Mariama91
Belted Buckled and Booted
Il y a des choses qui, de quelques manières que ce soit, ne trouvent pas dexplication.
Le goût de la fameuse Harira rouge, par exemple, couplé à de la viande et des pois chiches, cest fichtrement bon. Sur ce point, je pense que personne dans Bladi ne devrait me contredire. Pourquoi, alors, pourquoi doit-on manger de la Harira uniquement en période de fêtes ?
Pourquoi diable les Harira ont généralement lieu soit en période de Ramadan, soit dans les mariages ?
Quels ont été les évènements parvenus sur Terre ou dans lUnivers qui font que lorsquune bouche sage propose de la Harira au dîner, il y ai entre 80 et 97% de chances quon lui réponde « Oh, cest pas vraiment le moment » .
Il y aurait donc un point du continuum espace-temps, une fracture sur la ligne temporelle plus propice à la dégustation de la Harira. Comment le connaissons-nous ? Par convention ?
Il y aurait eu, à un moment donné dans un temps lointain, des types en blouse blanche avec les cheveux ébouriffés et de grosses lunettes, résolvant de complexes équations dont le but était, à terme, de définir à quel moment la Harira est-elle plus profitable ? Ou sommes-nous naturellement conditionnés à napprécier pleinement ce met magnifique quest la Harira ?
Avons-nous, profondément encré dans notre corps, une réticence à manger de la Harira hors de la période des fêtes, une sorte dinstinct de survie ?
Si tel était le cas, il en découlerait une affirmation, paraissant au premier abord aussi stupide queffrayante : manger de la Harira à nimporte quel moment peut avoir des effets non estimés voire dangereux.
Au secours !! vivement le Ramadan :langue:
Le goût de la fameuse Harira rouge, par exemple, couplé à de la viande et des pois chiches, cest fichtrement bon. Sur ce point, je pense que personne dans Bladi ne devrait me contredire. Pourquoi, alors, pourquoi doit-on manger de la Harira uniquement en période de fêtes ?
Pourquoi diable les Harira ont généralement lieu soit en période de Ramadan, soit dans les mariages ?
Quels ont été les évènements parvenus sur Terre ou dans lUnivers qui font que lorsquune bouche sage propose de la Harira au dîner, il y ai entre 80 et 97% de chances quon lui réponde « Oh, cest pas vraiment le moment » .
Il y aurait donc un point du continuum espace-temps, une fracture sur la ligne temporelle plus propice à la dégustation de la Harira. Comment le connaissons-nous ? Par convention ?
Il y aurait eu, à un moment donné dans un temps lointain, des types en blouse blanche avec les cheveux ébouriffés et de grosses lunettes, résolvant de complexes équations dont le but était, à terme, de définir à quel moment la Harira est-elle plus profitable ? Ou sommes-nous naturellement conditionnés à napprécier pleinement ce met magnifique quest la Harira ?
Avons-nous, profondément encré dans notre corps, une réticence à manger de la Harira hors de la période des fêtes, une sorte dinstinct de survie ?
Si tel était le cas, il en découlerait une affirmation, paraissant au premier abord aussi stupide queffrayante : manger de la Harira à nimporte quel moment peut avoir des effets non estimés voire dangereux.
Au secours !! vivement le Ramadan :langue: