1/Je disais que l'homme a toujours ete et de loin le mieux place naturellement a subvenir aux besoins de sa famille (femme et enfants) en generale , et sa tout au loin de l'histoire de l'humanite.
Pourquoi? tout d'abord les conditions physiques et l'endurance des hommes sont superieures a celles des femmes ,
2/Le verset sur l'inferiorité des femmes dans le témoignage juridique :
Tu le fais expres c'est ca? je ne vais pas me repeter ,mais tu peux revenir au premiers postes si tu veux relire ma reponse.
1/ et maintenant une femme peut gagner autant d'argent que sont mari grâce à sa formation intellectuelle. Peuve que le coran une fois de plus est démodé et n'a pas anticipé que les progrès techniques.
Et tu ne réponds pas sur la supériorité physique de la femme qui enfante. Cette capacité est infiniment plus sophistiquée que la force physique brute qui, elle , a été remplacée par les machines.
2/ quant à ton interprétation sur le verset sur l'infériorité intellectuelle des femmes, tu me fais bien rigoler en prétendant que ce verset ne parle que de droit et pas de limbécilité des femmes. Il est dit textuellement " en sorte que si lune delles ségare, lautre puis lui rappeler".
Quand je vois les musulmans triturer le texte du Coran pour lui faire dire n'importe quoi : ils y imaginent que toutes les sciences sont inscrites dans le coran alors qu'il y a tant de sottises dans le coran (création en 6 jours, terre plate, soleil qui fait griller les habitants quand il se couche, 7 cieux....)
Ici nous avons un beau verset qui dit en toutes lettres que les femmes sont des sottes... et non , là il faut avoir une lecture restrictive du coran et n'y voir qu'un verset de droit....
c'est malhonnête intellectuellement comme raisonnement, non ???
Je le remets juste pour le plaisir, ton petit verset bavard qui est sensé ne parler que de droit et se laisse aller à des médisances nauséabondes sur les femmes :
Sourate 2-282: «Ho, les croyants! Quand vous vous endettez dune dette à échéance déterminée, écrivez-la; et quun scribe mécrive, entre vous, en toute justice; un scribe na pas à refuse décrire selon ce que Dieu lui a enseigne; quil écrive, donc, et que dicte le débiteur: quil craigne Dieu son Seigneur, et se garde den rien diminuer. Si le débiteur est sot, ou faible, ou incapable de discuter lui-même, que son répondant dicte alors en toute justice. Faites- en témoigner par deux témoins dentre vos hommes; et à défaut de deux hommes, un homme et deux femmes dentre ceux des témoins que vous agréez, en sorte que si lune delles ségare, lautre puis lui rappeler. Et que les témoins ne refusent pas, quand ils sont appelés »