ce qui veut dire plus de pouvoir pour les sionistes afin de continuer leur crime en toute tranquilité
n'en il pas parler des 1000 civil assasiné a gaza ?
Inquiétudes autour de l'antisémitisme en France au dîner du Crif
- Initiateur de la discussion petitbijou
- Date de début
ce qui veut dire plus de pouvoir pour les sionistes afin de continuer leur crime en toute tranquilité
n'en il pas parler des 1000 civil assasiné a gaza ?
Quelle belle brochette de merguez!! Il manquait plus que le couscous et les youyou!
Boubaker m'avait déjà fichu la nausée dans la passé mais là avec ses acolytes beurettes de services, ils ont définitivement piétiné le peu de fierté personnelle qui leur restait.
SI j'étais Mr Boubaker, avec la position qu'il occupe et avec un minimum de lucidité, j'aurais honte de me regarder dans le miroir. Et que l'on ne vienne pas nous dire qu'il ne faut pas faire d'amalgame entre le CRIF et Israël. Le CRIF a manifesté et soutenu les exactions d'Israël et n'a pas uvré dans le sens de la paix. Le CRIF n'est pas la gouvernement français, (même si apparemment elle y est intiment liée) et on se doit lorsque l'on est un représentant musulman, par respect pour les palestiniens, de briller par son absence pour manifester son désaccord avec cette organisation douteuse.
Mdrrrrrr
T 'as de la chance que je n'interviens plus,sinon le show de letranger sur le nazisionisme mobilise tous les moderateurs à me surveiller.......
Un sociologue dément un "retour" de l’antisémitisme !!!!!
NOUVELOBS.COM | 05.03.2009
Pour Laurent Mucchielli, les actes d’antisémitisme en janvier étaient liés à l’offensive israélienne à Gaza.
Il note que la France "condamne plus sévèrement le racisme antijuif que le racisme antimaghrébin".
L’antisémitisme en France serait dans une tendance de fond de tassement régulier.
C’est ce qu’estime le sociologue Laurent Mucchielli, dans une étude publiée sur le site internet blog.claris.org.
"Le pic d’actes antisémites effectivement constaté en janvier 2009 s’explique par une raison conjoncturelle bien précise :
la guerre de Gaza",
écrit ce spécialiste des questions de délinquance, ajoutant que le même phénomène avait déjà été observé au début de la deuxième Intifada en 2000.
Il n’y a pas d’augmentation tendancielle de l’antisémitisme en France, estime-t-il,
citant un rapport de la Commission nationale consultative des droits de l’Homme (www.cncdh.fr)
selon lequel 90% des Français considèrent que "les Juifs sont des Français comme les autres"
(contre 66% en 2000 et 35% en 1946).
Un pays "philosémite" Il pense au contraire que
"la France est plutôt un pays ’philosémite’ qui condamne plus sévèrement le racisme antijuif que le racisme antimaghrébin".
Pour lui, le discours du président du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France) sur le "retour" de l’antisémitisme "masque une incapacité des institutions juives de France à prendre leurs distances vis-à-vis de l’Etat israélien, ce qui est le pendant et l’amplificateur de l’incapacité de nombreux Français maghrébins à distinguer la politique israélienne de la communauté juive en général".
NOUVELOBS.COM | 05.03.2009
Pour Laurent Mucchielli, les actes d’antisémitisme en janvier étaient liés à l’offensive israélienne à Gaza.
Il note que la France "condamne plus sévèrement le racisme antijuif que le racisme antimaghrébin".
L’antisémitisme en France serait dans une tendance de fond de tassement régulier.
C’est ce qu’estime le sociologue Laurent Mucchielli, dans une étude publiée sur le site internet blog.claris.org.
"Le pic d’actes antisémites effectivement constaté en janvier 2009 s’explique par une raison conjoncturelle bien précise :
la guerre de Gaza",
écrit ce spécialiste des questions de délinquance, ajoutant que le même phénomène avait déjà été observé au début de la deuxième Intifada en 2000.
Il n’y a pas d’augmentation tendancielle de l’antisémitisme en France, estime-t-il,
citant un rapport de la Commission nationale consultative des droits de l’Homme (www.cncdh.fr)
selon lequel 90% des Français considèrent que "les Juifs sont des Français comme les autres"
(contre 66% en 2000 et 35% en 1946).
Un pays "philosémite" Il pense au contraire que
"la France est plutôt un pays ’philosémite’ qui condamne plus sévèrement le racisme antijuif que le racisme antimaghrébin".
Pour lui, le discours du président du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France) sur le "retour" de l’antisémitisme "masque une incapacité des institutions juives de France à prendre leurs distances vis-à-vis de l’Etat israélien, ce qui est le pendant et l’amplificateur de l’incapacité de nombreux Français maghrébins à distinguer la politique israélienne de la communauté juive en général".
