

Mais qu'à cela ne tienne. Fabius demeure un allié inconditionnel de l'Algérie socialiste avec qui il tente desespérement de nouer des liens économiques improbables et à qui il cache mal l'ambition de lui octroyer un statut de gendarme de la région, alors que le régime des généraux a démontré par le passé son incapacité à régenter les conflits qu'ils soient intérieurs ou régionaux. C'est pourquoi cette religion fabiusienne pour le Maghreb a de graves conséquences sur les relations franco-marocaines et met à mal l'équilibre sécuritaire en Afrique du Nord, mais aussi sur le théâtre européen, comme nous venons de le constater avec le tragique attentat contre Charlie Hebdo. Le vieux routier de la politique sécuritaire Charles Pasqua l'a bien relevé dans Le Figaro quand celui-çi pointait du doigt l'irresponsabilité française dans le gel de la coopération policière entre Rabat et Paris. Une coopération qui jusqu'ici a déjoué bien des attentats sur le sol français.

SUITE...


il est vachement normand celui la

comme disait l'autr il a une tete pas tres catholique
 
Le Maroc ne doit pas insister si le Mali préfère être assisté par le Tandem Hollande/Bouteflika.

Dans le cas ou le Chef Touareg Agua refuse la présence de la France et l'Algérie, le Mali ne pourra rien faire sauf se plier à ses exigences et inviter le Maroc. Car la paix se fait avec ses ennemis et non avec ses amis.
Et µAgua sait que l'Algérie ne poussera jamais vers l'audétermination des Touareg. Par conséquent, il fera tout pour que l'Algérie soit absente ou même si elle est présente, qu'elle n'ait pas son mot à dire.
 
Laurent Fabius doit on le rappeler pour les plus jeunes d'entre nous c'est sabord en France le scandale du sang contaminé dans les années 80, et aujourd'hui en tant que ministre des AE c'est cette politique va-t'en-guerre en Syrie où il a été jusqu'à publiquement féliciter les jihadistes d'Al Nosra contre le régime syrien, ensuite il a détruit la relation franco marocaine.

Pour ce qui est du Mali il est évident que la proposition marocaine qui serait de prôner une régionalisation avancée des touaregs au Nord Mali a rencontré les plus vives hostilités de l'Algérie et de la France par jeu d'alignement de Fabius/Le Drain sur Bouteflika le président fantoche de l'Algérie.

En résumé le problème du Mali est très loin d'être résolu car l'Algérie/France vont droit dans la mauvaise direction en évacuant le problème touarègue du Nord Mali.
 
Ce passage montre que la partie malienne que le Maroc voudrait aider dans les négociations est rejetée du processus de paix par Alger/Paris/Bamako. Clairement ces 3 pays ne veulent pas du Maroc, que peut faire le Maroc sinon se retirer et les laisser se débrouiller entre eux? Quoiqu'il arrive les bases de pacification de la région Nord Mali sont très difficiles à obtenir sur le long terme, c'est un guêpier. Que le Maroc propose sa médiation quand elle s'en sent capable, c'est bien mais si elle est rejetée je pense qu'il vaut mieux se retirer. L'Algérie n'a jamais été une source de stabilisation de la région mais bien l'inverse.
Nous devons laisser l'enfant monstre de la France travailler avec le Mali. La France, l'Algérie et le Mali souhaite exclure le Maroc, mais ce n'est pas le cas du MNLA. Ce que nous pouvons faire nous, c'est apporter notre soutien au MNLA (leur cause est légitime, puis IBK reconnaît la RASD).
Œil pour œil, dent pour dent. Mais il en faut du courage pour s'opposer à la "françafrique"... :prudent:
 
Le Scénario le plus négatif pour le Maroc, c'est que la France nous lâche à l'ONU et que la question de la Minurso et des droits de l'homme passe. Dans ce cas, le Maroc doit choisir entre renvoyer la Minurso et se préparer à la Guerre. Soit laisser la Minurso, mais ne pas lui permettre d'effectuer son travail avec un risque d'être encore sanctionné pour cela au niveau de l'ONU. Soit laisser la Minurso travailler au Maroc et par conséquent la Minurso deviendra une très bonne arme aux mains des ennemis de notre intégrité territoriale.
C'est pour cette raison que l'état actuel des choses arrange le Maroc. La situation est bloquée et c'est le Maroc qui est sur le terrain. Et l'Algérie fera tout pour sortir ce conflit de cette situation, car pour elle qui continue à financer le Polisario, cela lui coûte beaucoup d'argent sans aucun résultat.
La France nous a déjà lâché, elle votera pour au CS, tu verras... C'est pourquoi le Maroc compte sur l'Espagne, la Russie et les USA... Mais j'espère qu'ils nous lâcherons aussi. Nous verrons ce que M.VI a dans le pantalon, j'espère qu'il fera ce qu'il a dit :prudent:
 
Laurent Fabius doit on le rappeler pour les plus jeunes d'entre nous c'est sabord en France le scandale du sang contaminé dans les années 80, et aujourd'hui en tant que ministre des AE c'est cette politique va-t'en-guerre en Syrie où il a été jusqu'à publiquement féliciter les jihadistes d'Al Nosra contre le régime syrien, ensuite il a détruit la relation franco marocaine.

Pour ce qui est du Mali il est évident que la proposition marocaine qui serait de prôner une régionalisation avancée des touaregs au Nord Mali a rencontré les plus vives hostilités de l'Algérie et de la France par jeu d'alignement de Fabius/Le Drain sur Bouteflika le président fantoche de l'Algérie.

En résumé le problème du Mali est très loin d'être résolu car l'Algérie/France vont droit dans la mauvaise direction en évacuant le problème touarègue du Nord Mali.
 
La France nous a déjà lâché, elle votera pour au CS, tu verras... C'est pourquoi le Maroc compte sur l'Espagne, la Russie et les USA... Mais j'espère qu'ils nous lâcherons aussi. Nous verrons ce que M.VI a dans le pantalon, j'espère qu'il fera ce qu'il a dit :prudent:

Alors ça avance en quoi le Maroc de savoir ce que M6 a dans le pantalon. En politique étrangère on ne joue pas au Loto.
C'est irresponsable.
 
Alors ça avance en quoi le Maroc de savoir ce que M6 a dans le pantalon. En politique étrangère on ne joue pas au Loto.
C'est irresponsable.
C'est une façon de parler... Ce que je voulais dire, c'est est que j'espère qu'il mettra en exécution ses menaces (au risque de devoir supporter des sanctions économiques) car le dernier mot lui revient.
 
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