Jalousie feminine

La majorité de femmes qui se sentent mal dans leur corps imputent la responsabilité aux autres femmes.

Une étude sur l'image qu'ont les femmes de leur corps pour le journal britannique The Sun met en lumière que 59% des femmes ont une image négative de leur apparence. Ce manque de confiance en soi serait causé par le regard des autres femmes, soulignent 45% des sondées. Mais les femmes se mettent aussi la pression toutes seules, se comparant aux autres femmes. Les résultats montrent que 54% des femmes sont jalouses de la taille d'une de leurs amies.

Si elles lorgnent les tailles des robes de leurs amies, les femmes ne souhaitent toutefois pas être "trop minces". Une femme sur huit (74%) pense que l'idéal de beauté porté par la société est trop mince. Et, quand quelqu'un leur parle de leur taille fine, 25% d'entre elles prennent ça pour un reproche. 42% pensent en effet que la "taille parfaite" est la taille 40.


Alors mesdames pouvez vous m'expliquer cette jalousie maladive qui vous poussent a vous affronter par video interposé sur youtube

http://www.youtube.com/watch?v=68Ogk9cb8J0
 
Rivalité féminine: Sujet tabou

La rivalité féminine est un sujet tabou. Si elle a largement inspiré romanciers et scénaristes, on en parle très peu dans la presse et encore moins dans les magazines féminins. On préfère y dénoncer les innombrables violences faites aux femmes d’un bout à l’autre de la planète plutôt que de parler de la cruauté des femmes entre elles, on préfère y parler de la magnifique solidarité qui peut changer le monde plutôt que de la rivalité qui divise et empoisonne. Et surtout, on redoute de nourrir la misogynie ambiante, de tomber dans des généralisations essentialistes du style «les femmes sont toutes comme ci ou comme ça». Et pourtant, la dénonciation de la rivalité féminine est omniprésente. Il suffit de taper ces deux mots sur Google pour que jaillisse une flopée de forums où s’égrènent des commentaires de femmes absolument accablants.



Florilège: «Pourquoi les filles sont-elles si méchantes entre elles? Au lieu de comploter toute la journée, elles feraient mieux de se serrer les coudes.» «Les filles élaborent des plans démoniaques pour se détruire…» «Elles sont cruelles et vicieuses entre elles…» «Ma mère m’a dit que ses collègues sont des ****** avec les petites jeunes qui arrivent, surtout si elles sont jolies.» «Les femmes sont des vipères. Elles sont les premières pour te casser», etc.



L’univers du travail, surtout s’il est à dominante féminine, est décrit comme un enfer de complots, de bassesses hypocrites, de coups par en dessous. Dès que l’on parle à des femmes, les témoignages d’avanies abondent.



Nejma, vendeuse: «J’ai une collègue qui me parle comme à un chien. L’autre est de mèche mais hypocrite. Tout est bon pour me déstabiliser, me dévaloriser…»



Colombe, infirmière: «A l’hôpital où je travaille, je me suis tout de suite attiré la haine d’une secrétaire. Elle se plante ostensiblement devant moi sans me regarder, en disant à la cantonade “Les gens que je n’aime pas, je les ignore…” Ça me rappelle un jeu particulièrement pénible qu’on faisait à l’école. On mettait deux filles au centre d’une ronde et une troisième choisissait publiquement celle qu’elle aimait et celle qu’elle n’aimait pas. La fille rejetée s’enfuyait en pleurs, totalement dévastée.»

Bref, d’innombrables femmes adhèrent au cliché qui affirme qu’un groupe féminin au travail est comme une basse-cour de poules déchaînées.

Pour en savoir plus : rivalité - Marie Claire
 
ivalité féminine: Et les hommes dans tout ça?

Selon la sociologue du travail Danièle Kergoat, «la domination masculine est tellement intériorisée par les femmes qu’elles se minorent elles-mêmes. Elles se renient en tant que genre dévalorisé et plein de défauts.»(1) Autrement dit, dans un contexte socio-économique où la majorité des femmes continuent d’exercer des professions sous-payées et déconsidérées, accuser ses collègues d’être méchantes et perverses permet de ne pas s’identifier à un groupe socialement infériorisé. «Toutes des *******, sauf moi… donc, je ne suis pas une femme, donc ma misogynie me protège contre l’identification à une catégorie dénigrée.»Pas étonnant dans ces conditions que 88% des femmes, selon un sondage réalisé il y a quelques années par le site monster.fr, déclarent préférer travailler avec des hommes qu’avec leurs congénères.

Pour en savoir plus : rivalité - Marie Claire
 
Rivalité féminine: Peur d'être devancée

La professeure de «women studies» new-yorkaise, Susan Shapiro Barash, a consacré un best-seller(2) à la question.

«Je tiens à faire la distinction entre compétition et rivalité. Dans la compétition, on est conscient de sa valeur et on mesure ses compétences et ses forces à celles de l’autre, homme ou femme. La rivalité est fondée non pas sur la force, mais sur la peur d’être supplantée par l’autre femme, que ce soit dans les domaines amoureux ou professionnels. Elle est ambiguë, d’autant plus sournoise qu’elle est inconsciente. Les femmes sont encore élevées à être douces, à privilégier les relations affectives, à ne pas identifier leur goût pour le pouvoir. Elles sont coincées entre leur réticence à montrer leur ambition et leur frustration de ne pas réussir comme elles le voudraient. Souvent, lorsqu’une femme arrive au sommet de la hiérarchie, elle en a tellement bavé qu’au lieu de se montrer solidaire de ses congénères, elle veut rester seule en compagnie des hommes, bénéficier de la totalité du pouvoir et de la relation de séduction.»