Tres bon resume... rien a ajouter.
Chahyine
Proud to be a ZMAG
ils ont une règle qui est de toujours "crier au loup"
il va bien falloir qu'un jour ben le loup les mangent comme ça ils arrêteront de nous souler la gueule parce qu'il n'y a pas d'autre expression à employer
à moins que les associations des minorités en fassent autant parce que les plus malmenés ce ne sont pas eux c NOUS!
il va bien falloir qu'un jour ben le loup les mangent comme ça ils arrêteront de nous souler la gueule parce qu'il n'y a pas d'autre expression à employer
à moins que les associations des minorités en fassent autant parce que les plus malmenés ce ne sont pas eux c NOUS!
ils oublient que la pire des meutes c la leur
la Fronce vit pour et avec les juifs
sans eux a ce qu'il parait perd tout
et pour te dire j aimerai pour une seule fois dans ma vie entendre un juif ne se lamente pas et accepte sa judaité
wa ghir kay chkiw !
tu confonds Juifs et sionistes
Ihoud et sahayina
il y a une nette différence
en 40 tous les Allemands n'étaient pas nazis
Nakame
VIB
Ah bon, je pensais que c'était plutôt eux qui confondaient
Ce qui me fait délirer par exemple c'est que Meyer HABIB est vice-président du CRIF et en même temps
conseiller de Netanyahu du LIKOUD
oh quel changement de discours
Nakame
VIB
oh quel changement de discours
C'est bladi qui rend les gens schyzo au double discours
GioEgyptio
2009 insh'allah
je vais chercher un mouchoir!!! j'ai les larmes aux yeux!!!!
nos pauvres amis juifs sont en siiii grande souffrance!
nos pauvres amis juifs sont en siiii grande souffrance!
Personne n'a dit le contraire!!
Je veux juste preciser :que tous les ideologues Nazis sont Allemands
Bref ,
Revenons au sujet,j'ai lu un article fort interessant ,qui m ' a poussé d'etre optimiste.
Mais il faut etre un peu patient ,pour que mon optimisme sera exhaussé
On parlera plus de l'antissimisme et la Palestine aura son independance.
Les juifs redoutent leur extinction à terme!!!
Une étude inédite quantifie le risque démographique qui pèse sur la communauté.
L'avenir démographique du judaïsme repose sur sa branche la plus orthodoxe même si elle est minoritaire.
C'est ce que vient de démontrer cette semaine, à Paris,
l'ancien grand rabbin d'Israël, Meir Lau, devant le congrès annuel du Centre rabbinique européen (Rabbinical Centre of Europe) qui a rassemblé plus de 300 rabbins venus des quatre coins du Vieux Continent.
Cette personnalité incontestable, actuellement président du centre Yad Vashem de Jérusalem, s'est appuyée sur une étude récente réalisée aux États-Unis,
la seconde communauté juive dans le monde après Israël et donc «représentative», assure-t-il, de la situation d'ensemble du judaïsme.
L'idée de cette enquête, dont Le Figaro a pris connaissance, est simple,
mais elle nécessite trois remarques préalables.
La première est que sauf conversion reconnue, on ne «devient» pas juif ;
il faut naître d'une mère juive pour être considéré comme juif.
Ce qui induit une évidence : le développement de la communauté juive dépend du taux de fécondité des femmes juives.
Avec une variable de taille,
deuxième remarque, liée aux «mariages mixtes» (avec des personnes non juives).
Ils se multiplient et même s'ils se produisent avec une femme juive, ils contribuent, estiment les rabbins, à «affaiblir» l'identité de la communauté car ils provoquent un éloignement culturel et religieux, phénomène qu'ils dé*nomment «l'assimilation».
Dernière remarque, très caractéristique du judaïsme, l'existence de courants, admis et reconnus.
Ils délimitent une typologie d'une pratique religieuse plus ou moins fervente.
L'étude situe cinq courants : les «laïcs», non pratiquants ; les «réformés» ou «libéraux», qui ont adapté certaines règles en admettant, par exemple, les femmes rabbins ;
les «conservateurs», que l'on dirait classiques ; les «modernes-orthodoxes», qui seraient traditionnels sans excès ; les « religieux» ou «orthodoxes», vivant pleinement les règles jusqu'à, parfois, la rupture sociale.
Débat d'avenir
Fondée sur ces critères, l'étude rapportée par le grand rabbin Lau, étudie la progression de la communauté sur quatre générations aux États-Unis.
Pour un groupe de 100 juifs au départ, il resterait 5 juifs dans les milieux laïcs après quatre générations.
