En 1978, l’armée israélienne avec l’aide de l’OTAN envahit le Liban, s’ensuit des massacres de masse, liquidation d’intellectuels par les services secrets israéliens, crimes contre l’humanité. La lutte populaire s’organise contre l’occupant. Georges Abdallah en fait partie. Il a été blessé pendant l’invasion puis arrêté à Lyon en 1984 sous prétexte de faux papiers bien que le passeport algérien en sa possession fût un vrai. Deux ans plus tard (!), une arme utilisée dans l’assassinat des agents du Mossad et la CIA a été trouvée dans son appartement. Il est accusé de « complicité » d’assassinat et a été condamné à perpétuité avec une peine de sûreté de 15 ans.
En 1999, à la décision du juge français autorisant la libération de Georges Ibrahim Abdallah, le State Department réagit vivement : « Le gouvernement des États-Unis exprime sa ferme opposition quant à l’éventualité d’une mise en liberté conditionnelle de Georges Ibrahim Abdallah pouvant résulter de la procédure à venir devant le Tribunal de Grande Instance de Paris». A partir de ce moment-là, toutes les demandes de libération ont été refusées ! Sauf en novembre 2012, la justice par le Tribunal d’Application des Peines et la Cour d’Appel, rend une décision favorable à la libération de Georges ABDALLAH.
Le gouvernement a tout fait pour arrêter cette décision de libération sur ordre des Etats Unis !
En 1999, à la décision du juge français autorisant la libération de Georges Ibrahim Abdallah, le State Department réagit vivement : « Le gouvernement des États-Unis exprime sa ferme opposition quant à l’éventualité d’une mise en liberté conditionnelle de Georges Ibrahim Abdallah pouvant résulter de la procédure à venir devant le Tribunal de Grande Instance de Paris». A partir de ce moment-là, toutes les demandes de libération ont été refusées ! Sauf en novembre 2012, la justice par le Tribunal d’Application des Peines et la Cour d’Appel, rend une décision favorable à la libération de Georges ABDALLAH.
Le gouvernement a tout fait pour arrêter cette décision de libération sur ordre des Etats Unis !
L’origine du refus de libération de Georges ABDALLAH n’est pas juridique mais politique.
Georges ABDALLAH n'a pas été libéré malgré les décisions des juges (tribunal d'application et la cour d'appel) sur ordre des EU. Valls n'a pas signé l'arrêté d'expulsion (une des 5 conditions de libé…
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