Florence travaille dans une boîte de production télé dirigée par une femme. «Elle a tout sacrifié pour en arriver là. Comme elle n’a pas eu d’enfant, elle ne supporte pas qu’on en ait. Elle a totalement intégré les critères de réussite au masculin. Elle ne promeut pas ses subordonnées femmes parce qu’elles peuvent tomber enceintes. Elle me rappelle ma mère dont j’ai mis des années de thérapie à comprendre qu’elle était jalouse de moi, parce que j’avais “tout” alors qu’elle avait renoncé à sa carrière.»



Pour Annik Houel, professeure de psychologie sociale à Lyon 2, «Ce qui se joue avec une femme chef, c’est le rapport à l’autorité maternelle. Dans le monde du travail, beaucoup de femmes rejettent la femme chef qui réactive la figure archaïque de la mère toute-puissante. Elles acceptent d’un supérieur hiérarchique mâle ce qu’elles ne supportent pas d’une supérieure. Elles disent souvent qu’en cas de conflit, elles vont “se réfugier” auprès d’un collègue masculin parce que c’est plus simple.»



Pour la psychanalyste Catherine Vanier, la relation mère-fille est la matrice de toutes les rivalités.

«Le premier objet d’amour, c’est la mère. Il y a un lien vital, fusionnel, d’un pouvoir absolu. Si la mère retire cet amour, c’est la vie même qui est en jeu. Au moment de l’Œdipe, la fille se tourne vers le père et se trouve en concurrence avec cette mère pour qui elle a un amour fou. Cela entraîne une ambivalence fondamentale qui, pour certaines femmes, va persister sous la forme du spectre obsédant de l’“autre femme”. Lorsqu’il y a infidélité, il est frappant de voir à quel point les épouses trompées en veulent souvent plus à la maîtresse qu’à leur homme. C’est elle la “******” qui a séduit le mari. Lui bénéficie d’une relative indulgence, comme s’il n’avait pas eu la force de résister aux manœuvres de la rivale.»
C’est sur le terrain de la beauté et de la faculté d’inspirer le désir que la rivalité est sans doute la plus ressentie.

Pour en savoir plus : rivalité - Marie Claire
 
Un résumé ? :D. .

les femmes sont jalouses entre elles pour diverses raisons looool

resumé

la domination masculine est tellement intériorisée par les femmes qu’elles se minorent elles-mêmes. Elles se renient en tant que genre dévalorisé et plein de défauts.»(1) Autrement dit, dans un contexte socio-économique où la majorité des femmes continuent d’exercer des professions sous-payées et déconsidérées, accuser ses collègues d’être méchantes et perverses permet de ne pas s’identifier à un groupe socialement infériorisé. «Toutes des *******, sauf moi… donc, je ne suis pas une femme, donc ma misogynie me protège contre l’identification à une catégorie dénigrée.»Pas étonnant dans ces conditions que 88% des femmes, selon un sondage réalisé il y a quelques années par le site monster.fr, déclarent préférer travailler avec des hommes qu’avec leurs congénères.
 
Ben j'ai eu l'idée de faire ce poste car j'ai remarquer que les femmes se tirent les pattes entres elles plutot que de se montrer solidaire face aux hommes mdr
C'est pour ça qu'il faut préférer la compagnie des hommes à celle des femmes
Heureusement il y'a des exceptions
 
Oui il y a des exceptions
mais bon c'est relou d'etre femme ..........pauvre de toi mdr
Non mais les rivalités entre femmes ont tjs existé...
Justement j'étais en train de raconter à un ami que hier j'ai ftor chez une copine et donc elle se plaignait de ses soeurs (avec qui j'ai coupé les ponts) et donc elle me racontait ce qu'elles disaient sur moi... Tfou les gens n'ont vraiment rien à faire de leur vie, ils ont du seum qui coule dans leur veine ... Allah y stair ou safi
 
Non mais les rivalités entre femmes ont tjs existé...
Justement j'étais en train de raconter à un ami que hier j'ai ftor chez une copine et donc elle se plaignait de ses soeurs (avec qui j'ai coupé les ponts) et donc elle me racontait ce qu'elles disaient sur moi... Tfou les gens n'ont vraiment rien à faire de leur vie, ils ont du seum qui coule dans leur veine ... Allah y stair ou safi

ta copine aurait pu eviter de te dire ce que ces soeurs pensent de toi mdr

surtout qu'elle devait en dire autant loool
 
ta copine aurait pu eviter de te dire ce que ces soeurs pensent de toi mdr

surtout qu'elle devait en dire autant loool
Elle se plaignait de ses sœurs car elles ne s'entend pas non plus avec elle...
Pour te dire même entre sœurs elles ne sont pas épargnées
Mouhim moi je laisse parler je m'arrête pas à ça...
 
Elles sont peut etre jalouses de ton physique car 54 % des femmes sont jalouses du physique de leur copine mdr
Non du tout rien a voir... Arretes de lire psychologie magazine ils disent n'importe quoi :)
Elles vont jusqu'à critiquer les filles de ma copine chez qui j'étais (qui ont 4 et 2 ans... Pour te dire le niveau!)
 
Non mais les rivalités entre femmes ont tjs existé...
Justement j'étais en train de raconter à un ami que hier j'ai ftor chez une copine et donc elle se plaignait de ses soeurs (avec qui j'ai coupé les ponts) et donc elle me racontait ce qu'elles disaient sur moi... Tfou les gens n'ont vraiment rien à faire de leur vie, ils ont du seum qui coule dans leur veine ... Allah y stair ou safi
Qui ca ses soeurs ou bien ta copine ?
 
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