Il en resterait 13 chez les libéraux, 24 chez les conservateurs,
346 chez les modernes-orthodoxes,
2 857 chez les religieux mais qui représentent une très faible proportion de la communauté !
Extinction, donc, de la communauté d'un côté, expansion de l'autre.
Avec des clés chiffrées : le taux de fécondité d'une femme du milieu religieux est de 5,9 ;
celui du milieu juif laïc est de 1,2.
Quant aux mariages mixtes,
ils sont de 72 % chez les juifs laïcs
et de moins de 1 % chez les juifs religieux.
Les experts de la démographie du judaïsme ont noté depuis longtemps la coexistence, au sein de la communauté juive, de cette «explosion» et de cette «implosion» dé*mo*graphiques simultanées,
mais aucune étude ne l'avait démontrée avec une telle netteté.
Cette étude est incontestable, mais elle est promue par des milieux orthodoxes ouvertement représentés par le Centre rabbinique européen.
Elle nourrit en fait un débat d'avenir qui agite et inquiète profondément la communauté juive et Israël.
http://www.lefigaro.fr/internationa...-juifs-redoutent-leur-extinction-a-terme-.php
Une étude inédite quantifie le risque démographique qui pèse sur la communauté.
L'avenir démographique du judaïsme repose sur sa branche la plus orthodoxe même si elle est minoritaire.
C'est ce que vient de démontrer cette semaine, à Paris,
l'ancien grand rabbin d'Israël, Meir Lau, devant le congrès annuel du Centre rabbinique européen (Rabbinical Centre of Europe) qui a rassemblé plus de 300 rabbins venus des quatre coins du Vieux Continent.
Cette personnalité incontestable, actuellement président du centre Yad Vashem de Jérusalem, s'est appuyée sur une étude récente réalisée aux États-Unis,
la seconde communauté juive dans le monde après Israël et donc «représentative», assure-t-il, de la situation d'ensemble du judaïsme.
L'idée de cette enquête, dont Le Figaro a pris connaissance, est simple,
mais elle nécessite trois remarques préalables.
La première est que sauf conversion reconnue, on ne «devient» pas juif ;
il faut naître d'une mère juive pour être considéré comme juif.
Ce qui induit une évidence : le développement de la communauté juive dépend du taux de fécondité des femmes juives.
Avec une variable de taille,
deuxième remarque, liée aux «mariages mixtes» (avec des personnes non juives).
Ils se multiplient et même s'ils se produisent avec une femme juive, ils contribuent, estiment les rabbins, à «affaiblir» l'identité de la communauté car ils provoquent un éloignement culturel et religieux, phénomène qu'ils dé*nomment «l'assimilation».
Dernière remarque, très caractéristique du judaïsme, l'existence de courants, admis et reconnus.
Ils délimitent une typologie d'une pratique religieuse plus ou moins fervente.
L'étude situe cinq courants : les «laïcs», non pratiquants ; les «réformés» ou «libéraux», qui ont adapté certaines règles en admettant, par exemple, les femmes rabbins ;
les «conservateurs», que l'on dirait classiques ; les «modernes-orthodoxes», qui seraient traditionnels sans excès ; les « religieux» ou «orthodoxes», vivant pleinement les règles jusqu'à, parfois, la rupture sociale.
Débat d'avenir
Fondée sur ces critères, l'étude rapportée par le grand rabbin Lau, étudie la progression de la communauté sur quatre générations aux États-Unis.
Pour un groupe de 100 juifs au départ, il resterait 5 juifs dans les milieux laïcs après quatre générations.
Il en resterait 13 chez les libéraux, 24 chez les conservateurs,
346 chez les modernes-orthodoxes,
2 857 chez les religieux mais qui représentent une très faible proportion de la communauté !
Extinction, donc, de la communauté d'un côté, expansion de l'autre.
Avec des clés chiffrées : le taux de fécondité d'une femme du milieu religieux est de 5,9 ;
celui du milieu juif laïc est de 1,2.
Quant aux mariages mixtes,
ils sont de 72 % chez les juifs laïcs
et de moins de 1 % chez les juifs religieux.
Les experts de la démographie du judaïsme ont noté depuis longtemps la coexistence, au sein de la communauté juive, de cette «explosion» et de cette «implosion» dé*mo*graphiques simultanées,
mais aucune étude ne l'avait démontrée avec une telle netteté.
Cette étude est incontestable, mais elle est promue par des milieux orthodoxes ouvertement représentés par le Centre rabbinique européen.
Elle nourrit en fait un débat d'avenir qui agite et inquiète profondément la communauté juive et Israël.
http://www.lefigaro.fr/internationa...-juifs-redoutent-leur-extinction-a-terme-.php
attend j en ai un non user dans ma poche